MAIS AUSSI, LE SUCRE ET LA MALBOUFFE
NOUS RENDENT FOUS.
SUCRE ET ALCOOL, MÊMES EFFETS.
Ce soir sur ARTE, Magazine THEMA.

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Par Michel Dogna naturopathe.
Le sucre provoque un encrassement général de l'organisme, il empêche la synthèse de la vitamine B, il acidifie le sang, il se transforme en acides gras qui pénètrent les organes. On devrait s'en méfier comme de la peste mais en France, chaque habitant en consomme 100g par jour.
Lorsque l’on mange du sucre, celui-ci est assimilé très rapidement par l’organisme (ceci est bien connu des sportifs). C’est, en somme, un dopant. La combustion de ce sucre nécessite une accélération plus ou moins importante de la respiration. La grande majorité actuelle de sédentaires dont la capacité respiratoire est réduite, n'est pas en mesure d'apporter suffisamment d'oxygène pour que cette combustion (un feu de paille en quelque sorte) soit parfaite. D’où encrassement progressif de l’organisme.
Au niveau intestinal, les donne lieu à des fermentations que les dyspepsiques connaissent bien. En particulier, le sucre donne naissance à des bactéries qui mangent une partie de la flore microbienne de l’intestin, celle qui a pour fonction de synthétiser les vitamines du groupe B. Les mangeurs de sucres ont très souvent des carences en vitamine B.
Autre chose encore, lorsque le sucre arrive dans le sang (sous forme de glucose), il y a une brutale acidification du sang et ceci nécessite un effet tampon qui est réalisé par la libération de calcium au niveau des os et même des dents – d’où les fréquents problèmes de calcium, de fragilité osseuse et de dentition chez les mangeurs de sucre.
Enfin, je voudrais reprendre une amusante parabole de Mitchio Kushi qui avait repris la direction du mouvement macrobiotique après la mort de son fondateur Oshawwa.
" Au début, le sucre va jusqu’au foie et est stocké sous forme de polysaccharides. Le cas échéant, les polysaccharides se décomposent et rentrent dans le milieu sanguin pour répondre à un besoin du corps. Lorsqu’il n’y a plus de place, le foie s’enfle et accroche l’écriteau « complet » ! L’excès de sucre doit donc retourner au sang sous forme d’acides gras. Il y circule et se demande où il pourrait bien se loger. Il trouve un endroit agréable et tranquille pour emménager, comme votre épaule ou votre cuisse, sous le menton, etc. Il ressemble à ces personnes aux cheveux longs qui errent à la recherche d’un gîte…
Un sucre trouve un endroit merveilleux pour dormir – un autre arrive et se dit ! « Tiens, ce n’est pas mal ici, je crois que je vais rester ». Bientôt, d’autres viennent. Et à la longue, il y a des millions de sucres. Étant yin, le sucre cherche un milieu yang pour dormir, et il va aux organes yang comme le cœur, les reins, les ovaires et sous la forme d’acides gras, adhère comme une couche de graisse à ces organes. Mais ces sucres ne se contentent pas de rester à l’extérieur, ils veulent entrer dans la maison. Bientôt, ils se trouvent à la cuisine, entrain de chercher de quoi manger, et au salon en train de regarder la télévision !
Ils commencent à pénétrer dans les cellules. Ils prennent d’assaut les organes. Les organes ne peuvent plus fonctionner – par conséquence, les acides gras se condensent et forment des calculs. Une personne dans cet état peut donc avoir des pertes vaginales, une toux, de la fièvre, etc., on peut avoir ensuite la maladie de Hodgkin, la leucémie et différentes maladies dont l’aboutissement est le cancer ! »
Bref historique du sucre
A l’origine les habitants du Bengale (Inde) et de l’Indonésie suçaient couramment les tiges de canne. Au IVème siècle, on commença à cultiver la canne en Orient, puis en Chine et en Perse au Vème siècle. Puis les arabes s’y intéressèrent au VIIème siècle en Mésopotamie. Finalement Christophe Colomb importa la canne aux Antilles.
On commença à importer le sucre de canne en Europe au XVIIème siècle par le port d’Anvers. C’était à l’époque un produit de luxe. Mais suite aux déboires de fermentation dans le bateaux, on dut effectuer des processus de purification du sucre , ce qui donna naissance au bien connu « sucre Candi »
On commença à importer le sucre de canne en Europe au XVIIème siècle par le port d’Anvers. C’était à l’époque un produit de luxe. Mais suite aux déboires de fermentation dans le bateaux, on dut effectuer des processus de purification du sucre , ce qui donna naissance au bien connu « sucre Candi »
Suite à un blocus de l’Angleterre à cause de Napoléon, il n’y eut plus d’approvisionnement en sucre en France. Mais en 1806, un ingénieur allemand trouva le moyen d’extraire du sucre à bon marché à partir de la betterave….à sucre. L’industrialisation démarra en 1812. Ce sucre doit subir des processus chimiques très durs pour enlever son abominable goût et le rendre chimiquement pur….Mais comme tous les produits chimiquement purs (qui n’existent pas dans la nature), il s’avère agressif pour l’organisme. C’est ce sucre là, de grande consommation, qui était évoqué plus haut.
Il y a sucres et sucres
Le sucre blanc de betterave : mauvais, toxique
Le sucre roux de canne : un peu moins mauvais
La cassonade brune de canne : acceptable
Le sucre roux (de betterave) qui a été chauffé : une tromperie pour les naïfs
Le sucre complet de canne (avec plus ou moins de mélasse) : excellent
Le sucre roux de canne : un peu moins mauvais
La cassonade brune de canne : acceptable
Le sucre roux (de betterave) qui a été chauffé : une tromperie pour les naïfs
Le sucre complet de canne (avec plus ou moins de mélasse) : excellent
Il existe toute une famille de sucres qui se terminent en « ose » - nous avons parlé du saccharose, mais il y a le lévulose, le fructose, le lactose, le glucose... et en particulier les polysaccharides des céréales qui sont contrairement au saccharose des sucres lents et qui sont un aliment propre et sans déchets.
Une dernière chose : le sucre a jadis été vendu dans les drogueries, ce qui indique bien qu’il a été considéré comme une drogue, et c’est vrai puisqu’il crée une addiction.
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La Dr Jayne Goldman de l’Université du Connecticut, a fait une expérience intéressante en 1986. Elle donna une dose de sucre à des enfants, correspondant à un Coca-Cola. Elle constata une chute des performances mentales 30 mn après cette consommation, et qui atteignait son maximum une heure après l’ingestion.
Le sucre et la malbouffe nous rendent fous.
Troubles psychiques
La malbouffe et le sucre entraînent chez l'individu des réactions de compensation ou d'empoisonnement qui influence son comportement. Une piste que les psychiatres ont totalement négligés jusqu'ici car pendant ce temps, le business des médicaments psychoactifs bat son plein.
On n'a pas beaucoup parlé des constatations qui ont été faites, il y a quelques années, par le Dr Staye, agent de probation dans un cadre de liberté surveillée de délinquants dans l’Ohio. Le Dr Staye a remarqué que ces délinquants avaient une très mauvaise alimentation avec beaucoup de sucre, beaucoup de malbouffe, de nourriture avec des additifs tels que le glutamate monosodique (exhausteur de goût) et l’aspartame (boissons light). Elle a également noté que plus de la moitié d’entre eux continuaient d'avoir un comportement antisocial, violent, et commettaient des vols pendant leur peine. Mais si on les mettait sous un régime équilibré, seulement 8% persistaient dans leur violence.
Concernant les drogues, les résultats sont aussi intéressants. D'autres études ont montré que parmi ceux qui consommaient beaucoup de sucre et de malbouffe, 47% continuaient la drogue durant leur période de liberté surveillée. Par contre, parmi ceux qui avaient accepté une alimentation contrôlée, seulement 13% continuaient la drogue.
Au centre d’enfants d’Oklahoma, on a réduit de 43% les crimes des jeunes délinquants en réglant simplement les problèmes de malbouffe. Et puis, on est allé plus loin en étudiant les électroencéphalogrammes des prisonniers. Chez les prisonniers violents, on a trouvé 14 anomalies dans les électroencéphalogrammes. Avec le changement de régime, ces anomalies sont passées au nombre de 2.
Il y a aussi une relation importante avec les comportements suicidaires. Dans des prisons d’Alabama, on a fait les mêmes études. En changeant le régime des prisonniers, il y a eu 42% de réduction des actes suicidaires et 61% de réduction des comportements antisociaux sur une seule année.
Comment le sucre influence le cerveau
L'explication de l'influence de la consommation de sucre sur l'humeur est assez simple. Quand le sucre est consommé en excès, le pancréas s’affole et fournit trop d’insuline, celle-ci comme on le sait, devant régler le taux de sucre dans le sang ; du coup, le sang se trouve en carence de sucre, et c’est l’hypoglycémie. Le corps tente alors de remonter ce taux de sucre en stimulant les surrénales qui vont produire deux hormones : d’une part l’adrénaline et d’autre part l’épinéphrine et sa cousine la norépinéphrine. Ces hormones excitent le cerveau et le mettent en hyperactivité. Mais comme le cerveau manque de sucre (son principal carburant est le glucose), il produit du glutamate, qui est un neurotransmetteur excitateur. Il en résulte alors une grande nervosité.
La consommation de sucre est toujours suivie d’une hypersécrétion d’insuline. Le taux de sucre dans le sang tombe si bas, que l’on est pris d’une sensation d’anxiété, de colère, de fatigue, et même de faiblesse intense, accompagnée … d’une envie impérative de sucre ! Et l’on est piégé dans un cycle infernal d’addiction...
Le syndrome de perte de contrôle
Les effets remarquables chez les individus les plus agressifs sont au niveau du lobe temporal, qui ne sert pas qu’à la mémoire mais est responsable des émotions, particulièrement de la colère. Les personnes qui ont un dysfonctionnement du lobe temporal peuvent, lorsqu’elles sont en hypoglycémie, devenir folles de rage sans aucune raison ou pour des raisons insignifiantes.
Une électrode installée dans ce site pourrait vous transformer en criminel d’une minute à l’autre, d’une façon incontrôlable. Dans un groupe d’Indiens du Pérou, on a trouvé que 50% étaient hypoglycémiques, et c’est l’une des tribus les plus violentes de la planète.
Le cas typique de Raymond
Alors qu’il se disputait avec sa petite amie à propos d’une peccadille, tout d’un coup, il est devenu fou de rage. Il a pris son Magnum et le lui a mis dans la bouche. Elle s’est alors débattue et a repoussé violemment l’arme, ce qui a fait qu’il lui a tiré dans la main. Bien qu’elle n’ait pas voulu porter plainte, l’Etat a arrêté Raymond. Le docteur Staye a consulté l’historique de Raymond, et a trouvé les points suivants :
À l’âge de 4 ans, sa mère avait constaté qu’il avait des épisodes de faiblesse et d’absence, et elle lui donnait alors un peu de sucre, ce qui lui faisait reprendre ses jeux ; trouvant la recette efficace, elle recommençait à chaque fois que cela se produisait. En fait il était à chaque fois en hypoglycémie.
À 13 ans, il avait des sautes d’humeur importantes, et ses résultats scolaires furent très mauvais; il eut même des épisodes de violence…. Toujours à cause de chutes de glycémie.
À 23 ans, il commet cette tentative d’assassinat…..
Pendant sa liberté surveillée, on l’a mis à un régime contrôlé, le privant des cookies, des bonbons, du café, des sodas, etc., et il ne commit plus aucun délit, ni aucun acte violent. Il était devenu une personne différente, et les gens n’en revenaient pas.
L'ascension vertigineuse du sucre
En 1900, un américain consommait en moyenne, 2 kilos de sucre par an. Actuellement, il en consomme 60 kilos ! Plus de 60% du sucre vient de l’alimentation industrielle (43% entre jus de fruits et sodas). Nous ne sommes pas Américains, je veux bien, mais nous suivons la même pente.
Dès que les bébés sont en âge de manger, les mères leur donnent des jus de pommes en brique qui contiennent 35 gr de sucre ! Tous les jus ont de fortes concentrations en sucre, et les parents élèvent leurs enfants avec cela.
Puis vient l'adolescence et la consommation de sodas. Toujours aux USA, les ados boivent l’équivalent de 54 cuillères à café de sucre par jour, seulement en sodas. La limite maximum ne devrait pas dépasser 10 cuillères par jour.
Même les personnes plus âgées sont tombées dedans. Une étude de l’UMC-Chapel Hill montre que les adultes de 40 à 60 ans ont augmenté leur consommation de boissons sucrées de 250% entre 1972 et 2001. Ceux de plus de 60 ans ont augmenté de 300%. On sait que cela provoque une augmentation des radicaux libres dans le cerveau et on a en outre trouvé que les grands consommateurs de sucre ont 6 fois plus de chances d’avoir un Alzheimer, en raison des lésions permanentes faites au cerveau.
Sucre et alcool, mêmes effets
Par ailleurs, de nombreuses études montrent qu’il y a aussi une forte corrélation entre l’abus d’alcool, l’hypoglycémie et les comportements criminels. En fait, les métabolismes de l’alcool et du sucre sont les mêmes.La plupart des prisonniers violents des prisons sont hypoglycémiques et alcooliques. A chaque fois qu’ils boivent de l’alcool, nous savons que leur taux de sucre diminue dramatiquement dans le sang. Cela peut aller jusqu’au coma hypoglycémique et même un AVC mortel.
Près de 97% des alcooliques sont hypoglycémiques, comparés à 18% dans la population générale. La raison en est qu’à chaque fois que l’alcoolique est en hypoglycémie, il reboit, se sent mieux provisoirement, et c’est le cycle infernal !...Quand on règle la glycémie de ces gens, 71% deviennent sobres, comparés à 25% pour les Alcooliques Anonymes.
Aspartame et glutamate :
des faux sucres super-dangereux
Il y a aussi l’aspartame qui est un grand responsable de l’hypoglycémie, ainsi que le glutamate monosodique (GMS) qui sont deux puissants stimulateurs de l’insuline. Les deux rendent hypoglycémique. Selon la FDA , un de leurs effets rapportés est la prise de poids. Tout le monde croit les publicités affirmant que ces produits vont leur faire perdre du poids, alors que c’est l’inverse car ils poussent au grignotage.
Quand vous être hypoglycémique et que vous prenez du glutamate, les effets se démultiplient. C’est extrêmement courant dans la société. Le mélange « chips-soda » peut devenir explosif et vous rendre enragé, sans compter que les excitotoxines détruisent le cerveau ! Avec une injection de glutamate dans l’hypothalamus, une souris peut attaquer un chat !
Des études et encore des études
Une étude finlandaise de 1983 s'est intéressée aux délinquants violents en prison. Chez les impulsifs qui attaquaient sans raison, les chercheurs ont remarqué que le sucre chutait soudainement dans leur sang, puis remontait rapidement. Parmi les délinquants mineurs (vols à la tire…..), le taux de sucre chutait rapidement mais remontait doucement.
Le Dr Ron Prinz de l’Université de Floride, fut le premier à étudier l’effet du sucre sur le comportement des enfants en 1980. Il constata d’abord que généralement 40% des rations caloriques de ces enfants étaient composés de sucre. Les plus gros consommateurs (25% de ces enfants), étaient hyperactifs et avaient un déficit de l’attention. C’est ce genre d’enfant qui se frappe la tête contre les murs et que l’on met sous Ritaline.
Judith Worthman et son mari, neuroscientifiques, ont mené une étude sur la nutrition du cerveau. Ils ont fait une corrélation entre l’absorption de sucre, le comportement, et le niveau de sérotonine dans le cerveau.
Il faut noter que tous les antidépresseurs, que l’on appelle « IRS », sont des drogues qui régulent la production de sérotonine dans le cerveau. Réguler, cela peut vouloir dire diminuer. Mais chez certaines personnes, ces drogues diminuent le taux de sérotonine, et ces personnes se suicident ou commettent des meurtres. Les « serial killer » consomment pratiquement toujours ces drogues anti-dépressives. Donc, on rend meurtriers des enfants en diminuant leur taux de sérotonine, alors que l’on prétendait l’augmenter. Le taux de sérotonine est en relation avec le taux de sucre. Nous avons vu que l’on peut créer des souris tueuses en diminuant simplement leur taux de sérotonine dans le cerveau.
Egger et Carter ont étudié - en 1985 - 76 enfants hyperactifs qui ont été mis à un régime pauvre en glucide, sans colorant. 82% se sont améliorés et 18% sont redevenu normaux. Les réactions les plus violentes ont été avec le colorant jaune E102* et le benzoate de sodium E211*.
Pour conclure, une petite précision : dans la tribu indienne des Kuolla dont je vous parlais, où 55% des hommes sont très agressifs et hypoglycémiques, l'alimentation quotidienne principale est composée de pommes de terre, qui sont connues pour être fortement hypoglycémiantes…
Source des informations : Dr Russell Blaylock, neurologue américain
Du site Alternative Santé
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* E102: Tartrazine. Colorant synthétique jaune. ++
Risques: hyperactivité, asthme, urticaire, rhinites, troubles de la vue, insomnies, pourrait être cancérigène avec effets mutagènes et tératrogènes, résistance microbienne aux antibiotiques.
Est utilisé dans de nombreux aliments (boissons, merguez, charcuteries, bonbons, gâteaux, médicaments...)
Interdit en Autriche, Finlande, Norvège et en Suisse.
E210: 211 et 212 Acide benzoïque. Conservateur chimique bien plus toxique que les sources naturelles contenues dans certains végétaux. Additif dérivé du benzène.
Risques: hyperactivité, asthme, irritations des yeux, urticaire, troubles digestifs, problème de croissance, insomnies, troubles du comportement, de plus le benzène affecte le sang et a des liens avec la leucémie chez l'animal comme chez l'homme, serait entre "autre" cancérigène... serait "seulement" ! des recherches ont été demandées pour savoir si cet additif a des effets secondaires néfastes sur les organes reproducteurs et les embryons !!!!!!!!
Présent dans les boissons sucrées et confitures
Livre - Additifs alimentaires danger ! – 2014
de Corinne Gouget assassinée, poussée sous le train cette année pour nous avoir prévenus
Voici l'édition 2017 du guide le plus à jour du marché à mettre dans sa poche pour faire les courses. Qu'est-ce qu'un additif alimentaire ? C'est la question que se posent de nombreux consommateurs qui voudraient bien savoir ce qui se cache dans la liste des ingrédients, sous des noms ou des codes bien mystérieux. Muni de ce guide facile à utiliser, vous serez enfin capable de savoir ce que sont la plupart des ingrédients cités sur les emballages et vous aurez le pouvoir de décider d'acheter ou non les produits concernés. Pour chaque additif, un code couleur : rouge (à éviter, danger !) - orange (rapports scientifiques contradictoires) - vert (inoffensif à ce jour). Après plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la toxicité des additifs alimentaires, dont 2 ans passés à comparer de nombreuses études internationales sur le sujet, Corinne Gouget est heureuse de vous donner la possibilité de savoir ce que vous mangez. Table des matières : Lettre ouverte à mes lecteurs - Messages pour les enfants et les adolescents - Pourquoi et comment utiliser ce guide ? - Bonne nouvelle au sujet des 6 colorants - La stévia - Tableau des additifs - Du E100 au E1520 - Index alphabétique - E951 ou aspartame - E621 ou glutamate monosodique - L'acide citrique - Additifs génotoxiques - Maltodextrine - Additifs et aliments pour animaux de compagnie - Additifs sans "E..." - Références diverses, Internet, bibliographiques - Produits testés pour vous.