+26/06 - LA CONVERSION DES MUSULMANS AU CHRISTIANISME
EST TROP PEU ÉVOQUÉE.
Même cachée.

L’ampleur du phénomène est difficile à évaluer. C’est surtout par la réaction des autorités dans les pays islamiques qu’il est possible de s’en faire une idée ; cette réaction, essentiellement répressive et diffamatoire, est proportionnelle à la fréquence des conversions. S’il n’y a point d’enquêtes et encore moins de statistiques, c’est que la conversion au christianisme, du point de vue des musulmans, est bien pire que l’athéisme,; elle s’apparente à la trahison;, par conséquent, elle doit être réprimée et, dans la mesure du possible, tenue secrète. Le converti est une source de déshonneur pour sa famille, et il n’est d’ailleurs pas rare qu’il soit tué par ses proches. S’il n’est plus musulman, il est automatiquement divorcé de son épouse, et il perd ses droits sur ses enfants. Voilà pourquoi il est très rare que les convertis se déclarent publiquement chrétiens. Pour des raisons différentes, les autorités choisissent la discrétion, car elles craignent l’effet d’entraînement ou de contagion.
Il arrive aussi quelque fois que les persécuteurs eux-mêmes découvrent le Christ, ils le rencontrent à travers leur victime. Des militants fondamentalistes se sont convertis après avoir lu le Nnouveau Ttestament, ils pensaient y trouver des éléments qui pourraient les aider à réfuter les mystères chrétiens.
En Égypte, par exemple, les autorités ont systématiquement minimisé le nombre de chrétiens. Ils étaient six millions il y a cinquante ans, à une époque où la population de l’Égypte s’élevait à un peu moins de quarante millions de personnes. À présent, la population est évaluée à quatre-vingt-dix millions, mais les coptes ne formeraient pas plus que dix pour cent des habitants, selon les estimations des autorités ! Le pape copte Tawadros a révélé à la télévision égyptienne que le nombre réel de coptes est nettement plus élevé, la compilation des registres de paroisses fait état de plus de quinze millions, certains même parlent de vingt millions, sans compter les coptes de la diaspora, dont le nombre s’élève à trois millions environ. Les musulmans convertis au christianisme ne sont pas inclus, car officiellement ils sont musulmans et légalement ils n’ont pas le droit de changer de religion.
Conclusion : le christianisme avance sous le radar.
Tout le monde s’accorde pour dire qu’Internet et la télévision par satellite ont joué un rôle de premier plan dans la « vague de conversion » de l’islam au christianisme. La conversion est présentée comme un passage ou une traversée (en arabe oubour) des ténèbres vers la lumière. En arabe, c’est le mot aber au masculin, et abera au féminin, qui sont utilisés pour désigner les convertis ; ces mots signifient celui ou celle qui a traversé (aberine au pluriel). La conversion intime s’apparente donc à un « rite de passage intérieur », une sorte de « baptême du cœur ». Il arrive souvent que ce passage se fasse en direct sur une ligne ouverte, lors d’un programme télévisé produit par une chaîne d’évangélisation, opérée dirigée par des convertis de longue date. Le candidat appelle pour faire valoir son opinion sur le sujet de l’émission, il (ou elle) fait part de son rejet de l’islam et de sa rencontre avec le Christ. Mais le pas décisif n’est pas encore franchi, l’animateur lui pose alors la question de savoir s’il se sent prêt ou s’il préfère se donner du temps, et c’est à cet instant que, dans la majorité des cas, le candidat décide d’aller de l’avant. L’animateur lui demande s’il veut réciter avec lui une prière dans laquelle il accepte le Christ comme Seigneur et Sauveur, le candidat accepte et une courte prière est récitée, non sans une profonde émotion, perceptible au timbre de la voix. Dans tous les cas, un suivi est assuré, soit par l’animateur lui-même, soit parou un membre de son équipe. Ce suivi a pour but de soutenir le nouveau converti et de le guider dans ses démarches en vue du baptême.
Plusieurs émissions sont consacrées au témoignage direct d’anciens musulmans convertis au christianisme. Le dernier en date concerne un Éégypto-américain, ancien officier des forces spéciales égyptiennes, qui a émigré aux États-Unis dans les années soixante-dix. Homme d’affaires, il a trempé dans le djihadisme, est allé guerroyer en Afghanistan du temps de Reagan et a bien connu le Sheikh Omar Abd el Rahman (le Sheikh aveugle), responsable du premier attentat du World Trade Center de New York. Témoin à charge contre son gré, il a dû abandonner son commerce et, avec l’aide du FBI, a dû changer d’identité et constamment de lieu de résidence pour ne pas s’exposer à la vengeance des islamistes. Sans le sou et exténué, il s’est réfugié un jour dans une église, il y a fait la rencontre du Christ à travers des fidèles qui l’ont accueilli, soutenu et encouragé. Il décrit sa conversion comme une profonde transformation intérieure : « Je ne suis plus le même homme ! »
Ce type d’émission, en direct ou en différé, rejoint des millions de musulmans arabophones à travers le monde. Ils y trouvent tout d’abord des informations précises et objectives sur l’islam (coran, sunna, hadiths, charia, histoire, etc.). Elles leur sont données par des ex-musulmans très bien documentés, avec références à l’appui, et sans le moindre esprit polémique. Mais ils y trouvent aussi des informations sur le christianisme, qui leur permettent de se défaire des idées fausses et tendancieuses qui leur ont été inculqués. Deux thèmes sont particulièrement mis en lumière : l’amour de Dieu et le salut par Jésus-Christ. Ces deux éléments sont cruciaux pour les musulmans, dans la mesure où Allah leur inspire une crainte servile et où leur salut est incertain. Pour rappel, le salut dans l’islam est le produit d’une comptabilité tatillonne, qui jette dans la balance les actes bons et mauvais du croyant. Cette comptabilité est tenue par deux anges qui, au terme de la vie, dressent un bilan final, lequel déterminera le sort post-mortem du croyant. Or Mahomet lui-même a déclaré ne pas être certain de son propre salut;, on devine alors l’angoisse que vivent les musulmans, d’autant plus que les tourments de l’enfer, tels qu’ils sont décrits dans le coran, sont particulièrement horribles, pour ne pas dire sortis d’un esprit sadique.
La dimension affective tient par conséquent une place centrale dans la conversion du musulman. L’amour de Dieu, la rédemption, le pardon des péchés, le libèrent de cette angoisse morbide qui le contraignait à une pratique obsessionnelle des fameux cinq piliers de l’islam. Les troubles obsessionnels sont d’ailleurs très fréquents chez les musulmans, surtout en ce qui a trait aux ablutions qui précèdent la prière.
Un autre point important réside dans le fait que le « suprématisme » islamique (« Vous êtes la meilleure communauté suscitée parmi les hommes ; vous ordonnez le bien et interdisez ce qui est défendu » (Coran, S. 3, V. 110) joue un rôle compensatoire. Le musulman, quoiqu’incertain quant à son salut, trouve néanmoins une compensation dans le fait que « les non-musulmans iront tous en enfer » (Coran, Ss. 76, V.v 4). Lui au moins a une chance ; la foi dans l’islam lui accorde donc la supériorité dans ce monde et dans l’autre. Or nous assistons depuis plus de trente ans à une montée progressive du « suprématisme » islamique, lequel s’exprime par le djihadisme et les horreurs qui en ont résulté. « Suprématisme » est donc devenu synonyme d’extrémisme et d’effusions de sang. Le « suprématisme » accordé par Allah est la voie grande ouverte au crime, un nombre substantiel de musulmans se laisse prendre, mais un nombre encore plus important le rejette, d’autant plus que les factions rivales, qui s’entretuent sans état d’âme, sont toutes convaincues de représenter le meilleur de la « meilleure communauté suscitée parmi les hommes ». Cette certitude qui habite le musulman se trouve par conséquent ébranlée, le témoignage le plus probant de la foi islamique est le fait de musulmans qui tuent et sont tués systématiquement. On peut donc affirmer que le phénomène d’abandon de l’islam et de conversion au christianisme est en partie dû à la perte d’illusions quant à la supériorité morale de l’islam.
L’islam semble avoir atteint et dépassé le point de non-retour. Les réformateurs de l’islam déploient des efforts désespérés pour redresser la situation, mais ils se battent avec les deux mains liées derrière le dos, du fait qu’ils ne peuvent toucher ni au coran ni à la sunna de Mahomet. En fait, ils ne font que cracher pour éteindre le brasier ! L’islam est pris dans une spirale de mort, sa quête d’authenticité l’amène à s’enfoncer progressivement dans l’horreur et la folie : plus il se montre authentique et plus il perd des adeptes.
Il y a de fortes chances que les nouveaux chrétiens issus de l’islam sortent un jour de l’ombre pour régénérer la foi chrétienne, non seulement au Moyen-Orient, mais un peu partout. Église sans institution ecclésiale, ils obligeront les Églises- institutions à faire leur examen de conscience et à se remettre en question. Et qui sait, peut-être donneront-ils un sens nouveau à cette parole de Jésus : « L’heure vient – et c’est maintenant – où les véritables adorateurs adoreront le Père dans l’esprit et la vérité » (Jn 4, 23).
Un Éégyptien chrétien
Présentation auteur : Anonyme
L’auteur est un égyptien chrétien vivant au Canada. Témoin de longue date des bouleversements qui remuent de fond en comble son pays d’origine et toute la région du Moyen-Orient, il tente, en se basant sur ses observations, de regarder au-delà de l’actualité pour mieux saisir les courants qui façonneront l’avenir.
Cet article a été originellement publié dans le numéro 143 de notre revue Sedes Sapientiæ.
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Algérien, le père Paul-Élie Cheknoun est un ancien musulman devenu catholique, et il accompagne de nombreux musulmans désirant se convertir. Il est l’un des invités de la 10ème Nuit des Témoins, qui a accueilli jusqu’au 19 mars des fidèles de pays où les chrétiens sont victimes de persécutions.
Jusqu’au 19 mars 2018 a eu lieu la Nuit des Témoins organisée par l'Aide à l'Église en détresse. Des veillées de prière sont dédiées à ceux qui souffrent de persécution à cause de leur foi. Pour cette dixième édition – organisée cette année à Montpellier, Paris, La Roche-sur-Yon, Rouen, au Luxembourg et à Rome –, l'organisation œuvrant dans 150 pays a invité trois témoins venus du Mexique, d’Égypte et d’Algérie.
Originaire de ce dernier pays, le père Paul-Élie Cheknoun est un ancien musulman devenu évangélique, puis catholique et ordonné prêtre en 2016. Aujourd'hui prêtre du diocèse de Fréjus-Toulon, la vie du père Cheknoun s'organise entre la France, où il évangélise parmi les musulmans, et l'Algérie, où il accompagne les convertis de l'islam vers le christianisme. «Un phénomène trop peu évoqué», d'après lui.
Comment se déroule une conversion de l'islam vers le christianisme en Algérie ? Quels sont les obstacles ?
Ils sont nombreux. Officiellement, l'islam est la religion d'État, mais la République d'Algérie est laïque, autorisant la liberté de culte, et donc l'apostasie. Cependant, nombre de décideurs politiques sont musulmans et tendent à privilégier la loi islamique.
Le phénomène de conversion de l'islam vers le christianisme est massif : les Églises évangéliques, qui enregistrent le plus de conversions, parlent aujourd'hui de dizaines de milliers de convertis, bien que les chiffres restent très peu précis.
De fait, le gouvernement a réagi à ce phénomène. Par exemple, une loi de 2006 a eu pour objectif d'endiguer les conversions : tous les missionnaires du pays ont été expulsés. Ainsi, si l'État garantit officiellement la liberté de confession, la réalité du terrain est bien différente : conformément à la sharia, les apostats sont rejetés par leur famille, menacés de mort ou de mise en quarantaine, et doivent fuir.
Ma mission est tant que prêtre est d'accompagner ces convertis rejetés par les leurs et dispersés dans tout le pays, à travers l'administration des sacrements, les enseignements, la célébration de la messe en kabyle ou en arabe… Une fois par an, l'Église d'Algérie organise également des rassemblements, afin de les regrouper et de les accompagner dans leur conversion. Cependant, nous conseillons à tous les convertis d'être discrets et de ne pas exposer leur religion de manière visible. Certains, en Algérie, ne supportent même pas la vue d'une croix. En France, ils baissent les yeux à la vue d'une croix.
Vous évangélisez également les musulmans en France. Comment êtes-vous accueilli?
La proportion de musulmans intégristes en France est plus importante que dans les pays dits musulmans, pour la simple et bonne raison que pour les fidèles issus de l'immigration, l'islam est devenu une identité.
La plupart des djihadistes ayant rejoint l'État islamique sont d'ailleurs originaires d'Europe !
Beaucoup se convertissent également en Europe, et il est bien connu que les convertis sont souvent plus radicaux que les musulmans dits « de souche ».
Je fais partie de la Fraternité missionnaire Jean-Paul II à Fréjus, et nous faisons souvent de l'évangélisation directe, c'est-à-dire dans la rue, sur la plage, etc. Nous rencontrons beaucoup de musulmans. Je suis souvent trahi par mon «faciès» : nombre de ceux que je rencontre perçoivent que je suis d'origine maghrébine. Lorsque je dis que je suis algérien, ils comprennent alors que je suis apostat, et me rappellent que l'apostasie est punie de mort. Je dirais donc que l'évangélisation des musulmans marche mieux avec mes frères prêtres de la communauté qu'avec moi. Je participe en revanche à de nombreuses conférences ou enseignements, où je témoigne de mon expérience en tant que converti.
Vous avez été évangélique avant de vous convertir au catholicisme. Les évangéliques ont-ils plus de facilité à diffuser le message de l'Évangile en Algérie ?
On évoque souvent les difficultés de l'Église catholique en termes d'évangélisation, face à des évangéliques plus zélés. L'Église catholique est une institution officielle, hiérarchisée et surtout très visible, ce à quoi échappent les évangéliques qui bénéficient de structures indépendantes et parsemées qui les rendent plus discrets. Tandis que pour devenir prêtre, un catholique doit faire dix ans d'études, les évangéliques ont bien plus de facilité à former rapidement et discrètement la population locale. Ce type de formation s'est avéré très utile lorsque que la loi contre le «prosélytisme» en Algérie a été votée en 2006 : tous les missionnaires ayant été chassés du pays, les évangéliques ont repris la direction de leurs lieux de culte, tout en restant discrets.
Ainsi, lorsque les islamistes décident de tuer des chrétiens, ils tuent des catholiques car ils représentent les chrétiens « visibles » : nous avons des églises, des diocèses… Cependant, la situation des évangéliques a aussi empiré dernièrement : clandestins dans les années 90, leurs lieux de culte étaient autorisés depuis cinq ou six ans. Hélas, depuis un mois, l'État algérien a entrepris de fermer les temples un par un.
Avez-vous pu témoigner du phénomène des conversions en France ?
Tous les ans, nous organisons des rassemblements de convertis en France, et nous pouvons rendre compte de centaines de musulmans dans ce cas. C'est un phénomène de plus en plus répandu : beaucoup de musulmans rejoignent des Églises évangéliques, ainsi que l'Église catholique – même s'ils sont moins nombreux. Cependant, on ne parle pas de ce phénomène : je pense que c'est parce que ce n'est pas politiquement correct d'aborder cette question.
À Toulon, la proportion de personnes issues de l'islam est en augmentation constante parmi les catéchumènes adultes, et ce chaque année – de l'ordre de 10 à 15 %. Mais, encore une fois, ce phénomène n'est jamais abordé. C'est pour ça qu'il était important pour moi de participer à la Nuit des Témoins : je veux témoigner de ma conversion.
Quel regard les chrétiens d'Algérie portent-ils sur la béatification, annoncée récemment, des 19 religieux et religieuses assassinés dans le pays entre 1994 et 1996, dont les 7 moines de Tibhirine ?
Pour nous, c'est une grande fête ! Nous sommes en train de chercher un lieu pour la célébrer. Les béatifications devraient se dérouler à Oran, à l'automne, en présence du pape.
Nous sommes actuellement en négociation avec le gouvernement algérien qui, si la cérémonie a lieu en Algérie, souhaiterait insérer ces béatifications dans le cadre de commémorations en mémoire des 200.000 victimes de la guerre civile algérienne, chrétiennes et musulmanes – 99 imams avaient notamment été assassinés pour avoir refusé de justifier la violence. En cas de refus du gouvernement, cet événement devrait avoir lieu en France.
Comment voyez-vous l'avenir de l'Église catholique en Algérie ? Pensez-vous que le traitement des apostats s'améliorera ?
Il est pour moi essentiel que chacun puisse vivre sa foi aussi librement que possible et découvre l'Amour de Dieu. Ma mission est de soutenir les chrétiens, convertis ou non.
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Garib GARZIZ, Franco-Algérien musulman converti au Christ
À partager : Christ vit en lui ! D'origine Algérienne, Garib Garziz est né à Montélimar et a été élevé dans la culture musulmane et la pratique de l'Islam. A 25 ans, alors qu'il est employé comme facteur à Paris, il tombe malade et part séjourner chez sa mère qui a découvert entre temps la foi chrétienne. Durant cette convalescence, il se pose des questions et commence à réfléchir au message de l'Évangile - mais sans rien changer à sa vie, et en continuant à pratiquer l'Islam. Les années passent et un jour, alors qu'il semble que toute son existence est en train de sombrer, qu'il se retrouve dans une situation financière difficile, avec des problèmes de santé - il trouve dans des cartons une Bible. Sa lecture va l'éclairer et il va découvrir Jésus, le Messie dévoilé par la Bible. Aujourd'hui, Garib Garziz consacre sa vie à partager la vérité qu'il a découvert. Grâce à la Miséricorde de Dieu, il faut sauver les musulmans : Suprêmement miséricordieux Allah, nous avons confiance en Toi !
Beaucoup d'africains témoignent de manifestations d'entités démoniaques.
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La Mafia Khazar a rejeté l’humanité et pousse les musulmans et les chrétiens à s’exterminer mutuellement
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- La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est célèbre dans le Moyen-Orient, région dans laquelle les États-Unis œuvrent pour le bénéfice exclusif de leur golem israélien [*].
Pour comprendre certaines des questions les plus profondes et des conflits actuels au Moyen-Orient et d’une grande partie de l’Ouest, nous devons revenir à Daniel Pipes, qui, perversement et diaboliquement, a déclaré en 2013 que les États-Unis et une grande partie de l’Occident doivent soutenir à la fois et en même temps les terroristes syriens et le gouvernement Assad.
Voici le meilleur de Pipes:
«L’Occident doit empêcher chaque côté dans la guerre civile de sortir victorieux en aidant celui qui perd, de manière à prolonger leur conflit[NdT. sous-entendu : jusqu’à mort totale des deux].» [1]
Pipes savait que cela était une entreprise diabolique. Il savait que cela n’est pas conforme avec l’ordre moral et politique. Il savait qu’un conflit prolongé dans la région créerait plus de sang, plus de misère et plus de destruction. Il savait que les guerres perpétuelles signifient la haine perpétuelle envers les pays qui ont provoqué et encouragé ces guerres, à savoir, Israël et l’État sioniste d’Amérique. Il n’a pas demandé une résolution pacifique. Il voulait des morts massives, un génocide. Il voulait évidemment des terroristes syriens pour couper les cœurs de leurs victimes et les manger devant les acclamations de la foule fanatisée. [2] De plus, il sait très bien qu’aucune personne raisonnable ne serait d’accord avec sa perversion. En fait, il a ajouté:
« Cette recommandation de politique d’aider « le côté qui perd » semble étrange, je l’avoue, mais elle est stratégique. » [3]
Stratégique? Plus de chaos est stratégique? Eh bien, selon les mœurs talmudiques, la réponse est oui.
Comme l’écrivain juif Sidney Blumenthal l’a montré, le mouvement néo-conservateur a son idéologie politique et intellectuelle « dans le patrimoine agressif du Talmud.» [4]
Ce qui nous amène à un point important ici.
Pipes et ses semblables, comme saint Paul l’a fait remarquer il y a près de deux mille ans, sont en guerre avec le Logos métaphysique et avec toute la race humaine. Pipes et d’autres tentent désespérément de remuer ciel et terre pour appliquer leur plan diabolique. Ils continueront d’opposer les honnêtes gens les uns contre les autres afin qu’ils puissent établir leur Royaume Khazar sur la terre. Leur fidélité à l’Amérique n’est ni «libérale» ni «conservatrice», sinon ils n’auraient jamais manipulé les deux parties [NdT. Elle est pour « Israël d’abord »].
En fait, l’établissement- soi-disant républicain « dont beaucoup sont des cadres ou des membres du cabinet du président George W. Bush » – ont déjà mis leur sceau d’approbation sur Hillary Clinton. [5]![snake]()

Du point de vue politique, cela est totalement inexplicable. Et si vous êtes enfermé dans la rhétorique la-gauche-contre-la-droite, vous vous trouvez dans un dilemme sans espoir. Vous ne savez plus ce qui se passe réellement. Mais si vous comprenez que LA MAFIA KHAZAREpeut truquer le jeu politique et lancer les dés idéologiques pour des raisons politiques, alors vous comprendrez qu’il y a beaucoup plus ici que ce que vous voyez ou entendez.
Le point central est que, depuis que la Mafia Khazare a catégoriquement et métaphysiquement rejeté l’ordre moral et politique, les khazariens et les néocons ont inexorablement embrassé le chaos et la destruction.
Ceci est une raison pour laquelle Pipes et ses semblables ne se soucient pas de savoir si les musulmans et les chrétiens vivent ou meurent au Moyen-Orient. Ils ne se soucient pas de savoir si les mères pleurent et gémissent pour leurs enfants dans des endroits comme l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie et ailleurs. Ils ne se soucient pas de savoir si les gens se blessent ou des pays entiers sont vaporisés en une seconde. Ils ne se soucient pas si leur plan a versé trop de sang d’un pays à l’autre. Ils ne se soucient que de remplir leur plan diabolique. Bien sûr, cela est une déclaration forte. Mais écoutez très attentivement à nouveau le Néocon juif Jonah Goldberg:
« Tous les dix ans ou plus, les États-Unis ont besoin de ramasser dans leurs filets un petit pays de merde pour le jeter contre le mur, juste pour montrer au monde que nous ne plaisantons pas. » [6]
Goldberg avait encore de plus belles choses à dire:
«Il n’y a rien que nous voulons voir se produire au Moyen-Orient qui peut être accompli en parlant autour de longues tables ornées de bouteilles d’eau et de fruits frais dans les hôtels suisses qui ne peut être accompli plus rapidement et de façon plus permanente par la guerre. Et il y a beaucoup de choses qui ne peuvent pas être réalisées par ces conférences et qui ne peuvent être atteintes que par la guerre». [7]
Quant aux débâcles néocons comme le désordre complet en Irak, Goldberg dit ailleurs, c’était «une notable erreur.» [8]
Gardez à l’esprit que Goldberg est l’auteur de livres tels que « La tyrannie des clichés: comment les libéraux trichent dans les guerres des idées » Goldberg a de nouveau écrit:
« Est-ce que l’invasion de l’Irak a provoqué une instabilité dans la région? Oui. Mais dans ce contexte, l’instabilité est bien plus profitable pour nous (sous-entendu : les sionistes) ». [9]
Si cela n’est pas diabolique, alors rien ne l’est. Si Goldberg n’est pas un ennemi de la race humaine, alors personne ne l’est. Cet homme et ses semblables doivent être jugés pour les crimes qu’ils ont commis contre les honnêtes gens au Moyen-Orient. Si J. O’Rourke a raison {que le gouvernement américain est «un parlement de putains» et que les trois branches du gouvernement sont « l’argent, la télévision, et la connerie»}, alors l’esprit révolutionnaire juif, comme E. Michael Jones aurait dit, c’est «la synagogue de Satan. »
Cette synagogue a créé un environnement où «l’argent, la télévision, et les conneries » deviennent la norme. O’Rourke a un chapitre entier dans son livre intitulé: «Nos gouvernants : Qu’est ce qu’ils branlent tout le long de la journée ? Et pourquoi ça nous coûte tout ce putain de fric? »
Ne devrait-il pas maintenant poser cette question aux néoconservateurs qui nous ont donné une guerre de six milliards de dollars? [10]
En tout état de cause, la stratégie de diviser pour régner a été utilisée et est utilisée par la Mafia Khazare pour détruire les pays et les gens qu’ils n’aiment pas. Michael Hoffman va nous dire une autre facette de cette question d’une importance vitale ici.
Hoffman: Comme les Saoudiens utilisent la théologie salafiste/wahhabite pour salir les sunnites en les recrutant dans ISIS, et tandis que leurs victimes musulmanes chiites sont méprisées, le sionisme israélien et le judaïsme orthodoxe ont le vent en poupe et gagnent en prestige dans l’Ouest.
….
Ce récit correspond à la Néocon « choc des civilisations » scénario parfaitement.
Certes, il y a un tel affrontement. Il est né sur le Calvaire il y a plus de 2000 ans. Pourquoi continuons-nous d’oublier? Goldwin Smith, professeur royal d’histoire à Oxford à l’époque victorienne, a écrit:
« La partie noble de la nation juive, les véritables héritiers de David et des prophètes, a entendu l’Évangile, et sont devenus les fondateurs d’une religion humaine; la partie la moins noble, dirigée par l’orgueil national et le cérémonialisme incarnés dans le Pharisien, a rejeté l’humanité, et retomba dans un tribalisme plus dur et plus étroit qu’auparavant. Excitant la haine des autres nations et les craintes de l’Empire, ils ont perdu leur pays, et ont erré dans le monde en intensifiant leur sentiment tribal, et leur religion plus que jamais identifiée avec lui … Ils ne pouvaient pas être cosmopolites, car ils sont encore sous l’emprise du tribalisme: ils sont devenus, par nécessité, plutopolitains« ( Revisionist History newsletter 85, p. 12.).
« … l’humanité rejetée … » Qu’est-ce que ce rejet implique, sinon opposer les races, les religions et les régions les unes contre les autres pour le bien de la tribu à laquelle le professeur Smith fait allusion? La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein, reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est justement célèbre dans le Moyen-Orient, où les États-Unis sont perçus comme le serviteur du golem israélien.
Les Saoudiens, les gardiens de la Mecque et de Médine, qui contiennent les deux sanctuaires les plus saints de l’Islam, ont vendu les Palestiniens aux Israéliens il y a des décennies, et maintenant Netanyahu peut en faire ce qu’il veut. Ceci est plus qu’une trahison dans le monde islamique, c’est une espèce de trahison presque inimaginable, car les Saoudiens concèdent aussi al-Qods (Jérusalem) aux sionistes, qui abrite le troisième lieu du centre de l’Islam.
Les chiites, qui ont perdu, à cause du terrorisme d’ISIS, plus de civils que toutes les nations occidentales réunies, n’ont jamais abandonné les Palestiniens et n’ont jamais conspiré avec les Israéliens. Par conséquent, c’est l’Iran chiite et non pas l’Arabie Saoudite qui reste dans le collimateur de « notre » Congrès, « notre » Pentagone et « nos » médias. Aussi bien le Congrès, que le Pentagone ou les médias sont aux mains des sionistes.
L’Iran va probablement sentir la colère du golem américain si la tordue Hillary gagne la Maison Blanche en Novembre. Les Saoudiens quant à eux, ne souffrent d’aucune sanction américaine en dépit du fait qu’ils ont beaucoup de liens secrets avec ISIS, et qu’ils sont les promoteurs de la théologie hérétique salafiste wahhabite qui alimente la barbarie dans le monde, et qui est soutenue par le gouvernement des États-Unis.
Le Wall Street Journal du 13 Mars 2015, écrit en page A6: « … la branche syrienne d’Al-Qaïda … le Front al-Nosra, … n’a pas « dérangé Israël depuis qu’il a saisi la zone frontalière l’été dernier et certains de ses combattants gravement blessés sont régulièrement pris à travers le frontière pour recevoir des soins dans les hôpitaux israéliens « .
En Europe, cela est mieux compris. Marine LePen, chef du Front national en France, à la suite de l’assassinat du Père catholique Jacques Hamel, a appelé à la fermeture des «mosquées salafistes. Elle a distingué les Salafistes et, à juste titre, ne se réfère pas aux chiites, alors qu’aux États-Unis, nous ne parvenons pas à faire ces distinctions importantes.
Le judaïsme utilise la « judeo-Churchianity » dans le Sud de l’Amérique en tant que bras de son appareil de propagande, même si le judaïsme exècre le véritable Évangile de Jésus-Christ. Le judaïsme a utilisé dans le passé et continue d’utiliser maintenant des éléments traîtres de l’islam sunnite, malgré que, comme exposé par le rabbin Maïmonide au Moyen Age, ils maudissent Mahomet et sa religion coranique.
ISIS est utilisé pour provoquer des états policiers en Europe, au Canada et aux États-Unis, tout en noircissant la réputation des musulmans et en contribuant à l’assujettissement des Palestiniens par Israël. Plus il y a de terreur ISIS, et plus les libertés civiles sont réduites, et plus la «manière israélienne de traiter » les Palestiniens et les Libanais devient le modèle pour rétablir l’ordre dans l’Ouest. Après le meurtre du prêtre catholique en Normandie, Hervé Morin, président de la région Normandie et ministre de la Défense sous l’ancien président Nicolas Sarkozy, a déclaré: «Nous devons israéliser nos conditions de sécurité. »
Les Israéliens apparaissent ainsi comme les gagnants des relations publiques et les meilleurs amis supposés de la civilisation occidentale. Il est tragique que les personnes concernées par cette question vitale ne paient pas plus d’attention aux textes rabbiniques fondamentaux du judaïsme. Dans la Mishna et la Guemara ( «Talmud») et des livres saints successifs tels que Choul’han Aroukh de Rabbi Joseph Karo, il existe une hostilité indéracinable sauvage envers la civilisation des Gentils, des Goys.
Nous trouvons cela dans le festival Tisha B’Av (Neuvième Av) et dans le Talmud babylonien lui-même où tuer, voler, violer et les Gentils sont autorisés. Même une brève lecture d’un seul passage du Talmud, Baba Kama, présente de nombreux exemples d’hostilité à l’égard des non-juifs. Dans Baba Kama 113a, nous découvrons que «Il est permis de tromper un Gentil. » Dans cette même page, un exemple d’une affaire judiciaire est donné qui oppose un Juif contre un Gentil. Voici l’approche juridique conseillé: « On aborde le cas de manière détournée afin de faire gagner le Juif. »
Tournez la page et on rencontre Baba Kama 113b, dans laquelle les affaires perdues par un Gentil ne doivent pas lui être rendues, bien qu’elles lui appartiennent, après quoi suivent les instructions sur la façon d’arnaquer les non-Juifs dans les affaires:
« Il est permis de profiter financièrement d’une erreur d’affaires d’un Gentil. » Des cas sont donnés à titre d’illustration. Un de mes favoris personnels est l’exemple de l’arbre de palme qui doit être coupé vers le haut et le bois partagé entre un marchand juif et un marchand Gentil. Dans le Talmud, le Juif intelligent se montre plus malin que son partenaire non juif, ordonnant à son serviteur:
« Dépêchez-vous et précédez le gentil de sorte que vous pouvez prendre pour moi les troncs les plus épais que ceux de la partie supérieure de l’arbre, car le gentil ne connaît que le nombre de troncs qu’il doit recevoir et ne réalisera pas que vous prenez des morceaux plus épais. « (Baba Kama 113b).
Cette mentalité d’arnaquer les non-juifs est institutionnalisée chez les adeptes du judaïsme orthodoxe. » Les Rabbins sont susceptibles de modifier leurs mots, et l’exactitude de leurs déclarations ne doit pas être invoquée.» -Le Talmud: (Vol. II, pp 48-49.) Steinsaltz édition.
Assassinat, viol, pédophilie, sodomie, misogynie, magie, idolâtrie: le Talmud recommande tout cela sous une forme ou une autre. Les 1100 pages dans le livre de cet écrivain, le judaïsme découvert ne suffisent pas à contenir plus d’un fragment. En prévision des objections: non, aucun des textes cités n’est « pris hors contexte, » non, le Talmud est non seulement une «série de débats », c’est la source sacrée de la halakha (lois du judaïsme) de Chazal (les auteurs collectifs vénérés [les «sages»] du Talmud).
L’Islam étant dérivé du christianisme et du judaïsme talmudique, contient quelques uns des mauvais traitements et de la tromperie des non-croyants que l’on trouve dans le Talmud babylonien, mais rien de comparable ou à la même échelle, et rien n’est justifié par un des critères raciaux. Pourtant, aux États-Unis et en Occident, la crainte de la loi de la charia est beaucoup plus notoire que celle de la loi halakhique rabbinique.
Nous ne devons pas seulement procéder par les livres contenant les règles saintes du judaïsme pour racketteurs. Nous avons aussi le témoignage du passé. Dans bulletin Histoire Révisionniste no. 70 (qui est principalement destiné à documenter l’existence de beaucoup de rituels de malédictions du judaïsme sur les chrétiens Birkat Haminim) dans un excursus nous avons sondé les alliances judéo-islamiques en Espagne médiévale, où les malédictions rabbiniques ont grimpé à leurs paroxysmes extrêmes de haine contre les chrétiens, d’une manière qui n’a pas été dirigée contre les musulmans. [11]. De plus, les malédictions rabbiniques officielles sur meshummadim (juifs convertis à d’autres religions, en particulier le christianisme), ne comprennent aucun dénigrement de juifs convertis à l’islam.
A l’époque médiévale, le judaïsme a pu prospérer sous l’islam alors qu’il était sévèrement restreint en Europe catholique. Pour cette raison, entre autres, le « Ne jamais pardonner/ Ne jamais oublier » sera toujours vivace jusqu’à ce que l’Europe soit ruinée et que les populations européennes soient sévèrement diminuées. Cela ne se fait pas seulement par le pion du judaïsme qu’est ISIS. Les médias sionistes influencent et promeuvent l’avortement, la contraception, [NdT. l’homosexualité,] l’euthanasie et la haine de soi, qui sont tous des cas de pandémie en Europe et dans les pays occidentaux en général.
Les idéologies modernistes de provenance rabbinique ou sioniste qui ont pour principe le rejet de l’Évangile authentique de Jésus et la mise en place des contrefaçons. Elles tuent psychologiquement et spirituellement.
Dans le numéro actuel de Revisionist History newsletter (no. 85) nous étudions comment la banque Rothschild a gagné sa domination sur l’Angleterre à l’époque victorienne. Nous documentons que lorsque les nations balkaniques chrétiennes captives de l’Empire ottoman se révoltèrent avec l’aide de la Russie tsariste, ce sont les Rothschilds, avec l’aide du Premier ministre britannique Benjamin Disraeli, qui a soutenu le califat contre les chrétiens, en dépit des (ou peut-être dans l’approbation des) massacres de chrétiens bulgares et serbes par les milices ottomanes.
Dans notre 21ème siècle, la nation israélienne a été à l’abri des attaques d’ISIS, [NdT : d’al-Qaïda et des autres djihadosionistes, qu’on désigne globalement par « Frères Musulmans »]. Le dossier montre que les hôpitaux israéliens ont rafistolé les terroristes d’al-Qaïda et d’ISIS, puis les ont ramené en Syrie pour aider à renverser le régime d’Assad, ami et protecteur des chrétiens. Le Ministre de la Défense de Netanyahu, Moshe Ya’alon a déclaré publiquement qu’il préférait la victoire d’ISIS en Syrie.
Peut-être un jour bientôt, nos informations obtiendront une publicité suffisante pour rendre ces vérités radicales manifestes à beaucoup d’Américains et partout dans le monde … Pendant ce temps, les rabbins continuent à parader haut comme des paladins oints par les médias de la civilisation occidentale, en contraste avec leurs « faux drapeau » clandestins , ISIS et tous les autres Islamistes (salafistes, wahhabites, al-Qaïda, Frères Musulmans, …).
Jonas E. Alexis & Michael A. Hoffman
Traduction : Hannibal GENSERIC
NOTES
[*] Le golem est cette créature d’apparence humaine créée par des procédés magiques dans l’antichambre d’un kabbaliste. Du moins est-ce la perception la plus courante de ce puissant monstre anthropoïde qui a la fâcheuse habitude d’échapper au contrôle de son créateur, non seulement cela, mais il arrive que le golem parvient à contrôler son créateur, comme Israël qui contrôle l’Empire américain.
On trouve les traces de la fameuse créature dans le Talmud, dans le Sefer Yetzirah.
Au fil des jours, il croît en taille et en pouvoir de destruction. Notons que Golem signifie également « idiot, abruti », ce qui laisse présager un esprit peu brillant…
On peut s’interroger sur l’utilité d’une telle création. Pour certains, il s’agit de construire une sorte de messie vengeur et destructeur.
[1] Daniel Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.
[2] Paul Wood, “Face-to-face with Abu Sakkar, Syria’s ‘heart-eating cannibal,’” BBC, July 5, 2013.
[3] Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.
[4] Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-Establishment: From Conservative ideology to Political Power (New York: HarperCollins, 1998), 124.
[5] David E. Sanger and Maggie Haberman, “50 G.O.P. Officials Warn Donald Trump Would Put Nation’s Security ‘at Risk,’” NY Times, August 8, 2016.
[6] Quoted in Conor Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.
[7] Ibid.
[8] Jonah Goldberg, “Iraq Was a Worthy Mistake,” LA Times, October 19, 2006.
[9] Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.
[10] Ernesto Londono, “Study: Iraq, Afghan war costs to top $4 trillion,” Washington Post, March 28, 2013; Bob Dreyfuss, The $6 Trillion Wars,” The Nation, March 29, 2013; “Iraq War Cost U.S. More Than $2 Trillion, Could Grow to $6 Trillion, Says Watson Institute Study,” Huffington Post, May 14, 2013; Mark Thompson, “The $5 Trillion War on Terror,” Time, June 29, 2011; “Iraq war cost: $6 trillion. What else could have been done?,” LA Times, March 18, 2013.
[11] For other scholarly studies, see Ruth Langer, Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim (New York: Oxford University Press, 2011); for similar studies, see Jacob Yuval, Two Nations in Your Womb: Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages (Berkeley and Los Angeles: University of California Press, 2006); Elliott Horowitz, Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence (Princeton: Princeton University Press, 2006); Rodney Stark, The Rise of Christianity: How the Obscure, Marginal Jesus Movement Became the Dominant Religious Force in the Western World in a Few Centuries (Princeton: Princeton University Press, 1996).