17/07 - NICE : APRÈS LE CARNAGE, PLACE À LA COLÈRE.
OÙ SONT CEUX
QUI SONT SENSÉS NOUS PROTÉGER ? :-)
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Qui doit encore passer par quelques drames |
Tout ceci un peu en vrac, la fatigue se fait sentir quelquefois.
Nous sommes en guerre. Regardez ces images, votre enfant aurait pu être à cet endroit à ce moment. Les responsables n'étaient pas dans le camion, mais ce sont ceux qui les manipulent contre le peuple qui se réveille. Alors, encore un petit pas en avant et allons tous ensemble vers la Liberté.
Wizardanonymous : Attentat de Nice
Lors des festivités du 14 juillet, un individu a foncé sur le peuple du monde libre avec un camion, et leur a tiré dessus avec un fusil d'assaut. Images des corps sur la route.
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Il a été dit qu'ils étaient plusieurs, mais au milieu de ce carnage, pas facile de trouver des témoins..
Je trouve l'assaut un peu mou ! Les forces de l'ordre sont bien plus dynamiques lorsqu'elles cassent du manifestant !
Il est incroyable, alors que des personnes sont à terre blessées en train de mourir, d'en voir d'autres se promener en sirotant une boisson et en fumant, d'autres qui regardent les mains dans les poches. Où sont les être Humains? Essentiellement des robots sont là à regarder comme s'ils étaient devant leur télé. C'est ce que recherchent ceux qui nous ont mis sous leur contrôle. Heureusement d'autres, très peu ont fait pruve de courage et se sont investis à aider els bléssés et à couvrir els morts de nappes. Un motocycliste a arrété sa moto pour essayer de monter dans el camion pour neutraliser le terroriste pendant que le peu de police présente attendait les ordres. Non assistance à personne en danger, les mecs !!!
https://www.youtube.com/watch?v=RwHfBQjAQew---------------------
«Vous pouvez m’expliquer comment un camion de cette taille s’est retrouvé sur la Promenade des Anglais un 14 juillet ?» on lui a ouvert la voie.
Le ton monte sur le bord de mer.
Sarah a raconté qu'il y avait vraiment "zéro sécurité", "absolument personne". Il y avait trois policiers au début et trois au milieu, une voiture de police et des barrières.
"Il n'y avait vraiment pas de sécurité, pas du tout, pas du tout. Et quand on a commencé à courir pour pouvoir se réfugier, on a vu la police au bout de 45 minutes! Il y avait aussi un policier en plein milieu de l'avenue Jean Jaurès qui disait à un passant: "N'allez pas vers l'avant, je vous le déconseille", sans expliquer ce qui s'est passé".
"Il n'y avait vraiment pas de sécurité, pas du tout, pas du tout. Et quand on a commencé à courir pour pouvoir se réfugier, on a vu la police au bout de 45 minutes! Il y avait aussi un policier en plein milieu de l'avenue Jean Jaurès qui disait à un passant: "N'allez pas vers l'avant, je vous le déconseille", sans expliquer ce qui s'est passé".
En attendant les pompiers, celui qui a des notions de secourisme s’occupe des personnes touchées. Et recouvre les cadavres. Il raconte des scènes terribles.
Anonymous répond au attentats de Nice
«On ne pardonne pas. On n’oublie pas.» :
Anonymous en croisade après l’attentat de Nice
ANONYMOUS - ATTENTATS DE NICE / APPEL À L'UNITÉ
L’organisation de hackers a envoyé un message d’espoir sous le mot-clé OpNice, appelant à mettre en commun les forces des activistes afin de vaincre le terrorisme par tous les moyens possibles après l’attaque qui a fait 84 morts le 14 juillet à Nice.
Deux vidéos, l’une en anglais et l’autre en français, ont été partagées sur les comptes Twitter et YouTube de l’organisation cyber-militante Anonymous.
Adressée aux «citoyens du monde», la première a appelé la population à ne pas faiblir face à l’horreur de l’attaque terroriste survenue le 14 juillet à Nice, mais à en tirer la force de combattre l’obscurantisme
«Pour défendre nos valeurs et notre liberté, nous retrouverons les membres du groupe terroriste responsable de ces attaques», a fait savoir le groupe, prévenant ceux qui s’en prennent aux innocents de «s’attendre à une mobilisation totale de [sa] part.»
La branche française de l’organisation, Anonymous France, a elle aussi publié un message sur la toile quelques heures après la tragédie qui a frappé Nice. «Le terrorisme doit être éradiqué et ce par tous les moyens dont nous disposons», a indiqué un homme arborant le célèbre masque des hackers.
Invitant à intensifier la lutte informatique contre Daesh, le militant a appelé à mener des «attaques chirurgicales contre l’ennemi» en s’attaquant à ses moyens de communications afin de «détruire sa propagande.»
«Nous sommes Anonymous. Nous n’oublions pas. Nous ne pardonnons pas. Terroristes, redoutez nous.», a menacé l’organisation militante en guise de conclusion.
Ce n'est pas la première fois qu'Anonymous s'en prend aux terroristes, et en particulier à Daesh, à qui les hackers avaient ouvertement déclaré la «guerre» après les attentats du 13 novembre à Paris.
Suite à cette annonce, les militants avaient diffusé une liste de 5 500 comptes liés à l’organisation djihadiste, qui avaient ensuite été suspendus sur les réseaux sociaux.
Les Anonymous avaient ensuite remis le couvert après les sanglantes attaques terroristes qui avaient frappé Bruxelles le 22 mars. Sous le mot d’ordre «Opération Bruxelles», ils avaient menacé de nombreuses cyberattaques contre les terroristes actifs sur le darkweb.
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Ceci devait se passer à Paris, à la Tour Effel , mais installer des bombes sur la Tour Effel est moins facile que dans les tours jumelle, sa robe de dentelle l'a sauvée et tous ceux qui se trouvaient aux alentours. Il y aurait eu bien plus de mort et un traumatisme encore plus grand.
Juste un pétard mouille :
14 juillet : un camion prend feu à cause des feux d'artifices sous la tour Eiffel
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Vidéo : ce que nous aurions pu attendre de notre gouvernement et que Poutine offre à son peuple : la protection de la force tranquille.Poutine menace le Daesh droit dans les yeux
ANONYMOUS - ATTENTAT DE NICE / APPEL À L'UNITÉ
ANONYMOUS - MESSAGE EXTRÊMEMENT IMPORTANT !!!
Les forces de police sont là pour nous surveiller, pas pour nous protéger. La preuve, lors des attentats nous sommes livrés à nous même.
Au lendemain de l’attentat qui a coûté la vie à au moins 84 personnes sur la Promenade des Anglais le 14 juillet, Nice s’est réveillée sonnée. Il est venu le temps de pleurer les morts... et celui des questions. Les autorités sont visées.
«Vous pouvez m’expliquer comment un camion de cette taille s’est retrouvé sur la Promenade des Anglais un 14 juillet ?» Le ton monte sur le bord de mer. Sous le soleil écrasant de l’été, un habitant s’adresse avec véhémence à un CRS. Comme beaucoup de Niçois ce 15 juillet, il s’interroge. Hier, il était sur la plage pour regarder le feu d’artifice quand un camion de 19 tonnes est monté sur le trottoir pour semer le chaos. «Je ne sais pas», lui rétorque le policier. «Allez dire ça aux proches des gens qui sont morts.»
Cette échange est à l’image du sentiment qui prédomine au lendemain de la pire tragédie qu’ait connu la ville dans son histoire moderne. Les visages en larmes hantent la promenade et la colère est évidente. Pendant que la police scientifique s’affaire derrière des bâches blanches qui jouent les cache-horreur, les Niçois devisent sur les raisons d’une telle tragédie.
Quand Irina raconte sa soirée à son amie, elle semble encore dans une autre dimension. Cette mère de famille est une miraculée. Quand elle décide de rentrer chez elle, après le feu d’artifice, elle ne sait pas encore qu’elle vient peut-être de sauver la vie de son mari et de ses enfants. «J’avais froid. J’ai dit à ma famille de rentrer. J’ai traversé la route et en un instant, j’ai vu le camion écraser tout le monde, juste à l’endroit où je me trouvais il y a cinq secondes», raconte-t-elle. «En 16 ans de vie à Nice, je n’avais jamais vu autant de monde pour le 14 juillet. Pourquoi la sécurité n’était-elle pas plus importante ?» La mère de famille, qui vit à deux pas des lieux du drame, n’a pas réussi à coucher ses enfants : «Ils sont traumatisés. Mon mari est parti aider les secours. Je l’ai vu rentrer à la maison en larmes. Il était terriblement mal après ce qu’il avait vu.»
Entre effondrement et rage
Une cellule psychologique a été mise en place. Elle occupe un établissement sur la promenade même. Et elle ne désemplit pas. Toufik, un habitant de Chambéry de 38 ans, s’y est rendu vendredi matin. A l’instar du mari d’Irina, ce travailleur du bâtiment a fait partie des premiers civils à porter secours aux blessés… et à couvrir les morts. «Après que le camion se soit arrêté, j’ai demandé à ma soeur de ne pas bouger et je suis retourné sur place pour aider les gens. Des employés du Palais de la Méditerranée sont sortis avec des draps. Une fille m’en a tendu plusieurs en me disant, "moi j’ai pas la force"», raconte Toufik.
En attendant les pompiers, celui qui a des notions de secourisme s’occupe des personnes touchées. Et recouvre les cadavres. Il raconte des scènes terribles. Comme cette mère de famille qui s’aperçoit que sa fille est allongée sur le sol : «Réveille-toi, s’il te plaît réveille-toi !» Trop tard, le petit ange est déjà au ciel. «C’est terrible, j’ai des flashs qui reviennent sans cesse. Je ne pourrai jamais oublier», souffle Toufik. S’il n’est pas venu avec son fils et sa femme, c’est que cette dernière avait «un mauvais pressentiment». «Je ne peux pas vous l’expliquer, le fait est qu’elle a vu juste», lance le mari avec un regard hagard.
Cette sensation salutaire, l’ami de Hind l’a eu aussi. «J’ai une copine qui, depuis le Bataclan, craint toujours les foules. Elle est paranoïaque. Quand elle a vu le monde qu’il y avait, elle m’a dit "imagine un mec fait un attentat, il fait un carnage"», raconte la jeune fille, lunettes de soleil vissées sur le visage. Elles ont donc quitté les lieux avant le drame. Au delà de cette histoire qui tient de la matière à scénariste, Hind fustige le manque de policiers déployés : «J’habite vers l’aéroport, au tout début de la Promenade des Anglais. J’ai pu faire des centaines de mètres sans en croiser un.»
Florent était avec sa petite amie au niveau du célèbre hôtel du Negresco. Lui aussi n'est pas convaincu par le dispositif de sécurité : «Les poids-lourds sont interdits sur la Promenade. Comment il a pu l’intégrer ? Comment il a pu faire deux kilomètres avant qu’on l’arrête ?» La gorge nouée et les yeux mouillés, il décrit un engin «qui faisait des zigzags pour écraser le plus de gens possible». «C’était une boule de bowling et les gens étaient des quilles. Les corps volaient. C’était abominable.»
Crainte de guerre civile
Ces récits d’horreur et les critiques dont font l’objet les autorités sont un cocktail explosif. Alain, retraité de 71 ans vivant sur la promenade, est fou de rage. Il demande la démission du préfet qu’il rend responsable. «Si j’étais président, je l’enverrais dans un champ planter des choux. Il fallait mettre une herse, il fallait empêcher les véhicules de passer. Ces gens sont morts par la faute des autorités», peste le Niçois. Le décès d’enfants le touche particulièrement. Ils ont été nombreux à perdre la vie le 14 juillet.
A l’hôpital Lanval, la nuit a été longue. Tirant frénétiquement sur sa cigarette, Coralie est encore choquée. Cette membre du personnel administratif était sur les lieux du drame avant de prendre son service. «Je faisais des cauchemars dès que je fermais les yeux, j’étais plus utile au travail. C’était terrible. La majorité des blessés a été amenée dans d’autres hôpitaux mais nous on a eu les enfants. Beaucoup sont morts. D’autres sont entre vie et trépas», murmure-t-elle, la voix éteinte par une nuit trop sombre. Un homme passe les portes de l’hôpital, il pleure toutes les larmes de son corps. Une scène déchirante devenue une habitude en quelques heures.
Certains habitants craignent maintenant une guerre civile. «J’ai peur qu’on voit des actions indépendantes. Les gens vont s’armer. Ils n’en peuvent plus», souligne Alain, antiquaire franco-algérien.
En attendant, les gerbes de fleurs et les drapeaux de France s’accumulent sur les barrières qui barrent l’accès à la Promenade des Anglais. En fin de journée, les hommages se succèdent. Une rose, une photo, une bougie, pour tous ceux qui étaient venus regarder le ciel. Et qui sont partis le rejoindre.
Invitant à intensifier la lutte informatique contre Daesh, le militant a appelé à mener des «attaques chirurgicales contre l’ennemi» en s’attaquant à ses moyens de communications afin de «détruire sa propagande.»