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27/11 - L'HORREUR - VIOLÉE ET LAISSÉE POUR MORTE 
DANS LA NUIT D'HALLOWEEN
LA VICTIME AVAITÉTÉ ALCOOLISÉE ET DROGUÉE. 

Les cinq jeunes ont été interpellés après trois semaines d'enquête.
Depuis ce matin, les cinq jeunes gens interpellés dans le cadre de ce viol particulièrement sordide, la nuit d’Halloween à Charvieu-Chavagneux, sont présentés au pôle criminel de Grenoble. Selon nos informations, la victime, âgée d’une trentaine d’années, avait été alcoolisée. Mais pas seulement. De l’ecstasy aurait également été mélangé à l’alcool, à l’insu de la jeune femme. Tout au long de la nuit, ces agresseurs l’auraient humiliée, giflée, agressée sexuellement. Avant d’être violée à plusieurs reprises par l’un des adolescents qui nie en bloc les faits. Le parquet a requis la détention à l’encontre de quatre des cinq mis en cause.
Agé de 17 ans, l'adolescent mis en examen pour viol a été écroué, conformément aux réquisitions du parquet. Les quatre autres jeunes seront fixés sur leur sort dans la soirée. 
Nul précision sur ces jeunes. Il est interdit maintenant de donner leur nationalité.
Les faits ont été perpétrés pendant la nuit d'Halloween à Charvieu-Chavagneux*.
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* MIGRANTS - La commune de Charvieu-Chavagneux (Isère) s'est dite prête mardi soir, le 8 septembre, à accueillir des réfugiés, mais "à la condition expresse que ce soit une famille chrétienne", car les chrétiens "ne procèdent pas à la décapitation de leur patron", selon une délibération transmise à l'AFP.
La commune de Charvieu-Chavagneux explique ce choix en affirmant "que les chrétiens ne mettent pas en danger la sécurité d'autrui; qu'ils n'attaquent pas les trains armés de kalachnikov, qu'ils n'abattent pas des journalistes réunis au sein de leur rédaction et qu'ils ne procèdent pas à la décapitation de leur patron comme nous l'avons vu à quelques kilomètres de notre commune".
Le texte se livre à une longue analyse géopolitique faisant de la politique étrangère française une "cause directe de la montée de l'impérialisme guerrier de Daech (l'organisation jihadiste Etat islamique)". La délibération évoque une "guerre de civilisation" et l'"arrivée massive d'infiltrés djihadistes sur le territoire" en raison d'une "immigration irraisonnée".
Ville de 8250 habitants, Charvieu-Chavagneux est en effet située à 16 km de Saint-Quentin-Fallavier (Isère), où Yassin Salhi a tenté de faire exploser une usine après avoir décapité son employeur le 26 juin.
Dans sa délibération, la commune cite l'appel du Pape François à accueillir des réfugiés mais aussi une promesse de Saint-Louis, en 1250, de protéger les chrétiens d'Orient: "Cette promesse a traversé les siècles, faisant de la France une fidèle protectrice des chrétiens d'Orient", estime la commune.

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Pendant sa garde à vue, l'un des suspects a déclaré aux enquêteurs : "Chez elle, c’est comme un squat". Dans cet appartement situé dans une cité HLM du quartier des Plaines à à Charvieu-Chavagneux (Isère), les soirées étaient fréquentes et il y avait beaucoup de passage. 
Lors de la nuit d’Halloween -du 31 octobre au 1er novembre-, la fête organisée sur place a viré au cauchemar. Appelés par les voisins dans un premier temps en raison du bruit, les gendarmes ne trouvent sur place que l’occupante des lieux, "avinée".
Pourquoi n'ont-ils pas aidé cette femme?
Quand ils reviennent quelques heures  plus tard, encore une fois appelés à cause d'un tapage, cette femme âgée de 38 ans gît alors, nue, dans la baignoire. "Elle était vivante, elle n’était pas inconsciente, mais elle était dans un état lamentable", confie une source proche de l’enquête à LCI. 

Trois semaines d'enquête
Mardi dernier, après trois semaines d’enquête, les gendarmes ont procédé à l’interpellation de cinq suspects âgés de 16 à 18 ans. Ce jeudi, à l’issue de leur garde à vue, quatre mineurs –l’un d’eux était mineur au moment des faits et a eu sa majorité le 16 novembre - et un majeur ont été déférés.  Ils connaissaient tous la victime.
Le parquet de Grenoble a requis un mandat de dépôt pour quatre d’entre eux. "Les cinq individus sont poursuivis pour violences aggravées par le fait qu’elles ont été commises en réunion et avec une ITT de moins de 8 jours et pour dégradation et pour usage de stupéfiants. Trois d’entre eux sont poursuivis pour agressions ssexuelles. Deux d’entre eux sont poursuivis pour avoir fait absorber à la victime des substances nuisibles à son insu, en l’occurrence de l’ecstasy. L’un d’eux est poursuivi pour viol" précise une source judiciaire à LCI.  

"Drogues, alcool, sexe et défonce"
Le déroulé de la soirée se dessine peu à peu. Selon les témoignages des suspects et les investigations menées par les gendarmes, beaucoup d’alcool et de stupéfiants ont été consommés chez la trentenaire le soir des faits, comme régulièrement d’ailleurs. "Dans l’appartement, c’était drogue, alcool, sexe et défonce. Il y a avait de tout : cocaïne, cannabis, amphétamine, ecstasy…  Ce soir-là, il y a eu des allées et venues, il y a eu une bagarre… , indique une autre source proche du dossier à LCI. Puis tout a dégénéré. L’un des individus l’a violée, les autres ont commis des agressions sexuelles, Ils l’ont frappée et ils ont tout cassé dans son appartement". 
Selon plusieurs sources, les jeunes garçons ont ensuite tenté d’effacer leurs traces. "A  un moment, la femme a perdu connaissance. Ils ont paniqué. De peur que l’on retrouve leur ADN sur elle, ils l’ont mise dans la baignoire, avec tous les produits ménagers trouvés sur place, shampooing, lessive, javel et autres. Ils ont ensuite entrepris de la nettoyer. Quand elle s’est réveillée, le jeune homme qui l’avait déjà violée a recommencé. Elle a de nouveau perdu connaissance. Les suspects ont alors pris la fuite". 
La victime, qui a été hospitalisée plusieurs jours après les faits, s’est vue prescrire une ITT de trois jours. "Il lui avait même mis des produits dans les yeux , il lui a fallu  un jour et demi pour recouvrer la vue" ajoute la source proche du dossier .
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Femme tuée à Montferrier: le suspect est un ex-militaire de 47 ans
Les femmes ne sont pas assez protégées et la police laisse traîner des délinquants connus et les relâchent quand ils ont commis un méfait. 
Les programmes de télévision et toute les images et films pornos qui sont autorisés en sont, en grande partie, la cause. La femme est considérée comme un animal, bonne à satisfaire les pulsions de certains "hommes".

Selon le procureur, le meurtrier a été identifié. Il s'agirait d'un ancien militaire de 47 ans, ayant appartenu aux troupes parachutistes.
L'homme armé qui a fait irruption, jeudi soir, dans une maison de retraite pour moines, à Montferrier-sur-Lez (Hérault), est toujours activement recherché ce vendredi matin.
La victime, une aide-soignante de 54 ans, a été tuée à l'arme blanche. Son corps a été retrouvé à l'extérieur du bâtiment. C'est une autre employée, ligotée et bâillonnée par le suspect, qui a réussi à se libérer et à prévenir les secours.

Un problème de sécurité sur le site?

Ce vendredi matin, le compagnon de la victime a dénoncé l'absence de sécurité de la maison de retraite: «Il n'y avait pas d'alarme, pas de gardien.»

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Une bonne nouvelle, si l'on veut, car si les parents s'étaient fiés aux médecins, leur fille serait morte. Alors, ne nous laissons pas impressionner par les médecins et gardons notre propre ressenti. L'Intuition que nous n'écoutons plus assez. 
Elle avait une jumelle et la vie de celle-ci s'en serait trouvée très perturbée.

Marseille : la fillette que les médecins voulaient débrancher s'est réveillée. L'enfant est prise en charge au groupe hospitalier de La Timone, Marseille.

Il y a une dizaine de jours, les médecins de l'hôpital de La Timoneà Marseille, avait suggéré de débrancher la petite Marwa, maintenue en vie par un appareil respiratoire. Elle s'est réveillée, jeudi.
Le cas de la petite Marwa, placée dans un coma artificiel depuis des semaines, fait débat depuis plusieurs jours.
Mais au-delà de la polémique, une bonne nouvelle a redonné de l'espoir à ses parents: la fillette s'est réveillée, jeudi.

"On constate des progrès"
Malgré son réveil, difficile de dire si elle va mieux. Sur la vidéo postée par son papa sur Facebook, il semblerait que la petite fille réagisse à sa voix et le suive des yeux.
"Elle ouvre et ferme un oeil. Son traitement se poursuit, mais on constate chaque jour des progrès, et ça nous donne beaucoup d'espoir", a témoigné son père.
Reste à savoir si Marwa est réellement consciente.

L'arrêt des soins retoqué par le tribunal
Victime d'un entérovirus au mois de septembre, la petite Niçoise avait dû être plongée dans un coma artificiel. Il y une dizaine de jours, les médecins de l'hôpital de La Timone, à Marseille, avaient suggéré de débrancher la fillette, qui était maintenue en vie par un appareil respiratoire.
Ils estimaient que la poursuite des soins était assimilable à un acharnement thérapeutique.
En désaccord avec cette décision, les parents avaient saisi le tribunal administratif, qui a suspendu l'arrêt des soins dans l'attente d'expertises.


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