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+++26/03 - L'ECOLE, LA HAUTE TRAHISON.
UNE GUERRE CIVILE. 
 L'école pour les clandestins et contre nos enfants. 



Claude Meunier-Berthelot, juriste de formation, a fait toute sa carrière dans l’Éducation Nationale. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le système éducatif.


La désinformation en matière scolaire, pourquoi?
Le but est de masquer les objectifs réels poursuivis par les réformateurs de l'École depuis plusieurs décennies.
En effet, contrairement à l'attente des parents, cet objectif n'est plus celui d'instruire le peuple, de transmettre les connaissances, de former des citoyens cultivés et avisés avec une solide formation intellectuelle et professionnelle, mais celui de socialiser les masses en fabriquant des citoyens de plus en plus incultes et malléables. Cet objectif étant bien évidemment totalement étranger à celui poursuivi par les parents, prétendre à une concordance de buts entre gouvernants et parents, permet d'anesthésier - juste ce qu'il faut - les Français et paralyser leur faculté de réaction face à des réformes qui, en réalité, déstructurent le système éducatif.

Le désastre de l'Éducation nationale.
La mise en péril de l'identité des français qui deviendraient des larbins par rapport au nouveaux venus favorisés qui deviendraient l'élite.
Oui, ça paraît gros, mais la Cabaleest prête à tout pour détruire la France.
Claude Meunier Berthelot nous présente ses deux derniers ouvrages, "C'est l'identité française qu'on assassine", et "La refondation de l'école en 25 leçons". A l'heure de la grande réforme Belkacem, son diagnostic est sans pitié

2 traîtres à juger
ÉCOLE, HAUTE TRAHISON
Un peu d'histoire. Les francs maçons et la Révolution - Une explication de la débâcle scolaire programmée de longue date
* Plan Langevin-Wallon

De l'instruction au formatage (à 20mn15 Très important)

LIVRES :
Son dernier livre - "École, la Haute Trahison"– 27 juillet 2017
Son nouveau livre qui démontre qu’il y a détournement de la finalité de l’école, ce qui constitue ce que l’auteur appelle « la haute trahison ». Ne rêvons pas de restaurer l’Ecole de la République, avertit Claude Meunier-Berthelot. La « refondation » de l’Ecole pour nos enfants résulte de l’aboutissement d’un lent processus révolutionnaire de destruction de l’institution scolaire dont les différentes étapes sont parfaitement décrites et analysées dans cet ouvrage.
Ce livre examine minutieusement comment « l’éducation prioritaire » est resserrée sur les populations issues de l’immigration. La préférence étrangère semble s’installer également au sein de l’Éducation Nationale.
L’auteur souligne l’importance des écoles dites « privées hors contrat », entièrement libres de recruter les professeurs et les cadres éducatifs de leur choix, d’adopter les méthodes pédagogiques les plus performantes, de déterminer les programmes et les horaires, ainsi que de choisir les manuels scolaires. Mais ces écoles ne sont pas à l’abri d’une volonté de mainmise de l’État qui s’observe depuis un certain temps. La vigilance est bien de mise.
Le livre se conclut par un contre-projet d’École et une série de mesures concrètes préconisées. Claude-Meunier Berthelot souligne que s’affranchir totalement de l’Education Nationale et revendiquer l’indépendance des établissements scolaires constitue la seule condition de la restauration d’un enseignement de qualité pour tous qui puisse permettre une reconstruction sociale et culturelle cohérente, garante de la pérennité de l’identité française.
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C'est l'identité française qu'on assassine (2015)
Elle vient de publier une contribution très éclairante sur les errements de la politique d’éducation dans les « ZEP » (zones d’éducation prioritaire).
«  …un système éducatif parallèle à celui destiné à nos enfants et qui s’en démarque fondamentalement, système caractérisé par la recherche de l’excellence au seul profit de tous les enfants des ZEP et de la politique de la ville. »
Précédée d’une préface de Jean-Yves Le Gallou intitulée « L’Ecole, instrument du Grand Remplacement », cette étude ne perd jamais le fil idéologique qui sous-tend son propos, et bien qu’elle soit richement documentée, ne s’adresse pas aux seuls spécialistes.


L’auteur y démontre que depuis plus de dix ans de politique d’éducation dite « prioritaire » entreprise en faveur des ZEP et des quartiers de la politique de la ville – c’est-à-dire en faveur des enfants des banlieues – une remarquable continuité s’observe, sous des vocables différents ou que l’on fait resservir, mais dans un objectif qui lui est diamétralement opposé : créer une « Ecole d’excellence », dont ne bénéficiera pas le vulgum pecus, en l’occurrence l’élève moyen « français de souche ».
Le dessein est résumé dans ces quelques phrases de l’introduction :
« C’est ainsi que des “internats éducatifs” de Jack Lang aux “internats de réussite éducative” de Jean-Louis Borloo en passant par les “internats d’excellence” de Nicolas Sarkozy pour aboutir aux “internats de la réussite” de Vincent Peillon – à quoi s’ajoutent et se combinent une multitude d’autres dispositifs destinés à obtenir l’excellence scolaire pour les élèves des ZEP seulement – tous traduisent la continuité d’une même politique élitiste qui ne cesse de monter en puissance, allant jusqu’à organiser une « refondation de l’enseignement prioritaire », c’est-à-dire un système éducatif parallèle à celui destiné à nos enfants et qui s’en démarque fondamentalement, système caractérisé par la recherche de l’excellence au seul profit de tous les enfants des ZEP et de la politique de la ville. »
A travers les outils que nous décrit Claude Meunier-Berthelot, qui sont développés avec la même ardeur indépendamment des alternances politiques et qui ne sont pas l’apanage des seuls ministres jugés les plus sectaires comme Vincent Peillon, c’est typiquement une politique de discrimination positive qui est en place, au profit des enfants des banlieues « les plus défavorisés » – comprenez les enfants d’immigrés – à qui on fournira un luxe de structures d’accueil et d’accompagnement (tutorat), d’enseignants triés sur le volet et de dérogations par rapport aux règles de sélection sur lesquelles était fondée depuis l’origine l’école républicaine (notamment l’admission sur dossier dispensant de passer le concours ou l’examen d’entrée dans un établissement). L’auteur met en exergue plusieurs caractéristiques de cette politique :
• il ne s’agit pas de dispositifs cantonnés à des expérimentations localisées et confidentielles, mais bien d’une politique très ambitieuse tendant à concerner plusieurs milliers, voire dizaine de milliers d’élèves, toutes filières confondues ;
• les objectifs ne sont jamais revus à la baisse et s’empilent en couches successives par sédimentation au gré des changements de gouvernement ou de ministre, chaque nouvelle équipe voulant imprimer sa marque sans remettre en cause l’édifice préexistant ;
• le coût de cette politique est faramineux : l’auteur tente un chiffrage plausible malgré la difficulté de synthétiser les éléments du puzzle et relève qu’à plusieurs reprises la Courdes comptes s’est émue de cette situation, sans grand résultat, cela va sans dire.
Claude Meunier-Berthelot explique bien que la politique d’éducation dans les ZEP concerne tous les niveaux d’enseignement : primaire, secondaire et supérieur. On ne reprendra pas ici la description des dispositifs mis en œuvre à chaque niveau, qui sont exposés très clairement dans l’étude, mais il n’est pas inutile de s’arrêter un instant sur la partie concernant l’enseignement supérieur, pas seulement parce que c’est là que se révèle de la façon la plus emblématique l’objectif de discrimination positive voulu par les « pères fondateurs » de cette politique, en tête desquels figure Jack Lang, dont les extraits d’un discours prononcé en 2002 lors d’un colloque international sur les ZEP, cités en introduction, ont de quoi nous dessiller, s’il en était besoin. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si c’est la discrimination à l’œuvre dans le supérieur qui a été le plus commentée, de la manière la plus élogieuse s’entend, dans les médias.
On lira donc avec un intérêt tout particulier les chapitres III (« Faciliter l’accès à l’enseignement supérieur d’excellence ») et IV (« Faciliter la réussite dans l’enseignement supérieur d’excellence »). On y verra comment les expériences initiées à l’Institut d’études politiques de Paris, sous la houlette du très médiatique Richard Descoings, et à l’ESSEC se sont diffusées par capillarité à la plupart des « grandes écoles » ou certaines universités de renom.
La conclusion de Claude Meunier-Berthelot est sans appel : A l’inverse de ce que font les pays voisins, « le système français vise à former une élite étrangère à notre culture pour remplacer les cadres de la nation française dans tous les domaines ». Il s’adresse à un public ciblé qui bénéficie d’une aide phénoménale et constante, sans commune mesure avec les dépenses d’éducation qui sont dévolues à nos enfants. Cette politique d’ « éducation prioritaire » propre à la France n’a d’autre but que de détruire l’identité française de notre pays et non de venir en aide à des élèves en difficulté scolaire. L’auteur appelle donc les Français à une réaction massive contre cette offensive mortifère. On ne peut que lui donner raison.
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Bas les masques : de la désinformation sur l'école – 26 octobre 2010
Sous couvert des plus belles intentions - faire de l'École «...l'École du savoir, l'École du respect, l'École de l'exigence...» comme le proclame haut et fort Nicolas Sarkozy - une véritable révolution est en train de s'opérer au sein de l'Institution scolaire, qui en bouleverse tous les fondements et signe la fin programmée de l'École : les cours progressivement et inéluctablement supprimés, remplacés par des activités aux contours et aux exigences indéfinies n'ont d'autre but que de rompre avec la chaîne des savoirs, faire table rase du passé, prolétariser la Nationfrançaise et mondialiser les têtes ainsi décérébrées. Toutes les mesures prises préfigurent ces véritables visées.
Dans cet ouvrage, la réalité dramatique des faits tapie sous le masque de la désinformation est débusquée et la démonstration faite de l'urgente nécessité de recourir à des écoles indépendantes pour assurer l'avenir de nos enfants tout autant que la survie de la Sociétéfrançaise.
Diplômée de la faculté de Droit de l'Université Panthéon-Assas et d'un Institut de formation de cadres du secteur social, Claude Meunier-Berthelot a fait toute sa carrière dans l'Éducation Nationale où elle a enseigné auprès d'élèves de classes terminales préparant les concours d'entrée dans les instituts paramédicaux et sociaux.
A publié deux précédents ouvrages :
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Réformer l'instruction (Claude Meunier-Berthelot, Fête du Pays Réel 2015)

Terre et Famille - Conférence de Claude Meunier-Berthelot
2 - https://www.youtube.com/watch?v=KESgdz2bKg8



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