09/07 - LA PILULE CONTRACEPTIVE
EST EN TRAIN DE TUER LES FEMMES,
MAIS PERSONNE NE DIT MOT !
La plupart des médicaments sont néfastes pour notre santé physique et mentale.
Les 56 médicaments dangereux ou inutiles
Le livre des professeurs Philippe Even et Bernard Debré accuse 56 médicaments d'être inutiles ou d'avoir des risques biens supérieurs à leurs bénéfices.
Traduit par Campagne Québec-Vie
La nouvelle mariée risquait un évanouissement, un AVC (accident vasculaire cérébral), une crise cardiaque et la mort chaque jour quand elle prenait sa pilule contraceptive. Tragiquement, elle n’avait aucune idée qu’il pouvait y avoir un danger. Même le personnel médical pensait que ses symptômes ne représentaient pas une menace, et à plus d’une reprise, ceux-ci ont mis ses symptômes sur le compte de la déshydratation. Ils ne lui ont jamais dit que ce pouvait être son mode de contraception qui lui causait des caillots sanguins.
Son nom était Kate, une femme d’affaires âgée de 28 ans, dont l’histoire est racontée dans «What Every Woman Needs to Know about Blood Clots», («Ce que toute femme devrait savoir sur les caillots sanguins») publiée sur le site web National Blood Clot Alliance “Stop the Clot”. Les symptômes de Kate commencèrent lors de sa lune de miel à Hawaï. Elle ressentait tellement de douleur au niveau de son mollet, qu’elle se réveillait la nuit. Elle alla voir un chirurgien orthopédiste qui lui fit passer des scans, ne trouva aucun problème et la renvoya chez elle. Elle oublia cela. Sept mois après, elle s’évanouit dans un aéroport après un vol. Le personnel médical dit qu’elle était déshydratée.
Sans le savoir, Kate développa une thrombose veineuse profonde dans son mollet. De là, des caillots sanguins commencèrent à se détacher pour se diriger vers ses poumons. Ces caillots dans les poumons, appelés embolie pulmonaire, «peuvent mettre la vie en danger et dans 10 à 15 pour cent des cas, causer une mort instantanée», d’après le docteur Jack Ansell. Ce dernier est un hématologue et un membre du “National Blood Clot Alliance’s Medical & Scientific Advisory Board”. Le site web de l’Alliance cite le docteur Ansell: «Le premier signe d’une embolie pulmonaire peut être la mort».
Grâce à la mère de Kate, qui est infirmière et qui fit la suggestion que sa fille pourrait peut-être souffrir d’embolie pulmonaire, Kate reçut un traitement et échappa à la mort. On découvrit l’embolie avant qu’elle ne tue Kate. Plusieurs autres femmes ne sont pas aussi chanceuses. Elles n’apprennent la vérité que lorsqu’il est trop tard.
La vérité est que le «risque d’une thrombose chez les patientes qui prennent des COC (contraceptifs oraux combinés) est de trois à cinq fois plus élevé par rapport à des personnes qui n’en consomment pas.» Une thrombose signifie des caillots sanguins qui peuvent causer un AVC, une crise cardiaque, la cécité, un dommage au cerveau, et la mort. Pourtant, les femmes ne sont pas prévenues du risque des caillots sanguins suite à la prise quotidienne de la pilule contraceptive. C’est grave et c’est une malhonnêteté et une négligence insensées.
D’après un rapport de «Canadian Broadcasting Company (CBC)» datant de juin 2013, le fabricant de pilules contraceptives Bayer a payé plus d’un milliard de dollars en guise de compensation pour des milliers de poursuites judiciaires sur ces pilules contraceptives aux États-Unis. Ces paiements étaient tous reliés à deux pilules contraceptives à faible dose, Yaz et Yasmin. Au même moment, une enquête de CBC a révélé que des pharmaciens ont soupçonné que la mort de 23 Canadiennes était attribuable à ces mêmes pilules.
Miranda Scott, âgée de 18 ans, s’entraînait au gymnase de l’Université de Colombie-Britannique lorsqu’elle est tombée à la renverse et est décédée. L’autopsie a montré qu’elle était morte à cause de caillots sanguins présents dans son corps. Elle prenait du Yasmin au temps de sa mort. Sa mère fait maintenant partie d’une poursuite canadienne en recours collectif contre le fabricant de médicaments, avec des centaines de membres de familles et de femmes qui ont été blessées ou tuées par la pilule.
Pourtant, alors que Bayer paie d’énormes dédommagements, la compagnie dit que ses produits contraceptifs sont recommandables. Même Elizabeth Kissling, qui écrit pour le magazine féministe radical Ms, se dit troublée par ce camouflage de la vérité, le manque d’éducation et l’insuffisance de tests que les femmes reçoivent avant de se faire prescrire la pilule.
Kissling dit en citant des cas de jeunes femmes ayant subi ces conséquences :»Aujourd’hui… de jeunes femmes meurent encore de quelque chose censé les aider, quelque chose qui touche surtout les femmes. Des milliers d’autres souffrent d’effets secondaires pouvant mettre la vie en danger ou détruire la santé comme la cécité, la dépression, et l’embolie pulmonaire.»
Elle fait référence au témoignage d’une utilisatrice, publié sur xojane.com, et met en évidence la citation frappante venant d’une jeune femme ayant presque succombé d’une embolie pulmonaire causée par la pilule contraceptive. «N’est-ce pas bizarre?», demanda la jeune femme aux docteurs de l’hôpital. Ils hochèrent la tête puis m’informèrent qu’ils rencontraient régulièrement de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances».
La pilule détruit la vérité. Elle existe et est prescrite aux femmes au milieu d’un tourbillon de chaos, au milieu de contradictions et de mensonges, avec des cas de femmes mortes, aveugles et profondément blessées. Les médecins prescripteurs disent aux femmes que le contrôle des naissances est sans danger pour leur santé, à condition qu’elles ne fument pas. Les médecins présents dans les salles d’urgence racontent aux femmes qu’ils «rencontrent fréquemment de jeunes femmes en santé avec des caillots sanguins, presque tous issus du contrôle des naissances». Des milliards de dollars sont payés par les compagnies pharmaceutiques pour régler des poursuites légales, alors qu’ils disent toujours approuver leurs pilules contraceptives.
Les femmes ont besoin de savoir. Pour plus d’information, visitez notre site web, http://thepillkills.org/
Trouvé sur http://www.cqv.qc.ca/
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GARDASIL : TEMPÊTE AU DANEMARK
En mars 2015, la télévision nationale danoise (TV2) a diffusé un documentaire traitant des jeunes filles dont la santé aurait pu être endommagée par le vaccin Gardasil contre le HPV. Immédiatement après la diffusion de l’émission, des jeunes filles ayant vécu des expériences similaires ont commencé à se manifester. Pratiquement toutes les filles avaient la même histoire à raconter.
Elles ont commencé à connaître de graves états de santé peu de temps après avoir été vaccinées avec le Gardasil. Elles ont pratiquement toutes dû consulter un médecin. Selon Luise Juellund, la grande majorité des médecins leur ont dit que les vaccins contre le HPV ne pouvaient pas présenter d’effets secondaires graves. Comme explication alternative à leurs symptômes, les médecins ont évoqué des causes psychologiques.
Luise qui est parfaitement au courant de ce problème déclare que la santé de sa fille a été gravement endommagée. On ne peut plus la laisser seule à la maison parce qu’elle fait des convulsions tous les jours et qu’elle perd conscience pendant des heures. Après avoir expliqué les nouveaux symptômes qu’elle a éprouvés après le Gardasil, elle a dû subir une évaluation psychologique. Les psychiatres ont fait savoir qu’ils ne pouvaient rien faire, et l’ont renvoyée chez elle. Finalement le diagnostic est tombé : syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP), un effet secondaire soupçonné des vaccins contre le HPV.
Selon Peter la Cour, chef du Centre pour les Troubles Fonctionnels de Copenhague, la pratique qui consiste à refuser la possibilité d’examens et de traitements médicaux, au motif que des problèmes psychologiques peuvent provoquer des symptômes similaires est vraiment terrible. Il déclare :
Le groupe de filles que j’ai vues ne relevaient pas de la catégorie des malades mentaux ; elles étaient physiquement très malades et handicapées. Nous ne pouvons pas nous permettre de rejeter des personnes malades sous prétexte qu’elles sont dérangées mentalement. Aucun d’entre nous ne sait quoi que ce soit au sujet des raisons pour lesquelles ces personnes sont à ce point malades. La mise en avant de soi-disant raisons psychologiques présente le caractère scandaleux d’un assassinat de ces jeunes filles.
Les effets indésirables graves atteignent la proportion de Une sur 500
Le Danemark est divisé en cinq régions de soins de santé. Le 1er juin, le gouvernement a créé un centre unique dans chacune de ces régions pour recevoir et examiner toute personne soupçonnée d’avoir fait une réaction négative au Gardasil. La réaction du public a été impressionnante.
L’afflux de jeunes filles en quête de soins était de 60% plus élevée que prévu. Ce qui suggère que les effets secondaires du vaccin étaient nettement plus importants que ce que les autorités sanitaires avaient prévu. Au 9 juin, la liste d’attente des personnes qui devaient se faire examiner était d’au moins de six à neuf mois (voir la carte ci-dessous). Deux des cinq centres ne pouvaient même pas évaluer combien de temps les jeunes filles allaient devoir attendre.
Jesper Mehlsen de l’hôpital Synkopcenteret à Frederiksberg est l’un des spécialistes qui s’occupe des jeunes filles. Il a déclaré :
Nous avions pensé que le taux des effets secondaires graves pouvait être de l’ordre de 1 sur 10.000. Maintenant, il se trouve qu’il y a au moins deux cas graves sur 10.000.- Les taux d’effets secondaires ont soudainement été doublés.
Liste d’attente au 9 juin 2015
Malheureusement, l’avalanche de jeunes filles qui cherchent des diagnostics et des traitements médicaux après leur vaccination contre le HPV a continué d’augmenter.
Seulement deux jours plus tard, soit le 11 juin, le Dr Jesper Mehlsen a dû réviser son estimation du nombre de filles dont la santé avait été endommagée. Il a déclaré :
Une estimation réaliste est qu’une jeune fille sur 500 – soit 1.000 jeunes filles sur 500.000 vaccinées ont eu à souffrir d’effets secondaires graves.
Le Dr Mehlsen a participé à la recherche qui se faisait sur le vaccin HPV et a personnellement vacciné 3.000 jeunes filles. Il travaille actuellement au Centre régional de Frederiksberg et va être en charge de la coordination de la recherche à travers tout le pays. Au 11 juin, il a noté que 360 filles s’étaient présentées pour examen.
Le Dr Stig Gerdes craint que ces chiffres ne représentent que la pointe émergée de l’iceberg. Il a déclaré :
Cela ne me surprendrait pas si nous découvrions que plusieurs milliers de filles soient devenues malades. Personnellement j’ai arrêté d’administrer le Gardasil il y a quelques années après avoir vacciné environ 100 personnes.
Plus qu’une poignée d’entre ces filles sont tombées malades après le vaccin. La santé de plusieurs d’entre elles a été très gravement et complètement dévastée.
L’innocuité du vaccin contre le HPV est-elle basée sur une simple conjecture ?
Le Ministre danois de la santé, Nick Haekkerup, et le Conseil National de la Santé continuent de défendre l’utilisation du vaccin Gardasil contre le HPV alors que plus de 600 jeunes filles sont soupçonnées d’être devenues gravement malades à la suite de la vaccination. Ces deux personnalités continuent de prétendre que le vaccin est sûr et que les bénéfices l’emportent sur les risques.
Les experts qui s’occupent des jeunes filles ne peuvent évidemment pas marquer leur accord. Le coordinateur des lignes directrices nationales relatives à la vaccination contre le HPV, et qui fait partie de la Société Danoise d’Obstétrique et de Gynécologie, Jeppe Schroll déclare :
Nous ne pouvons tout simplement rien dire parce qu’en fait nous ne savons pas. Il y a tant d’incertitudes dans les études qui ont été faites sur ce vaccin ! – il ne s’agit que de pures suppositions. Il est possible que les autorités de Santé aient raison, mais cela pourrait tout juste être le contraire.
Son opinion est renforcée par la déclaration du Dr Diane Harper qui a participé au développement du Gardasil pour Merck. Elle a déclaré :
Il n’existe pas de données qui permettent de confirmer que les avantages l’emportent sur les risques. La vérité est que nous savons très peu de choses sur les effets secondaires du vaccin contre le HPV.

Le Dr Schroll relève que la propre analyse de Merck des effets secondaires graves possibles est basée sur un questionnaire que les participants aux essais cliniques ont complété deux semaines après que le vaccin leur ait été administré. Dans les années qui ont suivi, on a demandé aux femmes si elles avaient connu de nouveaux problèmes de santé.
Selon le Dr Schroll, cela ne peut donner qu’un degré élevé d’incertitude. Certaines personnes peuvent tomber malades pendant les 14 premiers jours, mais les femmes qui tombent malades plus tard pourraient ne pas établir de relation avec le vaccin.
Le Dr Schroll a déclaré qu’une autre source d’erreurs est à chercher dans le fait que la dernière grande étude Suédoise/danoise qui a porté sur un million de jeunes filles ne s’est intéressée qu’à celles qui avaient un diagnostic et pas nécessairement à celles qui avaient une liste de symptômes comme des paralysies débilitantes des bras et des jambes, des douleurs, de la fatigue chronique, des évanouissements quotidiens, des migraines quotidiennes, des vertiges – comme c’est le cas pour plus de 600 jeunes filles danoises qui doivent aujourd’hui être examinées.
Selon le Dr Jeppe Schroll :
Je pense que la raison pour laquelle ils n’ont pas trouvé d’effets secondaires au cours de leur étude, est tout simplement qu’ils ne les ont pas recherchés.
Les experts influencent la politique de la vaccination contre le HPV
Les médecins généralistes danois pensent qu’il convient d’examiner les nombreuses filles malades qui sont soupçonnées d’avoir eu des réactions indésirables à la suite du Gardasil avant d’envisager d’adopter le Gardasil 9.
Le Vice-Président de l’OLP et membre du Conseil du Comité santé, section vaccination, Niels Urich Holm marque son accord et déclare :
Nous savons trop peu de choses sur les effets secondaires. Nous avons d’abord craint que le Gardasil 9 puisse présenter plus d’effets secondaires que l’actuel Gardasil qui présente cependant plus d’effets secondaires que les autres vaccins. En second lieu, nous pensons qu’il serait prudent d’attendre les résultats des enquêtes en cours dans toutes les régions; résultats qui pourraient nous faire connaître les maladies et les symptômes observés chez un certain nombre de jeunes filles et qui pourraient avoir été causés par le vaccin. Par conséquent, avant d’introduire le nouveau vaccin contre le HPV qui est en voie d’approbation au Danemark, il faut attendre que les cinq centres régionaux aient étudié les cas de filles malades et qui ont reçu l’actuel vaccin dans les règles.
La porte-parole du parti populaire socialiste, Ozlem Cekic a également soutenu les médecins généralistes qui demandaient que le principe de précaution soit respecté quand elle a déclaré :
Je ne comprends pas pourquoi le Conseil National de Santé est si désireux de lancer un nouveau vaccin contre le HPV. Je pense que, dans l’ensemble, l’Agence a agi stupidement, ou qu’elle a été trop lente à réagir. Nous pouvons constater que de nombreuses jeunes filles ont pu devenir gravement malades à la suite des effets secondaires. Tout cela doit faire l’objet d’une enquête approfondie.
Elle a également déclaré que le Parti populaire socialiste mettra cette question du vaccin HPV sur le plan politique et qu’après les élections le parti exigera des connaissances plus approfondies de toute la documentation qui a trait au vaccin.
Liselott Blixt, rapportrice pour les problèmes de santé du Parti populaire danois a été l’une des personnes qui a déployé tous ses efforts pour que le vaccin contre le HPV soit introduit au Danemark en 2008. Elle veut maintenant que ce vaccin soit aboli. Elle déclare :
Le fait que nous ayons un si grand nombre, peut-être jusqu’à 5000 jeunes femmes qui sont devenues soudainement malades doit avoir pour conséquence que nous arrêtions tout simplement d’utiliser ce vaccin. J’ai été la première à dire un grand «oui», mais maintenant je serai aussi la première à demander que l’on abolisse cette vaccination, parce que nous, politiciens devons prendre nos responsabilités par rapport au fait que nous l’avions adopté. Et cela d’autant plus que nous ne disposons d’aucun traitement à offrir aux plus malades.
Espérons que les autorités danoises suivront l’avis des experts et s’assureront que la santé des jeunes femmes ne soit plus sacrifiée pour la promesse d’un avantage qui ne se révélera que dans quinze ou vingt ans.
Aucune jeune femme en bonne santé ne devrait avoir à sacrifier sa santé pour voir si l’expérimentation par rapport à la prévention du cancer fonctionne vraiment !