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25/03 - LA SUÈDE, CAPITALE DU VIOL DE L’EUROPE.



Vidéo choc : la Suède, capitale du viol de l’Europe, témoignage d’un journaliste
Pour tout savoir des bienfaits de l’immigration musulmane en Suède, à montrer à ceux qui doutent.


Traduction :
La Suède et ses jolies blondes, ses descendants des Vikings, son cuistot … ajoutons autre chose à cette liste : la Suèdemérite maintenant le titre de «capitale du viol de l’Europe».
La société suédoise a toujours eu la réputation d’être harmonieuse et libérale. Cette image a été balayée tandis que le nombre des violeurs atteint des sommets depuis ces cinq dernières années.
Pendant ce temps, un bouleversement historique s’est produit quant à la démographie. Ce pays, par rapport à sa population, est celui de tous les États occidentaux à l’échelle mondiale qui a accueilli le plus d’immigrés de culture islamique.
Cette immigration a débouché sur un choc des cultures qui se traduit par des enclaves dans la société suédoise.
Voici Annika Henry Frosty. Elle est journaliste et suédoise et elle a attentivement suivi la migration en provenance du Moyen Orient.
La journaliste : Nous avons une culture suédoise dans laquelle, l’année dernière, nous avons laissé entrer environ 190.000 personnes qui proviennent d’une culture très différente. Cette culture n’est pas libérale, elle a des us et coutumes radicalement différents des nôtres quant aux femmes, la sexualité, le genre etc. C’est un choc frontal, une explosion.
L’individu noir interrogé dans la rue : il y aura des conflits.
Le journaliste : nous sommes à Rinkeby, une banlieue dans le nord de Stockholm. Et nous sommes dans une zone totalement islamique. La police déclare que « c’est une zone qui leur est interdite à eux-mêmes ainsi qu’aux journalistes ».
Les images montrent un homme jetant des pierres à un journaliste.
Le commentaire : « un groupe de journalistes australiens a été attaqué durant le tournage de leur reportage».
La journaliste Annika : « si vous voulez entrer et prospérer dans une culture, vous devez vous y adapter. Ce que [les migrants] font en Europe est l’exact opposé. Les migrants répondent « comment voulez-vous qu’on s’adapte à votre culture?»
Le passant : question posée par le journaliste « pensez-vous que c’est à la Suède de s’adapter à la culture entrante ?»
Réponse du passant« absolument ».
Autre passant : question posée : « est-ce important pour vous qu’une femme vienne ici disons, habillé modestement, pantalon et bras couverts?»
Réponse du passant : « c’est notre culture ».
Un autre passant : « si vous venez à Rinkeby, à l’évidence, dans toute la Suède il y a un code vestimentaire».
Un autre passant : « j’ai fréquenté une suédoise. Elle a peur quand je viens à Rinkeby ».
Le journaliste : « c’est dangereux [de venir ici] ? » Le passant « ah oui, des fois c’est dangereux ».
Le journaliste : nous avons pu voir à quel point cela peut être dangereux. Alors que nous filmions un coin de la banlieue, cinq hommes nous ont abordés et nous ont demandé de partir. Alors que mon équipe s’en allait, j’ai simplement demandé la raison pour laquelle nous devions partir. Toujours sur le qui-vive, j’ai pu enregistrer le son :
— Bonjour. Pourquoi est-ce un problème de filmer ici ?
— Je ne veux pas être filmé.
— Quel est le …
— Je ne veux pas être filmé.
— Mais pourquoi ?
Un inconnu :
— Montrez, je veux voir !
On entend de l’arabe.
— Montrez moi
Le journaliste :
— Je ne fais rien du tout.
On peut entendre que la situation se gâte et que le journaliste (ou son matériel) est brutalisé.
L’inconnu sur un ton agressif :
— Montrez moi ce que vous avez !
Une bagarre éclate. On entend des coups qui sont échangés.
Le journaliste :
— Ne me touchez pas !
Le journaliste lâche des noms d’oiseaux puis il appelle au secours. On entend des coups. La bagarre s’intensifie. Le journaliste crie.
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— Je n’ai pas été le premier a être attaqué par un gang de migrants et je ne serai pas le dernier non plus. Ce sont les femmes qui sont les plus exposées à la violence dans tout le pays. Je suis allé dans un commissariat où j’ai pu me rendre compte que l’énorme majorité des personnes présentes pour déposer une plainte étaient des femmes. Un agent avec lequel j’ai pu m’entretenir m’a confié « que la plupart des femmes étaient là pour se plaindre d’un viol ».
Ces attaques ont lieu à travers tout le pays avec une explosion de ces viols au cours de festivals de musique.
Ces deux dernières années, des femmes, y compris des enfants de douze ans, ont été violées par dizaines par des centaines de jeunes migrants.
La stratégie est la suivante : des dizaines de jeunes hommes encerclent une ou plusieurs femmes. Des hommes, à l’intérieur du cercle, agressent sexuellement les femmes prises au piège. Le cercle extérieur fait rempart et dévie l’attention et empêche quiconque voudrait intervenir pour arrêter [le crime en cours]. Les attaques sont devenues tellement fréquentes que certains groupes musicaux, en particulier le « Mumford & Sons », ont refusé de se produire en Suède.
La journaliste Annika :
— C’est arrivé à de nombreuses reprises. Et il y a beaucoup de victimes. Mais le problème c’est que  quand il y a plainte, alors que tout le monde sait où se trouve la police … l’affaire est étouffée. Donc on a pris conscience du problème que très tardivement.
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— La police m’a confié que la majorité des personnes qu’ils arrêtent pour présomption de viol, sont de culture islamique. L’organisme officiel qui tient les statistiques criminelles, bizarrement, ne mentionne pas que les auteurs de ces crimes sont de culture musulmane.
La journaliste Annika :
— Le gouvernement refuse de reconnaître qu’il a commis une énorme erreur. Mais aussi l’UE refuse de reconnaître son erreur. Donc, nous avons laissé faire et ce mouvement se déverse dans tout le pays qui est très généreux en terme d’aide sociale.
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— Ce dont les migrants profitent en terme d’aide sociale en Suède est important. Cela comprend le logement, la nourriture, l’éducation et de l’argent en espèce.
— Le gouvernement donne-t-il assez aux migrants ?
L’homme dans la voiture :
— Oui, tout à fait assez pour tout. Tout est bien ici.
— Ah oui, la vie est belle ici ?
— Oui, meilleure ici.
Autre passant :
— Ils m’ont beaucoup donné : une maison, des vêtements. Je peux étudier …
— Tout ça, c’est le gouvernement qui a payé ?
— Oui.
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— Alors que la stupéfiante augmentation des viols faisait la une de l’actualité, ce phénomène est à mettre en parallèle avec l’augmentation choquante de tous les crimes d’une manière générale. Depuis ces deux dernières années, de sérieuses et dangereuses émeutes sont à mettre sur le compte des migrants alors que l’usage des armes à feux a drastiquement augmenté en Suède.
(André?) Rasen et Jacob (Extra ?) sont deux anciens policiers décorés. Ils ont des décennies d’expérience. Ils doivent assurer la police dans la communauté des migrants.
Dialogue entre le journaliste et les policiers :
— Y a-t-il une augmentation de la violence et des crimes, ici, en Suède ?
— Oui, plus de violence et plus dure, avec des armes …
— Quelles genre d’armes ?
— Des Kalachnikovs, des grenades qui viennent des pays de l’Est, des armes de poing de toutes sortes. N’importe quoi comme ce qu’on pourrait trouver en Afghanistan.
— La Suède n’a pas de lois strictes sur la détention des armes ?
— Absolument et on a de nouvelles lois encore plus sévères concernant les armes. Je pense que cela va dans le bon sens mais la violence augmente quand même.
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— Je suis devant un ancien commissariat qui a dû être déplacé deux ans auparavant. La police avoue que, tout simplement, elle ne pouvait pas assurer sa propre sécurité pour une présence jour et nuit !
— Cet homme joue de l’accordéon depuis plusieurs années et il apporte de la gaieté musicale au quartier. Mais il a été attaqué à plusieurs reprises.
Le musicien mimant car ne parlant pas trop l’anglais :
— ma musique, ils n’arrêtaient pas de frapper, mais la police …
— vous avez besoin de la police ici ?
— oui, il faut qu’elle revienne ici.
Retour vers le dialogue entre le journaliste et les policiers :
— Vous irez jusqu’à  dire que ces zones de non droit deviennent des États dans l’État ?
— Oui. La majorité de ces zones de non droit sont des États dans l’État.
— Au point que si vous poursuivez quelqu’un, vous vous arrêteriez net à l’entrée de ces zones de non droit ?
— Oui. Si la police poursuit une voiture pour une quelconque raison, si ils atteignent ce que nous qualifions de « nulle part », la police n’entrera pas.
— Pensez-vous que la violence s’étend dans les villes ?
— Au moins une ou deux fois par semaine.
— Et par rapport à cinq ans en arrière ?
— Oh, à l’époque, trois fois dans l’année …
— Vraiment ? Donc, l’augmentation des crimes est exponentielle ?
— (Incompréhensible) on n’attendait pas une pareille croissance [des crimes].
Pensez-vous qu’il y ait une intention délibérée de cacher cet état de fait ?
— (hochements de tête et silence révélateur). Ils ne veulent pas passer pour des racistes.
— Pensez-vous qu’il y ait une angoisse de passer pour raciste si vous identifiez les auteurs de ces crimes ?
— Bien sûr. Cette possibilité inquiète. Et c’est partout comme ça dans le monde, pas seulement en Suède. Moi aussi je le crains. On parle de quoi ?
— Que vous soyez catalogués de raciste.
— (l’homme ne comprend pas. Il confond « race» (course) et «racist» (raciste). En anglais, le début des deux mots se prononcent pareil, d’où sa réponse) Non, les poursuites en voiture, c’est quelque chose de compliqué surtout si vous êtes blond comme moi [NdT : Cette dernière réplique pourrait faire penser que le policier fait de l’humour et qu’il confond volontairement les deux mots. Peut être cherche-t-il aussi à se protéger d’une éventuelle mesure contre ses propos ensuite].
Le document reprend sur le commentaire du journaliste :
— En plus de tout cela, des dizaines de suédois ont rejoint l’EI et ils reviennent. La Suède a été victime de son premier attentat islamique.
Micro-trottoir :
— Pensez-vous que les attaques d’ordre sexuel sont un problème islamique ?
— Non, non, je pense que c’est une généralité masculine en Suède.
Une autre personne :
— Oui, le problème est dans la culture. Celle-là ou une autre. C’est un problème qui concerne les hommes.
— Je ne pense pas que cela soit dû aux migrants.
— Non, c’est un problème très pointu. C’est parce que les hommes sont mal éduqués.
— Non, pour moi cela n’a aucun rapport [avec la culture islamique]. J’aimerais qu’on me produise les preuves d’une telle corrélation.
Autre question à cette personne :
— Pensez-vous que c’est du racisme que faire une telle corrélation ?
— Bien sûr que oui, c’est comme ça que je vois les choses.
Question à une autre passante :
— Pensez-vous qu’il y ait une limite que la Suède aurait atteinte concernant l’entrée des migrants ?
— Non, il n’y a pas de limite quand il s’agit d’aider les gens.

La limite est dépassée depuis trop longtemps!!!! Nous français avons la solution, il est de notre devoir d'Agir.

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