+++11 et 12/04 - COMPRENDRE LEUR MAI 68, DES PLENEL, MÉLENCHON... LEURS SYNDICATS.
LEUR RÉPONDRE AVEC NOTRE MAI 2018.
INVASION MUSULMANE ET GRÈVES :
Les propagandistes gauchistes ont toujours excellé, avec la complicité des journalistes, dans la manipulation sémantique. Avant, on disait clandestin, puis ce fut sans-papier, migrant, réfugié et maintenant exilé.
Ce ne sont jamais des voyous musulmans qui agressent en meute des innocents, ce sont des « jeunes ».
Ce ne sont jamais des musulmans respectant les concepts du Coran qui tuent des mécréants, ce sont des « déséquilibrés », dont on ne précise jamais la religion.
L’histoire de la fameuse double-peine relève de la même imposture. Auparavant, quand un étranger commettait un délit, on le mettait en prison (de temps en temps) et on le renvoyait dans son pays ensuite. Dans la sémantique gauchiste, cette décision, élémentaire, qui s’applique dans tous les pays normalement gouvernés, est devenue la double peine, et c’est Sarkozy qui y a mis fin.
Dans un article fort intéressant, notre contributeur Etienne Dolet parlait de la féroce lutte des classes des soixante-huitards contre le peuple français.
Celle-ci s’exerce quotidiennement, avec une violence tous les jours plus forte. Il y aura cinquante ans dans un mois, des petits bourgeois radicalisés, enfants de leurs lectures, avaient décidé que la France serait le laboratoire de la prochaine révolution prolétarienne qu’ils appelaient de leurs vœux. Anarchistes, trotskistes, maoïstes, situationnistes tenaient le haut du pavé dans les facultés, où ils imposaient le bordel, avec la complicité d’une majorité d’étudiants branleurs. Ils avaient décidé qu’il devait y avoir une jonction de leur lutte avec celle des ouvriers, qui s’étaient mis en grève à leur tour.
Seul problème, le salariat était fort à l’époque, sous l’influence du PCF et d’organisations syndicales puissantes. Leurs dirigeants n’avaient pas envie de passer sous les fourches caudines de jeunes idéologues, souvent méprisants pour la classe ouvrière. Et, n’en déplaise aux gauchistes, les travailleurs ont préféré de bonnes augmentations de salaire, améliorer leurs conditions de vie, plutôt que de se laisser manipuler par des petits bourgeois révolutionnaires auto-proclamés.
Cela ne leur sera jamais pardonné. Les enfants de 68, individualistes, hédonistes, profiteurs, jouisseurs, se sont parfaitement coulés dans le moule de la société de consommation et dans l’appareil d’Etat, après la victoire de Mitterrand. Le dessinateur Lauzier était d’une lucidité exceptionnelle, quand il croquait l’ancien révolutionnaire qui, dix ans plus tard, était à la tête de sa boîte de publicité, tout en faisant semblant de combattre encore le système.
A défaut de combattre le système, ces petits-bourgeois haineux ont alors décidé de détruire leur pays, au nom d’une vision internationaliste du monde, qui devait s’imposer à la France, qu’ils jugeaient moisie, ringarde et archaïque.
Il fallait d’abord briser le cadre de la nation. Le nationalisme, c’était la guerre, le patriotisme, c’était le racisme. A bas les frontières, vive la libre circulation de tous. A bas les Français, vive les citoyens du monde !
Il fallait ensuite briser la religion majoritaire de ce pays, qui incarnait historiquement notre Histoire. On se déchaîna donc dans l’anticléricalisme catholique, tout en traitant de raciste ceux qui n’aimaient pas l’islam.
Il fallait ensuite briser la famille, qui, souvent, était un cadre protecteur pour les plus faibles, et soudait une société. On eut droit à l’hymne à la pédophilie, à la propagande homosexualiste, à la ringardisation du couple hétérosexuel blanc européen, aux familles monoparentales données en exemple, et au culte de l’enfant-roi, qui devint l’enfant tyran.
Il fallait castrer la police et l’armée, comparer nos flics à des SS, légitimer les agressions contre eux, et briser les reins de notre armée, jugée école du crime. On insulta quotidiennement nos militaires qui avaient fait l’Algérie, et on osa même juger le général Aussaresses. Mais jamais un mot sur les méthodes barbares des égorgeurs du FLN.
Salauds !
Il fallait infiltrer la justice, et inverser les valeurs. Le délinquant devenait la victime de la société, et celui qui se défendait était un salaud de proprio.
Et puis, il fallait s’occuper de ces salauds d’ouvriers, ceux qui préféraient jouer au tiercé, aller voir les matches de football, et commençaient même à mal voter !
Ils méprisaient tellement les travailleurs qu’ils ont supprimé le travail manuel, et voulu que tout le monde fasse de longues études en sociologie ou école de l’art. Les grands bastions ouvriers furent détruits, brisant la culture et la dignité de centaines de milliers des nôtres. Le prétexte ? Des commissaires européens, comme le vicomte Davignon, avaient estimé que la France n’avait pas vocation à la sidérurgie, à la métallurgie, au charbon et à l’imprimerie. Exit nos usines, pour le plus grand bonheur des écolos, qui trouvaient qu’elles polluaient l’univers des bobos.
Ensuite, ils s’attaquèrent à l’homogénéité de notre population. Ils décidèrent donc d’infliger à nos classes populaires la venue d’une immigration massive, en période de chômage de masse. Il fallait bien que cette gôche, qui avait capitulé sur le combat social, se prouve qu’elle demeurait dans le camp du bien. Et pour cela, rien de tel que la bataille contre un racisme supposé, en imposant à une France qui n’en avait nul besoin une véritable invasion migratoire (même Giscard d’Estaing l’avait reconnu, et Mitterrand parla de « seuil de tolérance » dépassé).
Ces commissaires politiques, qui auraient fait merveille en Chine, en URSS ou au Cambodge, décidèrent que ce pays (ils ne disaient jamais notre pays), mais surtout ses classes populaires, devaient accepter le « vivre ensemble » qu’ils appelaient de leurs vœux pour le peuple, tout en s’en préservant soigneusement eux-mêmes.
On culpabilisa la France, et donc les Français, coupables de tout : l’esclavage, la colonisation, Vichy, la guerre d’Algérie, et le prétendu mauvais accueil des étrangers dans des « ghettos ». Bien évidemment, le racisme supposé des Français fut régulièrement pointé du doigt pour justifier toutes les violences ethniques que subissaient, ponctuellement, la France. Sos Racisme et toutes les associations gavées de subventions lancèrent des testings, relayés abondamment par les médias, pour stigmatiser ces « salauds » de Français.
Les artistes furent soumis à contribution. Cabu nous inventa un Français moyen, qui était forcément un beauf alcoolique et raciste. Yves Boisset nous fera Dupont-Lajoie, dans un registre complémentaire. BHL, Pierre Bergé et Attali crachèrent au bassinet pour les grands concerts de Sos Racisme, dont les dirigeants devinrent des pontes socialistes, ou des permanents associatifs fort bien nourris.
Coline Serreau, dans cette inoubliable scène de la crise, faisait tout dire à son personnage, Michou, joué par Patrick Timsit. Tous les films de Coline Serreau sont super et aident à comprendre la VIE.
Les petits blancs furent insultés par des sociologues gauchistes immigrationnistes comme Wievorka, qui les sommèrent d’abandonner notre modèle pour s’adapter à l’autre. L’enfer quotidien qu’ils vivaient fut nié, on parla de « sentiment d’insécurité ».
L’appareil d’Etat, ses politiciens, ses juges, ses journalistes, furent mobilisés, des années durant, matin, midi et soir, pour sermonner les Français, mentir sur les vrais chiffres de l’immigration, et sur la réalité de l’islam.
La France fut sommée d’accueillir toute la misère du monde, la gauche républicaine de Chevènement capitula en rase campagne, la droite rentra au bercail et abandonna à son tour ses valeurs.
Le droit à la différence remplaça l’assimilation. Notre école de la République, qui faisait la fierté de tous, et permettait aux enfants d’origine modeste de réussir de brillantes études et d’être récompensés de leurs efforts, sombra, sous le poids de l’immigration et des folles réformes des pédagogistes. Les classes dominantes s’en foutaient, eux, à l’image d’une Marlène Schiappa et de pratiquement tous les ministres, de droite comme de gauche, ils mettaient leurs gosses dans les écoles préservées d’une diversité qu’ils imposaient à leur peuple. Et les gauchos continuaient à infiltrer l’école de la République, pour mieux la torpiller, abandonner l’enseignement de l’Histoire de notre pays, et imposer leur idéologie dans les manuels scolaires.
Salauds !
Et puis, malgré les attentats musulmans, nos politiques, toujours soutenus par leurs juges, leurs journalistes et leurs artistes, continuaient à imposer aux Français les « migrants qui fuient la guerre ». Ces classes populaires, que nos dirigeants haïssent de tous les pores de leur peau, avaient fui les centre-villes, le vivre-ensemble, pour essayer de sauvegarder leur mode de vie, et de préserver l’avenir de leurs enfants.
Les préfets, mobilisés, leur imposeront des clandestins, souvent hommes seuls musulmans, par dizaines, sans concertation, en passant en force contre les maires et les populations coupables de résister.
Et gare au Gaulois qui a le malheur de relever la tête, de se défendre, de ne pas se laisser envahir, agresser, voler, cambrioler, assassiner. Les journalistes le calomnieront, les juges le traîneront devant les tribunaux, le condamneront à la prison. Mélenchon et Plenel le classeront à l’extrême droite. Il faut émasculer par tous les moyens ce peuple, dont certains de ses membres osent encore avoir des soubresauts de révolte. Comme le disait si bien notre amie Tatjana Festerling dans la première minute de son intervention, aux 10 ans de Riposte Laïque, la caste des protégés, avec ses voitures blindées, ses policiers et ses gardes du corps, envoie au massacre les non-protégés, livrés à la barbarie des nouveaux-venus.
Salauds !
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Ce sont ces mêmes populations, qui ont dû fuir les centre-villes, qui vont subir les grèves des chemins de fer, pendant de longues semaines. Que la privatisation du rail ne présage rien de bon pour les cheminots et les usagers, et qu’elle soit imposée par Bruxelles, ne fait aucun doute. Sauf que les collabos qui mènent ce combat ont tous appelé à voter Macron, qu’ils soient à la CGT, CFDT ou Sud, soutenus par Mélenchon, Hamon ou les gauchos. Sauf que les responsables du FN sont interdits de séjour dans les manifestations, et agressés s’ils osent se pointer, alors que ce parti est celui pour lequel les ouvriers votent majoritairement. Sauf que les Insoumis, Besancenot, Martinez, qui prétendent mener ce combat et rêvent d’un nouveau mai-68, sont des immigrationnistes fous, islamo-collabos notoires, et qu’ils accélèrent, tous les jours, la destruction de la France, dont les premières victimes sont forcément les classes populaires, les vraies, pas les nouveaux venus.
Ces petits soixante-huitards ont la haine du peuple, comme le confirme ce tweet crapuleux de Plenel, qui n’accepte pas, en bon commissaire du peuple, que les Hongrois, derrière Viktor Orban, refusent l’invasion migratoire musulmane que Bruxelles veut leur imposer. Et dire que Plenel et les siens, en 68, osaient dire que « L’émancipation des travailleurs sera l’oeuvre des travailleurs eux-mêmes ! ». Demander l’avis du peuple, cela s’appelle juste la démocratie ! Et ce mec, comme tous les « antisionistes » osait défendre les assassins palestiniens qui, en 1972, tuaient onze athlètes israéliens, comme il noie le poisson aujourd’hui quand les disciples d’Allah égorgent nos compatriotes.
Salauds !
Dans un autre registre, ce sont d’autres petits fascistes qui bloquent les facultés, par idéologie, parce qu’il espèrent recommencer, 50 ans plus tard, un nouveau mai 68. Là encore, les principales victimes de ces coups de force, cautionnés par le pouvoir qui laisse faire, et ses juges qui s’opposent à des référés d’évacuation, ce sont les étudiants issus des classes populaires, qui n’ont, en période de chômage de masse, que leurs études pour espérer s’en sortir.
Notre rédacteur historique, Maurice Vidal, ne disait pas autre chose, quand il nous racontait son mai 68, où les petits bourgeois gauchistes avaient décidé de juger le fils d’ouvrier qui voulait absolument passer ses examens.
Ceux qui animent ces mouvements sociaux sont des collabos de la mondialisation. Les principales victimes de leurs exactions sont le peuple à qui ils imposent, depuis 40 ans, l’invasion migratoire, l’islamisation de notre pays, avec les conséquences quotidiennes qui accompagnent ces phénomènes : sur-délinquance, attentats, agressions, viols. Ils ont détruit notre France, et ils paraissent vouloir accélérer sa mort. Et pourtant, une crapule comme Mélenchon ose stigmatiser les prétendues violences d’une extrême droite qui le menacerait de mort, et agresserait les paisibles bloqueurs gauchistes des universités. Escroquerie classique de cet islamo-collabo, qui protège ainsi les seuls vrais fascistes qui menacent nos libertés, ses copains gauchistes et islamistes.
A cause des Mélenchon-Plenel et de cette clique soixante-huitarde, ce sont donc d’abord les Français qui subissent une vraie double peine, de la part de ceux qui, depuis quarante ans, mènent une lutte des classes très violente contre nos compatriotes.
Salauds !
Ce sont les nôtres qui paient au prix fort les conséquences des grèves, quand les bobos, bien planqués dans leurs centre-villes, continuent à vivre normalement, et que les envahisseurs continuent à profiter de notre système social.
Et ce sont encore les nôtres qui vont payer encore le énième plan banlieue, présenté par l’ineffable Borloo, pour mettre un nouveau cautère sur une jambe de bois !
Cela fait 50 ans que les enfants de 68 détruisent méthodiquement la France, son Histoire, sa culture, sa civilisation, son peuple. Tatjana Festerling se demandait, dans sa vidéo, si les Européens avaient encore envie de vivre. Nous ignorons la réponse des Français à cette question. Nous ne savons pas s’ils sont résignés à la mort. Nous ferons, avec nos amis de Riposte Laïque, tout pour susciter un réveil des nôtres.
Nous espérons vivre assez longtemps pour assister à ce sursaut des nôtres, et voir les collabos soixante-huitards payer au prix fort l’ensemble de leur oeuvre.
Salauds !
Riposte laïque le 8 avril 2018