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05/02 - SCANDALE ! ABSENTÉISME DES DÉPUTÉS ET SÉNATEURS,
LES FANTÔMES DE LA RÉPUBLIQUE. OURIPOUBLIQUE ?
Livre : "Le Sénat, un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes"

Résultat de recherche d'images pour "absentéisme parlement"
L'argent de nos impôts illégaux est en plus très mal employé.

L’absentéisme parlementaire français devient célèbre en Allemagne
Une image en dit parfois bien plus qu’un long discours.
Deux photos prises cette semaine permettent une comparaison significative.
Celle du dessus montre l’Assemblée nationale française recevant le Président du Parlement allemand. A peine un tiers des parlementaires français étaient présents.
Celle du dessous montre le parlement allemand recevant le président de l’Assemblée nationale française. Tous les députés allemands faisaient acte de présence.
Il paraît que le Président du parlement allemand l’a mal pris.

Et les députés macronistes viennent ensuite vous bassiner avec l’importance de l’axe franco-allemand. Pitoyables pitres…


Que gagne un député français ? 
Sur M6, l’émission Capital a donné quelques indications intéressantes.
. 7.209 euros d’indemnité mensuelle
. 5.372 euros mensuels de frais de mandat
. 12.000 euros annuels pour les timbres et les recommandés
. 4.200 euros annuels pour les abonnements téléphoniques et numériques
. un forfait de 15.000 euros pour s’équiper en matériel informatique
. 2.800 euros de frais de taxis
. la gratuité sur les trains
. douze voyages en avion
Pour comptabiliser ce que nous coûte une assemblée de parle-menteurs, ajoutons que chaque député dispose d’un budget mensuel de 9.618 euros pour payer ses collaborateurs.
Et pour ce prix-là, quand ils daignent se déplacer, certains jouent sur leur tablette, d’autres consultent les soldes en ligne, et les épuisés… roupillent.





Les députés se présentent pour le salaire, la retraite, les avantage...ou pour nous représenter. Il y a bien longtemps que la majorité des français ne se le demandent plus !
Et ils viennent d’augmenter la CSG des retraités
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Assemblée nationale : Rugy réfléchit à des sanctions plus lourdes contre l'absentéisme
Les français n'y croient plus ! Est-ce encore un "os à ronger" pour nous faire tenir tranquille. Il y a déjà les inondations qui nous font oublier ce qui se passe aux USA. Tous les dés sont pipés !
Par Pierre Lepelletierdu journal "Le Figaro"
Le président de l'Assemblée nationale François de Rugy veut lutter contre l'absentéisme à l'Assemblée nationale. Sur France 2, mercredi, il a notamment évoqué la piste de l'alourdissement des «sanctions financières».
«Si on veut renforcer le Parlement, il faut aussi que les députés soient irréprochables.» Dans la lignée de ses mesures pour dépoussiérer l'Assemblée nationale, François de Rugy veut désormais s'attaquer à un vieux serpent de mer: la lutte contre l'absentéisme des députés. Ce nouvel objectif, dont a fait part le président de l'Assemblée nationale mercredi sur France 2, n'a pas été remis sur la table par hasard. Cela fait suite à un épisode peu glorieux du Parlement français survenu le 22 janvier dernier, à l'occasion du 55è anniversaire du «Traité de l'Élysée», qui avait fortement agacé le quatrième personnage de l'État.
Accompagné d'une délégation de parlementaires, François de Rugy s'était rendu devant un Bundestag au grand complet. Au même moment à Paris, Wolfgang Schäuble, le président de la chambre allemande, avait quant à lui été reçu dans une Assemblée nationale... aux trois quarts vide.

Davantage de sanctions financières
Pour ne pas renouveler cette mauvaise expérience, le président de l'Assemblée nationale veut durcir les règles destinées à lutter contre l'absentéisme au Palais Bourbon, en reprenant l'exemple du modèle allemand: «En Allemagne, il y a des dispositifs de sanctions qui sont plus stricts qu'en France et manifestement ça marche puisque les députés allemands étaient eux présents.»
François de Rugy évoque notamment l'idée de davantage de «sanctions financières». «Il y en a déjà à l'Assemblée nationale mais manifestement notre système n'est pas assez strict», juge-t-il, annonçant que «l'échelle des sanctions par rapport à l'absentéisme ou aux comportements dans l'hémicycle qui ne glorifient pas l'Assemblée nationale» allait être revisitée.
Le cabinet de François de Rugy n'apporte cependant pas plus de précisions sur ces sanctions pour le moment. Seul élément avancé: le prochain système de pénalités pourrait se concentrer à la fois sur l'absentéisme des députés, mais aussi sur la qualité de leur travail parlementaire, notamment en circonscriptions. Voilà les élus prévenus.
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LE SÉNAT :

"Le Sénat, un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes"
Il est bien évident que les plus pourris sont excusés et rémunérés intégralement.
Le livre :
Le Sénat: Un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes – 2 juin 2016 de Yvan Stefanovitch
On croyait tout savoir du manque d exemplarité des
348 sénateurs et de leurs privilèges monarchiques :
6.000 euros mensuels de frais « remboursés » sans justificatif, super-retraites, absentéisme endémique...
Malgré les efforts de son nouveau président Gérard Larcher,
le manque de transparence ruine toujours l image du Sénat.
À moins d un an de la présidentielle, Yvan Stefanovitch révèle
dans cet ouvrage les privilèges fiscaux que se sont octroyés
légalement ces princes de la République et le vaste système de
triche qui permet à une partie d entre eux, les « intouchables »,
de ne rien faire ou presque...
Chaque sénateur paie l impôt sur le revenu, non pas sur son
indemnité totale mensuelle (11.350 euros nets), mais uniquement
sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4.140 euros nets).
Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7.210 euros
au black, le plus légalement du monde !
L ouvrage publie l identité restée secrète des 14 sénateurs
sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par
une simple amende de 2.130 euros prélevée, une fois pour toutes,
sur leur indemnité parlementaire.
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Depuis la parution de l'article qui suit, en date du 07/02/2017, Qu'est ce qui a changé? Malgré les sanction la rémunération est juteuse !
"L'express" :
Députés et sénateurs peuvent dépenser sans justificatif, additionner fonctions et indemnités, s'absenter sans encourir de trop lourdes sanctions. La prochaine interdiction du cumul des mandats va-t-elle changer les moeurs? Gros plan sur le manque d'assiduité des parlementaires.
Quel employé pourrait s'offrir le luxe de sécher le bureau ou l'usine sans se faire virer ? Et continuer à toucher son salaire? En France, les 577 députés et 348 sénateurs échappent au sort du commun des mortels. Même quand ils sont sanctionnés pour absentéisme, ils empochent, au bas mot, les deux tiers de leurs revenus. 
Et encore, cette punition plutôt légère est récente. Longtemps, les parlementaires n'ont pas eu de comptes à rendre. A l'Assemblée nationale, l'article 159 du règlement intérieur faisait planer la menace d'une amende sur les députés boudant trop souvent les scrutins solennels: leur indemnité de fonction (un des trois éléments de leur rémunération) était amputée. D'un tiers, en cas de participation à moins de deux votes sur trois. Des deux tiers dans les cas les plus graves. Mais cette sanction n'a jamais été appliquée...  
Même mansuétude au Sénat. L'arme antiabsentéisme, conçue en 1959, n'a jamais été dégainée: selon l'article 15 du règlement maison, "en cas de trois absences consécutives non justifiées d'un sénateur dans une commission permanente", le fautif perdait illico son siège (et son droit de vote) en commission, ainsi que la moitié de son indemnité de fonction. 

Des sanctions financières pour les moins assidus
Depuis décembre 2009, c'en est fini pour les députés de cette belle impunité. Lorsqu'ils sèchent plus de deux fois par mois les travaux en commission du mercredi matin, ils écopent, pour chaque absence non justifiée, d'une retenue financière égale à 25% de leur indemnité de fonction (1.437 euros). 
Leurs collègues du Palais du Luxembourg ont suivi le mouvement avec quelques années de retard. "Je dirais que s'est développée au Sénat [...] presque une habitude d'emplois fictifs pour certains et ça, ça n'est pas acceptable pour l'opinion", déplorait Catherine Tasca (PS, Yvelines) sur la chaîne Public Sénat, le 4 novembre 2014. 
Sous l'impulsion du président Gérard Larcher, les sénateurs ont adopté un nouveau dispositif de "retenues financières": depuis octobre 2015, si un élu assiste, au cours d'un même trimestre, à moins de la moitié des votes solennels ou des réunions de commission ou encore des séances de questions au gouvernement, il doit tirer un trait sur 50% de son indemnité de fonction (1.437 euros) au trimestre suivant. L'incorrigible qui cumule les absences excessives dans les trois catégories d'exercice perd la totalité des 1.437 euros et 50% de sa précieuse indemnité représentative de frais de mandat, qui s'élève à 6.073 euros. 
Sévère, le nouveau règlement? Pas tant que ça. "Il autorise l'absence à la moitié des réunions, votes et séances de questions d'actualité", a pointé Catherine Tasca lors de l'adoption de ces mesures. Il ne met pas non plus les élus fautifs sur la paille, loin de là: "Le sénateur qui ne vient jamais ou très peu conserve un pactole d'environ 7000 euros net", a calculé le journaliste Yvan Stefanovitch, dont le livre Le Sénat, un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes (éd. du Rocher), fait l'objet d'une plainte pour diffamation déposée par la Haute Assemblée. 
Au Palais-Bourbon, le député charentais Olivier Falorni (centre gauche) plaide carrément pour des sanctions financières plus lourdes: "On connaît l'obligation de présence qui incombe aux parlementaires. Il est inacceptable de ne pas la respecter!" 

Dans les palais de la République, on règle ces affaires entre soi
En prime, les adeptes du mandat buissonnier ont plus d'un tour dans leur sac pour échapper aux retenues pécuniaires. Ils présentent un mot d'excuse pour maladie ou "cas de force majeure". Ou bien, ils font acte de présence en commission, avant de filer dès la première pause. "C'est la spécialité de François Baroin [sénateur LR de l'Aube], observe l'un de ses collègues de la commission des Finances. Il se montre pendant dix minutes, puis il disparaît!" 
Ni l'Assemblée, ni le Sénat n'ont poussé la témérité (ou la transparence) jusqu'à montrer du doigt les coupables d'absentéisme. Pas de name and shame (nommer et couvrir de honte), la version anglo-saxonne du bonnet d'âne, dans les palais de la République: on règle ces affaires entre soi, à l'abri des plumes et des micros indiscrets. 
Pourtant, de l'avis général, les rangs des hémicycles sont moins dégarnis. "Grâce à la réforme, on a 90% de présents le mardi aux questions d'actualité", se félicite Gérard Larcher. "Les lundis, jeudis et vendredis, quand les caméras de télé sont parties, il n'y a toujours pas grand monde, nuance André Gattolin, actif sénateur écologiste des Hauts-de-Seine. Le 26 janvier, en fin d'après-midi, nous n'étions qu'une quinzaine pour l'examen du texte créant une collectivité de Corse." 
La faute au cumul des mandats, que cultive l'écrasante majorité des parlementaires. "Prenez le sénateur socialiste Gérard Collomb, également maire de Lyon et président de la métropole, glisse l'un de ses pairs. Il en fait trop! Résultat: il a été sanctionné pour absentéisme l'an dernier." Cette pratique du cumul tombera bientôt dans les oubliettes de la Ve République: elle sera interdite aux députés élus en juillet prochain, puis aux sénateurs à partir d'octobre 2017. 
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Absentéisme des députés : l’Assemblée met fin à une imposture démocratique
Le bureau de l'Assemblée nationale a décidé ce mercredi 24 janvier 2018 de modifier les règles de délégation de vote. Désormais, les scrutins indiqueront clairement quels députés étaient vraiment présents dans l'hémicycle au moment du scrutin.
C’est peut-être un détail pour vous mais pour la démocratie, ça veut dire beaucoup.
Et qu'en est-ils de ceux qui sortent sous le moindre signe qu'il leur est fait par leur chef de groupe ?
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Et que dire du parlement européen où les députés reçoivent des primes pour faire passer des lois, viennent juste pour toucher leur chèque et repartent au train suivant
Rachida Dati au parlement européen: déjà indisciplinée...
Juste des beaux parleurs ! Ils font de la figuration. Tout est joué plus haut

Rachida Dati n'en peut plus sur M6

Mélenchon, "un parlement où on ne parle pas"

Jean Claude Juncker: la honte de l'Europe
Vous avez aimé, vous en voulez pour votre argent ?
Il serait temps de nous gérer par nous-même. C'est possible, comme indiqué dans certains articles. 

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