+14/06 - BATACLAN - POURQUOI LES CONCERTS DU RAPPEUR MÉDINE
SONT CRITIQUÉS PAR LA DROITE ET L'EXTRÊME DROITE.
De nombreux élus reprochent au rappeur une supposée complaisance à l'égard de l'islamisme radical, ainsi que des paroles controversées au sujet de la laïcité.
"Une insulte insupportable à la mémoire des victimes", "aucun Français ne peut accepter que ce type aille déverser ses saloperies sur le lieu même du carnage"… De nombreux élus de droite et d'extrême droite ont réclamé, durant le week-end des 9 et 10 juin, l'annulation des concerts du rappeur Médine, prévus les 19 et 20 octobre au Bataclan. Dans la foulée, une dizaine de familles de victimes de l'attentat du 13 novembre 2015 ont annoncé lancer un recours par la voix de deux avocats pour déprogrammer l'artiste, rapporte "Le Parisien" lundi 11 juin.
Tous reprochent à Médine une supposée complaisance à l'égard de l'islamisme radical, ainsi que des paroles controversées au sujet de la laïcité. Lundi, ce dernier a réagi pour la première fois, accusant l'extrême droite de vouloir "limiter notre liberté d'expression".
Que reproche-t-on à Médine ?
Deux éléments sont essentiellement mis en avant par les détracteurs du rappeur havrais. D'abord, un extrait de sa chanson "Don't Laïk", sortie une semaine avant la tuerie de Charlie Hebdo en 2015. Dans ce texte, on peut l'entendre chanter : "Crucifions les laïcards comme à Golgotha [le lieu où Jésus aurait été crucifié] / Le polygame vaut bien mieux que l'ami Strauss-Kahn."
Là ou ailleurs on ne doit plus laisser la parole à ce genre de personne et il devrait être envoyé en Algérie dans sa famille d'origine puisqu'il déteste la France et les français, ou être mis en centre de réinsertion pour blasphème, appel à la haine.
La députée France insoumise, Obono, bonne amie de JL Mélehchon soutien un rappeur qui chante "Nique la France. Remarquez que son mai Mélechon insulte Jeanne d'Arc
La députée France insoumise, Obono, bonne amie de JL Mélehchon soutien un rappeur qui chante "Nique la France. Remarquez que son mai Mélechon insulte Jeanne d'Arc
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BATACLAN, 13-NOVEMBRE : L'ORDRE DE NON-INTERVENTION DES MILITAIRES DE L'OPÉRATION SENTINELLE AU BATACLAN " EST ARRIVÉ DU POSTE DE CRISE".
Quel est le rôle du ministre de l'intérieur ?
"L'ordre est arrivé immédiatement, il a été négatif", a expliqué Georges Fenech, le président de la commission d'enquête sur les attentats du 13 novembre 2015.
En réponse toujours le même baratin sans aucun sens. Respect des victime.....
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Des familles de victimes des attentats du 13 novembre ont décidé de déposer un recours en justice pour savoir pourquoi des soldats de l'Opération Sentinelle, présents sur les lieux, n'ont pas eu l'autorisation d'intervenir au Bataclan lors de la prise d'otages. Les soldats auraient également refusé de prêter leurs fusils d’assaut aux policiers de la BAC dépêchés sur place. Gérard Chemla est l'avocat de plusieurs familles de victimes, il a expliqué les raisons de ce recours sur BFMTV
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On ne connais toujours pas la vérité sur ce qui s'est passé au Bataclan, les journaux n'ont pas parlé des tortures infligées aux victimes.
Bataclan, la mère d'une victime dénonce : 17/03/2016
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"Je peux parfaitement comprendre que les familles veuillent en savoir davantage et veuillent comprendre et avoir toute la vérité", a réagi vendredi 8 juin Georges Fenech, le président de la commission d'enquête sur les attentats du 13 novembre 2015, alors qu'une trentaine de victimes ont annoncé vouloir déposer plainte contre X pour non-assistance à personne en péril. Huit militaires de l'opération Sentinelle, présents devant le Bataclan, ont reçu l'ordre de ne pas intervenir. Georges Fenech avoue, ce vendredi avoir été "remué" par certaines déclarations de la hiérarchie militaire.
Que penser de l'absence d'intervention de la force Sentinelle pourtant présente devant le Bataclan le soir du 13 novembre ?
Nous avons été (l'ensemble des parlementaires) très troublés par le récit qui nous en a été fait. Je rappelle simplement que se trouvaient devant le Bataclan, immédiatement, dès les premières minutes de la tuerie, des forces de police de la Bac 94, qui étaient démunies parce que non suffisamment armées face à des Kalachnikov, et elles se sont adressées aux huit militaires de la force Sentinelle qui étaient présents dès le début sur la voie publique pour faire de la surveillance et leur ont demandé d'engager le feu puisqu'il y avait l'un des trois terroristes qui était visible depuis le passage Saint-Pierre-Amelot où il rafalait à l'extérieur. Les militaires ont répondu très clairement qu'ils n'avaient pas d'ordre d'engager le feu. À ce moment-là, désemparés, les fonctionnaires de police se sont adressés au poste de commandement de la préfecture de police de Paris et l'ordre est arrivé immédiatement, il a été négatif : "Les militaires n'engagent pas le feu sur le territoire national, nous ne sommes pas en état de guerre". Donc voyant cette position, les policiers vraiment désemparés ont demandé aux militaires de leur prêter leur Famas, et les militaires ont refusé bien sûr parce qu'ils n'avaient pas d'ordre et les militaires sont faits pour obéir aux ordres. Voilà ce que nous en savons, nous ne sommes pas allés plus loin dans cette direction parce que nous n'étions pas des juges d'instruction, c'était une commission d'enquête parlementaire. À l'heure où je vous parle, nous ne savons pas dans quelles circonstances les choses se sont passées. Rappelons quand même que les militaires sur le territoire national sont sous l'autorité civile, pas sous l'autorité militaire. Les militaires commandent les militaires à l'extérieur, mais quand on est en France, la force Sentinelle est sous la direction de l'autorité civile, c'est-à-dire du préfet de police, et donc in fine du ministre de l'Intérieur.
Donc c'est le ministre de l'Intérieur qui a donné l'ordre de ne pas intervenir ?
Je n'en sais strictement rien puisque nos investigations n'ont pas été jusque-là. Ce qui est certain c'est que l'ordre est arrivé du poste de crise, du poste de commandement de la préfecture de police de Paris, qui a estimé que la force Sentinelle n'était pas dans son rôle en engageant le feu sur le territoire national. Ça ne veut pas dire que la force Sentinelle est restée inactive, elle a sécurisé le périmètre, comme on dit, à l'extérieur du Bataclan. Mais malheureusement personne [n'est intervenu], si ce n'est le courage héroïque d'un commissaire de police, qu'on appellera X, qui tient à garder l'anonymat, qui est rentré avec son chauffeur dans l'établissement et qui a éliminé, neutralisé Samy Amimour qui était sur scène et qui s'apprêtait à abattre un otage, et à partir de là ça a provoqué un phénomène de sidération, il n'y a plus eu un seul mort. Donc moi je peux parfaitement comprendre que les familles veulent en savoir davantage et veulent comprendre et avoir toute la vérité sur les circonstances de ces ordres qui ont été donnés.
Vous avez pu entendre la hiérarchie militaire. Comment s'explique-t-elle ?
J'ai procédé avec mes collègues à l'audition de la hiérarchie militaire et notamment du gouverneur militaire de Paris. Je ne vous cache pas qu'on a été un peu surpris également par certaines réponses, notamment lorsque le gouverneur militaire nous a dit, textuellement, "je n'envoie pas mes soldats dans une bouteille d'encre", ça nous avait un peu remués. Ça veut dire "je ne sais pas ce qui se passe à l'intérieur, je ne peux pas mettre en danger mes soldats". On a été interpellés par cette réaction et je ne veux pas en dire plus. Mais bien sûr qu'il y a eu des failles. Nous n'étions pas prêts le 13 novembre. Qui pouvait imaginer un tel massacre en plein Paris dans un établissement comme ça ? Ce n'était pas possible.
Le 13 novembre, il y a eu une sidération des forces de police qui se sont senties, avec leurs fusils à pompe ou armes de poing, complètement démunies par rapport à ces terroristes qui avaient des armes lourdes.
Il y a encore quelques héros en France
Paraplégique, un commissaire de police décoré
Le commissaire de police Arnaud Beldon, blessé à la colonne vertébrale par une balle et en fauteuil roulant depuis, a été décoré de la Légion d’honneur par Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, qui a salué son courage. Le policier à terre dans la salle avait en effet encouragé les personnes autour de lui à se sauver pour échapper aux tueurs. Paris Match a interviewé ce héros modeste et sa compagne Bérangère, également présente lors du fatidique concert des Eagles of Death Metal
Une médaille de plus, une commémoration..ne coûtent pas cher à notre état criminel. Cazeneuve et les autres devront payer pour tout ça!
Attentat du Bataclan: des familles s'interrogent sur le rôle des militaires. Pourquoi les tortures n'ont elles pas été révélées par les médias ?
http://vol370.blogspot.com/2016/09/1609-attentat-du-bataclan-des-familles.html
http://vol370.blogspot.com/2016/09/1609-attentat-du-bataclan-des-familles.html
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Et Cazeneuve y va à nouveau de ses doléances hypocrites lors de l'attentat de Nice. Il rappelle qu'il a tout bon, qu'il a tout bien fait...remerciements des siens et peu de paroles pour les familles de victimes sauf les habituels accompagnements psychologiques, et sympa, il restitue les corps des victimes aux familles, mais pas les cassette de vidéo surveillance*
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Sandra Bertin |
Mais que foutait là ce putain de camion sur la promenade des anglais à Nice, comme dirait Renaud* qui ne s'est jamais remis de l'assassinat de son copain Coluche!
C'est net que rien n'a été fait pour empêcher le camion de circuler .
* Christian Estrosi, l'ancien maire de Nice devenu président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) et adjoint à la sécurité de la ville, ne cesse d'accuser le ministère de l'Intérieur de ne pas avoir su assurer la sécurité sur la promenade des Anglais le soir du 14-Juillet. D'abord pointée du doigt pour ne pas avoir mobilisé assez de policiers, la place Beauvau (Ministère de l'intérieur, des armées) est désormais accusée d'avoir exercé des pressions sur une responsable de la police municipale en charge de la vidéosurveillance.
Les francs maçons à la tête de l'état se tiennent les coudes. Les personnes s'opposant a eux ont dû être menacées comme toujours.
Le lâche et menteur Bernard Cazeneuve s'acharne sur Sandra Bertin, Une femme très courageuse!
Cazeneuve - Ce mec est un malade, tout comme Macron et les autres. Ils sont choisis pour cette raison.
Le secret de Bernard Cazeneuve dévoilé
Nice - nos politiciens, rois du mensonge.
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Des terroristes reviennent de Syrie, d'autres vont être relâchés de prison. Que fait notre gouvernement. Rien, tout ceci est organisé par l'Union européenne, ils ont des ordres.