+++05/08 - FORMIDABLE COUP DE GUEULE DE TOMMY ROBINSON
APRÈS LA MORT DU PRÊTRE EN FRANCE.

En huit minutes, sur cette vidéo, Tommy Robinson résume la situation de
Il n’arrive pas à admettre qu’un prêtre ait pu être égorgé, pendant la messe, par un fiché S avec un bracelet électronique qui était en liberté.
Il n’arrive pas à admettre que nos dirigeants continuent à faire venir des milliers de clandestins qui ne sont pas comme nous, dans leur tête, leur éducation, leur culture.
Il n’arrive pas à admettre, après la décapitation, dans les rues de Londres, du soldat anglais Lee Rigby, par deux musulmans, que les autorités de son pays aient laissé partir 2.000 « Britanniques » en Syrie, pour apprendre à tuer, et qu’ils reviennent par centaines.

Il n’a pas de mots trop durs pour Valls.
Il estime que puisque les autorités européennes ne sont pas capables de faire ce pourquoi ils sont payés, ce sont les peuples qui vont le faire, et que cela ne sera pas très beau.
Mais cela lui parait inévitable.
Il hurle contre le fait que deux Anglais qui ont mis du bacon sur une porte de mosquée sont en prison pour 9 mois, dans les conditions qu’on peut deviner.
Il rappelle à nos dirigeants que nous sommes en guerre, et donc qu’il faut faire cette guerre à ceux qui veulent nous détruire.
Un coup de gueule salutaire d’un homme qui, bien sûr, parle comme Riposte Laïque et, pour cela, ne sera jamais invité sur les plateaux de télévision anglais, ni français.
Il se dit plus persécuté par la police de son pays que par les islamistes !
Tommy Robinson : la Religion de Paix
https://www.youtube.com/watch?v=oBmj-f6yjf8Tommy Robinson : Les terroristes sont mieux traités que ceux qui les combattent !
Tommy Robinson, ex-dirigeant de l'English Defence League, décrit les persécutions policières dont les opposants à l'islamisation sont victimes au Royaume-Uni, alors que cette même police fait preuve d'un laxisme inouï envers les islamistes
https://www.youtube.com/watch?v=FLtNqxHSDG8
https://www.youtube.com/watch?v=FLtNqxHSDG8
Tommy Robinson témoigne sur les persécutions inouïes dont il est l'objet, de la part des autorités du Royaume-Uni : emprisonné à deux reprises sous des prétextes fallacieux dans des prisons de haute sécurité, il y a été victime de tentatives de meurtre par des terroristes musulmans amenés dans sa cellule par des gardiens de prison, lors desquelles il a été gravement blessé (dents cassées, points de suture, etc.). Son calvaire se poursuit aujourd'hui, puisqu'on vient d'apprendre que les autorités britanniques veulent le renvoyer en prison.
Richard Ferrand - Blogueur :
Figure emblématique de la lutte contre l’islamisation de son pays, Tommy Robinson, 32 ans, a fait un discours devant la très respectée Union des étudiants d’Oxford (“Oxford Union”), le 26 novembre 2014.
Issu de la classe ouvrière anglaise, il est connu pour avoir formé l’English Defence League en 2009, mouvement qui comme le mouvement PEGIDA en Allemagne, a organisé des manifestations contre l’islamisation de son pays.
Il a quitté l’EDL en octobre 2013, au motif que les manifestations avaient atteint leur objectif (prévenir le public), et que le mouvement était infiltré par quelques éléments extrémistes incontrôlables.
Son passé trouble (bagarreur, hooligan) l’a fait facilement stigmatiser par les médias. Son parcours est d’autant plus remarquable. Il a manifesté à Paris lors de l'Euro.
Il explique dans son discours que sa ville natale, Luton, s’est peu à peu islamisée. Qu’il n’est pas contre TOUS les musulmans, mais qu’il y a un problème grave DANS la communauté musulmane. Il montre des interviews de personnes vivant dans des quartiers islamisés, menacées ouvertement. D’où sa question clé : « Qu’auriez-vous fait ? », surtout quand les victimes se tournent vers la police, et que celle-ci ne fait rien, par peur de paraître raciste. Il parle d’une des mineures violées et droguées par des groupes de musulmans. Il montre une vidéo de 2010 où il signalait cela : peu l’ont cru alors. Cet automne, ses affirmations ont été confirmées officiellement par un rapport accablant pour les autorités et la police locales sur le viol de 1400 mineures sur une période de 16 ans à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre, et d’autres rapports sont en train de suivre, de bien d’autres villes du pays.
Tommy montre comment les médias ont présenté des grands titres biaisés sur lui, vidéo des événements à l’appui. Sa conclusion : il y a un énorme problème au sein de la communauté musulmane qui, dit-il, « doit faire sa révolution ». Personne ne pourra la faire pour les musulmans eux-mêmes.
Bref, on voit un homme sincère, épris de justice, qui a simplement voulu dénoncer des méfaits, qui s’est heurté à l’hostilité d’un pouvoir que je me permettrai d’appeler collaborationniste.
Et vous, public, « qu’auriez-vous fait ? »
Et vous, public, « qu’auriez-vous fait ? »
Respect, Mr. Robinson !
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* Tommy Robinson a un air poupin. Et pourtant, ce jeune homme de 28 ans, dont les origines irlandaises se lisent sur le visage, est déjà plein de haine. C'est"l'islamisation de la Grande-Bretagne " qui le rend malade. Ces femmes voilées, ces barbus toujours plus nombreux... Samedi 5 février, il pourra mesurer à quel point son combat porte ses fruits.
Ce jour-là, dans sa ville de Luton, à 35 minutes en train de Londres, ils devraient être entre 3 000 et 4 000, peut-être plus, à manifester contre "ceux qui tentent d'imposer la charia". Rassemblés sous la bannière de l'English Defence League (EDL) que M. Robinson a créée dans cette banlieue il y a moins de deux ans, ils défileront pour dénoncer le Coran et ses enseignements.
"Quand j'étais jeune, je n'osais pas dire que je venais de Luton, raconte Sarfraz Manzoor, un journaliste de 39 ans. C'était ridicule, on se moquait de vous parce qu'à Luton, il n'y avait rien sauf l'aéroport." Aujourd'hui, c'est pire. "Luton fait peur, la ville est devenue le symbole des extrémismes en tout genre", ajoute ce Britannique d'origine pakistanaise.
Car, à Luton, il n'y a pas que l'EDL. Il y a aussi des terroristes en puissance qui, au nom d'Allah, sont prêts à tuer et à mourir. Le dernier n'est autre que Taymour Abdul Wahab, ce kamikaze qui s'est fait exploser à Stockholm le 11 décembre 2010. Avant lui, il y a eu ces deux hommes qui avaient participé aux tentatives d'attentat contre la ville de Glasgow et l'aéroport d'Heathrow en 2007. Et ce n'est sans doute pas un hasard si le...
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L’auteur de l’attentat raté de Stockholm, samedi dernier, a vécu à Luton, d’où les poseurs de bombe de Londres avaient pris le train en juillet 2005. Entre musulmans radicaux et skinheads, la population est prise dans un étau.
Saiful Islam, l’un des radicaux du quartier Leagrove de Luton.
Sept hommes s’avancent côte à côte, occupant tout le trottoir. Il fait un froid polaire mais ils n’iront pas s’attabler à l’intérieur d’un café. Ils ont peu de temps, des tracts prônant l’application de la charia à distribuer et voir leur visiteur grelotter les amuse. Ils refusent d’indiquer leur profession, de dire comment ils gagnent leur vie. "On a un travail très important", disent-ils simplement en donnant des tracts intitulés "Introduction to Islam", sept chapitres, de "L’Islam et les musulmans"à "Votre choix".
La discussion s’engage sur la Leagrave Road , une rue toute droite bordée de boutiques où l’on vend surtout de la viande hallal, des tissus de toutes les couleurs, des disques et de livres de prières. Les femmes sont toutes voilées, beaucoup sont vêtues d’un niqab intégral. Les hommes portent le vêtement traditionnel et de longues barbes. Les étals regorgent de fruits et de sacs de riz de 20 kg dans cette artère paisible et vivante, semblable à celles du Caire ou de Karachi. "Quand j’étais enfant, les non musulmans étaient plus nombreux ici" se souvient l’un des promoteurs de la charia, Saiful Islam, 31 ans. "Où sont-ils passés?" lui demande-t-on. "Ils sont partis ailleurs. Ils n’ont pas réussi à s’intégrer…" Son bon mot fait sourire ses amis dont Ibrahim Andersen, roux aux yeux bleus, ancien skinhead converti il y a trois ans.
Taymour Abdul Wahab, le kamikaze qui s’est fait exploser samedi dernier à Stockholm, a étudié à l’université de Luton, y obtenant en 2004 une licence en médecine sportive. Il habitait il y a quelques semaines encore dans le quartier de Leagrave Road, tout comme le cerveau présumé d’une attaque (avortée) contre un centre commercial et une discothèque anglais en 2004. Ou bien deux hommes condamnés à perpétuité et à 26 années de prison pour leur participation au complot contre la ville de Glasgow et l’aéroport d’Heathrow en 2007.
C’est aussi de Luton (220.000 habitants) que les membres du commando ayant frappé Londres, le 7 juillet 2005 (56 morts, 700 blessés) ont rallié la capitale, 35mn de train plein sud. C’est encore dans cette ancienne ville ouvrière, siège des moteurs Vauxhall dont les 30.000 ouvriers ont presque tous été licenciés en 2002, que des militaires qui défilaient à leur retour d’Irak ont été traités de "tueurs d’enfants" et d’"assassins" l’année dernière. En représailles, des militants d’extrême-droite ont créé l’English Defence League (EDL), groupuscule raciste et ouvertement anti-islamique. Ayant prévu de défiler dans les rues de Luton en février prochain, l’EDL a finalement abandonné l’idée d’inviter le pasteur américain Jones, qui voulait brûler le Coran le 11 septembre dernier avant d’y renoncer.
Au sujet du kamikaze de Stockholm, Saiful Islam estime que son geste est "choquant mais pas surprenant. C’est la politique étrangère du Royaume-Uni, en Irak, au Pakistan et en Afghanistan qui pousse certaines personnes à devenir extrémistes. Tant que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne occuperont ces pays, les attentats se poursuivront. C’est malheureux mais c’est inévitable. Les musulmans ont le sentiment que l’Occident est en guerre contre eux. Ici, dès qu’on porte une barbe longue, on se fait traiter de taliban." Saiful Islam se défend d’être un radical. Il souhaite pourtant l’application de la charia, la loi islamique, pour tous les habitants de Grande-Bretagne et d’ailleurs. "Nous ne vous obligerons pas à devenir croyant, nous n’exigerons pas de vous que vous deveniez musulman mais nous pensons que la charia est la solution aux maux qui rongent nos sociétés."
Le mois dernier, une enquête de la BBC a montré que 5.000 élèves d’écoles coraniques britanniques ont reçu des leçons sur comment amputer les mains et les pieds des voleurs, quelle est la meilleure méthode d'exécution pour punir un homme reconnu coupable d'homosexualité… Un manuel destiné aux écoliers de 6 ans leur expliquait que ceux qui ne croient pas en l'Islam sont voués au "feu de l'enfer" après la mort. Secrétaire de la mosquée de Bury Park, également appelée "Luton Islamic Centre", Farasat Latif dirige une école de langues, destinées aux étudiants pakistanais ou du Golfe. Rien de tel chez lui, assure-t-il.
En 2007, c’est lui qui a chassé de la mosquée l’auteur de l’attentat raté de Stockholm. "Il a essayé de prêcher certaines idées extrémistes. Il disait que les musulmans qui n’appelaient pas au djihad étaient des vendus. Nous lui avons demandé de s'arrêter, il a refusé. Alors, nous l'avons dénoncé en public, sans citer son nom mais de façon à ce que chacun sache de qui nous parlions. Après ça, il n'est jamais revenu."
Pourquoi ne pas avoir prévenu la police? "Je ne pouvais pas décrocher le téléphone et leur dire: 'Il y a un monsieur ici qui pense que le gouvernement d'Arabie saoudite est un apostat.' Ils m'auraient dit que je leur faisais perdre leur temps."
De l’avis unanime, Farasat Latif est un modéré. Son école rédige et diffuse des brochures dénonçant "le mythe du terroriste martyre", affirmant que le kamikaze est promis non pas au Ciel mais à l’enfer. S’il se plaint de la situation des musulmans à Luton, qui empirerait chaque année depuis le 11 septembre 2001 ("Nous sommes insultés, menacés, parfois frappés"), Latif estime que"99% des habitants de cette ville ne sont pas racistes. C’est le 1% restant qui pose d’énormes problèmes."
Mais à côté de ces paroles apaisantes, Latif prône des idées plus radicales, à commencer par l’application de la charia. "Bien sûr que les femmes doivent être éduquées mais leur place est d’abord à la maison, à prendre soin des enfants. Vous dîtes que la charia opprime les femmes? Moi, ici, en Angleterre, je vois des adolescentes opprimées par des hommes qui les font tomber enceintes à 14 ans. Je vois des femmes opprimées par l’industrie cosmétique et celle du prêt-à-porter." Il dénonce aussi le "lobby juif international", qualifie Israël d’Etat "fasciste", estime qu’"avant la guerre, l’Afghanistan était l’un des pays les plus sûrs au monde".Et soutient que "George W. Bush et Tony Blair ont été les plus grands recruteurs d’Al-Qaïda, bien plus que Ben Laden."
Telle un mini-mur de Berlin, une passerelle pour piétons sépare Leagrave Road du reste de la ville. D’un côté, le quartier musulman et ses 35.000 habitants. De l’autre, le quartier asiatique, fort de plusieurs milliers de personnes venues d’Inde et du Sri Lanka dans les années 60 et 70 pour travailler à l’usine; le "secteur anglais", juché sur les hauteurs; le centre-ville où tous se retrouvent pour faire du shopping. Au "Duke of Clarence", pub de carte postale, seuls des Anglais de souche jouent au billard, descendant bière sur bière et maudissant cette "ville de merde où il n’y a plus rien, plus de travail, plus de club de foot digne de ce nom, rien que du chômage et des problèmes sociaux."
L’English Defence League séduit de plus en plus de jeunes désoeuvrés. "Ils se font passer pour les derniers défenseurs de la chrétienté, se désole un élu qui requiert l’anonymat, par peur des représailles. Ils se servent de l’actualité pour tenter de provoquer une guerre entre chrétiens et musulmans. Ils ne sont peut-être que 50 activistes mais leur renommée va grandissant dans toute la région.Du coup, l’immense majorité des habitants de cette ville se retrouve coincée entre deux extrémismes: islamiste d’un côté, fasciste de l’autre."
Des habitants se battent contre ce qui apparaît à certains comme une fatalité. Éducateur au Centre for Youth and Community Development, Halim travaille auprès des jeunes depuis trois ans. "Mon rôle est de leur dire: 'Si vous êtes Britanniques ou si vous vivez en Angleterre, vous devez respecter les lois de ce pays.'Mon rôle consiste aussi à leur montrer que s’ils sont mécontents, s’ils veulent protester contre la guerre en Afghanistan, ils peuvent écrire à leur conseiller municipal, à leur député ou au ministre des Affaires étrangères. Je leur dis aussi que, selon le Coran, il est interdit de se tuer et de tuer d’autres personnes, et que s’ils ont des problèmes, ils doivent employer des moyens légaux." Difficile mais pas perdu d’avance: "Il ne faut jamais baisser les bras."
Une ville coupée en quatre. Une immigration massive durant les années 60 et 70, au point qu'elle compte un habitant sur deux d’origine étrangère. Des tensions religieuses, une économie terriblement sinistrée, principale cause de tous ses maux: Luton est une ville qui souffre. "Une fois par an, on voit revenir les médias et toujours pour une mauvaise raison" se désole Peter Adams, qui œuvre au rapprochement des différentes communautés ethniques et religieuses par le sport, la musique, des interventions dans les écoles ou les hôpitaux. "La seule chose que nous nous interdisons de faire est de prier ensemble", sourit-il. "Parfois, dans les écoles, nous entendons des enfants dire des choses épouvantables sur les musulmans. Les Anglais de souche qui lisent les tabloïds ne viennent plus dans le centre. Notre situation est vraiment difficile." Devant l’autel de l’église St-Mary, où il reçoit, Peter Adams formule une prière: "Que cette ville, vue par beaucoup comme un vivier du terrorisme, devienne un endroit de paix." Mais y croit-il vraiment?
Alexandre Duyck, à Luton (avec Amandine Alexandre) - Le Journal du Dimanche
dimanche 19 décembre 2010