18/03 - LA RUSSIE REJETTE L’ULTIMATUM BRITANNIQUE
SUR LA FAUSSE ATTAQUE AU GAZ NEUROTOXIQUE,
À LA SUITE DE QUOI TRUMP A VIRÉ
TILLERSON POUR AVOIR LUI AUSSI SOUTENU CE MENSONGE.
Le 13 mars 2018 par Sorcha Faal
Ce qu’on ne vous dit pas sur le monde dans lequel vous vivez. Comment l’étiquette de «théorie de la conspiration» a été conçue dans le but de faire avorter le Mouvement pour la Vérité. Comment des agents Américains sous couverture infiltrent l’Internet pour manipuler, tromper et détruire des réputations
Un nouveau rapport brûlant du Conseil de Sécurité (SC) circulant au Kremlin aujourd’hui déclare que «l’ultimatum de minuit» fixé par les Britanniques au Président Poutine pour répondre aux fausses allégations qu’une arme chimique Russe a été utilisée à Salisbury (Royaume Uni) pour agresser un ancien espion Soviétique et sa fille citoyenne Russe a été totalement rejeté – le Ministre des Affaires Étrangères Lavrov déclarant que la Russie ne répondra pas à l’ultimatum Britannique jusqu’à ce que des échantillons de la prétendue arme chimique ne lui soient parvenus comme l’exigent expressément à la fois l’Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques (OPCW) et la Convention sur les Armes Chimiques (CWC) – et cela a presqu’immédiatement été suivi du limogeage par le Président Trump du Secrétaire d’État Rex Tillerson qui avait de façon inexcusable apporté son soutien à ces fausses allégations Britanniques avant même qu’une enquête ne soit menée.
Selon ce rapport, pour comprendre pleinement cette dernière initiative dans la guerre que le gouvernement de l’ombre Américain appelé « Etat Secret » mène contre le Président Trump et
Compte-tenu que le Chef de l’Etat-Major interarmées le Général Joseph Dunford a averti en septembre dernier (2017) que la Chine était effectivement devenue la plus grande menace pour les Etats-Unis, et que la Russie Soviétique communiste de 1972, dont Kissinger avait averti l’Amérique qu’elle devait s’effondrer à l’avenir, a fait place à une démocratie vivante, continue ce rapport, le communiqué transmis par Kissinger le 8 février au Président Poutine de la part du Président Trump a été accueilli au Kremlin comme l’audacieuse initiative de paix qu’il était.
Dans ce communiqué de Kissinger du 8 février, détaille ce rapport, il y avait le fait que les Américains envisageaient la « possibilité / viabilité » d’organiser une rencontre entre le Président Trump et le dirigeant Nord-Coréen Kim Jong-Un à Vladivostok– où en 1974, Kissinger avait supervisé l’historique Rencontre au sommet sur le contrôle des armements entre le Président Gerald Ford et le Secrétaire Général Soviétique Leonid Brejnev – et dont la réalité de la tenue a fait un pas sans précédent la semaine dernière, le 8 mars, lorsque le Président Trump a effectivement annoncé qu’il allait rencontrer le dirigeant Nord-Coréen Kim Jong-Un.
« L’Etat Secret » et ses alliés mondialistes Européens faisant maintenant face à leur pire cauchemar, qui serait que le Président Trump, lors d’une rencontre organisée par le Président Poutine en Russie, pourrait parvenir à la dénucléarisation de
En témoignant devant le Conseil de Sécurité ce matin, à propos de ce « coup monté », affirme ce rapport, Nikolaï Kovalev, l’ancien directeur du Service de Sécurité Fédéral (FSB), a déclaré que sa « signature » montrait toutes les caractéristiques des services de renseignement britanniques– et que cela comprenait une agression le 4 mars contre l’ancien espion Russe Serguei Skripal et sa fille Yulia citoyenne Russe dans la ville Britannique de Salisbury– et que sans présenter de preuve, les Britanniques avaient prétendu de manière risible qu’elle avait été perpétrée en utilisant un agent neurotoxique Soviétique appelé le Novichok.
Mis à part le fait évident que la Russie n’avait aucune raison de tuer un ancien espion qui avait pleinement coopéré lors de son arrestation, et qu’il avait vécu en Grande-Bretagne pendant 8 ans, et que même si la Russie avait perpétré un tel acte, elle aurait utilisé la méthode Occidentale de payer des tueurs à gage pour l’exécuter par balles (comme Seth Rich) – étant donné qu’aucun service de renseignement sérieux n’utiliserait jamais une arme aussi dangereuse et aussi compliquée pour tuer un seul individu, poursuit ce rapport, les propagandistes de « l’Etat Secret » en Occident ont oublié d’informer leur personnel que l’année dernière, en 2017, la Russie avait complètement détruit toutes ses armes chimiques– ce que l’Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques (dont les Etats-Unis et le Royaume Uni sont membres) a salué comme « une étape cruciale ».
Quant à l’argument risible des Britanniques que la Russie avait utilisé un agent neurotoxique de l’ère Soviétique, le Novichok– qui a plus d’une centaine de variables structurelles, la plus dangereuses étant le A-232 – pour attaquer quelqu’un, ce rapport explique qu’il fait l’impasse sur le fait que le développeur Soviétique de cette arme chimique, le Dr. Vil Mirzayanov, qui a supervisé pendant 26 ans la production des armes chimiques en Union Soviétique, a conclu que même compte-tenu des protocoles de sécurité les plus stricts, l’agent neurotoxique Novichok ne pouvait pas être manipulé de manière sûre en raison de ses complications binaires lorsqu’il était activé, et que même l’utilisateur le plus expérimenté pouvait s’attendre à mourir– et c’est pourquoi il avait recommandé la destruction complète du programme d’armes chimiques de l’Union Soviétique – comme il l’avait détaillé dans son livre à sensation intitulé : « Secrets d’Etat : une chronique interne du programme d’armes chimiques Russes ».
Le Dr. Vil Mirzayanov avait ultérieurement reçu le Prix Spécial 1993 de la Fondation Cavallo pour le courage moral, le Prix 1994 Heinz R. Pagels pour les Droits de l’Homme de Science de la part de la New York Academy of Sciences et le Prix 1995 de l’American Association for the Advancement of Science Scientific Freedom and Responsibility pour ses révélations sur l’agent neurotoxique Novichok– et a également été la première personne dans les années 1970 à porter plainte contre le gouvernement Soviétique, a fortiori à gagner son procès, poursuit ce rapport, ce qui montre clairement son honnêteté mondialement reconnue, son intégrité et son expertise des armes chimiques – et qui, dans son article de 2009 intitulé : « Les formules chimiques du Novichok ne sont pas des armes terroristes », a clairement démontré pourquoi personne n’utiliserait jamais les agents neurotoxiques Novichok, en écrivant :
A GOSNIIOKhT, le centre Russe pour le développement des armes chimiques, où j’ai travaillé pendant 26 ans, tous les scientifiques et ingénieurs, y compris les responsables de départements et de laboratoires, devaient passer des examens de sécurité chaque année. Le personnel technique devait les passer tous les six mois.
La sévérité des mesures techniques dans les laboratoires et les usines qui produisaient les armes chimiques était sans précédent. Même dans ces conditions, il y a eu de nombreuses victimes et les conséquences étaient souvent mortelles.
Mon ami Andrei Zheleznyakov est mort après avoir été empoisonné par l’agent A-232 du Novichok, même s’il était expérimenté et respectait toutes les mesures de sécurité.
Une autre raison pour laquelle il est impossible à des terroristes d’utiliser des agents chimiques (comme l’agent 232 du Novichok) est qu’ils ne peuvent pas en faire une arme.
Les armes chimiques sont des agents chimiques contenus dans des bombes ou des fusées sophistiquées qui disposent de systèmes de propulsion ou de lanceurs.
Dans le cas d’armes binaires, deux substances chimiques doivent être mélangées à la perfection au cours du vol. Le mélange et la température doivent être soigneusement contrôlés. Seul du personnel militaire spécialement formé peut les manipuler avec un risque minimal d’empoisonnement ou mortel.
Il est également impossible d’envoyer des agents chimiques dans des enveloppes, comme quelqu’un l’a fait avec des spores d’anthrax aux Etats-Unis.
Le fait que la Russie avait détruit tous ses agents neurotoxiques de Novichok (parce qu’il était impossible de les manutentionner sans mourir), ne l’ayant pas empêché d’exécuter son absurde « coup monté », affirme ce rapport, le gouvernement Britannique aligné sur « l’Etat Secret » et avec l’aide des grands médias de propagande Occidentaux a, néanmoins, commencé à adresser des ultimatums à la Russie– mais le Ministre des Affaires Etrangères Lavrov a répondu en soulignant que l’Organisation pout l’Interdiction des Armes Chimiques (dont aussi bien le Royaume Uni que la Russie sont signataires) était la bonne instance pour examiner ces problèmes et que la Convention sur les Armes Chimiques prévoyait le processus d’enquête à suivre– ce que les Britanniques avaient rejeté d’emblée en disant, en substance, que tout le monde devait les croire sans aucune preuve.
Cependant, du fait que la Russie révèle la vérité sur ce « coup monté », note ce rapport, le régulateur des médias Britanniques Ofcom annonce maintenant qu’il « envisage de remettre en cause les licences de diffusion de RT » s’il s’avère qu’il y a eu « usage de la force par l’état Russe contre le Royaume Uni », dans l’empoisonnement présumé de Serguei Skripal – mais que le Conseil de Sécurité qualifie de tentative de la part des Britanniques d’empêcher leurs citoyens de découvrir la vérité – et qui fait suite à leur clôture en 2016 des comptes bancaires de RT sans aucune raison étant donné que des nations dirigées par des tyrans veulent toujours cacher la vérité.
En étant occupés à traiter de cette absurdité entourant l’affaire de leur « coup monté » de l’agent neurotoxique Novichok, poursuit ce rapport, les dirigeants Russes se sont inquiétés hier lorsque le Secrétaire d’Etat Américain Rex Tillerson (que Trump avait mis sur la touche en négociant avec la Corée ) a fait un faux pas en apportant son soutien aux Britanniques en déclarant que l’empoisonnement de l’espion Britannique « venait clairement de la Russie », sans qu’aucune preuve n’ait été présentée – et en ordonnant à son Ambassadrice à l’ONU Nikki Haley de menacer de frapper la Syrie – sur quoi la Russie a aussitôt averti des « graves conséquences » que cela aurait en déclarant : « Mrs. Haley devrait comprendre que c’est une chose d’exploiter de façon irresponsable la tribune du Conseil de Sécurité des Nations Unies et une autre que les militaires Russes et Américains ont des canaux de communication et qu’il est clairement décidé par ces canaux de ce qui devrait être fait ou non ».
Réalisant rapidement que le Secrétaire d’Etat et les Britanniques étaient sur la même position que « l’Etat Secret » pour pousser le monde au bord d’une guerre totale, conclut ce rapport, le Président Trump a aussitôt limogé Tillerson afin de limiter les dégâts alors que les militaires Russes avait averti qu’ils étaient prêts à frapper immédiatement les Américains en Syrie et qu’ils avaient également déployé leur frégate lance-missile Admiral Essen équipée de missiles de croisière à tête nucléaire Kalibr au large des côtes de la Syrie, capable de décimer les forces militaires Américaines dans tout le Moyen-Orient.
La frégate Russe Admiral Essen armée de missiles de croisière à ogive nucléaire au large des côtes de la Syrie
En examinant ce « coup monté » de l’attaque à l’arme chimique Britannique alignée sur « l’Etat Secret », conclut ce rapport, les services de renseignements Russes sont toujours dans l’incertitude sur ce qui est arrivé au principal expert de l’agent neurotoxique Novichok des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) et d’Elimination des Armes Chimiques (qui est responsable de la supervision indépendante du programme d’élimination des armes chimiques Américaines), le Dr. Timothy Cunningham, qui a soudainement disparu le 12 février, 4 jours après la proposition de Kissinger du 8 février au Président Poutine d’héberger le sommet Américano-Nord-Coréen, les médias de propagande Américains ayant annoncé qu’il était déprimé pour n’avoir pas été promu – alors que le CDC a déclaré qu’il s’agissait d’un mensonge éhonté des « fausses nouvelles »- que les Américains ne devraient pas vraiment surpris comme l’ont prouvé les informations d’hier annonçant que la Chambre des Représentants avait innocenté le Président Trump en disant qu’elle n’avait découvert aucune preuve d’une collusion entre Trump et la Russie, mais que l’ensemble des chaînes de télévision nationales CBS, ABC et NBC combinées n’y ont accordé que moins d’une minute de leurs informations– et le meilleur exemple de cette allégeance à « l’Etat Secret » est présenté par l’ancienne Directrice de la Publication du New York Times Jill Abramson qui vient juste d’admettre qu’elle gardait en permanence une « poupée thérapeutique » d’Obama dans son sac à main pour se protéger de Trump– expliquant ainsi l’hystérie qui a envahi l’ensemble des grands médias Américains.
« La pensée du monde est moralement perturbée parce qu’il est informé par des gens moralement perturbés ».
