+++05/03 - DES FILMS – "JÉSUS, ENQUÊTE CLASSÉE ?"* Etc..
QUAND LA FOI FAIT SON CINÉMA.
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Jésus, enquête classée ? |
Johnny Hallyday osait avouer sa foi aux USA, en France il devait être prudent, mais portait toujours sa croix au cou et avait même un tatouage.
La foi soulève des montagnes, elle peut sauver la France qui était un pays chrétien et doit le redevenir pour se sauver, pour nous sauver.
Je sais, pas facile d'expliquer aux jeunes les connaissances que l'on nous a fait perdre. Ces films sont là pour nous aider et ça n'est pas un hasard s'il en sort de plus en plus.
Qui a dit que les hommes ne s’intéressaient plus aux questions spirituelles? L’année de cinéma 2018 prouve en tout cas un regain d’intérêt pour ce qui touche à la foi chrétienne.
ce film arrive à point nommé: quand bien même prend-il place au début des années 1980, il trouve une résonance toute particulière de nos jours. Dans un monde où tout est remis en question sur Internet et où la religion subit de plus en plus d’attaques, la jeune génération a besoin de «voir pour croire», de preuves visibles et concrètes. Les hommes ont globalement perdu leur capacité à s’abandonner et l’opposition entre visible et invisible, concret et spirituel, foi et raison, est de plus en plus marquée. "Jésus, l’enquête" est une preuve supplémentaire que les plus sceptiques et matérialistes peuvent être touchés par la grâce de Dieu. Il constitue un sincère et accessible témoignage, à montrer aussi bien dans les aumôneries qu’à nos proches les plus incrédules.
Autres film :
Xavier Giannoli, né le 7 mars 1972 à Neuilly-sur-Seine, est un réalisateur, producteur et scénaristede cinéma français. Il est le fils de Paul Giannoli, journaliste, et petit-fils de Roger Frey, ministre du général de Gaulle, ensuite président du Conseil constitutionnel
Il y est question du visible et de l’invisible, d’un journaliste sceptique qui enquête sur une mystérieuse apparition de la Vierge Marie.
Un film qui questionne beaucoup, sans toujours apporter de réponse, à l’image de son réalisateur, agnostique.
Mais surtout un film bienveillant, que l’on peut aisément mettre en parallèle avec "Jésus, l’enquête", dans sa façon d’aborder le mystère de la foi à travers les yeux d’un athée.
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*Cédric Kahn, né le 17 juin 1966 à Crest, est un scénariste et réalisateur français. Né d'un père architecte et d'une mère pharmacienne, Cédric Kahn grandit dans la Drôme. Peu passionné pour les études traditionnelles, il manifeste dès son adolescence une vive passion pour le cinéma, animant avec plusieurs jeunes gens de son lycée de Crest une émission radiodiffusée de critique de films.

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En attendant la suite de"La Passion"* de Mel Gibson, annoncé par l’acteur Jim Caviezel (qui y joue Jésus) comme le film le plus important de l’Histoire...
*"La passion du Christ"** aura une suite, et ce sera "le film le plus important de l'Histoire"
CINÉMA - Quatorze ans après, la passion reste intacte. En 2004, Mel Gibsonavait mis Hollywood et même une partie de la planète en émoi avec sa "Passion du Christ", film de deux heures dans lequel il retraçait les derniers instants de Jésus Christ dans une fresque mêlant violence et spiritualité. Un tableau parfois caricatural et réducteur qui avait fait grincer des dents.
Quinze dans plus tard, le film est encore dans tous les esprits, et il ne va pas manquer de refaire parler de lui. En effet, si l'on savait déjà que l'écriture d'une suite était en cours, l'acteur qui incarnait Jésus dans le premier volet vient de confirmer que "La résurrection" allait voir le jour, et qu'il prêterait une fois de plus ses traits au Christ.
Un succès colossal à travers le monde
Dans une interview accordée à USA Today, Jim Caviezel, l'acteur de 49 ans, est effectivement revenu sur le projet et a confirmé qu'il retrouverait son rôle. Il affirme également que le film ne sera ni plus ni moins que "le plus important de l'Histoire", et qu'il comporte "des choses que je ne peux pas vous dire et qui vont choquer le public".
En 2004, "La passion du Christ" avait déjà rencontré un succès colossal, amassant plus de 600 millions de dollars dans le monde, et ce malgré des dialogues uniquement en araméen, en hébreu et en latin, et une vision de l'évangile dont beaucoup avaient expliqué qu'elle convoyait un antisémitisme prégnant. Une fois de plus, c'est évidemment Mel Gibson qui sera aux manettes de cette réalisation, deux ans après l'acclamé "Tu ne tueras point" et des années de polémique hors cadre.
"TU NE TUERAS POINT"(Andrew Garfield, Guerre)
Durant la Seconde Guerre mondiale, un extraordinaire soldat devient médecin pour ne pas avoir à utiliser d'arme...
Les douze dernières heures de la vie du Christ. Rendu au Mont des Oliviers, Jésus prie après avoir partagé un dernier repas avec ses apôtres. Il résiste maintenant aux tentations de Satan. "Trahi" par Judas, Jésus est arrêté et emmené à Jérusalem, où les chefs des Pharisiens l'accusent de blasphème et lui font un procès qui a pour issue sa condamnation à mort...
Les douze dernières heures de la vie de Jésus-Christ, considérées comme les plus intenses de sa vie dans lesquelles Jésus-Christ institue l'Eucharistie. Il montre Jésus priant au mont des Oliviers, et résister à la tentation de Satan. On voit ensuite Jésus capturé par les autorités juives, et flagellé du fait de sa dénonciation par Judas auprès des Grands Prêtres. Suite à cela on voit son jugement devant le préfet romain Ponce Pilate, ainsi que son passage devant Hérode, et sa condamnation à mort. Le film étant coupé de flash back sur les moments principaux de la vie publique du Christ, comme le sermon des Béatitudes. Le film s'achève par la montée au Calvaire de Jésus et par sa crucifixion, avec Marie et Marie Madeleine comme témoins. Puis finit par la résurrection du Christ.
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«Jésus, l’enquête» fait son arrivée en France. Tiré d’une histoire vraie, il raconte la quête spirituelle d’un journaliste du «Chicago Tribune».
• Auteur d’une dizaine de livres, Lee Strobel a reçu le Christian Book Award de l’Association des éditeurs chrétiens évangéliques pour quatre d’entre eux.
• "The Case for Christ" a été vendu à plus de 5 millions d’exemplaires dans le monde entier.
• Aux États-Unis, le film affiche 14,6 millions de dollars au box-office.
«J’imagine que la preuve de la divinité de Jésus est comme le courant rapide d’une rivière: nier les données serait comme nager à contre-courant, cela n’a aucun sens» déclarait il y a quelques mois Lee Strobel à un blog américain. Une métaphore de sa vie. Lui qui a passé ses trente premières années à lutter corps et âme contre le courant, jusqu’au jour où il a pu s’y abandonner. L’histoire de Lee Strobel, c’est l’histoire d’une rédemption: journaliste réputé, mais «narcissique, buveur et autodestructeur» selon ses propres dires, l’homme va connaître un chemin de conversion saisissant.
Né en 1952 aux États-Unis, Lee Strobel est un surdoué. Diplômé de journalisme à l’Université du Missouri et d’une maîtrise de droit à Yale, le jeune homme est ensuite embauché au "Chicago Tribune" où il connaît une brillante carrière. L’année 1980 est une étape cruciale et fondatrice de sa vie: l’athée convaincu qu’il est voit sa femme se convertir au christianisme. Et ce sceptique revendiqué, accroché aux preuves et aux faits, ne comprend pas. Pour lui prouver son erreur, il va se lancer dans une enquête journalistique pour le moins originale et inédite: démontrer que Jésus-Christ n’est jamais ressuscité.
Pendant plusieurs mois, il va sillonner l’Amérique pour discuter avec des spécialistes, théologiens, apologètes, prêtres, historiens, scientifiques, archéologues et même psychologues. Cette quête effrénée le mènera à une conclusion qu’il n’envisageait pas: aucune preuve ne vient réfuter la Résurrection. Pire encore, il semblerait que toutes ses recherches convergent vers une vérité qu’il ne peut plus occulter: Jésus-Christ est bel et bien ressuscité d’entre les morts. À la suite de sa femme, il devient donc chrétien le 8 novembre 1981.
Un témoignage aussi important ne pouvait pas rester dans le cercle privé: en 1998, sous l’impulsion de sa femme, ce saint Thomas du XXe siècle publie son enquête, "The Case for Christ", qui devient rapidement un best-seller outre-Atlantique. Aujourd’hui, le livre fait l’objet d’une adaptation au cinéma (produit par la société Pure Flix, à qui l’on doit le récent "Dieu n’est pas mort"*), avec en tête d’affiche l’acteur Mike Vogel, bien connu pour ses rôles à la télévision dans des séries telles que «Bates Motel» ou «Under the Dome». Et le principal défi résidait dans le fait de devoir raconter une histoire à partir d’un livre de trois cents pages. Pas un documentaire où l’on «recrache» des preuves, mais un véritable film, avec une histoire.
Le pari est réussi, puisque le réalisateur Jon Gunn va au-delà d’une simple histoire d’enquête. "Jésus, l’enquête", en plus d’être un réel voyage spirituel, est une véritable histoire d’amour, de mariage. Histoire d’amour car, du propre aveu de Lee Strobel, la conversion de sa femme a bien failli leur coûter le divorce: «J’avais épousé une Leslie insouciante, amusante, et j’ai eu peur qu’elle devienne une femme prude, sexuellement réprimée, qui privilégierait les veillées de prière et le bénévolat à notre vie de couple.» Pourtant, il avoue après coup avoir été «agréablement surpris, voire fasciné, par les changements fondamentaux du caractère, de l’intégrité et de la confiance en soi» de sa femme.
À cette époque, Dieu n’était pour Strobel qu’une invention pour atténuer ses peurs: «J’étais hostile au christianisme. Je pensais que le simple concept d’un Créateur de l’univers aimant, tout-puissant et omniscient était absurde: je pensais que Dieu ne créait pas les gens, mais que c’était les gens qui créaient Dieu, parce qu’ils avaient peur de la mort.»
Le film retrace donc, non seulement son enquête, mais également l’histoire d’un couple en difficulté, qui trouve refuge et apaisement dans la foi.
Ce film stimulera le public, lui donnera l’occasion de faire son propre voyage spirituel: «Par mon livre, je voulais atteindre les gens avec les preuves concrètes du christianisme, de la vérité, de la foi et de l’amour de Dieu. Mais les gens auront plus de facilité à regarder un film de quatre-vingt-dix minutes qu’à lire un livre de trois cents pages. Il ouvrira donc une nouvelle voie.»
En cela, il possède une réelle portée évangélique. Déjà, le livre avait eu un véritable impact sur les lecteurs. L’auteur raconte notamment qu’un homme atteint du cancer s’était converti sur son lit de mort après l’avoir lu, alors même que son frère essayait de l’y inciter depuis près de cinquante ans.
De plus, ce film arrive à point nommé: quand bien même prend-il place au début des années 1980, il trouve une résonance toute particulière de nos jours. Dans un monde où tout est remis en question sur Internet et où la religion subit de plus en plus d’attaques, la jeune génération a besoin de «voir pour croire», de preuves visibles et concrètes. Les hommes ont globalement perdu leur capacité à s’abandonner et l’opposition entre visible et invisible, concret et spirituel, foi et raison, est de plus en plus marquée. "Jésus, l’enquête" est une preuve supplémentaire que les plus sceptiques et matérialistes peuvent être touchés par la grâce de Dieu. Il constitue un sincère et accessible témoignage, à montrer aussi bien dans les aumôneries qu’à nos proches les plus incrédules.
*DIEU N'EST PAS MORT
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Le professeur de philosophie Radisson, citant de nombreux grands auteurs, demande à ses étudiants d’attester par écrit que Dieu est mort. L’un d’entre eux, Josh, s’y refuse. Son professeur le met alors au défi de prouver le contraire à lui et à ses camarades. Un défi qui ne sera pas sans conséquences…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19544184&cfilm=226390.html-----------------------------------------------------
Vous trouverez d'autre bons films, de bons livres et de bons articles sur ce site :
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"Conversation avec Dieu"13 novembre 2003de Neale Donald Walsch
" Vous êtes sur le point d'entrer en conversation avec Dieu. Oui, oui. Je sais... ce n'est pas possible. Vous croyez probablement (on vous l'a enseigné) que ce n'est pas possible. On peut parler à Dieu, bien sûr, mais pas avec Dieu, (...) C'est ce que je croyais, moi aussi. Neale Donald Walsh approche la cinquantaine et fait le bilan de sa vie : il vient de perdre son travail, ses quatre mariages se sont soldés par des échecs et sa santé est défaillante. Pris de colère, il écrit une lettre pleine de doutes à Dieu. Et là, le miracle se produit ! " Dieu " lui répond de façon claire et compréhensible. Un entretien qui durera plusieurs années, où les questions les plus intimes et les plus énigmatiques trouveront réponse pourquoi suis-je si malheureux ? Pourquoi l'homme doit-il souffrir ? Qu'est-ce que le bien et le mal ? Les interrogations troublantes que pose cet ouvrage ne doivent pas faire oublier sa haute teneur spirituelle.
Il y a dix ans paraissait en librairie le tome 1 de Conversations avec Dieu. Rapidement vendu à des centaines de milliers d'exemplaires, ce phénomène de l'édition est demeuré 137 semaines, soit plus de deux ans et demi, sur la liste des succès de vente publiée par le New York Times. Voici maintenant l'édition du 10e anniversaire, qui rassemble les trois tomes en un seul volume.