05/09 - BURKINI POUR HOMME.
PEUT-ON TOUT IMPOSER À LA FRANCE ?
Un Franco-Marocain invente le pendant masculin du burkini afin de « protéger la pudeur islamique »
Lhoucine ElBoukhte, un franco-marocain de 43 ans qui vit en région parisienne où il travaille dans le domaine de l’humanitaire, vient de lancer une ligne de vêtements de bain destinés aux hommes musulmans.
« Ça faisait quelques années que j’allais au Maroc sans profiter de la baignade, car je n’avais pas de quoi protéger ma pudeur islamique, l’aoura, (du nombril jusqu’au genoux) » explique-t-il.
Pour remédier à ce douloureux problème, il décide donc de confectionner une sorte de « bermuda » amélioré qu’il écoule auprès de ses amis. Devant le succès rencontré, il se décide a en lancer la production en usine: 3 couleurs, six tailles. Pour la petite histoire, l’usine casablancaise qui a produit les 650 premiers exemplaires de ce short de bain islamique fabrique également de la lingerie fine.
Depuis 2013, Jounna a écoulé 400 exemplaires. « J’ai des clients essentiellement en France, mais j’ai aussi des commandes du Maroc, de Belgique, de Suisse, d’Angleterre, » liste l’entrepreneur. « Pour une bonne partie, ce sont des convertis, donc ils sont à jour des règles de la pudeur même pour l’homme. »
Messieurs, vous avez de la pudeur à revendre ? Courrez donc vous procurer illico un burkini pour homme certifié hallal !
----------------------------
No problem est la devise de l'Inde. Ils se baignent tout habillés.
Leur gros problème vient pourtant des religions qui les enferment. Ils ont le choix, mais pas celui de ne pas avoir de religion. J'en ai fait la très douloureuse expérience quand j'y vivais.
Problèmes semble être de plus en plus la devise de l'Islam. Les musulmans sont manipulés pour nous mener à la guerre dont ils feraient eux aussi les frais.
-----------------------
A quand le voile intégral pour l'homme?
Selon Kamel Daoub, écrivain algérien dont les écrits lui valent d'être menacés par les Islamo-fascistes :
« Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée. Cela dénote un rapport trouble à l’imaginaire, au désir de vivre, à la création et à la liberté. La femme est le reflet de la vie que l’on ne veut pas admettre. Elle est l’incarnation du désir nécessaire et est donc coupable d’un crime affreux : la vie.
C’est une conviction partagée qui devient très visible chez l’islamiste par exemple. L’islamiste n’aime pas la vie. Pour lui, il s’agit d’une perte de temps avant l’éternité, d’une tentation, d’une fécondation inutile, d’un éloignement de Dieu et du ciel et d’un retard sur le rendez-vous de l’éternité. La vie est le produit d’une désobéissance et cette désobéissance est le produit d’une femme.
L’islamiste en veut à celle qui donne la vie, perpétue l’épreuve et qui l’a éloigné du paradis par un murmure malsain et qui incarne la distance entre lui et Dieu. La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l’âme. L’islamiste est tout aussi angoissé par la femme parce qu’elle lui rappelle son corps à elle et son corps à lui. »
Il y a quelques années Kamel Daoub écrivait à propos de la femme dans le monde arabo musulman :
« A qui appartient le corps d’une femme ? A sa nation, sa famille, son mari, son frère aîné, son quartier, les enfants de son quartier, son père et à l’Etat, la rue, ses ancêtres, sa culture nationale, ses interdits. A tous et à tout le monde, sauf à elle-même. Le corps de la femme est le lieu où elle perd sa possession et son identité. Dans son corps, la femme erre en invitée, soumise à la loi qui la possède et la dépossède d’elle-même, gardienne des valeurs des autres que les autres ne veulent pas endosser par (pour) leurs corps à eux. Le corps de la femme est son fardeau qu’elle porte sur son dos. Elle doit y défendre les frontières de tous, sauf les siennes. Elle joue l’honneur de tous, sauf le sien qui n’est pas à elle. Elle l’emporte donc comme un vêtement de tous, qui lui interdit d’être nue parce que cela suppose la mise à nu de l’autre et de son regard. »
« Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée. Cela dénote un rapport trouble à l’imaginaire, au désir de vivre, à la création et à la liberté. La femme est le reflet de la vie que l’on ne veut pas admettre. Elle est l’incarnation du désir nécessaire et est donc coupable d’un crime affreux : la vie.
C’est une conviction partagée qui devient très visible chez l’islamiste par exemple. L’islamiste n’aime pas la vie. Pour lui, il s’agit d’une perte de temps avant l’éternité, d’une tentation, d’une fécondation inutile, d’un éloignement de Dieu et du ciel et d’un retard sur le rendez-vous de l’éternité. La vie est le produit d’une désobéissance et cette désobéissance est le produit d’une femme.
L’islamiste en veut à celle qui donne la vie, perpétue l’épreuve et qui l’a éloigné du paradis par un murmure malsain et qui incarne la distance entre lui et Dieu. La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l’âme. L’islamiste est tout aussi angoissé par la femme parce qu’elle lui rappelle son corps à elle et son corps à lui. »
Il y a quelques années Kamel Daoub écrivait à propos de la femme dans le monde arabo musulman :
« A qui appartient le corps d’une femme ? A sa nation, sa famille, son mari, son frère aîné, son quartier, les enfants de son quartier, son père et à l’Etat, la rue, ses ancêtres, sa culture nationale, ses interdits. A tous et à tout le monde, sauf à elle-même. Le corps de la femme est le lieu où elle perd sa possession et son identité. Dans son corps, la femme erre en invitée, soumise à la loi qui la possède et la dépossède d’elle-même, gardienne des valeurs des autres que les autres ne veulent pas endosser par (pour) leurs corps à eux. Le corps de la femme est son fardeau qu’elle porte sur son dos. Elle doit y défendre les frontières de tous, sauf les siennes. Elle joue l’honneur de tous, sauf le sien qui n’est pas à elle. Elle l’emporte donc comme un vêtement de tous, qui lui interdit d’être nue parce que cela suppose la mise à nu de l’autre et de son regard. »
Kamel Daoud n'a pas tout dit
En pointant le rapport à la femme chez les musulmans au lendemain des agressions de Cologne, l'écrivain algérien n'a abordé qu'une dimension de l'explication. Les viols ont certainement été ordonnés pour bien marquer que, au moment où la vague migratoire battait son plein, les soldats de l'islam avaient gagné une bataille contre l'Europe.
Une polémique grotesque a opposé, il y a quelques jours, le journaliste-écrivain algérien Kamel Daoud, auteur d'une chronique dans le Monde du 31 janvier intitulée "Cologne, lieu de fantasmes " et 19 prétendus intellectuels peu connus, qui l'ont accusé, lui l'intellectuel de gauche algérien, de rien moins que d'islamophobie et de racisme, "recyclant, disaient-ils, les clichés orientalistes les plus éculés", sans nous dire d'ailleurs si ces clichés sont ou ne sont pas fondés, ce qui est tout de même le plus important.
Selon une habitude qui se répand dans notre pays, on agonit d'injures l'adversaire, on l'amalgame, on en fait un raciste (que veut dire au demeurant l'appellation de raciste, inexacte s'agissant d'une religion dont la plus grande majorité des adeptes appartiennent à la race dite "caucasienne" ?), on le réduit ad hitlerum.
L’ignominie dans cette attaque est que, vivant en Algérie et faisant l'objet d'une fatwa des fondamentalistes (à laquelle s'ajoute désormais une fatwa des progressistes !), sur le point d'être jugé par un tribunal algérien, Daoud risque sa vie, alors que ceux qui l'injurient, confortablement installés dans l'université française, eux, ne la risquent pas.
La réaction des pétitionnaires nous rappelle le lynchage tout aussi grotesque en 2008 de l'historien Sylvain Gouguenheim, coupable d'avoir découvert que la connaissance d'Aristote dans l'Occident médiéval ne venait pas que des Arabes.