Quantcast
Channel: DEVENONS TOUS JOURNALISTES
Viewing all articles
Browse latest Browse all 10306

Article 0

$
0
0
+++01/11 - LE «JOURNAL» D’ANNE FRANK EST-IL AUTHENTIQUE? 
- La vérité sur les chambres à gaz.
- Le génocide des allemands après la guerre.

L'histoire du livre :
Anne Frank - Robert Faurisson

Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu'en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s'installent clandestinement dans «l'Annexe» de l'immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en février ou mars 1945, peu après sa sœur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l'un des plus émouvants sur la vie quotidienne d'une famille juive sous le joug nazi. Cette édition comporte des pages inédites. Fermer

La polémique - La Deutsche Bahn veut nommer un train «Anne Frank» : fausse bonne idée ?
------------------------------
Le « Journal » d’Anne Frank est-il authentique? Par Robert Faurisson
« Le Journal d’Anne Frank est une supercherie. » Telle est la conclusion de nos études et de nos recherches. Tel est le titre du livre que je publierai.
-------------------------------------------
LES CHAMBRES À GAZ. L'IMPOSTURE !


Il n'y a jamais eu 6 millions de personnes mortes dans les chambres à gaz et surtout pas de personnes gazées. C'est impossible.
Richard Williamson, négationniste
C'est un homme d'église et ses supérieurs le désavouent. L'église catholique est loin d'être claire.
--------------------------------------------
Plus de détail avec Robert Faurisson
Robert Faurisson nous explique pourquoi l'histoire des chambres à gaz n'est pas possible. Il a dénoncé les mensonges au sujet des camps de concentration. Il est persécuté depuis 1978. Il a consacré sa vie à ce combat. 


Le Pen a aussi dénoncé, mais par la suite il s'est adouci, politique oblige. Trop tard, on le relance toujours avec ça, Marine a voulu couper avec cette réputation sulfureuse. Mais la vérité finira par se savoir. Dans la vidéo nous voyons des corps décharnés. Je connais des allemands qui m'ont expliqué qu'ils étaient privés de nourriture et qu'en dehors des camps il y avait des gens aussi décharnés que les prisonniers et les morts et les gens maigres des camps de concentration ont été victime du TYPHUS. La faute aux bombardements "anglos/américains"
Il y a eu tant de reportages pour nous apitoyer sur les juifs et que l'on s'écrase devant les sionistes que l'on a fait passer pour des juifs. Le but était de créer l'Etat voyou d'Israël.
Une de mes filles est allée visiter Auschwitz avec leur école, elle avait 6 ans. Dans sa classe il y avait un petit enfant juif ! J'avais eu raison de retirer mes enfants de l'école quand ils avaient 3 ans, mais j'ai été persécutée....
-------------------------------------------
Quand des mensonges sont répétés inlassablement par les médias, nous finissons par les croire sans nous poser de question même si c'est impossible comme ça l'est pour l'effondrement des tours du 11 septembre en quelques secondes.
L'invention de la Shoa :
Robert FAURISSON dit la vérité sur AUSCHWITZ. 
Un grand faux témoin : Elie Wiezel*
Certains israéliens savent et ont honte ! Ils seront eux aussi bientôt libérés.
Ça donne ça :
*Mort d’Elie Wiesel, rescapé de la Shoah et Prix Nobel de la paix
Mais il y en a tant d'autres personnages connus qui se sont inventé une histoire.
-------------------------------------------
Simone Veil à propos du révisionnisme
Rappelons que nous lui devons la non naissance de tant de français par la loi de la libération de l'avortement qui devrait être réservé à des femmes violées ou malades. Un enfant, c'est sacré, il y a des moyens d'éviter les grossesses. Cette loi a fait que l'acte sexuel est devenu une diversion et que le corps de la femme n'a plus été respecté. 
-------------------------------------------
-------------------------------------------
L’horreur de Robert Faurisson
-------------------------------------------
L'agression de Robert Faurisson
-------------------------------------------
Robert Faurisson le problème des chambres à gaz
-------------------------------------------
Roger GARAUDY "Les mythes fondateurs de la politique israélienne" il a été défendu par l'Abbé Pierre, son ami.
------------------------
Avec Robert Faurisson, pas de langue de bois.
Il le paie, mais son Âme ne peut faire autrement.
Un autre article de Juillet 2017 au sujet de la mort d'un "grand écrivain !

J'ai un ancien "ami" franc maçon, ce qui explique (ancien) qui était le nègre de Sophie Marceaux et autres. J'ai fait ainsi un passage dans le monde des écrivains, des cinéastes....des show/télé et événements sportifs truqués...

Il y a eu cette loi antirévisionnisme qui autorise le pouvoir à continuer à nous déverser les mensonges de l'Histoire. Ces lois sont faites par des crapules pour les crapules.  Il parait que nous sommes en démocratie, qu'il existe une liberté de parole. Oui pour les journalistes de Charlie Hebdo où trempe BHL et Caroline Fourest, mais le peuple n'a pas le droit à la parole.
Il y a aussi Marion Sigaut qui dénonce ces mensonges dans de nombreux livres et vidéos. 
---------------------------------
Tous ces mensonges permettent au sionistes de diriger le monde, de tout se permettre, voir plus bas, les milices juives en France **
---------------------------------
PAR CONTRE, ON NE PARLE PAS DU DRAME DES EXPULSÉS ALLEMANDS 1945-1947:

"Les expulsés"– 1 septembre 2012 de R. M. Douglas
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'Europe a été le théâtre d'un transfert forcé de population à très grande échelle : des millions d'Allemands qui vivaient en Tchécoslovaquie, en Hongrie et en Pologne, devenus indésirables dans ces pays durement éprouvés par les ancrées de domination nazie, ont été délogés de leurs foyers et envoyés vivre parmi les ruines du Reich. Ces expulsions, qui se sont déroulées entre 1945 et 1947, ont été organisées par les autorités des pays concernés, avec l'aide des gouvernements britannique, soviétique et américain qui pilotaient alors la reconstruction de l'Europe. Elles ont concerné entre 12 et 14 millions de personnes, en majorité des femmes et des enfants, et ont été menées avec une telle brutalité qu'elles ont fait de nombreuses victimes : au moins 500 000 expulsés sont morts dans les camps de transit où on les avait rassemblés, pendant les trajets, ou à leur arrivée en Allemagne, épuisés, affamés et sans abri. Cet épisode tragique s'est déroulé au grand jour, sous les veux de dizaines de milliers de journalistes, diplomates, travailleurs humanitaires et observateurs divers. Ses répercussions sont encore visibles dans l'Europe et dans le monde d'aujourd'hui. Pourtant, hors d'Allemagne, il est presque complètement oublié. C'est cette lacune historique que ce livre entend combler.
--------------------------------
Un excellent résumé de ce livre :
--------------------------------
La presse en a très rarement parlé
Article de Valeurs actuelles :
Au mois de juin 1945, la guerre vient de prendre fin et pourtant en Tchécoslovaquie, comme en Pologne ou en Yougoslavie, la violence continue de se déchaîner. La chasse aux Volksdeutsche – les “Allemands ethniques” – commence. « Une vieille femme fut défenestrée, un musicien lynché en pleine rue parce qu’il ne parlait pas le tchèque, d’autres furent pendus, arrosés d’essence et enflammés comme des torches vivantes. La foule enragée écumait les hôpitaux pour y trouver des proies faciles. L’une d’elles était un patient, tchèque, mais dont les papiers indiquaient un lieu de naissance dans les Sudètes… » 
Près de treize millions d’Allemands vivant en dehors des frontières sont chassés de chez eux et renvoyés vers l’ancien Reich. Un désastre méconnu qui a eu de profondes répercussions sur l’histoire de l’Europe.
------------------------------
"Cruelles Moissons"* fut l'un des premiers ouvrages publiés aux États-Unis à tenter d'alerter l'opinion publique sur la guerre menée par les Alliés contre les Allemands après le 8 mai 1945. Appuyé sur les documents de l'époque et rempli d'une indignation à la fois humanitaire et patriotique, ce classique ose dévoiler de quelle façon les responsables politiques américains et alliés entreprirent la destruction politique, économique et sociale du peuple allemand dans le même temps qu'ils prétendaient lui enseigner la "justice" et la "démocratie". Le constant est accablant.
Cruelles moissons : La guerre d'après-guerre des Alliés contre le peuple allemand – 2000 de Ralph Franklin Keeling (Auteur), Philippe Sabatier(Auteur)
/o:p>


Aujourd'hui, alors que la guerre de la propagande fait toujours rage contre les Allemands dans les médias et jusque dans les universités, Cruelles Moissons nous parle d'une période honteuse oubliée des Français et de la plupart des Européens qui mérite d'être rappelée dans sa réalité et non certains esprits pieux voudraient nous la raconter.


L'épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale, 1945-1948

Heinz Nawratil


Entre 2 et 3 millions d'Allemands sont morts après la seconde guerre mondiale, au cœur de l'Europe, victimes d'une des plus terribles épurations ethniques de l'histoire. On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux, individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de souffrances humaines. "Ce livre est un pavé de 300 pages dans la mare de notre conformisme et de nos habitudes historiques. [...] Il est extrêmement bien documenté et il laissera sa trace dans les livres d'histoire" (Histoire événement, janvier 2002). Un "ouvrage fondamental" (Nouvelle Revue d'Histoire, n° 2, septembre-octobre 2002).



Dans Le livre noir de l'expulsion (paru en Allemagne en 1999), unique en son genre en langue française sur ce thème, Heinz Nawratil retrace le calvaire des 20 millions d'Européens de l'Est d'origine allemande (parfois installés depuis plus de quatre cents ans) qui durent fuir l'Armée rouge ou furent expulsés. Cette expulsion eut son cortège macabre de meurtres, viols et tortures commis par les troupes soviétiques, les milices polonaises, les résistants tchèques et les partisans yougoslaves. De 2 à 3 millions y trouvèrent alors la mort.
*****
L'auteur démontre que l’épuration ethnique des Allemands en Europe centrale et orientale de 1945 à 1948 ne visait pas seulement les fonctionnaires nationaux-socialistes, les membres et sympathisants du parti, mais l’ensemble des Allemands (hommes, femmes, enfants, vieillards, malades extraits des hôpitaux) rabaissés à l'état de sous-hommes. Cette accumulation de crimes révèle “un plan d’extermination et d’expulsion des Allemands” des territoires de l'Est savamment préparé par certains cercles dirigeants de l'URSS et des autres États socialistes…

On a pu parler à ce propos de véritable génocide. Mais c'est un génocide presque totalement occulté. Il s'agit de la première synthèse en langue française consacrée au sujet des expulsions des Allemands après 1945. L'auteur y relate le déroulement des faits pays par pays, établit un bilan chiffré des massacres et des pertes démographiques, analyse les mobiles de ceux, individus et États, qui ont participé aux crimes de l'expulsion. Il s'interroge enfin sur les raisons du silence assourdissant qui règne en Occident autour de cette somme effroyable de souffrances humaines.

livres disponibles sur  http://www.librairiefrancaise.fr/
Flüchtlinge im Zweiten Weltkrieg

Tous ces crimes d'après guerre n'ont jamais été reconnu par les salauds qui gouvernèrent l'Europe depuis 1945. Et Dieu de miséricorde dans tout ça ? absent, indifférent  comme d'habitude !...

Trois idées-force peuvent être retenues :
  • 1 - La vérité historique est indivisible. Les crimes contre l'humanité, surtout lorsqu'ils ont l'ampleur et l'importance d'un génocide, restent des crimes quelle que soit l'identité de leurs auteurs et responsables.... La mise au jour des chapitres les plus sombres de l'histoire humaine, sans égard pour la nationalité des responsables de cette tragédie, est un commandement de la vérité et de la justice ; elle seule peut poser les bases d'un pardon mutuel et d'une compréhension authentique. (Ludwig Martin, avocat général en retraite, président d'honneur de la Société internationale pour les droits de l'homme). (Préface)
  • 2 - Le cours des esclaves était bas. Près d'un million de civils allemands furent ainsi déportés vers des camps de travail dans des conditions inhumaines. Parmi ceux qui avaient été déportés au titre des réparations (c'était le groupe de déportés le plus important), 45 % moururent, quasiment la moitié. Le gouvernement soviétique alla chercher ses esclaves dans plusieurs pays de l'Europe de l'Est, notamment en Roumanie, en Hongrie, en Pologne et dans les anciens Etats baltes. ...Près de 10% des déportés périrent de faim, de froid et de mauvais traitements au cours de leur transport vers la Russie ; généralement en queue de train, deux wagons étaient réservés aux morts du convoi. ...On estime qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, au moins douze millions de personnes, Russes et étrangers, civils et prisonniers de guerre, peuplèrent le monde lugubre des camps de travail soviétiques, l'archipel du goulag. (Chapitre Les victimes de l'armée rouge, La déportation et les travaux forcés, p. 52-53)
  • 3 - Pour chiffrer les pertes de l'après-guerre consécutives à l'expulsion, l'Office fédéral de la statistique (de la RFA) s'attacha à retrancher du bilan démographique toutes les pertes de guerre (soldats tombés au front, victimes des bombardements, etc.) Il est parvenu aux chiffres suivants : Pertes allemandes dues à l'expulsion (abstraction faite des Allemands de Russie et de la population provenant d'autres régions ; tous les chiffres sont arrondis)... Soit un total d'environ 2.230.000 victimes.

Récit succinct des souffrances de la Silésie en 1945-1946


Johannes Kaps

Un déferlement de violence plongea la Silésie en 1945 dans les ténèbres de l’Apocalypse. Les gens de ce pays semblaient promis à l’anéantissement. Les défenseurs épuisaient leurs dernières forces. Des soldats cruels, obéissant aveuglément aux mots d’ordre de la propagande soviétique, forcèrent les portes des domiciles. Leur volonté de détruire anéantit non seulement l’œuvre des hommes de cette terre mais empoisonna aussi la source de toute vie humaine en faisant des femmes un véritable gibier pour la satisfaction de leurs instincts lubriques. La Silésie fut en ce temps-là une arène de martyrs et nul ne sait combien de femmes silésiennes et de l’Allemagne orientale ont préféré perdre leur vie plutôt que de sacrifier volontairement leur chasteté.



-------------------------------

Il y a 71 ans, l’extermination des Allemands de Dresde


Les 13, 14 et 15 février 1945, ont été exterminées «démocratiquement» près d’un demi-million de personnes. «Les Allemands doivent être des anges ou des saints pour oublier et pardonner les injustices et cruautés qu’ils ont dû endurer par deux fois en une génération, sans qu’il y ait eu de leur part la moindre provocation à l’égard des Alliés. Si nous, les Américains, avions été traités de la sorte, nos actes de vengeance n’auraient pas connu de limites.» Révérend Ludwig A. Fritsch, docteur en philosophie, théologien et historien, Chicago, 1947.

Quatre vagues d’assaut de bombardiers et de chasseurs se sont abattues sur la splendide ville de Dresde, la «Florence de l’Elbe», alors l’une des plus villes au monde, qui renfermait des trésors architecturaux et artistiques de l’Âge baroque. Trois jours plus tard, la ville-lazaret était en cendres, mais se voyait «libérée» par les Anglo-Américains.
C’est Ludwig Adolphus Fritsch, théologien et historien américain, qui fut l’un des premiers à alerter l’opinion publique américaine sur ces crimes de guerre. Après avoir enseigné l’histoire en Roumanie, il s’installe aux Etats-Unis en 1921, exerce son ministère pastoral à l’église luthérienne Honterus[1] de Youngstown (Ohio), puis y renonce en 1945 et déménage à Chicago. Il publie en 1947[2] sa brochure The Crime of Age[3] (« Le Crime de notre temps »), destinée aux chrétiens d’Amérique, dans « la ferme conviction que la vérité les poussera à agir » et la volonté de briser le mur du silence sur la responsabilité des crimes perpétrés contre le peuple allemand sans défense par les Alliés victorieux pendant la Seconde Guerre mondiale, et « plus particulièrement celle de l’Amérique ». Il y écrit que « les Anglo-Saxons ont mobilisé le monde entier contre l’Allemagne », tandis que « l’Allemagne [était] accusée d’avoir déclenché une guerre d’agression. C’est pourquoi des dirigeants allemands ont été exécutés [cf. procès du Tribunal international de Nuremberg]. Tout historien sait que c’est un énorme mensonge. Les Allemands n’ont fait que poursuivre l’objectif légitime de sauver l’Europe par des moyens pacifiques. »[4] Ce fascicule fut envoyé aux autorités gouvernementales, aux représentants du Congrès et à toutes les personnalités qui comptaient alors aux Etats-Unis, dont les historiens, autorités religieuses, dirigeants du monde civil.
: Vue de Dresde après les bombardements de terreur. Seule subsiste la statue de Notre-Dame.


Il reçut un large soutien des historiens, des chefs religieux catholiques et des dirigeants de la société civile, ainsi que de la grande masse des Justes qui le considérèrent comme courageux, fidèle à la vérité et honnête. D’autres le fustigèrent, sans toutefois être capables de réfuter les faits historiques. Sa plus grande déception vint des « renégats d’origine allemande et du clergé protestant ». Nombre de pasteurs protestants n’avaient pas « le courage de reconnaître la responsabilité criminelle de ceux qui ont préparé et mis en œuvre la “reddition sans condition”, le “plan Morgenthau”, la “famine planifiée”, qui ont imposé à l’Allemagne et au monde un état de chaos et de misère. Je ne sais pas si c’est l’étendue de leur stupidité, la conspiration du silence, ou une criminalité délibérée qui les ont incités à ne pas vouloir comprendre la cohérence des événements mondiaux. »




Falsification du nombre de morts
Le nombre de morts dans l’holocauste de Dresde ont été revus à la baisse, par les représentants professionnels de la «presse à mensonges» allemande, de plusieurs centaines de milliers. Il est néanmoins admis le fait que plus de 12.000 maisons du centre-ville furent réduites à l’état de cendres sous l’enfer des bombardements. Au moment où, à côté des 600.000 habitants, se trouvaient dans la ville 600.000 réfugiés venant de Breslau (capitale historique de la Silésie), chacune des 12.000 maisons à plusieurs étages hébergeait au moins cinquante personnes. Ce qui n’est pas contestable, et il ne reste rien de ces maisons. Leurs habitants furent désintégrés en cendres sous une température de 1.600°C.
Sur une surface totale détruite de 7 x 4 km, donc sur 28 millions de mètres carrés, selon la lecture politiquement correcte, le nombre de morts reviendrait, pour 1.000 m², à 1-1,5 mort. C’est la raison pour laquelle les négationnistes de l’holocaust dont furent victimes les Allemands parlent de façon éhontée de 35.000 morts.
En février 2005, une commission d’historiens «sérieux» affirma qu’il n’y aurait eu que 24.000 Allemands à Dresde. Sans doute s’agit-il de menteurs professionnels bien stipendiés qui veulent à tout prix que la vérité soit mise sous le boisseau[5].
Les 35.000 morts ne représentent qu’une petite partie des victimes de Dresde, en l’occurrence ceux qui ont pu être parfaitement identifiés. C’est ce qu’expliqua Erhard Mundra, membre du conseil d’administration de l’association « Comité de Bautzen[6] », le 12 février 1995 au quotidien Die Welt[7] : « Selon l’officier d’état-major général responsable de la défense de Dresde, le lieutenant-colonel de l’Armée fédérale allemande, à l’époque directeur des services administratifs de la Ville de Dresde, purent être identifiés de manière complète 35.000 morts, partiellement 50 000, et 168 000 morts ne purent être identifiés. » Tous ces malheureux enfants, femmes, personnes âgées et soldats blessés, dont il n’est resté que des cendres, ne pouvaient évidemment plus être comptabilisés. L’ancien chancelier Konrad Adenauer écrivit à ce sujet : « L’attaque du 13 février 1945 sur la ville de Dresde, bondée de réfugiés, a entraîné la mort d’au moins 250.000 personnes. »[8] Ce à quoi la Ville de Dresde ajouta dans une lettre : « Selon des données fiables de la police du maintien de l’ordre, furent retrouvés, jusqu’au 20 mars 1945, 202.040 morts, principalement des femmes et des enfants. Parmi ceux-ci, seuls 30 % purent être identifiés. En y incluant les disparus, le chiffre réaliste devrait osciller entre 250.000 et 300.000. »[9]
Dresde était une ville-hôpital, avec quelque vingt-cinq établissements hospitaliers dont des hôpitaux de campagne, sans défense antiaérienne (DCA), sans chasseurs et sans la moindre installation militaire. Dresde servait de lieu d’accueil des réfugiés venant de l’est qui fuyaient l’avancée de l’Armée rouge. Ses toits étaient marqués de la Croix-Rouge.
Les villes allemandes transformées en immenses crématoriums
Dans la nuit sanglante du 13 au 14 février 1945, le plus grand criminel de guerre de tous les temps, Winston Churchill, fit lancer sur Dresde quelque 700 000 bombes incendiaires. Soit une bombe pour deux habitants. « Lorsque les villes furent transformées en crématoriums […] le Pr Dietmar Hosser, de l’Institut des matériaux de construction, des constructions massives et de la protection anti-incendie de Braunschweig, tient pour vraisemblable que les températures de surface aient atteint 1 600 degrés », rapporte Die Welt du 3 mars 1995[10].
[1] Johannes Honterus (1498-1549), Saxon de Transsylvanie, réformateur luthérien.
[2] Également en 1947, le journaliste américain Ralph Franklin Keeling publiaitGruesome Harvest. The Allies’ Postwar Against the German People. Il y dénonce les objectifs de la politique américaine suivis dès avant la guerre concrétisés dans le Plan Morgenthau, qui fut mis en œuvre jusqu’en 1947 : partage des dépouilles de l’Allemagne programmé par Roosevelt, Churchill et Staline à Yalta (février 1945) et Potsdam (août 1945, Truman y représentant les Etats-Unis) ; dévastation du pays par la guerre totale et mort des civils allemands en masse par des bombardements aériens stratégiques ; extermination par le surpeuplement consécutif aux amputations territoriales et l’organisation de la famine ; réduction en esclavage des survivants ; démembrement et pillage économiques, notamment par le démantèlement des industries qui seront réparties entre les Alliés. Livre traduit en français en 1992 sous le titre Cruelles Moissons, éd. Akribeia, Saint-Genis-Laval, 2000, ISBN 2-913612-03-2.
[3] PDF ci-joint.
[5] Telle cette vidéo de la ZDF, la grande chaîne de télévision grand public outre-Rhin :https://www.youtube.com/watch?v=ObqV5NH9PcU
[6] Le Comité de Bautzen fut fondé, après la réunification des deux Allemagnes, par d’anciens détenus politiques emprisonnés en RDA et leurs proches. Son action vise à faire des recherches sur les crimes du pouvoir communiste commis dans les prisons de Bautzen (ville de Saxe) et de perpétuer le souvenir des souffrances endurées par de nombreuses victimes innocentes. L’une de ses tâches consiste à rechercher les corps jetés dans les fosses communes se trouvant derrière le centre de détention, afin de leur donner un lieu de sépulture décent. L’on retrouve ainsi sur les plaques commémoratives de la chapelle expiatoire plus de 3 000 noms de détenus qui ont trouvé la mort entre 1945 et 1956. Source : http://www.bautzen-komitee.de/index.php?bautzen-komitee-ev
[7] Page 8.
[8][8] In Allemagne aujourd’hui, publié par le service de presse et d’information du gouvernement fédéral, Wiesbaden 1955, page 154.
[9] Responsable : Hitzscherlich, Réf. 0016/mi, 31.7.1992.
[10] Page 8.
-------------------------------

**MILICES JUIVES : QUINZE ANS ET PLUS DE TERRORISME EN FRANCE

Sous la responsabilité du professeur Robert Faurisson – 1er juin 1995
 Dans sa livraison de juin 1991, le mensuel Le Choc du mois publiait une étude intitulée : « Milices juives / Quinze ans de terrorisme » (p. 7-13 sur quatre colonnes). Le sous-titre en était le suivant :
« Groupe d’action juive, Organisation juive de combat, Organisation juive de défense. Sous ces diverses appellations, des activistes juifs ne cessent depuis une quinzaine d’années de semer la terreur, dans la plus totale impunité. Des provocations qui n’ont d’autre but que de susciter des représailles. Comme si certains voulaient que la communauté juive se sente menacée » (p. 7).
L’étude passe en revue, du 19 juin 1976 au 20 avril 1991, cinquante cas d’agressions physiques commises par des juifs organisés en groupes. Ne sont donc pas mentionnées les agressions physiques, de toute façon assez rares, commises par des individualités juives.
Dans les cinquante cas répertoriés par Le Choc du mois, les victimes se sont comptées par centaines. Chez les victimes de ces milices on relève : mort d’homme, blessures suivies de coma profond, infirmités à vie, séquelles graves ainsi que vitriolage, commission d’actes de barbarie, œil crevé, tabassage en règle en la présence de policiers ou de gardes refusant d’intervenir, nombreuses hospitalisations, nombreux guet-apens, dont un, au moins, avec la complicité de la presse (cas du journal Libération). La plupart de ces agressions sont passées sous silence par les médias ou brièvement rapportées. Certaines sont approuvées par des publications ou des organisations juives qui, en général, après quelques mots de réprobation, donnent à entendre que les victimes méritent leur sort, que c’est naturel et normal et qu’il ne faut s’attendre, dans l’avenir, à aucune indulgence si jamais on suscite à nouveau la colère des juifs.
Il est remarquable que pas un seul juif n’ait été, en revanche, la victime d’une seule attaque d’un seul groupe dit d’extrême droite ou révisionniste (puisque, aussi bien, la presse fait l’amalgame entre révisionnisme et extrême droite alors que le révisionnisme historique est, en réalité, un phénomène qui intéresse tous les groupes de pensée, de l’ultra-gauche à l’extrême droite en passant par tous les partis, sauf le parti communiste, et cela sans compter les apolitiques. Paul Rassinier, fondateur du révisionnisme historique en France, était socialiste).
Parmi les attaques ou les agressions commises par des milices ou des organisations juives, on se bornera à citer celles dont ont été victimes François Duprat, un colloque du GRECE, Marc Fredriksen, Charles Bousquet et, à nouveau, Mark Fredriksen, Michel Caignet, Pierre Sidos, Olivier Mathieu, Pierre Guillaume, les Amis de Saint-Loup et Robert Faurisson. 
Beaucoup d’autres cas seraient à citer de 1976 (où, le 2 novembre, l’immeuble dans lequel habitait Jean-Marie Le Pen devra être entièrement détruit après avoir été ébranlé sur cinq étages lors d’un attentat à la dynamite revendiqué par un Groupe du souvenir juif) 
jusqu’à 1991 (où, le 2 avril, Fabrice Benichou, vendeur à la criée d’un journal de Jean-Edern Hallier, meurt à son domicile après avoir été roué de coups dans le quartier juif du Sentier à Paris).

François Duprat
Membre de la direction du Front national, auteur et diffuseur d’écrits révisionnistes, F. Duprat a été tué le 18 mars 1978 dans sa voiture par l’explosion d’une bombe sophistiquée. Sa femme a été grièvement blessée. L’attentat est revendiqué par un Commando du souvenir. [...]


Un colloque du GRECE
Le 9 décembre 1979, le XIVe colloque national du GRECE (Groupe d’études et de recherches sur la civilisation européenne) est attaqué par une centaine d’individus casqués qui saccagent des stands de livres. Ces individus déploient des calicots portant le nom de l’Organisation juive de défense (OJD). Une quinzaine de participants sont blessés. L’un d’entre eux perdra un œil. Plusieurs assaillants sont arrêtés par la police, puis relâchés le soir-même sur l’intervention de Jean-Pierre Pierre-Bloch, fils de J. Pierre-Bloch et ami de Jacques Chirac. Jean-Pierre Pierre-Bloch avait été et sera, par la suite, impliqué dans d’autres agressions ou d’autres interventions en faveur d’agresseurs identiques.

Marc Fredriksen
Le 19 septembre 1980, un commando de l’ Organisation juive de défense (OJD) attaque au Palais de justice de Paris des sympathisants de Marc Fredriksen, responsable de la FANE (Fédération d’action nationale et européenne). On relève six blessés, dont deux graves. Les gardes du Palais de justice, pourtant chargés du maintien de l’ordre, laissent, en fait, agir, librement ou plus ou moins librement, les milices juives dans cette circonstance comme dans toutes les autres circonstances identiques. Quant à Jean Pierre-Bloch, il déclarera :
« La loi du talion pourrait réapparaître [...]. Si un seul des nôtres est touché, nous appliquerons la formule : œil pour œil, dent pour dent [...]. S’il faut nous organiser militairement nous le ferons » (Le Monde, 1er octobre 1980
Charles Bousquet, Mark Fredriksen
Le 3 octobre 1980, un attentat a lieu contre la synagogue de la rue Copernic, provoquant quatre morts et vingt-sept blessés. Les quatre morts sont des passants ; parmi ceux-ci se trouve une Israélienne dont la présence n’a jamais été expliquée. Christian Bonnet, ministre de l’Intérieur, reçoit, dans la journée même, des informations qui lui permettent d’identifier en la circonstance un attentat palestinien mais, sous la pression des organisations juives et avec l’accord de la grande presse, il laisse croire à une action de l’extrême droite. On apprendra par la suite que l’attentat a été effectivement commis par un Palestinien venu de Chypre. Le soir même de l’attentat, les locaux de la FANE sont dévastés et la Librairie française, rue de l’Abbé-Grégoire, fait l’objet d’une nouvelle tentative d’incendie. Cette librairie, dont le propriétaire est Jean-Gilles Malliarakis, connaîtra en quelques années plus de dix attaques ou attentats. Le siège de l’ Œuvre française, de Pierre Sidos, est mitraillé. Des scènes de lynchage se déroulent dans Paris où des groupes de manifestants juifs s’en prennent à de jeunes passants isolés, grands, blonds et à cheveux courts (Le Monde, 9 octobre 1980, p. 12).
Le 7 octobre, à Neuilly, Charles Bousquet, 84 ans, est attaqué et vitriolé à son domicile par un groupe d’inconnus qui l’ont apparemment confondu avec le militant nationaliste Pierre Bousquet (sans rapport avec René Bousquet). Il sera hospitalisé pendant un mois à l’hôpital Foch au service des grands brûlés. Il conservera des séquelles de ses blessures. Il renonce à porter plainte parce que son fils Pierre, professeur d’histoire à l’université de Paris IV, lui a demandé d’agir ainsi à cause des Israélites : « Ils sont à Jérusalem ou à Tel-Aviv, ceux qui ont fait cela. Tout serait inutile. Je veux oublier » (interview accordée à R. Faurisson le 2 mai 1984).
Le 12 octobre 1980, Mark Fredriksen est roué de coups et admis, dans un état grave, à l’hôpital de Rambouillet. En son absence, son appartement est dévasté. En traitement à Berck-sur-Mer pour de multiples fractures, il manque de subir une nouvelle agression ; trois jeunes gens se présentent qui demandent à le voir ; leur signalement correspond à celui du groupe Aziza qui, ultérieurement, vitriolera Michel Caignet (voir ci-dessous).
Le 20 octobre, l’écrivain André Figuéras est attaqué à son domicile.

Michel Caignet
Le 29 janvier 1981, Michel (Miguel) Caignet, 26 ans, étudiant préparant un doctorat de linguistique anglais-allemand, quitte son domicile de Courbevoie pour se rendre à l’Université lorsqu’il est abordé par quatre individus à proximité de son immeuble. Ceux-ci le renversent, l’immobilisent. L’un des quatre individus lui arrose de vitriol le visage et la main droite.
M. Caignet avait appartenu à la FANE et il était révisionniste. Il avait été dénoncé par l’hebdomadaire VSD (Vendredi/ Samedi/Dimanche). À la suite du vitriolage, son visage est devenu si atroce que seuls deux journaux ont osé en publier la photographie. L’auteur principal de l’agression, Yves Aziza, étudiant en médecine, fils de Charles Aziza (préparateur en pharmacie à Montreuil), a été connu de la police dans l’heure même qui a suivi l’agression mais la police et la justice françaises ont, dans des conditions scandaleuses et dont le détail est connu, laissé tout le temps à Y. Aziza de s’enfuir vers l’Allemagne et vers Israël. Au ministère de la Justice, un dénommé Main, appartenant à la direction des Affaires criminelles (directeur Raoul Béteille), élude sur un ton sarcastique toute question sur le retard considérable (quatorze jours !) apporté à l’ouverture d’une instruction judiciaire. Parmi les correspondants d’Y. Aziza, on découvre le nom de Daniel Ziskind, fils de Michèle Ziskind, sœur de Jean-Pierre Pierre-Bloch, lui-même fils de Jean Pierre-Bloch.


Pierre Sidos
Le 18 septembre 1981, deux cents membres de l’Organisation juive de combat (OJC) font la loi au Palais de justice de Paris où se déroule le procès en diffamation intenté par Pierre Sidos, président de l’Œuvre française, à Jean Pierre-Bloch. Comme d’habitude, les juifs rouent de coups plusieurs assistants.
Le 25 novembre, les locaux de la librairie Études et documentation sont incendiés par un commando.
Le 8 mai 1988, place Saint-Augustin à Paris, des commandos de l’OJC attaquent à coups de barres de fer des militants de l’Œuvre française qui participaient au défilé traditionnel en l’honneur de Jeanne d’Arc ; ils font une quinzaine de blessés, dont deux très grièvement atteints. Quatre des personnes agressées seront hospitalisées. Un septuagénaire restera plusieurs semaines dans le coma. Dix membres de l’OJC sont interpellés par la police. Le soir même, Jean-Pierre Pierre-Bloch intervient en leur faveur auprès de la police judiciaire. Des poursuites sont engagées contre quelques agresseurs. Certaines sont abandonnées avec la mention suivante du juge d’instruction : « Instruction inopportune » ; d’autres agresseurs sont jugés non sans que des pressions venues du plus haut niveau politique se soient exercées sur le parquet. Au total, seuls trois agresseurs seront jugés ; ils seront condamnés à deux ans de prison avec sursis !

Olivier Mathieu
Le 6 février 1990, des millions de téléspectateurs ont pu assister à l’agression commise sur la personne d’Olivier Mathieu lors d’une émission animée par Christophe Dechavanne. Jean-Pierre Pierre-Bloch est venu sur le plateau avec un groupe de militants de l’OJC. O. Mathieu a juste le temps de lancer : « Faurisson a raison ». Une dizaine de nervis le rouent de coups ainsi que sa fiancée et Marc Botrel. Un personnage important des milices juives est présent : Moshe Cohen, ancien sous-lieutenant de l’armée israélienne, responsable, à l’époque, du Tagar, la branche étudiante du Betar (59, boulevard de Strasbourg, Paris Xe). Les agressions continuent en dehors du plateau et jusque dans la rue. Un agresseur sera interpellé par la police et relâché quelques heures plus tard sur l’intervention de Jean-Pierre Pierre-Bloch.
La preuve qu'il n'y a pas de débat à la télé :

Pierre Guillaume
Pierre Guillaume, qui appartient à l’ultra-gauche, est le responsable de la Vieille Taupe, qui a publié des ouvrages révisionnistes, notamment du professeur Faurisson. Il a été la victime d’un nombre important d’agressions, soit contre sa personne à la Sorbonne, dans sa librairie de la rue d’Ulm, au Palais de justice de Paris (où les gardes ne sont pas intervenus), soit contre ses biens (dépôt de livres, matériel vidéo, librairie). En 1991, des groupes de manifestants, principalement juifs, sont venus assiéger sa librairie de la rue d’Ulm de façon régulière et ont fini par obtenir la fermeture de cette librairie en 1992 à force de violences diverses (bris de vitrine, injection de produits chimiques, intimidations physiques et autres).

Les Amis de Saint-Loup
Le 20 avril 1991, à la Maison des Mines, à Paris, une cinquantaine d’individus se réclamant du Groupe d’action juive (GAJ), armés de barres de fer et de battes de base-ball, attaquent les participants d’un colloque organisé en hommage à l’écrivain Saint-Loup (Marc Augier). On relève treize blessés, en majorité des personnes âgées, dont deux très grièvement atteints. Juliette Cavalié, 67 ans, évacuée vers l’hôpital Beaujon, y tombera dans le coma pour une durée d’environ trois mois ; reprenant conscience, elle sera condamnée pour le restant de ses jours à ne plus pouvoir s’alimenter seule ni marcher. Le journaliste Alain Léauthier, de Libération, et proche de Julien Dray, député socialiste et maximaliste juif, a assisté, de bout en bout, aux préparatifs et à la perpétration de l’attaque. Il en fournit un compte rendu satisfait et ironique (« Un commando sioniste s’invite au meeting néo-nazi », Libération, 22 avril 1991, p. 28).

Robert Faurisson
Le professeur a été la victime de dix agressions physiques entre le 20 novembre 1978 et le 31 mai 1993 (deux à Lyon, deux à Vichy, deux à Stockholm et quatre à Paris). Sept de ces agressions sont dues à des organisations ou à des milices juives françaises (deux à Lyon, une à Vichy, une à Stockholm du fait de juifs français venus par avion de Paris et associés à des juifs suédois, une à la Sorbonne et une au Palais de justice de Paris).
Le 12 septembre 1987, à la Sorbonne, des membres d’une milice juive ont attaqué Henry Chauveau (grièvement blessé), Michel Sergent, Pierre Guillaume et Freddy Storer (Belge) ainsi que le professeur Faurisson, tous blessés. Les gardes de la Sorbonne ont appréhendé l’un des agresseurs. Un responsable, en civil, de la police a fait relâcher l’agresseur et a utilisé la violence pour expulser le professeur de l’enceinte de l’université. Rappelons que R. Faurisson avait enseigné à la Sorbonne.
Le 16 septembre 1989, un guet-apens était tendu à R. Faurisson près de son domicile, dans un parc de Vichy, par un groupe de trois jeunes gens ; sans l’intervention d’un passant, il aurait été achevé à coups de pieds dans la tête. Blessé, il devait subir une longue opération chirurgicale.
L’enquête de la police judiciaire confirmera que l’agression était imputable à de jeunes activistes juifs parisiens. La veille de l’agression, R. Faurisson avait noté avec surprise la présence, à proximité de ce parc, d’un certain Nicolas Ullmann, né en 1963 ; le 12 juillet 1987, ce dernier avait violemment frappé le professeur au Sporting-Club de Vichy. À la police judiciaire, N. Ullmann, interrogé sur les raisons de sa présence en ces lieux, donnait des réponses vagues et contradictoires ; en outre, il prétendait avoir participé, le jour même de l’agression, à Paris, à un bal masqué, d’où l’impossibilité pour quiconque, sinon son hôte et ami, d’attester de sa présence ce jour-là à Paris. Il est à noter que le juge d’instruction de Cusset, près de Vichy, n’a jamais convoqué le professeur pour l’entendre ; ce juge, Jocelyne Rubantel, ne l’a reçu dans son bureau, comme un criminel, que pour lui signifier qu’elle demanderait un non-lieu. Ce qu’elle a obtenu. Aucune perquisition n’a été opérée au siège du Betar/Tagar à Paris. Une telle perquisition aurait causé trop de colère dans la communauté juive.
Le 16 octobre 1989, soit un mois, jour pour jour, après l’attentat de Vichy, une bombe explose devant la porte des locaux du Choc du mois, à Paris, qui sont saccagés. L’attentat est revendiqué par l’OJC et des groupes d’extrême gauche. Éric Letty, qui avait consacré un article au professeur Faurisson, aurait été tué par la bombe s’il n’avait pas, par miracle, décelé à temps l’imminence de l’explosion.
La place nous manque pour évoquer ici les autres agressions dont le professeur Faurisson a été la cible.

Autres cas
De nombreux autres cas pourraient être cités d’attaques ou d’agressions en groupe menées par des juifs : en plus des cas répertoriés par l’article du Choc du mois pour les années 1976-1991, il faudrait prendre en considération les cas non répertoriés et, enfin, des cas qui se sont produits depuis 1992.
Le 14 janvier 1988, à Lyon, le professeur Jean-Claude Allard était hospitalisé à la suite d’une attaque en groupe revendiquée par l’OJC, qui lui avait tendu une embuscade sur le parking de l’université Lyon III ; en juin 1985, il avait présidé le jury de la thèse du révisionniste Henri Roques sur les Confessions de Kurt Gerstein (thèse dont la soutenance a été annulée, fait sans précédent dans les annales de l’Université française, sous la pression des juifs en colère).
Le 13 avril 1994, lors d’une interruption de séance au procès des houligans du Parc des Princes (l’un, au moins, de ces houligans était juif), des miliciens juifs armés se livraient à de nouvelles violences ; pourtant, ces houligans avaient fait des victimes parmi les policiers et non parmi des juifs. Les miliciens s’étaient introduits au Palais de justice avec armes et barres de fer ; parmi leurs victimes allait figurer un garde du Palais. Détail intéressant : aucune enquête n’a été décidée pour tirer cette affaire au clair et la seule arrestation a été celle d’un des « militants nationalistes » agressés et qui avait osé se défendre (« Les milices juives font la loi », Le Libre Journal, 27 avril 1994, p. 9 ; voy. aussi : « Le Betar fait la loi au palais de justice », Rivarol, 22 avril 1994, p. 5). [...]
Les saccages de librairie ont été nombreux : en plus de Bleu-Blanc-Rouge, d’Ogmios, de la Librairie française, de la Librairie de la Vieille Taupe, on peut citer la Librairie Grégori et la Librairie de la Joyeuse Garde (dans ce dernier cas, bris de vitrine, glu empêchant l’ouverture du rideau de fer, excréments, etc.). Des bureaux, des immeubles, une église (Saint-Nicolas-du-Chardonnet, à Paris, le 21 décembre 1978), des expositions, un dépôt de livres ont été la cible d’attentats revendiqués par des organisations juives.

Le lieu le plus dangereux de France : le palais de justice de Paris et ses abords
Pour les victimes désignées de ces milices, la ville la plus dangereuse de France est Paris. Dans Paris, l’un des arrondissements les plus dangereux est le premier arrondissement. Dans cet arrondissement, le point le plus dangereux est constitué par le Palais de justice et ses abords immédiats. Pourtant, ce point est particulièrement surveillé par la police puisque le Palais possède son commandement militaire doté de centaines de gardes armés et puisque se trouve, à côté du Palais, le Quai des Orfèvres, siège de la police judiciaire. Mais, précisément, gardes et policiers ont, durant ces dernières années, laissé se perpétrer de nombreuses violences, en particulier contre les révisionnistes convoqués au tribunal ou venus assister aux procès.
Quand une milice juive décide de faire irruption au Palais, le scénario est invariablement le suivant : les nervis, dont le comportement trahit les intentions belliqueuses, ne sont en aucune manière tenus par les gardes à distance des victimes désignées ; aucun officier de la garde ne cherche à prendre contact avec le meneur de ces troupes de choc pour lui signifier qu’aucune violence ne sera tolérée ; on laisse les assaillants insulter, provoquer, puis frapper ; quelques gardes s’efforcent de protéger quelques victimes ; si un militant se signale par une extrême violence, trois gardes l’emmènent précipitamment, puis le libèrent ; les victimes sur lesquelles pleuvent les coups ne peuvent ni faire interpeller les brutes, ni connaître leur identité. Une fois que la milice a fait son œuvre et qu’elle s’éclipse, les gardes se portent vers les victimes ensanglantées ou tuméfiées et affectent un comportement de nounous éplorées.
Le 9 mai 1995, un procès du professeur Faurisson s’est déroulé sans la présence des milices en question. Rien de surprenant à cela : l’avocat Jean-Serge Lorach, représentant les associations parties civiles, déclarait dans sa plaidoirie qu’il avait demandé aux survivants (et aux journalistes) de ne pas venir assister au procès. Mais, en fait, le responsable du Betar/Tagar était présent avec quelques complices devant la XVIIe chambre correctionnelle, puis à la sortie du Palais de justice : Moshe Cohen, en personne. À la sortie du Palais, il surveillait avec quatre hommes, dont l’un muni d’un radio-téléphone, le professeur Faurisson, son avocat et les personnes les accompagnant. Cette équipe disposait d’une voiture banalisée (une R 19 immatriculée 356 JEK 75) rangée sur le trottoir de la grande grille du Palais (en position de départ). Moshe Cohen, l’homme de toutes les basses besognes du Betar/Tagar, était donc là avec l’autorisation du commissaire du Ier arrondissement de Paris, Robert Baujard, et avec l’assentiment du colonel Roger Renault, commandant les gardes du Palais, lesquels avaient pour consigne de répondre aux curieux que cette voiture appartenait à la police.

Collusion du ministère de l’Intérieur et des milices juives
Mme Françoise Castro et son époux, Laurent Fabius, sont tous deux juifs. En 1986, à l’époque où L. Fabius était le premier ministre de la France, F. Castro a révélé que les milices juives et le ministère de l’Intérieur travaillaient main dans la main. Elle a déclaré :
« Extraordinaire nouveauté dans le comportement politique, la gauche a permis à des milices juives de s’installer dans des quartiers de Paris, mais aussi à Toulouse, à Marseille, à Strasbourg [et d’avoir] des contacts réguliers avec le ministre de l’Intérieur » (Le Monde, 7 mars 1986, p. 8).
Par une sorte d’assentiment général il semble convenu que les juifs doivent être traités en France comme une minorité privilégiée, dont il faut excuser la colère (ce mot revient de façon lancinante dans la presse). Leurs milices sont les seules en France à bénéficier du droit d’être armées (voy. la photographie d’un juif armé d’un pistolet mitrailleur sur le toit d’un immeuble de la rue de Nazareth, Libération, 14 octobre 1986, p. 56). La police judiciaire française est paralysée dans ses enquêtes sur les crimes commis par ces milices (« les jeunes activistes juifs parisiens », comme il lui est arrivé de les appeler pudiquement).
En France, ces milices jouissent d’une garantie d’impunité au moins partielle. Le pire que ses membres aient à craindre est d’avoir à s’exiler pour un temps en Allemagne ou en Israël.

Les apologistes de la violence juive
Simone Veil, ancien secrétaire général du Conseil supérieur de la magistrature et ancien ministre, présente l’exemple même de ces personnes de la communauté juive française qui incitent à l’assassinat. En 1985, à propos de Klaus Barbie, elle a déclaré :
« Écoutez, très sincèrement, je crois que je n’aurais pas été choquée par une exécution sommaire [de Klaus Barbie]. »
(Le Monde, 24 décembre 1985, p. 14)
Elle a récidivé le 22 avril 1992, lors d’une émission de la seconde chaîne de télévision consacrée à : « Vichy, la mémoire et l’oubli », où elle a déclaré à propos du procès Touvier qui l’avait déçue (malgré la condamnation d’un octogénaire cancéreux à une peine de prison à vie) :
« Si on voulait un procès dans lequel on parle vraiment des choses, qui ne se termine pas comme le procès Touvier, eh bien, il aurait fallu au fond que quelqu’un, comme moi par exemple, à un moment quelconque froidement assassine quelqu’un . Cet assassin aurait alors été en mesure, selon S. Veil, d’expliquer publiquement les raisons de son acte. S. Veil a, une nouvelle fois, récidivé en 1994 à l’occasion de l’assassinat de René Bousquet, perpétré par un illuminé enivré d’appels à la vengeance qui se multipliaient dans toute la presse française et dans les milieux juifs, lorsqu’elle a déclaré : D’ailleurs, si j’avais eu du courage, je serais allée le tuer moi-même. »
(Globe Hebdo, 11-17 mai 1994, p. 21)
Le 14 décembre 1992, sur les ondes d’une radio américaine, on a pu entendre le professeur Pierre Vidal-Naquet déclarer en anglais : « Je hais Faurisson. Si je le pouvais, je le tuerais personnellement. »
Le cas des époux Klarsfeld
Dans sa Lettre à un képi blanc (Robert Laffont, 1975), Bernard Clavel écrit : La guerre empoisonne la paix. Regarde cette Allemande, Beate Klarsfeld, qui passe sa vie dans la haine, qui n’existe que pour la vengeance (p. 93).
À la suite de l’inculpation de Kurt Lischka, à Cologne, Serge Klarsfeld déclarait le 24 juillet 1978, lors d’une conférence de presse tenue à Paris : « “Nous ne cherchons pas la vengeance. Si tel était notre but, il nous aurait été facile d’abattre tous les criminels nazis dont nous avons retrouvé la trace.” Et si le tribunal de Cologne refusait de juger Lischka ? lui demande-t-on. Réponse de S. Klarsfeld : “Ce serait en quelque sorte signer son arrêt de mort.” » (Le Monde, 26 juillet 1978, p. 4)
En 1982, les Klarsfeld louaient les services d’un sicaire, un socialiste bolivien d’origine indienne, du nom de Juan Carlos, pour assassiner Klaus Barbie (Life, février 1985, p. 65) mais l’opération devait échouer.
En 1986, Beate Klarsfeld se laissait aller à des confidences dans un journal américain : « [Elle raconte] comment elle a pourchassé au moins trois anciens nazis jusqu’à ce qu’ils se suicident ou meurent ; comment elle a organisé des tentatives pour en kidnapper d’autres ; comment elle a eu recours à des trucs pour obtenir de la presse des gros titres permettant de traîner en justice des gens convaincus que le monde les avait oubliés ou permettant de ruiner leur carrière. [Elle raconte] comment elle a giflé en public le chancelier [allemand] Kurt Kissinger en 1968. Une fois, avec plusieurs amis, elle avait essayé de kidnapper Kurt Lischka mais la voiture prévue n’avait malheureusement que deux portes au lieu de quatre. Quant à Ernst Ehlers, harcelé par les manifestations que les Klarsfeld organisaient devant sa maison, il a d’abord démissionné de son poste [de juge], puis il s’est suicidé.
Les Klarsfeld avaient retrouvé la trace de Walter Rauff au Chili ; ils manifestèrent devant son domicile et brisèrent ses fenêtres. L’homme mourut quelques mois plus tard. “J’étais heureuse parce qu’aussi longtemps que ces gens vivent, ils constituent une offense pour leurs victimes . Mon mari et moi, nous ne sommes pas des fanatiques. [...] Un jour, mon mari a placé un pistolet sur la tempe de Rauff juste pour lui montrer que nous pouvions le tuer, mais il n’a pas appuyé sur la détente.” » (The Chicago Tribune, 29 juin 1986)
En 1988, S. Klarsfeld déclarait : « Personne ne s’est vraiment mobilisé contre Le Pen. Il aurait fallu provoquer des affrontements pour [...] qu’il aille jusqu’au bout de ses positions. » (Le Soir (de Bruxelles) d’après Rivarol, 1er juillet 1988, p. 5)
En 1990, lors de la convention de l’Union des étudiants juifs de France se tenant à Lyon où avait enseigné le professeur Faurisson et où enseignait encore Bernard Notin, S. Klarsfeld déclarait aux étudiants : « Dans votre vie de juif, passez aux actes pour défendre la mémoire, pour défendre l’État juif. » (Le Progrès de Lyon, 2 novembre 1990, p. 6).
En 1991, Beate Klarsfeld s’introduisait en Syrie avec de faux papiers pour renouveler devant le domicile supposé d’Aloïs Brunner (déjà défiguré et sans presque plus de doigts aux mains à la suite de l’explosion de lettres piégées) le type d’opération mené devant les domiciles d’anciens nationaux-socialistes ou devant le domicile (fracturé, pillé et dévasté) de Paul Touvier en 1972.
En 1992, les Klarsfeld organisaient ce que Le Monde appelait « L’équipée sauvage du Betar à Rostock », semant la terreur sur la place centrale de l’hôtel de ville de Rostock, drapeaux français et israéliens déployés, traitant les passants de « sales Allemands, sales nazis ! » (Le Monde , 21 octobre 1992, p. 4).
Beate Klarsfeld approuvait ensuite l’attaque de l’Institut Goethe à Paris par le Betar et y voyait une violence légitime parce que les policiers de Rostock avaient interpellé quelques agresseurs, pour les relâcher (Der Standard (Vienne), 23 octobre 1992). On avait relevé neuf blessés parmi les policiers dont plusieurs, battus à coups de battes de base-ball et de barres de fer et aspergés de gaz de défense, avaient dû être hospitalisés.
Le 8 juin 1993, René Bousquet, ancien secrétaire général de la police à l’époque du gouvernement de Vichy, puis déporté par les Allemands, était abattu à son domicile parisien par un illuminé ; ce dernier, régurgitant des propos à la Klarsfeld, expliquait son geste comme celui d’un justicier qui, auparavant, avait cherché à abattre Paul Touvier. Annick Cojean, du journal Le Monde, écrivait à propos de S. Klarsfeld : « N’était-il pas le pourfendeur de Bousquet ? Celui qui l’a traqué, poursuivi, attaqué, contraint de démissionner de toutes ses responsabilités entre 1978 et 1989 ? Et ne lui a-t-on pas [par cet assassinat] volé ainsi un procès attendu, préparé de longue date ? - L’avocat sourit doucement : “Pourquoi le nier ? Ce que j’éprouve aujourd’hui, c’est avant tout du soulagement. Et tant pis si cela va à l’encontre des intérêts de la cause ! Je ne peux pas souhaiter la vie de ces gens-là. C’est plus fort que moi.” » (Le Monde, 10 juin 1993, p. 28).
Déjà, le 16 septembre 1989, en apprenant l’attentat perpétré contre le professeur Faurisson, S. Klarsfeld avait déclaré sur les ondes de Radio J (J pour juive) : « Ce n’est pas tellement surprenant car quelqu’un qui provoque depuis des années la communauté juive doit s’attendre à ce genre d’événement. On ne peut pas insulter la mémoire des victimes sans qu’il y ait des conséquences. C’est quelque chose, je dirais, de regrettable peut-être, mais de normal et de naturel. »
Beate Klarsfeld, de son côté, affirmait : « Quoi de plus normal que quelques jeunes gens se soient peut-être mis en colère et aient essayé de donner une leçon à Faurisson ? » (Le Monde, 19 septembre 1989, p. 14)
L’avocat S. Klarsfeld, officier de l’Ordre national du mérite, n’a jamais caché son goût pour l’action violente dès lors qu’il estime avoir affaire à ceux qu’il appelle des « criminels ». Son recours au mensonge et au chantage, il ne le cache pas non plus (voy. Arno Klarsfeld, « Pourquoi je suis juif », Information juive, juin 1994, p. 9, et S. Klarsfeld, « Lettre à François Mitterrand », Libération, 12 septembre 1994, p. 6, où se lit la phrase suivante adressée au président de la République : « D’où m’est venue l’insolence d’évoquer seul votre passé à Vichy et de vous manipuler [par une fausse information] pour vous diriger dans le bon sens : une lecture vraie des crimes consentis par Vichy ? » ).
En 1989, à la suite de l’attentat dont il avait été la victime à Vichy, le professeur Faurisson avait confié au Choc du mois (décembre 1989, p. 42-43) des réflexions qui, avec le recul du temps et, en particulier, avec l’assassinat de R. Bousquet, prennent un certain relief comme, par exemple, celle-ci : « [...] il est aisé [pour les Klarsfeld ou tel conseiller d’ambassade israélien à Paris] d’échauffer les esprits et de susciter l’action de justiciers. » Le professeur concluait : « J’estime [...] qu’il existe un terrorisme juif ; il est gémissant ; les gémissements couvrent les bruits des coups et les cris des victimes [...]. Pour me faire taire, il faudra me tuer. Une foule de révisionnistes, en France et à l’étranger, prendra alors la relève. »

Conclusion
Pour la période ici prise en considération (1976-1995), la France n’a jamais connu de groupes, de commandos ou de milices qui aient exercé des violences physiques sur les juifs (les attentats arabo-palestiniens sont une autre affaire). Mais cette évidence semble échapper aux observateurs politiques de toutes tendances. Le bilan est, jusqu’ici, le suivant : d’un côté, une cinquantaine d’agressions organisées et perpétrées par des milices armées avec, pour résultat, des centaines de victimes et, de l’autre côté, des agressions physiques et des victimes dont le total s’élève à zéro !
Avec le Betar/Tagar, la minorité juive française possède, en accord avec le ministère de l’Intérieur, des formations paramilitaires dont l’équivalent n’existe pour aucune autre partie de la population française ni pour aucune autre minorité étrangère sur le sol de la France.
Ainsi que le notait Le Choc du mois dans son dossier sur ces milices (juin 1991, p. 11), la cinquième chaîne de télévision française diffusait, le 4 avril 1990, un reportage sur les militants du Betar/Tagar. Un étudiant y était vu se faisant tabasser par les Tagarim à la sortie de la Faculté d’Assas, à Paris. Le 18 mai 1990, la même chaîne de télévision diffusait un second reportage consacré à l’entraînement, calqué sur celui du soldat israélien , que les militants du Betar/Tagar recevaient deux fois par semaine dans un château des environs de Sarcelles (banlieue parisienne) : exercices paramilitaires et entraînement au combat rapproché sous les plis du drapeau israélien. En soi, des exercices de ce type peuvent constituer une sorte de simulacre ou de cinéma pour des esprits faibles mais, avec le Betar/Tagar, ces activités trouvent leur expression soit dans des attentats criminels, soit dans des actions de commandos qui bénéficient de l’appui du ministère de l’Intérieur, du soutien (dans les faits sinon dans les paroles) de ligues ou d’organisations dites antiracistes et d’un traitement de faveur de la part des médias.
Annie Kriegel dénonçait en 1990 une insupportable police juive de la pensée (Le Figaro, 3 avril 1990, p. 2, et L’Arche, avril 1990, p. 25). Effectivement, cette police a force de loi grâce au rabbin Sirat, qui a lancé l’idée d’une loi antirévisionniste (Bulletin de l’Agence télégraphique juive, 2 juin 1986, p. 1), et grâce à Laurent Fabius qui a pu revendiquer à juste titre l’initiative parlementaire du vote de cette loi [Note : François Cordier, substitut du procureur de la République, vient de requérir, le 9 mai 1995, une peine de trois mois d’emprisonnement ferme à l’encontre de Robert Faurisson sur le fondement de la loi Sirat-Fabius-Gayssot, du 13 juillet 1990 ; le professeur est, en effet, coupable de contester l’existence des chambres à gaz nazies. Le jugement sera rendu le 13 juin 1995 par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris.]
Le répugnant montage médiatique organisé autour de la profanation de tombes juives dans le cimetière de Carpentras (profanation dans laquelle semble impliqué le fils d’un officiant de synagogue) a paralysé toute opposition au vote final de la loi Sirat-Fabius-Gayssot.
Mais, à côté de cette insupportable police de la pensée, il existe en France une insupportable police armée, de style israélien, qui s’exerce à force ouverte. [...]
Nous réclamons la fin du privilège dont bénéficie cette communauté.
En attendant que soit prise une décision politique en ce sens, nous exigeons, à titre de première mesure d’urgence, que le Palais de justice de Paris et ses abords immédiats soient interdits à tout groupe ou à tout responsable de groupe (à la Moshe Cohen) dont les intentions terroristes sont manifestes. Il est inadmissible qu’une certaine catégorie de justiciables et les personnes qui les accompagnent aient à redouter de passer directement des environs de la XVIIe chambre correctionnelle (présidée par Martine Ract-Madoux ou Jean-Yves Monfort) ou de la XIe chambre de la cour d’appel (présidée par Françoise Simon ou Violette Hannoun) à l’hôpital. Il est odieux que des responsables de milices campent à demeure au Palais avec tous les privilèges accordés aux membres des différents corps de la police nationale.
« Les petits nazillons ont reçu la raclée qu’ils méritaient devant le Palais de justice », lançait en 1980 Jean Pierre-Bloch à propos de lynchages qui s’étaient produits dans et devant le Palais de justice (Libération, 24 septembre 1980). Personne ne peut prétendre ignorer ces violences physiques que le président de la LICRA approuvait publiquement il y a quinze ans et qui, depuis quinze ans, se reproduisent avec la complicité des forces de l’ordre . Depuis quinze ans, ni les magistrats, ni les avocats, ni leurs syndicats respectifs n’ont exigé que cesse cet état de fait qui déshonore la justice française. Quant au dénommé Moshe Cohen, il serait temps de lui rappeler les déclarations qu’il a faites à L’Événement du jeudi (26 septembre 1991), et selon lesquelles tout juif aurait ses racines et son avenir en Israël et serait ainsi, en France, une personne déplacée (sic). À près de cinquante ans, M. Cohen qui, à l’heure même où nous écrivons, est en Israël avant de revenir en France, serait bien inspiré de faire définitivement son aliyah, c’est-à-dire, sa « montée » (sic) en Israël.
Le présent texte, fondé sur une documentation fournie par le professeur Faurisson, a valeur d’avertissement et de mise en garde. Il s’adresse aux autorités françaises et, en particulier, à celles qui portent les dix noms de la liste ci-dessous. Traduit en anglais, il sera diffusé auprès d’instances internationales.

Destinataires :
Jacques CHIRAC, président de la République, 
Jacques TOUBON, ministre de la Justice, 
Jean-Louis DEBRÉ, ministre de l’Intérieur, 
Pierre DRAI, premier président de la Cour de cassation de Paris, 
Myriam EZRATTY, premier président de la Cour d’appel de Paris, 
Colonel Roger RENAULT, commandement militaire du Palais de justice de Paris, 
Robert BAUJARD, commissaire de police du premier arrondissement de Paris, 
Moshe COHEN, responsable du Betar/Tagar, 
Henri HAJDENBERG, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), 
Jean-Marc SAUVÉ, secrétaire général à la Censure et du gouvernement.
P.S. Dans la presse de la communauté, les appels à la violence physique sont monnaie courante ; à ce titre, voici la citation de la semaine : « Jacques Kupfer, président du Herout de France, a, quant à lui, une idée précise de la riposte juive au FN : “Je n’ai jamais considéré que l’antisémitisme se réglait à coup de communiqués ou de discussions philosophiques, dit-il. Mais je sais comment on règle le problème des antisémites : d’une manière très physique. La jeunesse juive doit être prête à cela : il ne faut ni pleurer, ni craindre, ni se lamenter.” » (Arié Ben Abraham, Le Pacte communautaire, Tribune juive, semaine du 25 au 1er juin 1995, p. 15)

Liste des agressions de la Ligue de défense juive pour le cas où Manuel Valls et Christiane Taubira ne l’auraient pas
CAPJPO-EuroPalestine, 6 novembre 2012

Aperçu des agressions commises depuis 2000 par la Ligue de défense juive (LDJ) et portées à notre connaissance :

18 décembre 2000 : saccage des locaux du MRAP.
11 juin 2001  : saccage des locaux de l’association Enfants de Palestine.
19 décembre 2001 : agression de manifestants pro-palestiniens place de la Convention (Paris XVe) par une trentaine de ces nervis. Dix blessés (cf. Libération du 21 décembre 2001).
11 février 2002 : agression en marge d‘un conseil municipal, des proches de l’ancien maire (UMP) de Levallois-Perret Olivier de Chazeaux. Trois plaintes sont déposées pour « violence en réunion ».
19 février 2002 : agression des participants à une conférence pro-palestinienne à la Sorbonne (Paris Ve). Un blessé (21 jours d’ITT), une arrestation (cf. communiqué du MRAP).
18 mars 2002 : à l’occasion du gala de l’ABSI (« Association pour le bien-être du soldat israélien », sic) au Palais des sports de Paris, un photographe de Libération qui portait un keffieh autour du cou est agressé (cf. Libération du 19 mars 2002)
22 mars 2002 : saccage de la librairie Envie de Lire à Ivry (Val de Marne), qui abritait la section parisienne de l’Association des Palestiniens de France. Plusieurs interpellations. [...]
2 avril 2002 : agression de José Bové de retour de Ramallah et de militants pro-palestiniens, à l’aéroport d’Orly (cf. Journal de 20h00 de TF1, France2 et le 6 minutes de M6). Les papiers d’identité d’un militant lui sont volés et il est menacé de mort.
Nuit du 2 au 3 avril 2002 : tentative d’incursion dans les locaux du CICP (Centre international de culture populaire) par un commando masqué et armé de matraques. Vitre blindée de la porte principale cassée.
4 avril 2002 : nouveau saccage des locaux de l’association Enfants de Palestine.
7 avril 2002 : violences en marge d’une manifestation appelée par le CRIF, place de la Bastille (Paris IIIe). Un commissaire de police est poignardé, deux journalistes et plusieurs photographes sont passés à tabac, des passants maghrébins sont agressés, des manifestants de « Shalom Arshav » se font asperger de gaz incapacitant (cf. Libération du 9 avril 2002). [...]
15 avril 2002 : agression à coups de battes de base-ball de quatre étudiants auxquels il est reproché d’avoir déchiré des affiches sionistes, par des membres du Tagar (cf. Est-il permis de critiquer Israël ? de Pascal Boniface).
22 avril 2002 : saccage d’une exposition de photos à Paris (XIXe) (cf. L’Oursaint, 2e partie).
14 mai 2002 : agression par des membres de la LDJ de jeunes maghrébins à la sortie du concert du LIBI. Deux blessés, une arrestation.
12 novembre 2002 : agression à la faculté de Nanterre d’un administratif d’origine maghrébine confondu avec un membre de l’AGEN (syndicat d’étudiants sur le campus de Nanterre). Un blessé, une arrestation (cf. Paris Obs de Catherine Erhel du 29 janvier 2004)
7 décembre 2002 : saccage des locaux de radio Méditerranée (cf. communiqué de l’association CAPJPO).
8 janvier 2003 : agression de militants syndicaux, suite à la manifestation de l’UEJF contre la suspension par l’université de Jussieu d’un accord de coopération avec des universités israéliennes. Trois hospitalisés, un traumatisme crânien (cf. Oumma.com)
30 septembre 2003 : insultes et menaces dans l’enceinte du tribunal de grande instance de Paris, contre des parties civiles lors du procès du gestionnaire du site amisraëlhaï.org, lequel avait invité à agresser une liste de personnes réputées juives et opposées à la politique israélienne (cfLe Monde du 2 octobre 2003).
7 octobre 2003 : agression par l’actuel dirigeant de la LDJ, Joseph Ayache, à coups de casque, d’un palestinien alors qu’il était interviewé, aux abords des bureaux de la Délégation palestinienne à Paris (XVe). L’agresseur s’est enfui en Israël. L’agression étant filmée, l’auteur des coups a été condamné à 4 mois de prison ferme par la 24e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris. Prison qu’il n’a jamais faite, bien qu’étant ensuite revenu en France.
30 décembre 2003 : agression en réunion, avec armes et préméditation de membres du syndicat étudiant AGEN, du campus de Nanterre, devant et dans la cour du tribunal administratif de Paris, rue de Fourcy (IVe). Refus d’instruction par le Parquet pour identifier les auteurs, une arrestation et une condamnation à huit mois de prison avec sursis, quatre blessés dont un très gravement (45 jours d’ITT).
5 février 2004 : jet d’acide sur les spectateurs à Lyon lors d’un spectacle de Dieudonné (six blessés, une arrestation).
16 mai 2004 : agression contre Noël Mamère par la LDJ, lors d’une manifestation contre le racisme et l’antisémitisme (cf. France-Soir de Cécile Maillard du 17 mai 2004).
10 septembre 2004 : insultes et menaces à l’encontre de Fouad Alaoui (responsable de l’UOIF) devant le siège du CRIF (cf. Libération du 10 septembre 2004).
20 février 2005 : agression à 3 reprises de militants pro-palestiniens présents lors de la manifestation syndicale des fonctionnaires et enseignants. Deux blessés.
2 mars 2005 : agression de Dieudonné lors de sa tournée en Martinique par quatre membres de la LDJ. Quatre arrestations. 
19 février 2006 : lors d’une marche en la mémoire d’Ilan Halimi, des passants maghrébins sont passés à tabac par la LDJ, des journalistes sont molestés et une voiture est saccagée (cf. Le Parisien du 20 février 2006).
19 février 2006 : tentative d’incursion dans le théâtre de Dieudonné (cf. Libération du 20 février 2006).
26 juin 2006 : tentative d’incursion dans les locaux du CICP par une vingtaine de membres de la LDJ, dont bon nombre casqués, à l’occasion d’une conférence sur la Palestine. Une personne âgée aspergée de gaz et un employé du CICP blessé.
25 octobre 2006 : agression contre Ginette Skandrani à son domicile, rouée de coups par trois membres de la LDJ.
7 décembre 2006 : attaque contre la Librairie Résistances qui recevait Tanya Reinhart, universitaire et opposante israélienne : vitrines cassées, projection de gaz lacrymogène. Deux blessés.
17 février 2008 : Rassemblement à la mémoire d’Illan HALIMI boulevard Voltaire. La LDJ agresse des passants maghrébins, puis une vingtaine de ses membres chargent dans la rue Voltaire en direction du CICP à l’issue du rassemblement.
15 mai 2008 : agression par environ vingt-cinq membres de la LDJ armés de casques, boulevard Voltaire, de personnes sortant du CICP après une conférence en présence du journaliste Georges Malbrunot. Un technicien du CICP est grièvement blessé (22 jours d’ITT).
8 janvier 2009 : agression par sept membres de la LDJ de deux lycéens devant le Lycée Janson de Sailly (Paris 16e), qui ont refusé des tracts. Trois membres de la LDJ mis en examen.
12 avril 2009 : lynchage de deux personnes aux abord du Théâtre Aydar à Paris, par une quarantaine de membres de la LDJ armés de chaînes et matraques, à titre de protestation contre la représentation du spectacle Nos talents pour Gaza. Instruction toujours en cours plus de 3 ans après les faits, six membres de la LDJ mis en examen.
22 avril 2009 : agression par une vingtaine de membres de la LDJ, certains avec casques et matraques, de deux militants pro-palestiniens, boulevard Voltaire à PARIS, qui se rendaient à une soirée organisée par l’association Génération Palestine. Trois membres de la LDJ interpellés. Les victimes, sur la base de déclarations mensongères de deux autres membres de la LDJ, seront ensuite placées sous contrôle judiciaire et devront attendre trois ans pour que leur statut de victimes soit enfin reconnu par le tribunal de grande instance de Paris. Deux membres de la LDJ condamnés à des peines de prison avec sursis, appel en cours. 
3 juillet 2009 : cinq membres de la LDJ attaquent la Librairie Résistances, renversent et jettent de l’huile sur les livres, détruisent le matériel informatique et s’enfuient. Ils étaient suivis par les RG et seront rapidement identifiés et déférés la semaine suivante en comparution immédiate. Quatre mois de prison avec sursis, alors que plusieurs des inculpés ont déjà un lourd casier judiciaire.
10 juillet 2009 : injures, agressions et menaces par les membres de la LDJ dans l’enceinte du tribunal de grande instance de Paris à l’occasion de l’audience de jugement des quatre membres majeurs, de la LDJ, jugés pour l’attaque de la Librairie Résistances la semaine précédente.
21 novembre 2010 : une trentaine de voyous encagoulés et munis de casques de moto attaquent le Musée d’art moderne de Paris (11, Avenue Wilson, Paris XVIe), pour tenter de détruire une exposition photographique consacrée aux massacres d’Israël de décembre 2008-janvier 2009 dans la bande de Gaza.
13 février 2011 : toujours à la fin d’un rassemblement en mémoire d’Ilan Halimi, une soixantaine de membres de la LDJ remonte le boulevard Voltaire en direction du CICP, qu’ils assiègent et sur lequel des œufs sont jetés.
15 mars 2011 : la LDJ parade dans le tribunal de grande instance de Paris à l’occasion d’une confrontation dans l’affaire « boulevard Voltaire ». À l’issue de la confrontation, ils se jetteront à une dizaine sur une personne qu’ils identifient comme militant pro-palestinien. Classement sans suite par le Parquet, malgré l’interpellation de deux membres de la LDJ et les ITT de la victime.
3 avril 2011 : attaque du cinéma Saint-Michel à Paris, qui projette le film Gaza-Strophe. Ils tentent d’enfermer le projectionniste et l’ouvreuse pour interrompre la projection du film. Ils frappent le projectionniste qui résiste, menacent de bruler le cinéma et s’enfuient après avoir signé leur présence par des autocollants de la LDJ.
1er mai 2011 : agression par des membres de la LDJ, au niveau du boulevard Voltaire, de personnes portant des drapeaux palestiniens dans les cortèges syndicaux.
5 mai 2011 : la LDJ attaque à Paris une réunion organisée par un comité local parisien de l’AFPS, Association France Palestine Solidarité, dans la mairie du 14e, en présence du maire d’arrondissement, aux cris notamment de « Palestine on t’encule ». Classement sans suite par le Parquet.
18 juin 2011 : la LDJ se rend spécialement de Paris à Marseille pour une contre-manifestation à l’occasion d’un rassemblement pour la Flotille de Gaza, affrontement avec plusieurs membres de la LDJ qui demandent à la police de faire semblant de les embarquer pour pouvoir s’enfuir.
26 juin 2011 : la LDJ attaque le CICP à l’issue d’une manifestation contre l’organisation de la Flotille pour Gaza, les participants à une soirée mexicaine qui se déroulait au CICP doivent être raccompagnés par la police jusqu’à la Nation pour ne pas être agressés. Pas d’interpellation.
23 octobre 2011 : attaque par une vingtaine de membres de la LDJ du CICP à l’occasion d’une soirée de solidarité avec une coopérative agricole palestinienne. Le service d’ordre, puis l’intervention de la police, permettent de faire reculer les agresseurs. Pas d’interpellation.
12 mars 2012 : Jacob Cohen, écrivain de 68 ans, est agressé dans un café du boulevard Saint-Germain à Paris, alors qu’il dédicace son dernier livre. Jet d’œufs, de farine, crachats et injures. Menaces contre les témoins qui tentent de s’interposer. Agression filmée, mise en ligne et revendiquée par la LDJ.


28 juin 2012 : agression d’Olivia Zémor alors assise à la terrasse d’un café à la Bastille, elle reçoit sur la tête, le visage et le corps de la peinture à l’huile qui a nécessité un transport aux urgences de l’Hôtel Dieu par les pompiers, étant donné la toxicité du produit. La LDJ revendiquera l’agression et publiera une vidéo de l’acte. La police indique avoir rapidement identifié les agresseurs, mais personne n’est interpellé à ce jour.


5 juillet 2012 : Jacob Cohen, se rend au métro Saint-Paul à Paris pour un rendez-vous avec la presse. Une jeune femme l’attend, le conduit dans une ruelle au motif d’aller à la rencontre d’un journaliste. Trois hommes surgissent, bombardent l’écrivain de peinture à l’huile rouge et de farine.


6 septembre 2012 : plusieurs membres de la LDJ lancent des œufs contre la façade de l’Institut du monde arabe à Paris, où était projeté en avant-première le film Coucheriez-vous avec un Arabe ? Ils publieront la vidéo de l’acte le lendemain.
13 septembre 2012 : la voiture de Jonathan Moadab, journaliste indépendant du « Cercle des Volontaires », a reçu un engin incendiaire à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Trois membres de la LDJ sont mis en examen – l’instruction est en cours au tribunal de grande instance de Versailles.
24 octobre 2012 : Houria Bouteldja, militante du Parti des Indigènes de la République, est agressée par jet de peinture lors d’un guet-apens, un membre de la LDJ se faisant passer pou un journaliste. L’agression sera publiquement revendiquée par la LDJ.


Cette liste n’est pas exhaustive, car lors de chaque procédure, il a été découvert que les membres de la LDJ étaient impliqués dans bien d’autres affaires de violence. Au demeurant, elle ne comprend ni les menaces de morts qui ont fait l’objet de plaintes, ni les nombreux tags de croix gammées et autres insultes peints par la LDJ sur des portes d’immeubles.
-----------------------------------------------------------

*Elie Wiezel : les fabuleuses aventures d’un imposteur

Il a reçu le prix Nobel de la Paix, il est payé 25.000 dollars pour faire des discours et il est reçu avec les honneurs un peu partout, pourtant Elie Wiezel ne s’avère être en fin de compte qu’un menteur pathologique qui fait du business avec la Shoah.
C’est une pièce majeure du système de culpabilisation des sionistes, il ne faut donc pas compter sur les médias pour faire la lumière sur ce sinistre individu.
La gloire internationale d’, prix Nobel de la Paix, est largement fondée sur le succès des récits de sa douloureuse expérience concentrationnaire.
Son talent de conteur fut d’ailleurs rapidement reconnu par l’écrivain François Mauriac, qui le prit sous son aile bienveillante, ainsi qu’il le relate dans ses Mémoires : “Sans Mauriac, dit-il, que serais-je devenu ? Il veilla sur ma “carrière”. Lors de chacun de mes voyages en France, je venais lui rendre visite.” La rencontre entre les deux hommes eut lieu dans une réception mondaine : “Mauriac, je l’ai aperçu en 1955 lors d’une célébration de la fête de l’Indépendance à l’ambassade d’Israël… Surpris, il insista : “Je suis heureux que vous m’ayez invité. Israël me tient à cœur. J’aime participer à sa fête.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 338, 326).

Elie Wiesel, guide touristique
A ses débuts, après la Seconde Guerre mondiale, Elie Wiesel dut travailler dur pour gagner sa vie. Installé à Paris, il servait de guide touristique à ses coreligionnaires de passage en France. Voici une anecdote qui montre de manière assez éloquente son aptitude à enrichir la vérité :
“Miriam me demande des explications sur Paris, et je les lui fournis volontiers. Pas besoin d’effort. J’improvise avec un aplomb dont j’ai encore honte aujourd’hui… A cette époque-là, il m’arrive assez souvent de broder, d’inventer des détails piquants sur l’histoire de Paris qu’on ne trouverait dans aucun ouvrage, fût-il romancé. Pourquoi ? Par fatigue.
Trop de visiteurs israéliens insistent pour que je leur montre le Louvre et la Concorde, Montmartre et les cabarets russes. Au début, je fais mon métier de guide consciencieusement : je ne dis que ce que je sais. Et puis je m’aperçois que les touristes dont j’ai la charge sont insatiables en ce qui concerne la culture parisienne : ils en veulent davantage. Des récits plus pittoresques. La façade de Notre-Dame avec ses Juifs au chapeau pointu, avec sa synagogue aveugle et misérable, ne leur suffit pas. [Elie Wiesel confond avec la cathédrale de Strasbourg]. “Tout cela, disent-ils, nous l’avons appris à l’école. Ici, c’est autre chose qui nous intéresse.” Bon, qu’à cela ne tienne : je me mets à inventer une anecdote pour chaque statue, une histoire pour chaque monument. Réarranger le passé de la capitale pour une heure, une matinée, en quoi cela nuirait-il à la France ?
“Or, un jour, l’inévitable se produit : un guide, malheureusement professionnel, se trouve place de la Bastille près du petit groupe (francophone) qui m’écoute bouche bée lui décrire les journées de 1789 ; je suis en forme, je connais le nom de l’officier qui, le premier, ouvrit les portes de la prison ; et celui du prisonnier qui, à genoux, implora sa miséricorde.
Dans la cellule voisine, une princesse se préparait à la mort ; elle souhaitait mourir, mais la vue de l’officier la fit changer de philosophie, et la voilà qui, au scandale de ses amies, clame son amour de la vie et des vivants… Je pourrais continuer à broder ainsi jusqu’à la prochaine révolution, n’était le cri d’animal blessé qu’un bonhomme inconnu pousse à côté de moi… Il se jette sur moi, prêt à me déchiqueter : “Comment… comment osez-vous ? Moi qui connais cette ville, l’histoire de chaque pierre, comment osez-vous mentir en ma présence et faire mentir l’histoire ?”
Nous le quittons plutôt précipitamment. “Ne fais pas attention, me console l’un de mes invités de passage. C’est un fou furieux.” Un autre le corrige : “Mais non, il est jaloux, c’est clair comme le jour.” Mais Miriam, elle, adore les histoires. Vraies ou imaginaires, elles la divertissent. Et puis, elle est belle, Miriam.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 271, 272).
Nous avons ici un bel exemple de fuite précipitée. Mais, une fois n’est pas coutume, l’auteur semble admettre que la colère de son agresseur pourrait être ici éventuellement justifiée, quand bien même ses coreligionnaires sont déjà prêts à le défendre mordicus contre pareille injustice.

Elie Wiesel et les geysers de sang
Ce qu’il a vu est tout simplement inouï ; mais ce qu’il a entendu dire l’est peut-être plus encore. Dans Paroles d’étranger, il relate les massacres de Babi-Yar, en Ukraine, où les Allemands avaient exécuté des Soviétiques, dont de nombreux juifs: “Plus tard, j’appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n’avait cesser de trembler ; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé.” (Paroles d’étranger, Seuil, 1982, p. 86).

Elie Wiesel doit choisir
“18 janvier 1945 : l’Armée rouge se trouve à quelques kilomètres d’Auschwitz… Berlin décide d’évacuer les détenus vers l’intérieur de l’. Une agitation fébrile règne dans toutes les baraques… Mon père vient me voir à l’hôpital. Dans le désordre général, on le laisse entrer. Je lui dis : “les malades peuvent rester au KB, mais… ─ Mais quoi ? demande mon père. ─ Il y a que… je ne veux pas me séparer de toi.” J’ajoute : “Mais tu pourrais rester avec moi, tu sais. ─ Est-ce possible ? demande-t-il. ─ Oui, c’est possible.” Il y a de la place. Aujourd’hui, la surveillance se relâche. Dans le va-et-vient, tout est possible. Idée tentante, mais nous la repoussons. Nous avons peur. Les Allemands ne laisseront pas de témoins derrière eux ; ils les tueront. Tous. Jusqu’au dernier. C’est dans la logique de leur monstrueuse entreprise. Ils feront tout sauter pour que le monde libre n’apprenne pas la nature et l’étendue de leurs crimes.”
Voilà comment Elie Wiesel et son père choisirent de partir avec les Allemands, plutôt que d’attendre l’Armée rouge. Ceux des malades qui étaient restés, contrairement aux prévisions des Wiesel, père et fils, n’avaient finalement pas été exterminés : “Que serait-il advenu de nous si nous avions choisi de rester ? Tous les malades, ou presque tous, ont survécu. Libérés par les Russes neuf jours plus tard. Autrement dit, si nous avions choisi de rester à l’infirmerie, mon père ne serait pas mort de faim et de honte dix jours après, à Buchenwald.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 119). On soignait donc les gens à Auschwitz, et même les pauvres juifs.

Elie Wiesel invente un langage
Elie Wiesel a fortement incité les survivants d’Auschwitz à témoigner, pour ne pas oublier. “En vérité, dit-il, mon principal souci a toujours été les rescapés. En écrivant, j’ai essayé de les convaincre de la nécessité et de la possibilité du témoignage : “Faites comme moi, leur disais-je. Déposez, racontez, même s’il vous faut inventer un langage.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 443).

Elie Wiesel et la bénédiction du rabbi
Se rendant “à Bnei Brak, le faubourg le plus religieux de Tel-Aviv”, il y rencontre le vieux Rabbi Israël : “Il me fait parler de mes travaux. Il veut savoir si les histoires que je raconte dans mes livres sont vraies, c’est-à-dire si elles sont vraiment arrivées. Je lui réponds : “Rabbi, en littérature, c’est ainsi : il y a des choses qui sont vraies, et pourtant, elles ne sont pas arrivées ; et d’autres qui ne le sont pas, alors qu’elles sont arrivées.” J’aurais tellement souhaité recevoir sa bénédiction.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 347).

Elie Wiesel vole dans les airs
Dans L’Industrie de l’holocauste, paru en 2000, Norman  a lui aussi relevé les multiples contradictions d’Elie Wiesel.
Ainsi, Wiesel raconte dans ses Mémoires qu’à sa sortie de Buchenwald, à l’âge de 18 ans, il a “lu la Critique de la raison pure, ne riez pas, en yiddish”. Et Norman Finkestein rappelle que Wiesel avait pourtant affirmé qu’à cette époque-là, il ignorait “tout de la grammaire yiddish. Mais surtout, ajoute malicieusement Finkelstein, “la Critique de la raison pure n’a jamais été traduite en yiddish”. Et il poursuit : “Wiesel se souvient aussi, de la façon la plus détaillée, d’un “mystérieux érudit talmudiste” qui “apprit le hongrois en quinze jours, juste pour m’étonner”. Il a raconté à un hebdomadaire juif qu’il avait souvent “la voix enrouée ou même aphone” à force de se lire ses propres livres “à haute voix en lui-même”.
Il a raconté à un reporter du New York Times qu’il avait été heurté par un Taxi à Times Square : “J’ai parcouru la distance d’un bloc en vol plané. J’ai été heurté au coin de Broadway et de la 45e rue, et l’ambulance m’a ramassé à la 44e.” Je présente la vérité sans fard, dit Wiesel. Je ne peux pas faire 
Hervé RYSSEN
Bonus : Elie Wiezel en balade à Aushwitz ne porte aucune marque de tatouage !

Viewing all articles
Browse latest Browse all 10306


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>