RAPPORT DU RENSEIGNEMENT,
VENDREDI 13 JANVIER 2016.
POUR LE BUREAU DE VLADIMIR POUTINE
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Macron |
Par Gordon Duff, Senior Editor et Ian Greenhalgh, Managing Editor le 30 septembre 2017
L’article d’aujourd’hui n’est en aucun cas destiné au grand public. Il leur est permis de le consulter et ceux qui se font le plus entendre continueront à prouver pourquoi le monde s’en trouverait bien mieux sans l’Amérique, pourquoi l’Amérique est devenue dangereuse et non fiable, militairement, financièrement, pourquoi l’Amérique est quasiment devenue « l’état criminel » que Jeff Gates accusait Israël d’être il y a de si nombreuses années.
Tout ce qui est présenté ici est du renseignement vérifié et fiable et un récit historique que nous sommes plus que capables d’argumenter. Une partie sera du contenu exclusif basé sur du renseignement partiellement déclassifié.
Pour commencer, peu importe ce qui ne va pas aux États-unis, sans Vladimir Poutine la Russie aurait depuis longtemps été conquise par le gang de Washington. Faisons un petit retour en arrière. En 1990, la CIA a entamé la destruction de la Russie à travers les systèmes monétaire et bancaire. L’histoire de (Lee) Wanta en fait partie. J’ai quelques connaissances personnelles des aspects bancaires, car je faisais partie de la délégation qui a rencontré des représentants commerciaux bancaires à cette époque, et qui les a aidés à faire une tournée des États-unis. Je peux citer mot pour mot ce qui s’est dit lors des réunions si besoin est. C’est un avertissement.
J’ai rencontré deux sénateurs Américains, un directeur de la CIA , des dirigeants bancaires Russes et les chefs des familles criminelles à Astoria à Chypre, à Toronto et Detroit, avec des trésoriers du Parti Républicain. Le sujet était le pillage de l’Union Soviétique et l’utilisation de l’argent qui en résultait pour revitaliser l’économie Américaine. Je n’ai été témoin que de transactions portant sur quelques centaines de millions de dollars. Wanta affirme qu’il a géré des milliers de milliards, mais tout est allé à la famille Bush, aux politiciens de Washington, plus de Démocrates que de Républicains, et a constitué les débuts d’un énorme empire de blanchiment d’argent qui s’étendait de New York à Londres et de Chypre à Israël.
L’autre conséquence, outre de former le cadre de l’époque que nous vivons, a été de bâtir un empire intérieur du crime qui a submergé le FBI et généré la capacité d’amener des affaires comme celle de l’Iran Contra et de la banque BCCI de la période Reagan à des niveaux jamais vus. A l’époque, certains dirigeants des États-unis se sont engraissés en pillant l’économie de près de 1000 milliards de $, dans ce qui a été appelé le Scandale Savings and Loan. Quelques-uns sont allés en prison, 5 Sénateurs ont été grillés, et des leçons ont été apprises.
Ce que Washington a réellement appris est que cette même formule pouvait s’appliquer, encore et encore, à toute la planète, en manipulant des évènements afin d’étouffer les enquêtes publiques qui ont failli amener le Président Reagan en prison, et menacé de détruire la moitié du Congrès, et de les mener tout droit en prison, où, franchement ils méritent tous d’aller. Nous reviendrons de temps en temps à cette méthodologie.
Le Congrès a commencé à voter des lois les protégeant eux-mêmes de poursuites judiciaires, pour des crimes et toutes les questions relatives au financement de campagnes électorales, le tout culminant avec la décision à 5 contre 4 de la Cour Suprême , appelée Citizens United. Tout est devenu possible lorsque le crime organisé a acquis une solide majorité de 5 contre 4 à la Cour Suprême , provoquant une crise constitutionnelle qui perdure jusqu’à nos jours. En conséquence, les seules enquêtes que le Congrès pouvait être autorisé à mener visaient à punir ceux qui sortaient du rang, et jamais pour examiner par exemple comment des milliers de milliards se sont évaporés du budget du Département de la Défense juste avant le 11 septembre, ou pour enquêter sur les raisons pour lesquelles le F35 ne vole pas très bien ou pourquoi les navires de combat du littoral sont des ratages de plusieurs milliards de dollars. Cela peut encore empirer avec la drogue en Afghanistan, des milliards d’armes portées disparues en Irak, en fait près de 40% du budget Américain de la Défense s’évanouit en fumée chaque année. Ah, mais au fait nous savons tout à propos des courriels manquants, n’est-ce pas ?
Pour en revenir à maintenant, nous allons parler de Trump et du « dossier » et comment il n’y a pas de méthode pour gérer un président élu qui peut ou pas être sous le contrôle d’un gouvernement étranger. Appelez cela une coïncidence bizarre, mais il existe un dossier presque identique sur John McCain, constitué par le colonel Earl Holliman du Renseignement militaire, accusant McCain d’être contrôlé par la Russie , à l’aide d’un chantage avec des vidéos prises par des Russes pendant que McCain était prisonnier de guerre au Vietnam.
Tump est empêché par les sionistes qu'ils se trouvent aux USA, en Russie.... Poutine fait face également à ces ennemis du monde libre.
Depuis que nous les avons révélés, les documents contre Trump que Russia Today s’évertue à discréditer, sont des renseignements de grande qualité provenant de nombreuses sources concordantes confirmées, qui coïncident avec l’histoire bien connue de Trump travaillant avec de l’argent Russe, avec des témoignages édifiants de 2008, et de ses connexions avec les oligarques Russes.
De plus, l’article de Slate extrêmement détaillé et très bien documenté, le liant au Groupe Alfa de Mikhaïl Fridman, et montrant comment Trump est resté en contact direct quotidien avec la Russie au cours de toute la campagne présidentielle, ne constitue qu’une petite partie de l’histoire.
Les véritables préoccupations ne devraient pas se limiter à savoir si Trump est « sous influence » ou comme il a été prouvé, bien plus que cela. Ce que les témoignages de confirmation et les dénégations véhémentes du dossier nous apprennent, des dénégations coordonnées et soutenues par la Russie , et rien ne pourrait être plus stupide, est que Trump est seul, s’accrochant à ce qui s’offre à lui.
C’est ce qui se passe dans le District de Columbia actuellement, et pourquoi certains publient-ils qu’on « serre la bride » à Trump.
Je vais commencer par la Russie. Nous allons devoir rentrer dans les détails sur le sujet, mais il suffit de dire, que si la Russie dirige Trump, nous n’avons pas défini de quelle « Russie » nous parlons. Trump est solidement lié aux oligarques Russes, dont certains sont des dirigeants d’affaire capables, mais presque tous font partie d’organisations Sionistes, et sont plus Israéliens que Russes.
Notez également que nous allons mentionner le mot « Sioniste » de temps en temps, et même mentionner les cabales bancaires internationales et la famille Rothschild. Si je dérange certaines personnes, elles peuvent toujours attendre des excuses, ou plutôt être heureuses que nous n’ayons pas cette discussion en personne, si vous voyez ce que je veux dire. Il suffit de dire que nous allons dévoiler assez de contexte historique pour en consterner certains, en utilisant des études indiscutables pour contrer le dénigrement et l’intimidation, les véritables facteurs de contrôle qui alimentent le scénario qui nous a conduit au triste état dans lequel nous sommes actuellement, où une transition du pouvoir suite à une élection est impossible tout en maintenant une forme républicaine de gouvernement. Le nom originel ne devrait plus être utilisé, et devrait être remplacé par Empire Américain, simplement parce que « cleptocratie » est trop difficile à prononcer.
Les théories de la conspiration d’aujourd’hui sont élaborées pour obscurcir ou diluer le contexte historique qui permettrait aux gens d’identifier correctement leur ennemi, la main qui dirige ces schémas malveillants.Wikileaks, Facebook, Google, Wikipédia, “Les fausses nouvelles”, n’existent que pour obscurcir et diluer la véritable connaissance.
Ce que la plupart des gens dans le monde, même les Russes, considèrent comme la Révolution Russe a été, en réalité, une contre-révolution menée par les Sionistes Bolcheviques et les banquiers Rothschild– la même « conspiration imaginaire » décrite dans les Protocoles des Sages de Sion.
Pourquoi croyez-vous que quiconque mentionne les Protocoles est réduit au silence, comme s’ils étaient des négationnistes de l’Holocauste, oh oui, nous pourrions avoir touché une autre corde sensible.
Passons maintenant à un à-côté, vous savez les Articles de la Confédération Américains et ce gouvernement Révolutionnaire, mis en place par les véritables pères fondateurs qui a été éliminé de la même manière lorsque l’agent des Rothschild, Alexander Hamilton, et des Américains vacillants du crime organisé ont bricolé la monstrueuse Constitution qui a fini par s’effondrer et à brûler le public Américain il y a à peine quelques brèves semaines. L’historien Charles A. Beard souligne ce processus dans son "Economic Interpretation of The Constitution" publiée par Colombia University Press en 1935.
Nous pourrions mentionner d’autres occasions où ce complot Sioniste a été mené à bien – la Glorieuse Restauration de 1688 qui a détruit la lignée Monarchique Britannique, et placé un officier de l’armée Néerlandaise sur le trône et réduit en esclavage la Grande-Bretagne sous l’hégémonie d’une « cabale financière » qui perdure à ce jour ; le Congrès de Vienne en 1822 qui a réordonné l’Europe ou plus récemment les nombreux coups d’état organisés par la CIA du Chili à l’Iran, à la destruction de la Serbie par l’OTAN dans les années 1990 et plus récemment, le coup d’état de Maidan en Ukraine qui a installé un régime Néo-Nazi anti-Russe à Kiev.
Combien de gens sont conscients que la Pologne a été renversée et remplacée par une dictature militaire assez semblable à celle qui a été attaquée par l’Allemagne en septembre 1939 ? C’est la version de l’histoire réécrite par Ford/Rockefeller. L’Égypte a-t-elle envahi Israël en 1967 ? L’ancien correspondant d’ITV et membre de la rédaction de VT, Alan Hart, y était.
Nous devrions également nous rappeler les occasions où ils ont raté leur coup comme en Allemagne en 1919 lorsque la révolution Communiste menée par Rosa Luxemburg, Karl Liebknecht et leur gang Bolchevique a été vaincue par les Freikorps (Corps Francs) et les évènements similaires qui se sont produits la même année en Hongrie où les forces Royalistes de l’Amiral Horthy, avec l’aide des Roumains, ont réussi à vaincre la mainmise Communiste de Bela Kun et ses « Lénine Boys » sanguinaires.
Maintenant que nous avons décrit la méthode, poursuivons en examinant ce qu’ils ont infligé au peuple Russe en 1917.
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Un groupe de Lénine Boys dans leur costume de cuir caractéristique, ils ont soumis |
Ce qui nous amène à octobre 1917 et à la situation dans les rues des villes Russes qui était explosive avec un mélange grouillant de soldatesque mutinée, de travailleurs en grève et d’agitateurs politiques de tout poil. Ils étaient cependant tous d’accord sur un point crucial – la guerre doit prendre fin.
A présent la conspiration est mise en œuvre, non en Russie, mais à des milliers de kilomètres à New York et à Berlin.
La partie que chacun connaît est que Max Warburg (frère aîné de Paul Warburg, le créateur du système bancaire de la Réserve Fédérale propriété des Rothschild aux Etats-Unis), le chef des services de renseignement du Kaiser et également le dirigeant de la banque Kuhn, Loeb & Co, la plus grande banque Allemande, a conçu le plan retors de faire sortir Lénine* de son exil en Suisse et de le transporter dans un train plombé à Saint Pétersbourg, avec pour mission de devenir la figure de proue du coup d’état Bolchevique.
*Lénine (1870 - 1924) Profession : révolutionnaire
L'ombre de Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, a dominé la plus grande partie du XXe siècle. Agitateur russe, adepte de la philosophie marxiste, il s'empare du pouvoir avec ses militants en profitant du délitement de la démocratie issue de la Révolution de Février(1917), pendant la Première Guerre mondiale.
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Lénine et Trotsky |
Cependant, la part cruciale que la plupart des gens ignorent largement est qu’un autre agent Sioniste, beaucoup plus dangereux, avait déjà été dépêché depuis les Etats-Unis en Russie pour être le véritable chef et organisateur du nouvel ordre qui devait s’imposer à la Russie postrévolutionnaire. Je fais bien sûr référence au révolutionnaire marxiste Lev Bronstein, plus connu sous le nom de Léon Trotsky**. Les livres d’histoire mentionnent tous que Trotsky est retourné à Saint Pétersbourg et qu’au cours de l’été 1917 il a organisé et planifié le coup d’état Bolchevique qui a pris le pouvoir en novembre de cette année.
* Léon Trotski (1879 - 1940) Le théoricien de la révolution permanente
Tout le travail pratique relatif à l’organisation de l’insurrection a été accompli sous la direction immédiate du Camarade Trotsky, le Président du Soviet de Petrograd (nouveau nom de Saint Pétersbourg). On peut affirmer avec certitude que le Parti doit d’abord et principalement être reconnaissant envers le Camarade Trotsky pour le rapide basculement de la garnison du côté du Soviet et pour la manière efficace dont il a organisé le travail du Comité Militaire Révolutionnaire.
*Staline (1878 - 1953) Le «petit père des peuples»
5 mars 1953 Mort de Staline
Ce que ne mentionnent pas les livres d’histoire est que Trotsky n’est pas arrivé seul en Russie, il a emporté avec lui une grande quantité d’or, le financement initial de la révolution fourni par Wall Street sous la direction de Paul Warburg, le frère de Max. Avec Trotsky et le financement de Wall Street partaient également 100 émigrés Juifs qui, comme Trotsky, avaient émigré de l’Empire Russe après le coup d’état raté de 1905 et qui y retournaient maintenant pour fomenter un nouveau coup d’état destiné à prendre le contrôle de l’Empire Russe.
Après la chute du Bolchevisme et de l’Union Soviétique, la Russie a connu une résurgence du Christianisme inconnu en Amérique et en Europe Occidentale. Pourquoi n’en parle-t-on jamais ?
Lorsqu’on évoque la « Révolution d’Octobre » les images qui viennent à l’esprit sont souvent celles de travailleurs, de paysans et de soldats de la Garde Rouge prenant d’assaut les grilles du Palais d’Hiver, saisissant le siège du gouvernement à la pointe de la baïonnette après une dure bataille. Du cinéma impressionnant mais de la pure propagande sans aucune base réelle. Ce n’est rien d’autre que le précurseur des scénarios historiques que Hollywood s’est attribué par la suite.
En réalité, le Palais d’Hiver était défendu par 2000 soldats loyaux – gardes loyaux, jeunes officiers, cadets et un bataillon féminin.
Ce que rappelle Poutine. Cependant, au moment du coup d’état Bolchevique, la plupart des défenseurs étaient partis, chassés par le désespoir de la famine, n’ayant pas reçu de nourriture et d’approvisionnement depuis des jours. Les Rouges ont pris le Palais quasiment sans coup férir, tout ce qui restait pour défendre la place étant les reliquats du bataillon féminin. La même chose est valable pour tout Saint Pétersbourg – la ville est tombée aux mains des Bolcheviques sans combat. Trotsky a alors dû défendre la ville contre des cosaques loyaux qui ont essayé d’empêcher le coup d’état, et il y a réussi. Puis, pendant que Lénine faisait ses discours enflammés, l’esprit malveillant de Trotsky mettait à exécution le plan Sioniste pour détruire totalement l’Empire Russe et le remplacer par un état policier réduit en esclavage par un régime totalitaire marxiste.
D’abord un traité de paix a été signé avec l’Allemagne, retirant la Russie de la Grande Guerre et accomplissant la tâche principale assignée à Lénine par Max Warburg.
* 3 mars 1918 - De la paix de Brest-Litovsk à la guerre civile
Le 3 mars 1918, à Brest-Litovsk, en Biélorussie, les bolcheviques russes signent la paix avec les Allemands et leurs alliés. Ils se retirent de la Grande Guerre , laissant choir la France et l'Angleterre qui s'étaient engagées aux côtés du tsar.
Les Allemands en profitent pour une offensive de la dernière chance sur le front français...
Puis s’est déroulée une terrible guerre civile de 5 ans où Trotsky a entraîné l’Armée Rouge Bolchevique dans une campagne meurtrière contre les Blancs loyalistes, les anarchistes « Noirs » et les mouvements nationalistes naissants en Pologne et en Ukraine. En 1922 des centaines de milliers de combattants étaient morts et la nation Russe était épuisée. La sécheresse, la famine et les maladies ont ajouté des millions de morts aux nombreux millions non recensés de cosaques, de tsaristes et d’autres « ennemis du peuple » qui ont été massacrés par les séides de Trotsky. La conquête Bolchevique de la Russie a été un des génocides les plus importants et sanglants de l’histoire, sans équivalent à part les campagnes de Gengis Khan.
Staline et l’éviction des Anciens Bolcheviques
On suppose que Mikhaïl Fridman, l’oligarque Russo-Israélien qui a fondé le Groupe Alfa, a financé Poutine depuis le milieu des années 1990 lorsque Poutine était maire-adjoint de Saint Pétersbourg.
Fridman entretient également des liens très étroits avec Benyamin Netanyahou. C’est là que nous pénétrons en terrain nouveau. L’hypothèse de travail originale consistait, en glanant des informations, à partir de schémas de dissimulation, certaines provenant de sources russes, des propres tweets de Trump et de la « mosaïque », à raconter une histoire très différente de celle qui fait de Trump un agent Russe qui a pour tâche de détruire l’OTAN et de faire s’effondrer les États-unis.
Bon, cette partie semble être vraie, que l’OTAN soit mise de côté au profit de quelque autre régime et que les États-unis doivent subir une souffrance économique et des troubles sociaux, un vide du pouvoir, une militarisation accrue à l’intérieur et « un fou sans projet » à leur tête. Aucune intention illusoire ne pouvait actionner positivement ce qui s’est produit, un transfert complet de pouvoir et une rupture de la chaîne de commandement, un arrêt complet des processus constitutionnels, de toute manière depuis longtemps vidés de leur contenu et minimisés par ses prédécesseurs, désormais partis et avec eux les Droits des citoyens.
Il n’y a rien là-dedans qui serve la Russie ou les intérêts Russes. Et, bien qu’il y ait maintenant des liens avérés entre Trump et des contrôleurs « Russes », il est également devenu évident qu’en fait, c’est beaucoup moins clair que nous ne le pensions. Les maîtres Russes de Trump, et ils sont faciles à identifier, étant donné que Slate nous les décrit en grand détail, ne sont pas les dirigeants de l’état Russe, et certainement pas Poutine, qui est un homme d’état paisible et un humanitaire facile à vivre, si l’on procède à une analyse honnête.
Lorsque les promesses mielleuses d’un « redémarrage » avec la Russie ont été faites il y a quelques mois, on s’attendait à ce que des politiques détaillées émergent dès maintenant, il est certain que les marchés l’exigent et les processus de confirmation en cours également. Cependant, Tillerson et Mattis sont venus devant le Congrès les mains vides, sans politique, rien sur les sanctions, rien sur la Syrie , rien sur la Crimée , que de vagues tweets et des allégations déséquilibrées à propos de l’OTAN.
Si la Russie « manipulait » Trump, il y aurait un plan, il y aurait des règles de base définies et des réunions préliminaires. Oui, il y a des réunions, qu’on nie maintenant bien entendu, parce qu’une chose est sûre, si le redémarrage était réel ou si le contrôle Russe était réel, il se serait déjà manifesté d’une manière compétente et cohérente à présent. Pourtant, tout ce que nous voyons est la preuve que Trump est manipulé, avec la mission de carboniser l’OTAN, d’ouvrir l’Amérique à tous les vents, de laisser l’Amérique dans la pagaille, déshonorée, méprisée, presque comme si Trump était, comme nous avons essayé de le prouver, le jouet de la mafia des oligarques Russes, d’Al Capone et du Talmud sous stéroïdes.
Poutine et les 40 oligarques- oct 2017
Mikhaïl Fridman « est étroitement lié à l’Organisation Moscovite Solntsevo (Solntsevskaïa), une des plus importantes et des plus puissantes organisations criminelles Russes, par le biais du financement d’Alfa ».
Fridman, le véritable « Don du Teflon », se déplace comme un fantôme entre la Russie et son domicile du quartier de Mayfair à Londres.
Fridman est le fondateur du Groupe Russe Alfa, et « l’autre interlocuteur au bout du fil » de la « hotline » de Trump, faite de conversations cryptées découvertes par les pirates informatiques volontaires des Casquettes Blanches :
Ce printemps, un groupe d’experts en informatique ont entrepris de déterminer si des pirates informatiques intervenaient dans la campagne de Trump. Ils ont découvert une chose à laquelle ils ne s’attendaient pas.
Fin juillet, un des informaticiens – qui a demandé à être appelé Tea Leaves (feuilles de thé), un pseudonyme qui protégerait ses relations avec les réseaux et les banques qui l’emploient pour filtrer leurs données – a découvert ce qui ressemblait à un logiciel malveillant venant de Russie. Le domaine de destination mentionnait le nom de Trump, ce qui a bien sûr attiré l’attention de Tea Leaves. Mais cette découverte sur les données n’était que pur hasard – une aiguille surprise dans une énorme botte de foin de requêtes DNS (de noms de domaine) sur son écran. « J’ai ici un indice qui se relie à la Russie d’une étrange manière », a-t-il écrit dans ses notes. Il n’a d’abord pas pu l’identifier. Mais ce qu’il a découvert est une banque à Moscou qui se connectait irrégulièrement un serveur enregistré au nom de l’Organisation Trump sur la Cinquième Avenue.
Des données supplémentaires étaient nécessaires, donc il a commencé à tenir le compte de l’activité de connexions au nom de domaine du serveur de Trump. En collectant les connexions, il les transmettait en regroupements périodiques à des collègues du monde de la cybersécurité. Six d’entre eux ont commencé à les examiner pour découvrir des indices.
Les chercheurs ont rapidement écarté leur crainte initiale que les connexions aient représenté une attaque par un logiciel malveillant. La communication n’était pas l’œuvre de bots (automates de communication). Le schéma irrégulier des connexions au serveur ressemblait en fait à un schéma de conversations humaines – des conversations qui commençaient pendant les heures de bureau à New York et se poursuivaient pendant les heures de bureau à Moscou. Il est apparu aux chercheurs qu’il ne s’agissait pas d’une attaque, mais de relations suivies entre un serveur enregistré au nom de l’Organisation Trump et deux serveurs enregistrés au nom d’une entité appelée Alfa Bank.
Un rapport de 2007 de Stratfor qui avait été fuité à Wikileaks énonce : « Le Groupe Alfa est maintenant impliqué dans le trafic de drogue en provenance de l’Asie du Sud-Est et passant par la Russie à destination de l’Europe, dans le blanchiment d’argent des cartels de la drogue Colombiens, et la corruption des organes de justice en Russie … »
« Le Groupe Russe Alfa, dirigé par un certain nombre d’oligarques Russes, a gardé des liens étroits avec Israël et le Mossad, le CFR (Council on Foreign Relations) et la célèbre mafia Solntsevskaïa ».
« On suppose que Fridman est au moins en partie responsable de nombreux assassinats qui sont la plaie de la société Russe, particulièrement en ce qui concerne les journalistes ».
Fridman a été quasiment le seul membre du cercle intérieur de Poutine à n’avoir pas été touché par les sanctions sur l’Ukraine, ce qui lui a permis de préserver sa fortune.
Mais ce qui est peut-être plus significatif, le site internet Mother Jones a annoncé lundi que Trump lui-même a été courtisé comme agent par la Russie. Un ancien officier supérieur du renseignement a prétendu qu’il avait contacté le FBI début juillet pour le prévenir de l’influence que Poutine exerçait sur Trump.
Dans son premier mémo, examiné par Mother Jones, l’agent a écrit que « le régime Russe a courtisé, soutenu et assisté TRUMP pendant au moins 5 ans. L’entreprise approuvée par POUTINE, a consisté à encourager les failles et les divisions dans l’alliance occidentale ». Le mémo prétendait également que Trump « et son cercle intérieur ont accepté de recevoir un flux régulier de renseignements du Kremlin, y compris sur ses rivaux Démocrates et autres concurrents politiques ».
Le mémo déclare que Trump avait été « piégé » par le renseignement Russe lors de ses visites à Moscou, en en faisant ainsi une possible victime de chantage.
En août, le FBI a demandé à l’agent de révéler ses informations et leurs sources. L’agent a déclaré à Mother Jones « qu’il est assez évident qu’il y a ou qu’il y a eu une enquête assez fouillée sur le sujet ».
Un ancien espion a fourni au FBI des informations à propos d’une opération Russe visant courtiser Donald Trump
Comment diable avons-nous pu rater cela …
31 octobre
Nous l’avons raté parce que l’affaire Comey a surgi en même temps. Il est évident que la publication de la lettre de Comey a été faite pour détourner l’attention des révélations concernant Trump et la Russie.
En juin, l’ancien officier du renseignement occidental – qui a passé presque deux décennies à travailler sur des sujets relatifs au renseignement Russe et qui travaille désormais pour le compte d’une société Américaine qui collecte des renseignements sur la Russie pour des entreprises clientes – s’est vu assigner la tâche de faire des recherches sur les affaires de Trump en Russie et ailleurs, selon l’ancien espion et ses associés dans cette société Américaine. Il s’agissait d’un projet de recherche de l’opposition financé par un client Républicain critique envers le célèbre patron. (Avant que l’ancien espion n’ait été retenu, le financement du projet a été transféré à un client allié aux Démocrates). « Cela a commencé comme une enquête assez générale », affirme l’ancien homme de l’ombre, qui a demandé à garder l’anonymat. Mais lorsqu’il a commencé à creuser sur Trump, fait-il remarquer, il est tombé sur des informations troublantes laissant supposer des liens entre Trump et le gouvernement Russe. Selon ses sources, dit-il, « il existait un échange régulier d’informations entre la campagne de Trump et le Kremlin au bénéfice mutuel des deux parties ».
Mother Jones a vérifié ce rapport et d’autres mémos rédigés par cet ancien espion. Le premier mémo, basé sur des conversations entre l’ancien officier du renseignement et des sources Russes, indique que : « Le régime Russe a courtisé, soutenu et assisté TRUMP pendant au moins 5 ans. L’entreprise approuvée par POUTINE, a consisté à encourager les failles et les divisions dans l’alliance occidentale ». Il prétendait que Trump « et son cercle intérieur ont accepté de bénéficier d’un flux régulier de renseignements de la part du Kremlin, y compris sur des rivaux Démocrates et autres concurrents politiques ». Il prétend que le renseignement Russe a « piégé » Trump lors de ses visites à Moscou et était en mesure de le « faire chanter ». Il a également rapporté que le renseignement Russe avait établi un dossier sur Hillary Clinton fondé sur des « conversations enregistrées à son insu lors de diverses visites qu’elle a faites en Russie et des interceptions d’appels téléphoniques ».
Bien que ses collègues oligarques des années 1990 aient été incarcérés, exilés ou saisis, Mikhaïl Fridman se porte comme un charme, ayant conservé la plupart de sa fortune sans risquer les foudres du Kremlin. A présent le fondateur du Groupe Alfa a déménagé à Londres et semble défier une interdiction de rapatrier sa fortune Russe en dépensant des milliards pour acquérir des actifs étrangers.
La clé pour que Fridman reste du côté du Kremlin a été son affable partenaire Petr Aven, qui a rejoint Alfa en 1991 après avoir été ministre des affaires étrangères de la Russie (1991-1992).
Aven rencontre régulièrement Poutine à la résidence du Président à Novo-Ogarevo et a reçu une récompense de l’état pour son action de chef d’entreprise des mains de Poutine en mai de l’année dernière. Berezovsky, qui a été jadis le Parrain du Kremlin, a reconnu que c’était Aven qui l’avait présenté à Poutine.
Un ancien cadre d’Alfa a raconté à bne IntelliNews que Fridman et ses associés ont été autorisés à garder les 14 milliards de $ provenant de la vente de TNK-BP offshore. « Abramovich a pu conserver le produit de la vente de SibAl et Sineft, et Fridman/Alfa également ». « C’est probablement dû à leurs relations personnelles avec Poutine ».
Il est évident que Poutine a retenu la leçon des erreurs de Staline et Hitler étant donné qu’il ne les a pas répétées. Hitler a accompli des réformes économiques, politiques et sociales drastiques qui ont fini par mener à sa destruction. Aucun dirigeant qui ose abolir l’usure, qui place la création de la monnaie entre les mains du gouvernement plutôt que dans celles de la banque Rothschild, qui élimine de leurs postes de pouvoir les agents des Rothschild et de leur mouvement Sioniste ne saurait rester au pouvoir, les banquiers s’assurent toujours qu’ils soient détruits et par leur contrôle des médias et de l’enseignement, soigneusement diabolisés comme les pires personnages de l’histoire.
Mayer Amschel Rothschild, un rejeton du clan Rothschild a jadis déclaré : « Permettez-moi d’émettre et de contrôler la monnaie d’une nation, et je ne me soucie guère de qui fait ses lois ».
Hitler a essayé de briser ce contrôle Sioniste des Rothschild par la manipulation usuraire de la monnaie et le peuple Allemand a payé le prix de cet échec.
Poutine est évidemment parfaitement conscient des limites dans lesquelles il doit rester pour éviter d’être évincé, en fait, il doit s’engager dans une série de pas de danse avec divers oligarques et opposants politiques, aussi bien étrangers que nationaux.
Si Poutine était Hitler, Israël aurait été rayé de la carte depuis longtemps.Hitler a envahi la Tchécoslovaquie en 1938 pour empêcher que les Allemands des Sudètes ne subissent un nettoyage ethnique, un an plus tard, en septembre 1939 il a envahi la Pologne pour sauver du génocide les Allemands vivant dans les régions frontalières de la Pologne , par conséquent nous pouvons clairement voir la justification que Herr Goebbels aurait présentée en faveur d’une attaque d’Israël – cela aurait été de sauver les Palestiniens.
Poutine est maintenant engagé dans un pas de deux avec une façade de l’oligarchie Sioniste, sous la forme de Donald Trump. De son beau fils
Trump – un agent de la Russie ou d’Israël ?
En octobre de l’année dernière, on a découvert que la banque Alfa de Fridman avait communiqué en secret avec l’organisation Trump par l’intermédiaire de courriels dissimulés.
Quelle que soit la vérité à propos des liens présumés entre l’organisation de Donald Trump et l’entreprise financière Russe de la banque Alfa, la véritable surprise a été que le nom d’Alfa ait mis aussi longtemps à émerger dans les plus gros ragots mondiaux de 2016.
Lundi, Slate a publié une histoire sur des communications entre un serveur hébergeant les adresses du domaine de l’Organisation Trump et un serveur de la banque Alfa. La société de cybersécurité Mandiant, une filiale de FireEye Inc. (FEYE, -0.23%), a affirmé qu’il n’y avait pas de preuve concluante « d’un contact substantiel » entre les deux, selon The Guardian. Mais même s’il y en avait, la banque Alfa serait un étrange intermédiaire pour un trafic illicite entre Trump et son dirigeant étranger favori.
Je ne suis pas d'accord avec certaines affirmations ou suppositions de Gordon Duff. Nous avons dans nos eincarnations un rôle de gentil ou de méchant, mais devons nous respecter.
Page était-il le messager douteux entre le Kremlin et la Tour Trump , ou n’était-il qu’un minable intermédiaire pas si reluisant essayant de profiter du flou existant entre ce que disait Trump – il est mon conseiller – et ce que disaient ses associés – « Qui ? ». Peut-être que je me trompe ou que tout le monde m’a menti, mais il était difficile de ne pas parvenir à la conclusion que, quel que soit le jeu des Russes, Page était certainement dans leur camp.
Trump est un Lénine moderne – un personnage public très connu choisi pour servir de façade à la cabale criminelle Sioniste.
Israël et l’Holocauste
L’Israël moderne est un état policier totalitaire Sioniste, très similaire à celui que Trotsky avait créé en Russie.
L’opération Tempête du Désert* était destinée à détruire potentiellement TOUTE enquête sur l’empire qui avait été bâti et avait pris le contrôle du Congrès, de la Cour Suprême et qui a continuellement manipulé les évènements afin de dominer tout le cycle de l’information et d’étouffer tout journaliste d’investigation, tout lanceur d’alerte et toute initiative importante lancée contre eux. A cette fin, ils ont pris le contrôle de tous les récits et reportages jusqu’à leur domination, le tout culminant dans Wikileaks, que le fait de l’appeler une « façade de la CIA » est la simplification outrancière ultime.
*17 janvier 1991. Opération Tempête du désert
Le 17 janvier 1991 débute l'opération « Tempête du désert ». Une coalition internationale attaque l'Irak de Saddam Hussein, coupable d'avoir annexé l'émirat du Koweit.
L’histoire de cette entreprise commence avec la Fondation Ford en 1947, qui a eu pour mission de créer un faux récit historique de la Deuxième Guerre Mondiale ;
- Cela a commencé par la prise de contrôle de tous les livres d’histoire et le financement d’organisations d’études internationales dans chaque université, qu’elles soient Ford ou Rockefeller.
- Au cours des dix années suivantes, les universités Américaines, gonflées d’émigrés sélectionnés par l’opération Paperclip*, provenant de Russie, de l’Europe de l’Est et des Balkans – ont infiltrés par des chaires d’université factices, la France et le Canada.
* « Operation Paperclip » : des V2 à la Lune
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’état-major des États-Unis met en place l’opération Paperclip à l’insu du Président Roosevelt. En quelques années, près de 1500 scientifiques nazis sont exfiltrés et recrutés pour lutter contre l’URSS communiste. Ils poursuivent notamment des recherches sur les armes chimiques, sur l’usage des psychotropes dans la torture, et sur la conquête spatiale. Loin de les affecter à des postes subalternes, le Pentagone leur confie la direction de ces programmes qu’ils marquent de leur empreinte idéologique.
- En combinaison avec cela, il y avait un programme public de la CIA sur chaque campus Américain, par exemple l’Université d’état du Michigan à East Lansing qui a élaboré l’état policier de Diem au Vietnam ou la faculté d’histoire qui a dirigé les opérations de la CIA dans toute l’Afrique et le Moyen-Orient ; une énorme organisation parallèle a été créée à travers l’USAID et le BBG (Conseil des Gouverneurs pour la Communication ) qui ont bénéficié d’énormes financements occultes du temps de la Guerre Froide.

Envois et traduction de Patrick T.
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Effondrement de l’Union Soviétique:
«Bibi» Netanyahou est le dirigeant opérationnel de la Mafia khazar et possède un long passé d’agent du KGB avant l’effondrement de l’Union Soviétique.
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Tout ceci ne tient pas compte que Poutine profite de l'aide d'extraterrestres...