04/11 - JFK, LA CIA ET LA TROMPERIE
DES GRANDS MÉDIAS DE MASSE.
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| John Kennedy à Dallas le 22 novembre 1963 |
31/10/2017 02:19:00
Proposé à l’Opération Divulgation par Patrick J. McShay
«La commission est d’avis, sur la base des preuves qui lui ont été présentées, que le Président John F. Kennedy a probablement été assassiné à la suite d’une conspiration. La commission est dans l’incapacité d’identifier les autres tireurs ou l’étendue de la conspiration».
*1976 – Commission restreinte de la Chambre des Représentants sur l’assassinat de JFK après avoir déterminé qu’un coup de feu avait été tiré depuis le Talus Herbeux.
«Je vais briser la CIA en mille morceaux et les disséminer aux quatre vents» - Président John F. Kennedy
La décision de Donald Trump d’autoriser la publication des documents sur l’assassinat de JFK dissimulés au public depuis 54 ans jettera, on l’espère, de nouveaux éclairages sur des aspects de la conspiration dont les chercheurs n’étaient pas sûrs en raison de la campagne de désinformation médiatique et de dissimulation, coordonnée entre la CIA et le gouvernement. Grâce au travail de quelques excellents journalistes, de quelques confessions sur le lit de mort et de la fuite de divers documents au fil des années, nous avons aujourd’hui une assez bonne idée de ce qui est arrivé il y a si longtemps à Dallas à un Président qui n’était pas censé gagner et qui était aussi détesté par nos contrôleurs que le Président Donald Trump. La récente publication de documents montre que la CIA a ouvertement financé le terrorisme et coopéré avec la Mafia pour perpétrer des assassinats pour le compte du gouvernement. Donc en fait, peu de choses ont changé. J’estime que comprendre l’assassinat de Kennedy est important pour chaque Américain d’aujourd’hui, parce que nous sommes contrôlés par les mêmes psychopathes que nous l’étions en 1963, et que nous devons rester vigilants.
Sous la tutelle de Chamberlain, Kennedy a commencé à comprendre que malgré l’isolationnisme de l’Amérique, les banquiers mondiaux finiraient par avoir leur guerre et que bon gré mal gré, l’Amérique serait entraînée dans une guerre dont Franklin Delano Roosevelt (FDR), mort en avril 45, avait juré aux électeurs de les préserver. Ce que Kennedy ignorait probablement, est qu’alors même que FDR promettait de nous tenir à l’écart d’une guerre à laquelle plus de 90% des Américains étaient opposés, il travaillait en coulisse avec Churchill et les banquiers pour nous faire entrer en guerre. Il a été prouvé depuis que Roosevelt était au courant de l’attaque imminente sur Pearl Harbor et qu’il a permis qu’elle se produise pour que les Etats-Unis soient incités à entrer en guerre. Après l’attaque de Pearl Harbor, l’opinion publique bascula rapidement et les centres de recrutement ne tardèrent pas à faire le plein. Les historiens sont au courant de cette infâme tromperie depuis des décennies et l’ont cachée au public.
Les célèbres appels à l’apaisement de Chamberlain furent bientôt submergés par les appels à la guerre et il démissionna. Kennedy, qui se sentait dans l’obligation d’empêcher nos garçons de mourir dans une guerre inutile au bénéfice des banquiers internationaux, fut limogé par FDR. Les militaires Japonais étaient financés par l’émissaire des Rothschild, la banque Kuhn and Loeb de Jacob Schiff, une des plus anciennes firmes de Wall Street. La banque Rothschild de Schiff était également un des financiers de la Révolution Bolchevique et un acteur majeur des machinations qui avaient conduit à la Première Guerre Mondiale.
Le patriarche de la famille Bush, Prescott Bush, était un des sept directeurs de l’Union Banking Corp., une banque d’affaire de New York dont le propriétaire était l’industriel Allemand Fritz Thyssen, un des premiers soutiens d’Adolf Hitler et un des principaux soutiens de l’Armée Nazie. L’Union Bank a fait plus tard l’objet d’une saisie par le gouvernement Fédéral. Prescott Bush s’en est tiré avec une tape sur les doigts de la même manière que Hillary Clinton est protégée aujourd’hui. La clique qui a tué Kennedy est la même qui déteste Trump et qui n’arrêtera pas avant d’être liquidée.
Prescott Bush, George H.W. Bush et George W. Bush étaient tous destinés à être membres de la société secrète des Skull and Bonesà l’Université de Yale. Papa Bush semble avoir rejoint la CIA peu après la Deuxième Guerre Mondiale, beaucoup plus tôt que ses biographes ne veulent nous le faire croire. L’opération de la Baie des Cochonsavait pour nom de code «Zapata», le même nom que la société pétrolière de Bush à Houston. Les noms des navires de transport de troupes utilisés dans l’opération et attribués par Bush étaient le «Houston» et le «Barbara J».
Tucker Carlson a vécu récemment une déception dans une partie de son émission qui accueillait le soi-disant expert de JFK, Larry Sabato de l’Université de Virginie. Sabato est soit un agent de désinformation de l’élite ou un complet crétin qui n’avait à l’évidence pas consacré de temps à étudier sérieusement l’évènement. Il a écarté les rapports affirmant qu’Oswald travaillait pour la CIA , malgré les preuves et les témoignages des gens qui le connaissaient. Circulez, il n’y a rien à voir. Merci pour rien, Larry.
Je suis cependant extrêmement déçu par Tucker Carlson. Il devrait avoir honte de diffuser des idioties comme cette interview de Sabato et d’être aussi ignorant des faits dans cette affaire. Comment peut-il avoir invité un crétin comme Sabato lorsque quelqu’un comme Jim Fetzer est disponible ? Je ne ferais pas confiance à une chaîne qui invite des écrivaillons comme Gerald Posner à débiter leurs élucubrations sur le tueur solitaire.
Il y a désormais assez de preuves pour savoir au-delà de tout doute raisonnable qu’il y a eu un énorme complot pour assassiner Kennedy, impliquant les militaires Américains, la CIA et un certain nombre d’hommes très riches et puissants, y compris le Vice-président Lyndon Johnson. Jack Ruby disait que le public ne saurait jamais la vérité parce que les commanditaires de l’assassinat occupaient des postes de pouvoir trop élevés.
Oswald s’est engagé dans la Patrouille Aérienne de Louisiane à l’âge de 15 ans et se trouvait sous la supervision de David Ferrie, agent de longue date de la CIA et pilote ultérieurement suspecté d’être impliqué dans l’assassinat de Kennedy, incarné par Joe Pesci dans le film JFK. Ferrie était également un détective privé qui avait un bureau dans les locaux de l’avocat du mafieux Carlos Marcello. Marcello était également un suspect dans le complot pour assassiner Kennedy.
Se trouvant également dans l’unité de la Garde Aérienne sous les ordres de Ferrie, et figurant sur des photos avec lui et Oswald se trouvait également Barry Seal, infâme pilote de la CIA et trafiquant de drogue gouvernemental actuellement incarné à l’écran par Tom Cruise dans le film peu fidèle à la réalité «American Made». La véritable histoire de Seal est bien plus intéressante que cette pochade Hollywoodienne. Seal s’est également engagé dans la Garde Aérienne à 15 ans et acheminait par air des armes aux combattants de la liberté lors de dangereux vols de nuit vers Cuba pour la CIA alors qu’il était encore au lycée.
La plupart des jeunes hommes de la Patrouille Aérienne entraient ensuite dans l’armée ou dans le cas de Seal et d’autres, étaient recrutés par la CIA. Les pilotes allaient être très demandés par l’Agence dans les années suivantes et Seal était un des meilleurs. Seal allait également jouer un rôle dans l’assassinat de Kennedy en tant que pilote et membre d’une équipe de tueurs d’élite connue sous le nom d’Opération 40, soupçonnée d’avoir assassiné le Président.
John Lennon - Imagine
Alors qu’elle était une jeune femme, Marita Lorentz avait entamé une liaison avec Fidel Castro et a ensuite été recrutée par la CIA , où Frank Sturgis est devenu son agent traitant. Lorentz a souvent travaillé avec des membres de l’Opération 40 et elle croyait qu’Oswald était un membre du groupe. Elle a également déclaré que Jack Ruby connaissait des membres du groupe et en a rencontré plusieurs au cours des jours précédant l’assassinat. On suppose que Sturgis était l’auteur du tir, provenant de l’intersection du triple passage souterrain à partir d’un égout à ciel ouvert, qui a arraché l’arrière de la tête de Kennedy.
L’Opération 40 peut également revendiquer comme membres : Porter Goss, futur député et Directeur de la CIA , Felix Rodriguez, agent de longue date et ami de Papa Bush et l’homme dont on dit qu’il a traqué et tué Che Guevara. Orlando Bosch, un autre ami de Papa Bush, connu sous le nom de «Docteur Mort» et Luis Posada Carriles, qui aux côtés d’Oliver North, allait plus tard bénéficier de la grâce Présidentielle de Bush pour leurs crimes commis au cours de l’affaire Iran Contra. Guillermo Novo Sampol a été condamné pour le meurtre du diplomate Chilien Orlando Letellier dont la voiture a explosé à Washington D.C. Le verdict contre Sampol a été rapidement commué avec l’aide de ses amis haut-placés à D.C.
E. Howard Hunt*, un des plus infâmes agents de l’histoire de Il était un des gars de Hunt et sans doute un membre important de cette opération. Morales était une figure légendaire de la CIA et s’est souvent vanté quand il était éméché de son implication dans l’assassinat de JFK ainsi que dans celui de Robert Kennedy (RFK), où il a été identifié avec au moins deux autres tueurs de la CIA qui se trouvaient dans la chambre de l’Hôtel Roosevelt lorsque RFK a été tué.
Hunt parlait de Morales comme d’un tueur de sang-froid qui acceptait les missions les plus difficiles. Un autre des gars de Hunt, et proche associé de Morales, dont on suppose qu’il occupait la position de guetteur dans le bâtiment Dal-Tex était Nestor Izquierdo. Izquierdo a été formé en tant que tueur et faisait partie du groupe de tueurs Cubains dirigé par Morales. Un autre agent bien connu de la CIA identifié ultérieurement sur les photos du 22 novembre de Dealey Plazza était un associé de longue date de Morales, Rip Robertson, probablement un autre guetteur pour les tireurs qui ont pris JFK dans un tir croisé bien préparé. Morales s’est même vanté à son avocat de sa participation à l’assassinat et a dit un jour à un collègue qu’il n'avait pas peur que les autorités le retrouvent, mais plutôt que d’autres tueurs ne s’en prennent à lui parce qu’il en savait trop.
Gary Patrick Hemmings a été versé dans la CIA en provenance des Marines où il avait été le Sergent instructeur d’Oswald quelques années auparavant au Japon. Beaucoup pensent que Malcomb « Mac » Wallace était le tireur du dépôt de livres, de la fenêtre duquel on nous a fait croire qu’Oswald avait tiré. Wallace était considéré comme le tueur personnel de LBJ et était suspecté d’un certain nombre de meurtres. Une empreinte digitale trouvée dans le perchoir du sixième étage présentait 14 points de similitude avec celles de Wallace. Tosh Plumlee était un autre agent de longue date et pilote de la CIA , qui a témoigné qu’il connaissait Oswald et l’avait rencontré au cours d’une formation au renseignement à Nags Head en Caroline du Nord et plus tard à la Base Aérienne de Wheeler à Oahu (Hawaï) et encore plus tard dans une planque Alpha 66 à Dallas. Plumlee a reconnu avoir été à Dallas ce jour-là mais prétend avoir essayé d’empêcher l’assassinat.
Le 22 novembre 1963, Mac Wallace, David Morales, Gary Patrick Hemmings, Frank Sturgis, Nestor Izquierdo, Orlando Bosch, Luis Posada Carriles, Guillermo Novo Sampol, Tosh Plumlee et E. Howard Hunt étaient tous à Dealey Plaza lorsque Kennedy a été assassiné. Barry Seal était également à Dallas ce jour-là. Tout comme Papa Bush. Le gouvernement maintient que la CIA n’était pas impliquée et que vous êtes un théoricien de la conspiration si vous le pensez. La fois suivante où ces nombreux tueurs de la CIA se sont retrouvés ensemble au même endroit était lorsque Bobby Kennedy a été assassiné quelques années plus tard.
Les agents de désinformation comme Larry Sabato, dont le travail consiste à mentir au public et l’induire en erreur sur les évènements importants de notre histoire, n’évoqueront jamais la montagne de preuves de l’implication de la CIA et du véritable rôle de Lee Harvey Oswald dans l’assassinat. J’ai parlé avec Judyth Vary Baker dans l’émission de Jim Fetzer à propos de son livre « Me and Lee » (Moi et Lee) de l’implication d’Oswald et de son association avec la CIA et David Ferrie. Elle a confirmé qu’elle était la petite amie d’Oswald à l’époque où il était à la Nouvelle-Orléans et que Lee travaillait pour le CIA, tout comme elle.
Tout ce que le public sait à propos d’Oswald faisait partie de son dossier d’agent. La défection Russe, le voyage au Mexique avant l’assassinat, son contact avec les Cubains, tout. Judyth a raconté qu’elle travaillait avec David Ferrie et qu’Oswald et Ferrie étaient toujours en relation. Elle a également affirmé qu’Oswald et Jack Ruby se connaissaient avant l’assassinat, ce que confirment les documents nouvellement rendus publics. Elle a également dit qu’Oswald n’aurait jamais participé à un complot pour assassiner le Président et qu’il essayait de l’empêcher. L’histoire de Judyth a été relatée dans la série « The Men Who Killed Kennedy » (Les hommes qui ont tué Kennedy) mais elle a été largement ignorée par les médias.
Un livre a été publié dans les années 1980 avec le titre : « There's a Fish in the Courthouse » (Il y a un poisson dans le tribunal) écrit par un ancien Vétéran de la Marine devenu Inspecteur de police à Los Angeles nommé Gary Wean, qui était un bon ami du détenteur de la Médaille d’honneur de la Deuxième Guerre Mondiale devenu acteur, Audie Murphy. Dans l’un des chapitres, il raconte une incroyable histoire à propos de Murphy, de son bon ami le Shérif de Dallas Bill Decker et de leur rencontre avec le Sénateur Républicain du Texas, John Tower, qui leur a raconté ce qui s’était réellement passé à Dallas ce jour-là.
Decker se rendait fréquemment à Los Angeles et dînait toujours avec Murphy et Wean lorsqu’il était en ville. Deux semaines après l’assassinat, Decker était en ville et a rencontré les deux autres pour déjeuner ensemble. La conversation s’est rapidement focalisée sur l’assassinat et le fait que les experts en armement de tout le pays ne croyaient pas en la version officielle. Decker leur a dit qu’il savait qu’Oswald n’était pas le tireur et qu’il avait été contacté par quelqu’un d’important qui disposait d’informations cruciales sur l’assassinat mais ne faisait confiance à personne à Dallas ou à Washington. Murphy et Wean se sont envolés pour le Nouveau-Mexique pour rencontrer le Chef de la police Decker et son ami qu’il a présenté sous le nom de John.
Selon John, Oswald était un agent de renseignement de longue date qui opérait sous la direction de l’agent de la CIA , E. Howard Hunt. Oswald a été sans aucun doute recruté à l’époque où il était cadet de la Patrouille Aérienne de la même manière que Barry Seal l’a été pour devenir une star du trafic d’héroïne « d’Air America » ou pour atterrir de nuit dans un des chemins forestiers non balisés de Bill Clinton à Mena pour y décharger de la cocaïne. Oswald, selon John, pensait qu’il participait à un simulacre de tentative d’assassinat sur Kennedy qui serait imputée à Castro, mais qui s’est avérée être bien réelle.
John a également raconté que JFK n’était pas au courant du complot mais que le renseignement militaire, le FBI et la CIA étaient tous impliqués. Cela rappelait l’Opération Northwoods, qui était une attaque terroriste contre des citoyens Américains organisée par le gouvernement pour susciter du soutien à une invasion de Cuba. Cela ressemble à un plan de « problème-réaction-solution » (créer un problème pour provoquer une réaction dont la solution est déjà préparée à l’avance) concocté à Langley. Dans la dernière édition de son livre en 1996, Gary dévoile « John » comme étant John Tower, le puissant Sénateur du Texas et bon copain de George Bush.
Le New York Post a qualifié l’éditorialiste de journaux Dorothy Kigallen, de voix féminine la plus influente d’Amérique. Ses éditoriaux étaient publiés par plus de 200 journaux et son ami Ernest Hemingway l’appelait la plus grande femme écrivain du monde. Dorothy et sa machine à écrire avaient une plus grande audience qu’Oprah (Winfrey) et la télévision câblée 30 ans plus tard. Kigallen était plus qu’une éditorialiste de potins, elle était une talentueuse journaliste d’investigation qui avait développé un réseau d’informateurs que personne d’autre n’avait. Elle a sauté sur l’occasion de couvrir le procès de Jack Ruby et a été la seule journaliste à obtenir une interview de Ruby. Elle n’a pu s’empêcher de poursuivre son enquête jusqu’à sa mort.
Dans son livre « The Reporter Who Knew too Much » (La journaliste qui en savait trop), Mark Shaw présente l’hypothèse convaincante que Kigallen a été assassinée ou « suicidée » par le mafieux notoire Carlos Marcello, qui redoutait son enquête de 18 mois. Il y a sans aucun doute eu maldonne. La cause officielle de sa mort était une overdose accidentelle d’alcool et de barbituriques, mais Dorothy ne buvait habituellement qu’un seul verre, rarement plus, et l’autopsie a révélé qu’elle avait ingéré deux médicaments pour lesquels elle n’avait pas d’ordonnance et qu’elle n’était pas supposée prendre. Dorothy avait prévu un dernier voyage à la Nouvelle-Orléans pour rencontrer sa mystérieuse source avant de clore son dossier. Kigallen avait dit à son avocat peu avant de mourir : « Je vais révéler la véritable histoire et sortir le scoop du siècle ». Malheureusement, cela ne devait pas arriver.
Les hommes que Kennedy voulait limoger et qui l’ont probablement fait assassiner, ont fini par organiser la dissimulation qui les a exonérés. La CIA détestait Kennedy en 1963 et elle déteste Trump aujourd’hui. Les médias ont continué de nous persuader que les services de renseignement étaient composés de professionnels neutres qui n’étaient pas au service d’une politique partisane, mais la vérité oblige à dire que cela n’a jamais été le cas. Ils n’ont pas été du côté de Kennedy et n’ont pas été de celui de Trump. Kennedy s’était mis à dos la Mafia , les Militaires, la Banque de la Réserve Fédérale et David Ben Gourion, le Premier Ministre d’Israël parce qu’il lui avait refusé l’arme nucléaire. Le refus de Kennedy de donner son feu vert à l’invasion de la Baie des Cochons et à la guerre prévue par les Banquiers au Vietnam, cependant, a peut-être été la goutte qui a fait déborder le vase.
Les conflits à venir que nos contrôleurs ont préparé à notre intention auront peu de choses à voir avec la véritable raison pour laquelle nous envoyons nos enfants à la guerre. Les péchés de Nixon n’avaient que peu de rapport avec les cambriolages illégaux et les dissimulations et beaucoup à voir avec le fait qu’il devenait trop amical avec les Russes et les Chinois. Trump et ses généraux ne semblent pas très crédible quand ils parlent de diplomatie. Mattis « le chien enragé » a une petite lueur qui s’allume dans l’œil chaque fois qu’il annonce que « toutes les options militaires sont sur la table ». Cela me rappelle quand George W. nous avait dit qu’aucune décision n’avait été prise pour aller en Irak et que personne ne le croyait.
La guerre peut dissimuler un tas de problèmes économiques et l’Amérique fait faillite état après état. Jusqu’ici Trump a été un fauteur de guerre obéissant et ce n’est pas bon pour les Américains. Notre gouvernement crée des armées de terroristes dans le monde entier pour justifier notre présence dans les régions que nous choisissons d’exploiter, et ment ensuite sur ceux qui sont les méchants. Les médias contrôlés par la CIA vendent en douce les projets brutaux et inconstitutionnels du gouvernement et induisent en erreur et désinforment le public sur tout ce qui est important.
Sources :
Envois et traduction de Patrick T.