*+20/12 - LE MAÎTRE ASCENSIONNÉ SAINT-GERMAIN,
ALCHIMISTE DE L'ÂME.
St.Germain - Maître Ascensionné de la Divine Alchimie
L'âme de Saint Germain a joué des rôles brillants sur la scène de la vie pendant des centaines de milliers d'années. Aujourd'hui Saint Germain est l'avatar de l'aube de l'Age du Verseau. Son point fort est le recyclage de tout ce qui lie et entrave la pleine expression de l'âme en lumière libératrice - une alchimie que n'importe qui peut apprendre. C'est l'alchimie du pardon. Il est le Seigneur du Septième Rayon, le rayon violet dont émane la liberté, l'alchimie, la transmutation, la justice et la miséricorde.
Saint Germain a connu un certain nombre de réalisations notables et une longue histoire au service de l'homme et de Dieu. Quelques-unes de ces vies ont inclus des personnages historiques célèbres tels que le prophète Samuel, Saint Joseph (père de Jésus), Christophe Colomb, Roger Bacon, Francis Bacon, et le comte de Saint-Germain, qui était connu comme le «Gentilhomme de l'Europe». Chaque vie bâtit sur la maîtrise et la préparation de Saint Germain pour son rôle actuel de hiérarque de l'âge du Cristal d'Or du Verseau.
Hannah, la mère de Samuel, était la deuxième épouse d'Elkanah. Pendant de nombreuses années, Hannah n'a pas eu d'enfants. Quand Hannah et Elkanah sont allés au temple pour faire des sacrifices et prier, Hannah a supplié Dieu de lui permettre d'avoir un enfant. Être stérile en ces jours était une source de honte pour les femmes et était considéré comme une indication que l'on n'avait pas les faveurs de Dieu.
Un prêtre nommé Eli vit Hannah prier et a réalisé sa situation. Il la bénit et l'assura que Dieu avait entendu ses prières. Un an plus tard, elle a donné naissance à Samuel. Et, comme elle l'avait promis, elle amena Samuel à Eli comme jeune enfant au service du temple.
Le temps de transition du prophète Eli était proche. Alors Dieu parla au jeune Samuel, l'appelant à être le prochain prophète d'Israël. Et Samuel accepta cette œuvre sainte, voyageant dans tout Israël, exhortant les diverses tribus à travailler ensemble et à cesser d'adorer des idoles.
Les tribus voulaient qu'un roi régnât sur eux. Ils demandèrent à Samuel de nommer celui qui serait leur chef. Dieu avait déjà dit à Samuel que les tribus désirant un roi le regretteraient, car leur roi prendrait leurs terres et leurs biens et les conduirait à la guerre. Ils ne connaîtraient que l'oppression.
En entendant ce message, ces gens ont fait la sourde oreille aux avertissements du prophète. Ils choisirent un homme nommé Saul. Malheureusement, Saül était à la hauteur de l'avertissement de Dieu et il y eu beaucoup de souffrance sur cette terre. En réponse, Samuel oint en secret David comme vrai roi d'Israël. Un conflit entre Saul et David a dominé le reste de la vie de Samuel. L'onction par Samuel de David a démarré la monarchie biblique qui a formé la lignée de Jésus-Christ.
En plus de ce qui est couramment connu de saint Joseph à partir des récits du Nouveau Testament, l'information dans les écrits apocryphes et les révélations plus récentes complètent quelques détails. Par exemple, Joseph et Marie n'ont pas mis au monde seulement le Sauveur Jésus, mais six autres enfants, hommes et femmes. Contrairement aux représentations traditionnelles, Joseph n'était pas seulement un charpentier, mais un artisan du travail de la pierre et un adepte des arts spirituels. La famille vivait au sein d'une communauté dévote, les Esséniens, dont les croyances comprenaient l'unité de toute vie, que Dieu habitait dans chaque âme et dans sa création, et que l'effort et la pureté de notre existance étaient le chemin du cœur de Dieu.
Joseph, comme Marie et Jésus, communiait avec les anges. C'était la foi de Joseph dans ses propres rêves prophétiques qui s'avéraient essentiels à son rôle de gardien de cette très sainte famille. Dès le début de la rencontre de Marie et de Joseph, les anges sont intervenus. C'était un ange qui apparut à Joseph dans un rêve pour le rassurer qu'il épouserait Marie bien qu'elle était beaucoup plus jeune que lui. Après la naissance de Jésus, un ange semblait avertir Joseph que Hérode cherchait la vie du nouveau-né. La famille s'est mise en sécurité dans la ville de Galilée, où Jésus a grandi jusqu'à à l'âge adulte et s'est glorifié dans sa mission de vie. Joseph fit sa transition avant que Jésus n'entre dans la plénitude de son enseignement et de son ministère de guérison. Mais Joseph avait accompli son vœu intérieur de protéger Marie et de nourrir et d'instruire le Christ en Jésus.
Roger Bacon est né à Somerset, en Angleterre en 1214. Bacon a poursuivi une vie comme érudit et s'est engagé dans des études académiques et théologiques pendant des décennies. Il est devenu professeur à Oxford, spécialisé en philosophie. Finalement il devint frère de l'Ordre franciscain, mais cela l'empêcha de tenir un poste d'enseignant. Ses activités furent encore limitées par un statut franciscain en 1260 interdisant aux frères de publier des livres ou des brochures sans approbation spécifique.
L'amitié de Bacon avec le cardinal Guy le Gros de Foulques, devenu le pape Clément IV, s'est révélée fortuite. Le nouveau Pape émit un mandat ordonnant à Bacon de publier pour lui des écrits sur la place de la philosophie dans la théologie. Ainsi, Bacon a envoyé au pape son Opus Majus, qui a présenté ses vues sur la manière dont la philosophie et la science pourraient être incorporées dans la théologie. Roger Bacon a également écrit d'autres travaux sur l'alchimie et l'astrologie.
Pendant sa vie prolifique, Bacon a effectué de nombreuses expériences scientifiques et documenté son travail pour la postérité. Ces expériences sont considérées comme les premiers exemples de la vraie science expérimentale, plusieurs centaines d'années avant l'ascension officielle de la science en Occident.
Christophe Colomb, découvreur du Nouveau Monde
Christophe Colomb est né en 1451 à Gênes, en Italie. À l'âge de 22 ans, il commença un apprentissage comme agent d'affaires pour trois familles importantes: les familles Centurione, Di Negro et Spinola de Gênes. Les pays d'Europe commerçaient alors avec la Chine et l'Inde, mais avec la chute de Constantinople tombée aux mains des Turcs Ottomansen 1453, cette route est devenue dangereuse. En réponse à cela, Christophe Colomb avec son frère Bartolomeo a développé un plan pour voyager vers les Indes en naviguant vers l'ouest à travers l'Atlantique.
Après avoir continué à faire pression sur la cour espagnole pendant deux ans, Columbus a finalement fait route pour la reine Isabelle de Castille en 1492. Columbus est parti de Palos de la Frontera avec trois navires - La Santa María, la Pinta et la Niña. La croyance de Colomb selon laquelle il y aurait une route vers l'ouest par l'Océan Atlantique vers les Indes, si elle était réalisée, permettrait à l'Espagne, ayant un besoin urgent de fonds, d'entrer dans le commerce des épices profitable. Avec le recul, nous nous rendons compte que la découverte de Colomb ouvre la voie à la construction d'une nouvelle nation fondée sur les principes de l'égalité et de la liberté religieuse.
Francis Bacon est né le 22 Janvier 1561. Les biographes croient que Bacon a été éduqué chez lui dans ses premières années en raison de sa mauvaise santé. A 12 ans, il entre au Trinity College de Cambridge, où il passe 3 ans avec son frère Antoine. Francis Bacon a étudié principalement le latin et le cursus médiéval commun à l'époque.
Pendant les 3 années qui suivirent, François voyagea beaucoup, en visitant Blois, Poitiers, Tours, l'Italie et l'Espagne. Ses trois objectifs étaient de découvrir la vérité, de servir son pays et de servir son église. Sous le règne de Jacques I, Francis Bacon traduisit la version King James de la Bible. Un nombre croissant d'érudits croient aussi qu'il travaillait secrètement avec un groupe de quelques-uns des meilleurs poètes et écrivains d'Angleterre, créant les pièces maintenant créditées à William Shakespeare. Peut-être la plus acceptée et célèbre des œuvres littéraires de Bacon est "La Nouvelle Atlantide".
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Au début de l’histoire, cinquante et un voyageurs chrétiens partent du Pérou pour aller vers la Chine et le Japon. Mais ils se retrouvent pris au milieu de vents défavorables et les vivres commencent à manquer. Ils se préparent à mourir et prient pour que leur apparaisse une terre. C’est alors qu’ils parviennent à une île inconnue perdue dans les mers du Sud. Ils entrent dans le port d’une petite ville et sont mis en quarantaine par la population. Puis ils obtiennent le droit de descendre de bateau, car ils sont chrétiens. Ils sont conduits à la Maison des Étrangers. Leurs dix-sept malades sont vite rétablis grâce à la médecine locale. L’Intendant leur raconte l’histoire de l’île. Le narrateur assiste ensuite à une Fête de la Famille. Les habitants sont chrétiens, mais il y a aussi des juifs, comme Joabin, qui lui parle des coutumes familiales. Il assiste à la venue en ville de l’un des Pères de la Maison de Salomon, qui le reçoit et lui parle de leur organisation collective de la recherche.
Les travaux de Francis Bacon ont popularisé la méthode inductive de l'enquête scientifique. Sa demande d'une procédure d'enquête planifiée a établi l'approche de la recherche scientifique encore en usage aujourd'hui. Chevalier en 1603, on lui donna le titre de baron en 1618 et le vicomte en 1621. Il est reconnu comme l'un des plus grands philosophes, hommes d'État, scientifiques et auteurs de l'Angleterre.
Le merveilleux de l'Europe
Après avoir fait son ascension, Saint-Germain reçut une dispensation inhabituelle. Les Seigneurs du Karma lui ont permis de revenir sur Terre.
Devenu Comte Saint-Germain de la maison de Rakoczy, il a essayé d'empêcherla Révolution française et de former des Etats-Unis d'Europe.
En se liant avec la royauté européenne, il espérait les guider dans des alliances positives, créant un États-Unis d'Europe. Mais ses conseils et ses avertissements ont échoué.
Devenu Comte Saint-Germain de la maison de Rakoczy, il a essayé d'empêcher
En se liant avec la royauté européenne, il espérait les guider dans des alliances positives, créant un États-Unis d'Europe. Mais ses conseils et ses avertissements ont échoué.
Il n'a pas épargné aucune peine pour attirer l'attention de ceux qui étaient au pouvoir, afin qu'ils se défassent de leurs défauts, créant des vers et les écrivant avec les deux mains en même temps, les divertissant avec son grand talent musical, son esprit et son humour et sa capacité à parler de façon experte sur n'importe quel sujet. Ils ont apprécié le spectacle, mais ils ont rejeté ses paroles prophétiques. La présence du comte Saint-Germain à la cour pendant cette longue période - plus de 100 ans - est consignée dans les journaux et les correspondances de plusieurs monarques et de plusieurs membres de leurs tribunaux.
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Madame Blavatsky, Kuthumi, El Morya & Saint Germain |
Madame Blavatsky
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Film Jésus Roi des rois Seigneur des seigneurs. Durée: 6 heures
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Vous avez plus d'informations à son sujet ici :
Lords of the Seven Rays (Les Seigneurs des Sept Rayons)
par Mark L. Prophet et Elizabeth Clare Prophet
Copyright © 1997 The Summit Lighthouse®. Tous droits réservés.
Saint-Germain
Ses vies et ses œuvres à travers les âges.
Cet article est un extrait deLords of the Seven Rays (Les Seigneurs des Sept Rayons)
par Mark L. Prophet et Elizabeth Clare Prophet
Copyright © 1997 The Summit Lighthouse®. Tous droits réservés.
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![]() Il y a plus de 50.000 ans, une civilisation florissait dans une contrée fertile dotée d'un climat semitropical, là où se trouve aujourd'hui le désert du Sahara; il y régnait une grande paix, la joie et la prospérité, et elle était dirigée par ce même Saint-Germain. La majorité de ses sujets avaient conservé l'usage complet et conscient de la sagesse et du pouvoir de Dieu. Ils possédaient des dons qui sembleraient aujourd'hui surhumains ou miraculeux. Ils se savaient les extensions du Soleil Central — des Courants de Vie issus de la Grande Roue du cosmos de l'Esprit/Matière. Car leur sage monarque avait inscrit à leur intention dans une grande murale au centre de la capitale, «la Ville du Soleil», leur histoire cosmique — à savoir qu'ils ne devaient pas oublier la Source d'où ils étaient venus ni leur raison d'être: devenir des centres solaires dans cette distante galaxie qu'ils appelaient maintenant leur chez-soi, des extensions de la Loi de l'Unique. Car ils faisaient partie d'un univers en expansion. Et leur sens de la ‹co-mesure› avec l'Unique maintenait en eux une connaissance constante du JE SUIS CELUI QUE JE SUIS. Saint-Germain était un maître de la sagesse ancienne et de la connaissance des Sphères matérielles. Il gouvernait par la Lumière tous les aspects de la vie; son empire atteignit des sommets de beauté, de symétrie et de perfection inégalés dans l'octave physique. En vérité, les schèmes célestes se manifestaient dans le calice de cristal de la terre. Et la vie élémentale servait afin de maintenir la pureté des quadrants de la Matière. Les gens considéraient leur hiérarque comme la plus haute expression de Dieu, celle qu'ils désiraient imiter, et ils avaient un grand amour pour sa présence. Il était l'incarnation de l'archétype du Christ universel pour cette dispensation — celui qu'ils pouvaient considérer comme le standard de leur propre Divinité émergente. Guy W. Ballard**, sous le nom de plume de Godfre Ray King, a relaté dans Unveiled Mysteries (Mystères dévoilés) un voyage de l'âme durant lequel Saint-Germain le dirigea à travers les registres akashiques de cette civilisation et de son déclin. Saint-Germain lui expliqua comment «à l'instar de tous les âges passés, il y eut une portion des gens qui s'intéressaient davantage aux plaisirs passagers des sens qu'au plan créateur supérieur du Grand Moi Divin. Cela provoqua chez eux la perte de la conscience du Pouvoir Divin, à travers le pays entier, jusqu'à ce qu'elle ne soit plus présente qu'à peine chez quelques individus en dehors de la capitale elle-même. Ceux qui gouvernaient constatèrent qu'ils devaient se retirer et laisser les gens apprendre à travers les dures expériences que toute leur joie et le bien provenaient de l'adoration du Dieu intérieur et qu'ils devaient revenir vers la Lumière s'ils voulaient être heureux.» Ainsi, le souverain (représentant incarné de la hiérarchie spirituelle de la terre sousSanat Kumara) reçut l'ordre d'un conseil cosmique de se retirer de son empire et de son peuple bien-aimé; désormais, leur karma serait leur Gourou et leur Législateur, et le libre arbitre déterminerait quel héritage de Lumière, s'il y en avait, ils allaient conserver. Selon le plan, le roi tint un grand banquet dans la Salle des Joyaux de son palais, en compagnie de ses conseillers et de ses fonctionnaires. Après le dîner, qui avait été entièrement précipité, un gobelet de cristal rempli de «pure essence électronique» apparut à la droite de chacun des 576 invités. C'était la coupe de communion de Saint-Germain qui, avec le manteau et le sceptre des anciens rois-prêtres, donna sa propre essence de Lumière à ceux qui avaient fidèlement servi le royaume à la gloire de Dieu. Tandis qu'ils buvaient «à la Flamme du Vivant Très-Haut», ils surent qu'ils ne pourraient jamais oublier complètement l'étincelle divine du Moi Divin intérieur. Cette protection de l'âme, qui leur fut accordée par le cœur éternellement reconnaissant de Saint-Germain, serait entretenue à travers les siècles jusqu'à ce que, une fois de plus, ils se retrouvent dans une civilisation où les cycles cosmiques auraient tourné et où ils recevraient la pleine connaissance pour atteindre à l'Union Divine — cette fois pour ne plus sortir de la Ville Dorée du Soleil. Alors, un Maître cosmique sortit du Grand Silence et parla. Son message fut diffusé à partir de la salle de banquet à tout le royaume. L'être resplendissant, qui s'identifia seulement par le mot Victoire écrit sur son front, donna l'avertissement de la crise qui allait venir, réprimanda les gens pour leur ingratitude et leurs manquements envers leur Grande Source Divine, et leur rappela le commandement ancien d'obéir à la Loi de l'Unique — l'Amour. Ensuite, il leur donna la prophétie suivante au sujet de leur karma: «Un prince en visite approche de vos frontières. Il entrera dans cette ville cherchant la fille de votre roi. Vous tomberez sous la férule de ce prince mais la reconnaissance de votre erreur sera inutile. Mais il ne pourra rien faire, car la famille royale sera mise sous la protection et les bons soins de ceux dont le pouvoir et l'autorité viennent de Dieu et contre lesquels aucun désir humain ne peut jamais prévaloir. Ce sont les Maîtres Ascensionnés de Lumière de la cité d'or éthérique située au-dessus de ce pays. C'est ici que votre souverain et ses enfants bien-aimés demeureront pour un cycle.» Le roi et ses enfants se retirèrent sept jours plus tard. Le prince arriva le jour suivant et prit le pouvoir sans opposition. À mesure que nous étudierons l'histoire du ‹courant de vie› de Saint-Germain, nous verrons que le Maître et sa voie vers la Maîtrise Divine ont été d'innombrables fois rejetés par ceux-là même qu'il essayait d'aider; et cela en dépit du fait que ses dons de Lumière, de Vie et d'Amour — fruits de sa réalisation donnés gratuitement — ses exploits alchimiques, son élixir de jeunesse, ses inventions et ses pronostics aient été reçus d'emblée. Le but de ses incarnations qui s'étendent de la civilisation de l'âge d'or du Sahara jusqu'à l'heure finale de sa vie en tant que Francis Bacon fut toujours de libérer les enfants de la Lumière, en particulier ceux qui, par leur insouciance à maîtriser le maniement des ardents principes de la Loi, avaient été laissés en proie à leurs propres imbroglios karmiques — et les vices auxquels ils étaient souvent enchaînés. Son but était de voir se réaliser la prière qu'il avait offerte durant le banquet final de son règne : S'ils doivent passer par l'expérience qui consume et brûle la tunique et les nuages du moi extérieur, alors, supporte-les et amène-les à Ta Perfection Éternelle — ô Toi, Suprême Dieu Tout-Puissant. Grand prêtre en Atlantide À titre de Grand Prêtre du Temple de la Flamme Violette sur le continent de l'Atlantide, il y a de cela 12 000 ans, Saint-Germain soutint par ses invocations et son corps causal un pilier de feu, une fontaine de flamme violette chantante qui magnétisa les gens de près et de loin pour les libérer de toute condition de servitude du corps, de l'esprit et de l'âme. Ils y arrivaient par l'offrande d'invocations, en résultat d'un effort personnel, ainsi que par la pratique des rituels du Septième Rayon du feu sacré. Une rampe circulaire finement ouvragée entourait le lieu saint où les fidèles s'agenouillaient en adoration de la Flamme Divine — visible pour certains comme une flamme violette physique, pour d'autres comme une lumière ‹ultraviolette›, et pour d'autres pas du tout, bien que les puissantes vibrations de guérison fussent indéniables. Le temple était construit de marbre magnifique aux teintes allant du blanc brillant veiné de rayures violettes et pourpre à des tons plus sombres du spectre du Septième Rayon. La partie centrale du temple était constituée d'un grand hall circulaire jalonné de marbre d'un violet de glace ornant un riche plancher de marbre pourpre. D'une hauteur de trois étages, il était situé au milieu d'un complexe d'aires adjacentes réservées au culte et aux différentes fonctions des prêtres et prêtresses qui s'occupaient de la Flamme et faisaient office de médiateurs pour la voix de la Lumière et de la Prophétie auprès du peuple. Ceux qui célébraient à cet autel avaient été instruits à la prêtrise universelle de L'Ordre de Melchisédek à la retraite du Seigneur Zadkiel, le Temple de la Purification, quelque part dans les Indes Occidentales. Malgré les hauts et les bas des âges qui ont suivi, Saint-Germain a ingénieusement utilisé le ‹momentum› du Septième Rayon de son corps causal pour assurer la liberté aux gardiens de la flamme qui ont conservé brûlants les ‹charbons› de l'autel de la flamme violette de son temple atlantéen. Il a loué et exemplifié la liberté de l'intellect et de l'esprit. Dotant les quatre libertés sacrées d'une identité qui leur est propre, il fut le champion de notre liberté contre les interférences de la part de l'état, les ‹cours kangourous› ou le ridicule populaire dans des domaines allant de l'investigation scientifique aux arts de la guérison et à la quête spirituelle. Adoptant la tribune des droits humains fondamentaux pour un public responsable et apte à raisonner, éduqué selon les principes de liberté et d'égale opportunité pour tous, il nous a toujours enseigné à épouser notre droit divin inaliénable de vivre notre vie selon notre plus haute conception de Dieu. Car le Maître a dit qu'aucun droit, si simple ou élémentaire soit-il, ne peut être longtemps garanti sans être étayé par les grâces spirituelles et la Loi divine qui instille une droiture compatissante dans son application. Le prophète Samuel Retournant sur la scène du karma de son peuple en tant que Samuel, prophète du SEIGNEUR et juge des douze tribus d'Israël, (c. 1050 av. JC), Saint-Germain fut le messager de l'affranchissement divin de la descendance d'Abraham de la servitude imposée par les prêtres corrompus et les philistins par lesquels ils avaient été défaits. Portant dans son cœur le signe spécial de la rose de Sirius, Samuel livra aux israélites récalcitrants une prophétie parallèle à ses discours du XXe siècle, les deux étant reliés de façon inextricable aux alliances divines concernant le karma, le libre choix et la grâce: «Si vous voulez retourner au SEIGNEUR de tout votre cœur, mettez de côté les dieux étrangers et Astaroth, et préparez vos cœurs pour le SEIGNEUR et ne servez que lui: et il vous délivrera de la main des philistins.» Après, lorsque le roi Saul désobéit à Dieu, Samuel délivra de peuple de sa tyrannie en oignant David comme roi. Fidèle à la prophétie qui couvre ses incarnations, Saint-Germain fut saint Joseph, de la lignée de David, fils de Jessé, vaisseau choisi du Saint-Esprit, père de Jésus en réalisation de la parole du SEIGNEUR à Isaïe — «Il sortira une baguette de la lignée de Jessé, et une Branche poussera à partir de ses racines....» Nous voyons, alors, que dans chacune des incarnations de Saint-Germain on trouve présente une qualité d'alchimie — la présence d'un pouvoir divin. Ainsi décrété comme instrument du SEIGNEUR, Samuel transféra Son feu sacré en oignant David et, de façon tout aussi scientifique, il le retira du roi Saul lorsque le SEIGNEUR le rejeta comme roi d'Israël. Ce signe impossible à ne pas reconnaître de l'adepte du Septième Rayon, à l'apparence souvent humble, était également présent dans sa vie comme saint Alban, premier martyr des Îles Britanniques, en tant que pouvoir du Saint-Esprit de convertir les âmes et de contrôler les forces naturelles. Alban, soldat romain Soldat romain, Alban cacha un prêtre fugitif, fut converti par lui, puis condamné à mort pour d'être déguisé comme le prêtre et lui avoir permis de s'échapper. Une grande foule s'amassa pour assister à l'exécution — une foule trop importante pour pouvoir passer le pont étroit qu'il fallait traverser. Alban pria et la rivière se sépara — de telle sorte que son bourreau, converti, demanda de mourir à la place d'Alban. Sa requête fut refusée et il fut décapité le jour même en compagnie du saint. Maître des Néoplatoniciens Mais, Saint-Germain ne fut pas toujours compté parmi les rangs de l'Église. Il combattit la tyrannie partout où il la trouva, incluant les fausses doctrines chrétiennes. Maître enseignant derrière les néoplatoniciens, Saint-Germain fut l'inspiration intérieure de Proclus (c. 410-485 av. J-C). Il révéla à son élève sa vie précédente comme philosophe pythagoricien, révéla également à Proclus la comédie du christianisme de Constantin et la valeur du sentier de l'individualisme (conduisant à l'individualisation de la Flamme divine) que les chrétiens appelaient du «paganisme». En tant que directeur très honoré de l'Académie de Platon à Athènes, Proclus faisait reposer sa philosophie sur le principe qu'il n'y a qu'une seule réalité — «l'Unique», qui est Dieu, ou la Divinité, le but ultime de tous les efforts d'une vie. Le philosophe disait: «Derrière tous les corps se trouve l'essence de l'âme, et derrière toutes les âmes se trouve la nature intellectuelle, et derrière toutes les existences intellectuelles, l'Unique.» À travers ses incarnations, Saint-Germain fit preuve de la formidable étendue de sa connaissance de l'esprit de Dieu; la vaste connaissance de son élève ne surprend donc pas. Ses écrits couvrent presque tous les domaines d'apprentissage. Proclus reconnut que son illumination et sa philosophie venaient d'en-haut — il se croyait en effet quelqu'un par lequel la révélation divine parvenait à l'humanité. «Il n'était pas dénué d'inspiration divine», écrivait son disciple Marinus, «car il a proféré par sa bouche sage des paroles semblables à de la neige épaisse, de telle sorte que ses yeux émettaient une radiance brillante, et le reste de son visage reflétait l'illumination divine.» Ainsi, c'était Saint-Germain, en robe blanche, ses escarpins et sa ceinture émettant le feu d'étoiles de mondes lointains, ce Maître mystérieux qui souriait juste derrière le voile — faisant miroiter les images de son esprit dans l'âme du dernier des grands philosophes néoplatoniciens. Merlin Saint-Germain était Merlin. La figure inoubliable mais en quelque sorte irrécupérable qui hante les brumes de l'Angleterre, prête à surgir à tout moment pour nous offrir un gobelet d'élixir pétillant. Saint Germain était Merlin. Lui, le «vieil homme» qui connaît les secrets de la jeunesse et de l'alchimie, qui traçait les étoiles à Stonehenge et déplaçait une pierre ou deux, disait-on, par ses pouvoirs magiques — qui n'étonnerait personne s'il apparaissait soudainement sur une scène à Broadway, ou dans les forêts de la Yellowstone, ou aux côtés de quelqu'un sur n'importe quelle grand-route. Car Saint-Germain est Merlin. Voilà que Merlin fait son entrée le 1er janvier 1987, avec sa prophétie finale aux héros, chevaliers, dames, sots et scélérats de la cour de Camelot de l'Ère du Verseau. Merlin, ce cher Merlin, ne nous a jamais quittés — son esprit charme les époques, nous fait nous sentir aussi rares et uniques que le sont ses atours de diamants et d'améthyste. Merlin est la Présence irremplaçable, un vortex vrombissant dont la science, les légendes et le funeste roman d'amour s'entrelacent avec la civilisation occidentale. On était au Ve siècle. À travers le chaos laissé par la lente agonie de l'empire romain, un roi se leva afin d'unir une contrée divisée par des chefs en guerre et ravagée par les invasions saxonnes. À ses côtés se tenait le vieil homme lui-même — à moitié prêtre druide, à moitié saint chrétien, devin, magicien, conseiller et ami, qui dirigea le roi à travers douze batailles pour unir un royaume et établir une fenêtre de paix. À un certain moment, l'esprit de Merlin entra dans une catharsis. La légende raconte que la scène en était une de violence féroce. Comme il assistait au carnage, une colère s'empara de lui — alors qu'il voyait d'un seul coup passé, présent et futur — une vision si particulière à la lignée des prophètes. Il s'enfuit dans la forêt pour y vivre comme un sauvage, et un jour, il s'assit sous un arbre et commença à prédire sur l'avenir du Pays de Galles. «J'étais sorti de ma vraie personne», disait-il, «j'étais comme un esprit et je connaissais l'histoire des gens dans leur passé lointain et je pouvais prédire l'avenir. Je connaissais les secrets de la nature, le vol des oiseaux, le déplacement des étoiles et la façon dont les poissons se meuvent.» Ses paroles prophétiques et ses pouvoirs «magiques» ne servaient qu'à une chose: faire un royaume uni des vieilles tribus bretonnes. Son esprit pénétrant est célébré dans un vieux nom celte pour la Bretagne, «Clas Myrddin», qui veut dire «l'enceinte de Merlin». En conseillant et apportant son aide à Arthur pour l'établissement de son régime monarchique, Merlin chercha à faire de la Bretagne une forteresse contre l'ignorance et la superstition où la réalisation christique pourrait fleurir et la dévotion envers l'Unique prospérer par la quête du Saint-Graal. Ses efforts sur ce territoire devaient porter fruit durant le XIXe siècle alors que les Îles Britanniques devinrent l'endroit où l'initiative personnelle et l'industrie allaient prospérer comme jamais auparavant en douze mille ans. Mais au moment même où Camelot, la rose de l'Angleterre, bourgeonnait et s'épanouissait, la belladone s'enroulait autour de ses racines. La sorcellerie, l'intrique et les actes de déloyauté détruisirent Camelot, et non l'amour de Lancelot et de Guinevère comme le suggère la description misogyne de Tom Malory. Hélas, le mythe qu'il a semé a masqué les vrais coupables durant ces longs siècles. Ce fut Mordred, le fils bâtard du roi, avec sa demi-sœur Margawse qui, avec Morgana le Fay et un cercle de sorcières et de chevaliers noirs, avaient entrepris de voler la couronne, d'emprisonner la reine, et de détruire pour un temps les liens d'un Amour tel que ceux-ci (du sentier de gauche) n'avaient jamais connu ni ne pouvaient connaître — une Réalité que tous leurs désirs, leurs batailles et leurs enchantements ne pouvaient toucher. Ainsi, ce fut avec un cœur lourd et l'esprit d'un prophète qui avait eu des visions de tragédie et de désolation, de joies éphémères et l'angoisse aiguë de la rétribution karmique se jouant sans fin, que Merlin entra dans la scène de son propre dénouement, pour être enchaîné par les sortilèges de ses propres dires par le stupide, le rusé Vivien — et de s'endormir. Oui, se tromper est humain, mais se languir pour la flamme jumelle qui n'est pas là est le lot de bien des chevaliers et rois errants ou d'un prophète solitaire qui aurait peut-être fait mieux de disparaître dans la nuit plutôt que de souffrir l'ignominie pour son peuple. Roger Bacon Certains disent qu'il dort encore, mais ils sous-estiment grossièrement l'esprit résilient du sage qui rebondit, cette fois dans l'Angleterre du XIIIe siècle, déguisé en Roger Bacon (c. 1214-1294). Et voici Merlin de nouveau — scientifique, philosophe, moine, alchimiste et prophète — continuant sa mission d'établir les assises scientifiques de l'Ère du Verseau que son âme allait parrainer un jour. Le programme de cette vie fut d'être la voix criant dans le désert intellectuel et scientifique qu'était la Grande-Bretagne médiévale. À une époque où la théologie, ou la logique, ou les deux dictaient les paramètres de la science, il promouvait la méthode expérimentale, déclarait sa croyance que la terre était ronde et fustigeait les érudits et les scientifiques de son temps pour leur étroitesse d'esprit. Ainsi, il est considéré comme le précurseur de la science moderne. Mais il fut également un prophète de la technologie moderne. Bien qu'il soit peu probable qu'il ait mené les expériences pour déterminer la possibilité des inventions suivantes, il a prédit le ballon à air chaud, une machine volante, les spectacles, le télescope, l'ascenseur ainsi que les bateaux et les carrosses propulsés de façon mécanique, et il a écrit à leur sujet comme s'il les avait réellement vus! Bacon fut également le premier occidental à écrire les indications exactes pour faire de la poudre à canon, mais garda la formule secrète de peur qu'elle ne fût utilisée pour nuire à quelqu'un. Pas étonnant que les gens aient pensé qu'il était magicien ! Cependant, tout comme Saint-Germain nous dit aujourd'hui dans ses Études d'Alchimie(Studies in Alchemy) que les «miracles» se font par l'application précise des lois universelles, ainsi Roger Bacon voulait-il démontrer par ses prophéties que les machines volantes et autres appareils magiques étaient des produits issus de l'utilisation de la loi naturelle que les hommes découvriraient le temps venu. D'où Bacon croyait-il tirer son étonnante conscience? «La vraie connaissance ne provient pas de l'autorité des autres, ni d'une allégeance aveugle à des dogmes dépassés», disait-il. Deux de ses biographes écrivent qu'il croyait que la connaissance «est une expérience hautement personnelle — une lumière qui est communiquée uniquement à la plus grande intimité de l'individu par les canaux impartiaux de toute connaissance et de toute pensée.» Et alors, Bacon, qui avait été conférencier à Oxford et à l'Université de Paris, décida de se séparer, lui et ses pensées, des résidents prétentieux et postulants de l'académie. Il chercherait et trouverait sa science dans sa religion. Entrant dans L'Ordre franciscain des Frères mineurs, il dit: «Je vais mener mes expériences sur les forces magnétiques du lodestone au même sanctuaire où mon collègue scientifique saint François a mené ses expériences sur les forces magnétiques de l'amour.» Mais les vues du monde scientifique et philosophique du frère, ses virulentes attaques contre les théologiens de son temps et ses études de l'alchimie, de l'astrologie et de la magie amenèrent sur lui des accusations «d'hérésies et de gadgets» pour lesquelles il fut emprisonné en 1278 par ses confrères franciscains! Ils le confinèrent en solitaire durant quatorze années, ne le libérant qu'un court laps de temps juste avant sa mort. Bien que l'horloge de sa vie se soit arrêtée, son corps brisé, il savait que ses efforts ne seraient pas sans impact sur l'avenir. La prophétie suivante qu'il a faite à ses étudiants démontre la grandeur des idéaux révolutionnaires de l'esprit indomptable de cette flamme vivante de liberté — le porte-parole immortel de nos libertés scientifiques, religieuses et politiques : Je crois que l'humanité acceptera comme axiome de sa conduite le principe pour lequel j'ai consacré ma vie — le droit de faire des recherches. C'est le credo des hommes libres — cette opportunité d'essayer, ce privilège de se tromper, ce courage d'expérimenter de nouveau. Nous, les scientifiques de l'humain, allons expérimenter, expérimenter, toujours expérimenter. À travers des siècles d'erreurs, à travers les agonies de la recherche... expérimentons avec les lois et les coutumes, avec les systèmes monétaires et les gouvernements, jusqu'à ce que nous tracions la seule vraie course — jusqu'à ce que nous trouvions notre propre orbite comme les planètes au-dessus de nous ont trouvé la leur... Et alors, nous avancerons enfin tous ensemble dans l'harmonie de nos sphères sous la grande impulsion d'une création unique — une unité, un système, un dessein. Christophe Colomb Afin d'établir cette liberté sur la terre, le ‹courant de vie› de Saint-Germain prit un nouveau tour — en tant que Christophe Colomb (1451-1506). Mais, plus de deux siècles avant que Colomb prenne la mer, Roger Bacon avait fixé la scène pour le voyage des trois navires et la découverte du Nouveau-Monde lorsqu'il déclara dans son«Opus Major» que «la mer entre l'ouest de l'Espagne et le début de l'est des Indes est navigable en très peu de jours si le vent est favorable.» Bien que cette déclaration fût incorrecte en ce sens que le pays à l'ouest de l'Espagne n'était pas les Indes, elle contribua à la découverte de Colomb. Le cardinal Pierre d'Ailly la copia dans son Image Mundi sans mentionner que Bacon en était l'auteur. Colomb lut son œuvre et cita le passage en 1498 dans une lettre au roi Ferdinand et à la reine Isabelle, disant que son voyage de 1492 avait été inspiré en partie par cette déclaration visionnaire. Colomb croyait que Dieu l'avait fait «messager du nouveau ciel et de la nouvelle terre dont il avait parlé dans l'Apocalypse de saint Jean, après en avoir parlé par la bouche d'Isaïe.» Sa vision remontait aussi loin que l'ancien Israël, peut-être encore plus loin. Car en découvrant le Nouveau-Monde, Colomb se croyait l'instrument par lequel Dieu, ainsi que l'avait écrit Isaïe vers 732 av. J.C., «récupérera le reste de son peuple... et il rassemblera les réprouvés d'Israël, et ramènera ensemble les dispersés de Judas de tous les coins de la terre.» Vingt-deux siècles s'écoulèrent sans qu'il ne se passât quelque chose de visible qui aurait pu ressembler à l'accomplissement de cette prophétie. Mais vers la toute fin du XVe siècle, Christophe Colomb s'affairait tranquillement à préparer la voie pour l'accomplissement de cette prophétie, avec la certitude qu'il avait été choisi divinement pour sa mission. Il étudia les prophètes bibliques, écrivant les passages qui avaient un rapport avec sa mission dans un livre de son crû intitulé Las Proficias ou Les Prophéties— dans sa forme complète, Le Livre des Prophéties concernant la Découverte des Indes et le Rétablissement de Jérusalem. Bien que la chose soit rarement soulignée, c'est un fait tellement enraciné dans l'histoire que même l'Encycopedia Britannicaaffirme de façon non équivoque que «Christophe Colomb a découvert l'Amérique par la prophétie plutôt que par l'astronomie.» «Dans l'exécution de ce projet des Indes,» écrivit-il au roi Ferdinand et à la reine Isabelle en 1502, «Ce ne sont ni la raison, ni les mathématiques, ni les cartes qui m'ont été utiles: ce sont les paroles d'Isaïe qui se sont pleinement accomplies.» Il faisait allusion à Is 11:10-12. Ainsi nous voyons que, vie après vie, Saint-Germain — son esprit conscient le savait-il de façon continue, nous ne pouvons le dire — recréait ce sentier d'or qui mène au Soleil — le cycle, revenu après un tour complet, d'une destinée consistant à adorer la Présence Divine et à établir de nouveau un âge d'or. Francis Bacon En tant que Francis Bacon (1561-1626), le plus grand esprit que l'occident ait jamais produit, ses nombreuses réalisations dans tous les domaines ont radicalement transformé le monde en une scène prête pour les enfants de l'Ère du Verseau. Dans cette incarnation, il a eu la liberté de mener à terme le travail qu'il avait entrepris en tant que Roger Bacon. Les experts ont noté les ressemblances entre la pensée des deux philosophes et entre l'Opus Majus de Roger et le De Augmentis et le Novum Organum de Francis. Cela est d'autant plus étonnant du fait que l'Opus de Roger n'a jamais été publié durant sa vie, est tombé dans l'oubli, et n'a été publié que 113 ans après le Novum Organum et 110 ans après le De Augmentis ! L'intelligence inégalée de cette âme immortelle, ce roi-philosophe, ce prêtre-scientifique, aurait pu conserver son humeur avec cette devise obstinée apprise des tyrans, des tortures et de la tragédie: s'il vous battent dans une vie, revenez et battez-les dans la prochaine ! Francis Bacon est connu comme le père du raisonnement par induction et de la méthode scientifique qui, plus que toute autre contribution, sont responsables de l'ère technologique dans laquelle nous vivons maintenant. Il savait d'avance que seule la science appliquée pouvait libérer les masses de la misère humaine et de la corvée de la survivance précaire afin qu'elles puissent rechercher une plus grande spiritualité telle qu'elles avaient déjà connu autrefois. Ainsi, la science et la technologie étaient-elles essentielles à Saint-Germain pour libérer ses Porteurs de Lumière et, par leur entremise, l'humanité entière. Le prochain pas pour lui n'avait rien de moins ambitieux que l'illumination universelle! «La Grande Instauration» (restauration après la décadence, la défaillance, ou la dilapidation) fut sa recette pour changer «le monde entier». D'abord conçue alors que Bacon était un garçon de 12 ou 13 ans et concrétisée en 1607 dans son livre du même nom, elle a effectivement lancé la Renaissance anglaise avec l'aide bienveillante et attentionnée de Francis. Car, au fil des ans, il rassembla autour de lui un groupe d'«illuminati» qui furent responsables, entre autre choses, de toute la littérature élisabéthaine — Ben Jonson, John Davies, George Herbert, John Selden, Edmund Spenser, Sir Walter Raleigh, Gabriel Harvey, Robert Greene, Sir Philip Sidney, Christopher Marlowe, John Lyly, George Peele et Lancelot Andrewes. Certains d'entre eux faisaient partie d'une «société secrète», que Francis avait formée avec son frère Anthony, alors que les deux étaient étudiants à Gray's Inn. Ce groupuscule, appelé «The Knights of the Helmet» (les Chevaliers du Casque», avait comme but l'avancement du savoir par l'expansion de la langue anglaise et la création d'une nouvelle littérature écrite non en latin, mais dans des mots que les anglais pouvaient comprendre. Francis organisa également la traduction de la Bible du roi James, détermina que le peuple ordinaire devrait avoir le bénéfice de lire la Parole de Dieu par lui-même. Il y a plus: ainsi qu'on l'a découvert dans deux écrits codés différents — un écrit fait de mots et un autre, ‹bi-littéral›, incrusté dans la typographie des imprimés originaux des folios shakespeariens — Francis était l'auteur des pièces attribuées à l'acteur de village sordide de Stratford-on-Avon. Il fut le plus grand génie littéraire du monde occidental. Alors, Bacon fut également derrière plusieurs des idées politiques sur lesquelles la civilisation occidentale est basée. Thomas Hobbes, John Locke et Jeremy Bentham prirent Bacon comme point de départ de leur idéologie. Ses principes révolutionnaires furent le moteur de notre nation. Ils sont l'essence même du «can-do-spirit». «Les hommes ne sont pas des animaux à deux pattes», disait Bacon, «mais des Dieux immortels. Le Créateur nous a donné des âmes égales au monde entier, mais que le monde entier même n'arrive pas à rassasier.» Francis Bacon continua également la tâche qu'il avait commencée en tant que Christophe Colomb, faisant la promotion de la colonisation du Nouveau-Monde, car il savait que c'était là où ses idées prendraient le plus profondément racine et viendraient à fleurir pleinement. Il convainquit James 1er de donner une charte à Terre-neuve et fut officier dans la compagnie de Virginie, qui parraina l'établissement de Jamestown, première colonie anglaise en Amérique. Et il fonda la franc-maçonnerie, dédiée à la liberté et à l'édification de l'humanité, dont les membres jouèrent un rôle important dans la fondation de la nouvelle nation. Et cependant, il aurait pu être une plus grande bénédiction pour l'Angleterre si on lui avait permis de remplir sa destinée. Les mêmes écrits codés que l'on trouve à travers les pièces de Shakespeare se retrouvent également dans les travaux personnels de Francis Bacon et ceux de plusieurs personnes parmi son cercle d'amis. Les deux écrits secrets contiennent la véritable histoire de sa vie, les rêveries de son âme, et tout ce qu'il souhaitait léguer aux générations futures mais qu'il ne pouvait pas publier ouvertement par crainte de la reine. Ses secrets révèlent qu'il aurait dû être Francis 1er, roi d'Angleterre. Il était le fils de la reine Elizabeth et de Robert Dudley, Lord Leicester, né quatre mois après une cérémonie secrète de mariage. Mais la reine, désirant conserver son statut de «reine vierge», et craignant que l'aveu de son mariage ne la force à donner du pouvoir à l'ambitieux Leicester, et de peur que le peuple ne préférât son héritier mâle à elle-même et demande le retrait prématuré de la reine de son trône, refusa de permettre à Francis, sous peine de mort, d'assumer sa vraie identité. La reine le laissa à lui-même toute sa vie, ne lui donnant jamais de fonction publique, ne le proclamant jamais son fils, ne lui permettant jamais de mener ses buts à terme pour l'Angleterre. Non, jamais n'aurait-elle permis à son fils d'amener l'âge d'or de ‹Britannia› qui aurait dû être et qui n'a pas été. Quel destin cruel — une reine-mère inflexible, méprisante envers son prince de l'âge d'or! Il fut élevé comme fils adoptif de Sir Nicholas et Lady Anne Bacon et, à l'âge de 15 ans, il apprit la vérité sur sa naissance des lèvres de sa propre mère, du même souffle avec lequel elle l'écarta à jamais de la succession. En une nuit, son monde tourna à la pagaille. Comme le jeune Hamlet, il se posa et se reposa la question: «Être ou ne pas être»; ce fut sa question. À la fin, il décida de ne pas se rebeller contre sa mère ou, plus tard, contre son successeur inadéquat, James 1er. Et cela, malgré le bien immense qu'il savait pouvoir apporter à l'Angleterre, malgré sa vision du pays «tel qu'il devrait être, s'il était gouverné avec sagesse.» Il savait qu'il possédait en lui le pouvoir d'être un roi tel que le pays n'en avait jamais connu, un vrai père de la nation. Il a écrit au sujet des «impulsions d'attention divinement patriarcale envers son peuple» qu'il exercerait — ombres de l'empereur de l'âge d'or du Sahara. Heureusement pour le monde, Francis décida de poursuivre son objectif d'édification universelle par les avenues de la littérature et de la science, comme conseiller du trône, supporter de la colonisation et fondateur de sociétés secrètes, rétablissant ainsi le fil de contact avec les anciennes écoles de mystère. L'exutoire de son esprit blessé fut son écriture codée dans laquelle il déversa ses désirs nostalgiques pour un âge futur. Au moment de sa mort en 1626, persécuté et aux nombreux talents méconnus, Francis Bacon avait triomphé de circonstances qui auraient détruit des gens moindres, mais qui ont prouvé chez lui la véritable formation d'un Maître Ascensionné. Le Prodige d'Europe Le 1er mai 1684 fut le Jour de l'Ascension de Saint-Germain. À partir de hauteurs de pouvoir bien gagnées et au-delà de ceux de ce monde, il se tient toujours pour retourner toutes tentatives de contrecarrer sa «Grande Instauration» ici-bas. Désirant par-dessus tout libérer le peuple de Dieu, qu'ils le veuillent ou non, Saint-Germain alla chercher une dispensation des Seigneurs du Karma pour retourner sur terre dans un corps physique. Ils la lui accordèrent et il apparut en tant que Comte de Saint-Germain, un «miraculeux» gentleman qui éblouissait les cours du XIXe siècle en tant que «le Prodige d'Europe». Son but: empêcher la Révolution française, effectuer une transition en douceur de la monarchie à une forme républicaine de gouvernement, établir les États-Unis d'Europe et planter la fleur de lys en tant que triple flamme d'identité divine dans chaque cœur. Bien qu'admiré à travers les cours d'Europe pour ses dons — il savait faire disparaître les défauts des diamants, se volatiliser, écrire les mêmes vers de poésie simultanément avec les deux mains, il savait bien parler plusieurs langues et de n'importe quel sujet, racontant n'importe quelle histoire comme s'il en avait été témoin — il n'arriva pas à recevoir la réponse espérée. Bien que disposée à se laisser distraire, la royauté ne se laissa pas facilement inciter à abandonner son pouvoir et à avancer avec les vents du changement démocratique. Elle et ses ministres jaloux ignorèrent son conseil et la Révolution française s'ensuivit. Dans une tentative finale d'unir l'Europe, Saint-Germain parraina Napoléon, qui fit mauvais usage du pouvoir du Maître pour sa propre perte. L'occasion de mettre de côté la rétribution due d'un certain âge passa, Saint-Germain fut une fois de plus forcé de se retirer d'une situation karmique. Dans cet épisode, bien que clairement visible comme médiateur, Saint-Germain avec ses miracles en main et ses prophéties accomplies pouvait quand même être ignoré! Qu'allait-il falloir pour changer le cœur des gens ? |
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Extraits de livres :
Civilisation engloutie
La Lémurie ou Terre de Mu était située dans l'océan indien. Elle s'étendait sur la presque totalité de l'océan Pacifique, du détroit de Béring à l'Australie, de l'Inde à la Californie. La Tradition situe la Lémurie de l'Himalaya à l'Australie. Des tablettes rédigées par les Naacals (Frères Saints) ont été retrouvées par l'explorateur "colonel" anglais James Churchward qui devint l'assistant du Grand Prêtre d'un temple collège. Elles contenaient la genèse du monde et l'histoire de l'engloutissement de Mu, 12 000 ans avant notre ère.

Ils ont été détruits par les éléments naturels (entre autre l'eau). Certaines de leurs connaissances subsistent sur le continent Africain. La Lémurie a développé la sensualité, les intentions, l'art, ainsi que la connaissance des Etoiles, du psychisme, et des émotions humaines {Livre, Alliance, Anne Givaudan, Ed. Sois}
"Une bande de terre faisait jadis le tour complet du globe terrestre. Les hommes parlaient une langue commune. Ce continent était Mu. Sa population, celle de Pan. Atlantide désigne ce peuple universel. Juste avant la disparition de l'Atlantide, certains individus furent conduits dans des refuges, et ces survivants fondèrent la nouvelle race." "Lemuria a sombré dans le Pacifique".{Livre, 13 leçons sur la vie des Maîtres, Baird T. Spalding, Ed. Robert Laffont}

"Avant l'apparition des montagnes, il parait qu'un immense raz de marée avait recouvert et complètement ravagé une grande portion du pays, et avait détruit la majeure partie de la population. Les survivants furent coupés du monde et privés de moyens d'existence. Ils devinrent les ancêtres de ces bandes errantes de brigands qui infestent aujourd'hui encore le plateau de Gobi.
Le Grand Empire Uigour existait alors à la place des Himalayas et du désert de Gobi. Il y avait de grandes villes et une civilisation très avancée. Après la destruction des villes par l'eau, les ruines avaient été recouvertes par les sables mouvants du désert." Des tablettes font remonter la date de cette civilisation à plusieurs centaines de mille ans. {Livre, Vie des maîtres (La), Baird T. Spalding, Ed. J'Ai Lu}
La principale colonie fondée par les hommes de Mu aurait été l'empire Uighur, qui s'étendait il y a dix sept mille ans de l'Océan Pacifique à l'Europe Orientale. {Magazine, Monde Inconnu (Le), No 63, 07-08/1985, La Lémurie et Mu, Serge Hutin}
Mu était une "civilisation ayant existé il y a 60 000 ou 80 000 ans. Ils utilisaient les cristaux tout comme l'Atlantide." {Livre, Pouvoir des cristaux (Le), Michael G. Smith, Ed. J'Ai Lu}
"Quand les pôles se sont déplacés et que la Lémurie (Terre de Mu) a disparu dans le Pacifique, l'Atlantide était au summum de la civilisation technique."
{Livre, Livre des mondes oubliés (Le), Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu}
"Quand les pôles se sont déplacés et que la Lémurie (Terre de Mu) a disparu dans le Pacifique, l'Atlantide était au summum de la civilisation technique."
{Livre, Livre des mondes oubliés (Le), Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu}
Mu : englouti vers 12 000 avant Jésus Christ. {Livre, Hommes et civilisations fantastiques, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}
Edgard Cayce indique que la Lémurie, également appelée Pays de Mû ou Terre de Mû, était situé au milieu du Pacifique. "L'île de Pâques, les Marquises sont les restes des anciens sommets du continent submergé." Il situe son engloutissement vers "-200 000 avant Jésus Christ où le continent atlante commençait à se développer. Ceux qui sentaient la fin sont allés en Oregon, Arizona, Utah, Côte Ouest USA et Extrême Orient." {Livre, Univers d'Edgar Cayce (L'), Dorothée Koechlin de Bizemont, Ed. J'Ai Lu}
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** Mr Guy W. Ballard, Fils Spirituel et Disciple du Maître St Germain :
C’est en automne 1930 que le Maître Ascensionné Saint-Germain, dans le corps visible et tangible, prit contact avec son Fils Spirituel et Disciple Mr Guy W. Ballard, qui était en excursion sur les pentes du Mont Shasta, à la frontière Nord de Californie. Par une série d’expériences directes, tantôt dans le véhicule physique, tantôt dans l’un ou l’autre des véhicules subtils, il fit réaliser à Mr Ballard certaines des possibilités et des pouvoirs qui sont inhérents à la vie. Tous les Yogis et initiés d’Orient et d’occident ont eu, à des degrés divers, des expériences analogues.
A la fin du siècle dernier, le maître Cha-Ara a donné sous le pseudonyme « d’Emile », à Mr Baird T. Spalding et à ses compagnons, une série d’expériences analogues, mais dont le théâtre était les Himalayas et le Gobi. (Voir « La Vie des Maîtres« , Edition J’AI LU : édité dans le monde en 45 langues.)
Avec l’autorisation du Maître, Mr Ballard a relaté, sous la signature de Godfré Ray King dans « Unveiled Mysteries » et « Magic Présence » (Les Mystères Dévoilés et La Présence Magique), certains des faits vécus et une partie des enseignements directs reçus.
En Octobre 1932 à Chicago, dans la maison de Mr et Mme Ballard, le Maître commença à dicter à son disciple une trentaine de discours, publiés sous le titre : « I AM Discourses » par le Maître Ascensionné Saint-Germain.
Cette dictée se fit par un procédé qui n’a plus été employé sur la terre depuis des milliers d’années. Dans l’Ancien Testament, il est fait mention de mots en lettres de feu projetés sur les murs du palais de Nabuchodonosor et dont le Prophète de l’époque (Daniel) donna la signification.
C’est en lettres de feu, en Américain moderne, que Saint-Germain et les autres Maîtres Ascensionnés qui travaillent pour l’humanité par l’activité « I AM », ont projeté leurs discours devant Mr Ballard jusque fin 1939 et ont projeté devant Mme Ballard de 1944 à 1972. Les cerveaux de ces deux Disciples avaient été préparés pour servir d’instrument dans cette opération.
J’ai assisté à la projection de plus de 250 Discours pendant l’année 1951. J’ai vécu en contact avec Mme Ballard et c’est bien l’Etre le plus simple, le plus naturel et le plus normalement quelconque du point de vue extérieur, que l’on puisse rencontrer.
Dans des salles brillamment éclairées, dans différentes villes des Etats-Unis, devant des milliers de personnes, à l’heure précise indiquée longtemps à l’avance par le Maître qui dicte, elle se tient debout devant le micro et attend que la projection commence. Elle a indifféremment les yeux ouverts ou fermés, Elle interrompt la lecture pour boire une gorgée d’eau, ou s’éclaircir la voix si nécessaire, le tout avec un naturel et une aisance parfaits. Il est amusant de voir sa physionomie changer d’expression quelques fractions de secondes avant qu’elle prononce les paroles. Elle est fréquemment interrompue par les auditeurs qui se lèvent et acclament avec enthousiasme et gratitude les paroles projetées par les Maîtres. Tous les Discours ont été sténographiés et depuis l’invention du magnétophone ils sont, en plus, enregistrés et certains reproduits par la presse et le disque.
Les personnes dans l’auditoire qui ont la vue supranormale voient les textes projetés, à l’envers, comme dans une glace, et distinguent nettement le Maître dans un corps de lumière, visible et tangible au-dessus de la plate-forme occupée par Mme Ballard.
Ce procédé a le grand avantage de permettre au Maître de s’exprimer directement.
Le language employé par les Maîtres est simple, vivant et sans le moindre terme savant; il est à la portée de l’homme de la rue. Il est clair que la forme est entièrement nouvelle et que ce n’est pas une adaptation ni un arrangement d’une forme qui a déjà servi de canal d’expression à la Vérité Une et Eternelle. Tout en revendiquant l’originalité de la forme et de la technique de réalisation qui l’accompagne, Saint-Germain déclare : « Je vous assure qu’au cours des siècles, Je n’ai jamais varié le mode de transmission de l’instruction concernant les Principes. Si je l’avais fait, J’aurais contrarié certains courants, amenant le désastre plutôt que le Bien que J’ai été capable de répandre, soit dit en toute humilité ».
Il y a 70000 ans que Saint-Germain ministre consciemment envers l’humanité. Il fut l’Intelligence directrice de la grande civilisation qui florissait au Sahara actuel à cette époque.
A l’époque où l’Atlantide était encore un continent avec une haute civilisation mécanique, il était le Maître Ernon de Suern (l’actuelle Asie) et les êtres qui bénéficiaient de la Radiation de ce Glorieux Fils de Dieu vivaient dans un état paradisiaque, ne connaissant ni limitation, ni labeur physique.
Dans l’Ancien Testament, Il porte le nom de Samuel. Il est Saint-Joseph, si pur et si humble qu’Il a pu être le Protecteur de Marie et de Jésus, conduisant ces Etres précieux en Egypte où ils reçurent de hautes initiations. Il fut le Martyr Saint-Alban; Proclus; Christophe Colomb qui fit redécouvrir officiellement l’Amérique.
En 1684, Il termina la purification de Sa structure physique, transmutant la matière atomique, en élevant le taux vibratoire jusqu’au point où elle pût être absorbée par le Corps Mental Supérieur ; ensuite, haussant encore le taux vibratoire de ce corps de Feu Blanc, il réalisa l’Ascension, lorsque le Corps Mental Supérieur fut absorbé par le Corps Electronique: le Corps de l’homme à l’image et à la ressemblance de Dieu. Il portait alors le Nom de Sir Francis Bacon. Il est l’inspirateur des oeuvres dites de Shakespeare ; Il inspira aux habitants d’Oberamergau en Bavière l’idée de créer le Jeu de la Passion , de célébrité mondiale. Il disparaît alors de la scène visible du monde.
il revient en mission dans le corps visible et tangible du Maître Ascensionné à l’époque de la Révolution Française et guida Ses Disciples Georges Washington et Abraham Lincoln qui ont créé et maintenu les Etats Unis d’Amérique.
Il est le Seigneur du 7ème Rayon, l’autorité gouvernant la Flamme Violette pour la Terre (Ange-Deva de la Flamme Violette ) et, en cette qualité, Il est depuis 1932 le Maître présidant le Conseil des Chohans, et I’Unique Autorité qui pouvait « dévoiler » certains enseignements qui, à présent, doivent être diffusés dans la masse, afin d’amener la création de la civilisation du Nouvel Age d’Or qui sera permanent pour la Terre.
Les Humanités terrestres n’ont jamais manqué d’enseignements théoriques transcendants qui sont toujours restés accessibles à ceux qui avaient l’intelligence nécessaire pour comprendre, et l’Amour de la vérité assez ardent pour persévérer dans la recherche de l’illumination. Malgré cela, sur une moyenne de trois billions d’êtres qui sont en état de manifestation individualisée sur la Terre , un seul être, chaque année, parvenait à se réaliser, à démontrer sa filiation Divine, à manifester son identité avec le Père, à réfléchir l’Image et la ressemblance de Dieu, à être l’Homme-Dieu. Ce qui devait être normal et naturel était devenu exceptionnel, extraordinaire, rarissime, merveilleux, mais malheureusement impossible parce que toutes les techniques indispensables à une réalisation, tous les moyens étaient devenus occultes et l’apanage de quelques rares Initiés, à tort ou à raison très avares dans la communication de leurs secrets. Enfin, en 1932, la fin de l’âge sombre permet à Saint-Germain de nous dévoiler les moyens que lui-même, Jésus, Marie, Jean le Bien-Aimé et tous les Maîtres Ascensionnés ont employés pour réaliser l’Ascension dont Jésus a donné l’exemple public à Béthanie en Palestine.
1 – D’abord, Saint-Germain nous donne un foyer de concentration visuelle, représentant schématiquement mais exactement notre Soi Divin, notre Réalité, l’Homme à l’image et à la Ressemblance de Dieu. C’est la Charte de la Puissante Présence I AM, la Présence Magique.
2 – Ensuite, Il nous restitue le « Mot Perdu » dont il est souvent question dans les écrits initiatiques en Occident : c’est le verbe créateur « I AM », un des noms Divins : celui de Dieu-en-Action dans l’Homme. L’être affirme sa propre Perfection se manifestant instantanément et éternellement en tout point où ce Verbe Créateur vibre dans l’Ether :
« I AM » – Tout le Pouvoir Créateur Divin centré dans l’être Individualisé.
« I AM » – la Présence Divine individualisée. AUM (OM), étant la Présence Divine Universelle.
« I AM that I AM », le « Je suis celui qui Suis » de Moïse. Il suffit, à la Lumière de ce qui précède, de reprendre les Puissantes Affirmations données par Jésus et toutes commençant par « I AM ».
Ces moyens sont mécaniques et mathématiques. Leurs emplois, même sans Foi au début, produit des résultats qui sont en rapport direct avec le nombre d’affirmations données, leur intensité et leur dynamisme. Ils sont praticables par les Occidentaux ne quittant pas leurs occupations habituelles.
Lorsque ces affirmations et ces Appels sont pratiqués en groupe, la Force-vive engendrée pour chaque Assistant est en rapport direct avec le nombre d’heures et le nombre d’Assistants.
C’est un moyen de servir l’Humanité, mettant par Amour le plus d’Energie possible à la disposition des Maîtres Ascensionnés qui amplifient cette énergie et déclenchent les activités invincibles du Feu Sacré, le seul élément dont l’emploi conscient est impossible par les agents des forces négatives, et dont l’action amènera la Purification indispensable de la Planète et de l’Humanité.
Saint-Germain et les autres Maîtres Ascensionnés ont donné un grand nombre de ces puissantes affirmations qui sont énergisées par leur Conscience Divine. Leurs Paroles sont des Coupes qui contiennent Leur Substance Divine qui ne peut être requalifiée par l’humain.
3 – En troisième lieu, Saint-Germain nous a dévoilé l’emploi conscient de la Flamme Violette Consumante, le Pouvoir Purificateur du Feu Sacré, don de l’Amour Divin, la Grâce et l’opération de la Loi du Pardon, complément indispensable de la Loi de Création, de la Loi d’Action et Réaction concordante.
Dans l’Image et la ressemblance de Dieu, l’Homme est nécessairement Créateur, mais si son oeuvre n’est pas parfaite d’emblée, l’emploi conscient de la Flamme Violette Consumante lui permet de dissoudre la forme imparfaite et de retourner l’Energie au Réservoir Universel. Admirable et logique Miséricorde Divine.
Saint-Germain nous donne donc le moyen de dissoudre la création discordante et indésirable du passé et ensuite, par l’emploi correct du Verbe Créateur « I AM « , le Pouvoir Créateur du Son, nous pouvons produire toute la beauté et toute la Perfection dont notre Amour veut et doit doter le Plan de Manifestation dans lequel nous avons choisi de fonctionner.
La description de la Charte précisera encore quelques points de cet exposé extrêmement sommaire du Don d’Amour que Saint-Germain a apporté à l’Humanité : la Clé du « I AM » qui permet à chacun d’ouvrir les portes de la prison que son mental lui a créée et d’entrer rapidement dans la Libération Eternelle de L’ASCENSION !
Note :
Tous les discours étant projetés en Américain, le Verbe Créateur, dont la signification est « JE SUIS », est orthographié en langue Anglaise (ou Américaine) par « I AM « . Le SON de ce NOM DIVIN doit être prononcé « ay am » afin de respecter la prononciation de ce SON DIVIN.
Tous les discours étant projetés en Américain, le Verbe Créateur, dont la signification est « JE SUIS », est orthographié en langue Anglaise (ou Américaine) par « I AM « . Le SON de ce NOM DIVIN doit être prononcé « ay am » afin de respecter la prononciation de ce SON DIVIN.