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++ 15/08 – AUTOPSIE DE NOS ÉLITES.
ANNONCES DE NESARA ATTENDUES EN 2015.  
PREMIÈRE PARTIE. 


NESARA a été retardé par l'écroulement provoqué des tours le 9/11.

Les programmes mondiaux de prospérité de NESARA sont sur le point d’être annoncés et mis en œuvre. 
Un des fonds protégés qui en fait partie est appelé le Trust Mondial Saint Germain. Ce fonds contient des métaux précieux et des devises d’une valeur supérieure à un quattuordécillion de $ US. Le mot quattuordécillion est quelquefois prononcé quatrodécillion. Il signifie dix mille, mille, mille, mille, mille, mille, mille, mille, mille, mille, mille, millions de dollars. Ou 1 avec quarante zéros de $.

$ 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000.

Entre autres projets, cet argent servira à dédommager toutes les entreprises pétrolières, banques et cartels pharmaceutiques qui vont devoir être fermés. Et il va annuler (de façon définitive) toutes les dettes personnelles, d’entreprises et nationales dans le monde entier. Les ressources du Trust Mondial Saint Germain (Saint Germain World Trust) s’ajoutent à et sont distinctes des Fonds de Règlement Global Mondial (The World Global Settlement Funds).

Il était prévu à l’origine que l’argent de NESARA allait être débloqué au cours de l’an 2000, mais la Maison Blanche de Bush et ses conspirateurs du système bancaire et judiciaire mondial en ont empêché le versement. Et en raison du contrôle global absolu des grands médias, presque toute connaissance de l’existence de NESARA a été supprimée. Cela va changer à présent.

Lorsque les programmes de prospérité mondiaux de NESARA seront ouvertement et publiquement annoncés, peut-être en septembre ou en octobre 2015, ils changeront pour toujours la civilisation humaine en ce qui concerne la relation à l’argent.

L’ensemble de la population humaine bénéficiera de NESARA. La Terre est une planète où règne l’abondance. Il y a plus d’argent humain garanti par l’or actuellement en circulation sur Terre qu’il n’en faut pour transformer chaque être humain en millionnaire en livres britanniques (GBP) ou en euros, sans dettes d’aucune sorte. Le but de NESARA est de partager les ressources de la planète de manière équitable. Et NESARA consiste à mettre en place des systèmes bancaires bienveillants au niveau mondial pour appliquer cette équité monétaire. Aucun individu nulle part sur Terre ne sera hors d’atteinte des programmes de redistribution de richesses. Et aucun individu ni aucune organisation nulle part sur Terre ne sera capable de l’arrêter.

NESARA annulera toute dette relative à des cartes de crédit, des emprunts hypothécaires et autres dettes bancaires dues à des pratiques bancaires illégales et à la corruption gouvernementale au niveau mondial. L’impôt sur le revenu sera aboli. Une nouvelle TVA fixée à 14% sur les nouveaux produits non-essentiels alimentera les revenus des gouvernements nationaux.Il y aura une augmentation des revenus pour les retraités. Aux Etats-Unis, il y aura un retour à la Loi Constitutionnelle à tous les niveaux du système judiciaire.

Le Président Barack Obama (bémol !),le Vice-président Joe Biden et la cabale constitutionnellement illégale qui tire leurs ficelles seront évincés de leurs postes avec effet immédiat, et avant le terme de leur mandat actuel. Il en sera de même de tous les membres du Congrès et de leurs patrons sionistes khazars. Ils seront remplacés par les personnalités constitutionnellement acceptables que seront les Président et Vice-président désignés par NESARA, dont on pense qu’il s’agira du membre du Congrès Dennis Kucinich (Démocrate – Ohio) et du membre du Congrès Ron Paul (Républicain – Texas). Il y aura de nouvelles élections présidentielles et législatives dans les 120 jours qui suivront les annonces de NESARA. Ces élections seront soigneusement surveillées pour éviter la fraude électorale et autres activités électorales illégales de la part de groupes d’intérêts particuliers.

Une nouvelle monnaie arc-en-ciel du Trésor des Etats-Unis va être émise, garantie par l’or, l’argent, le platine et d’autres métaux précieux. Un nouveau système bancaire du Trésor américain sera établi en conformité avec la Loi Constitutionnelle. Le Système du Conseil de la Réserve Fédérale sera aboli. La sphère privée financière sera rétablie. Tous les juges et les avocats seront formés à nouveau à la Loi Constitutionnelle. Toutes les actions militaires agressives du gouvernement des Etats-Unis dans le monde entier vont cesser et la paix mondiale sera instaurée. Chaque citoyen américain âgé de plus de 21 ans recevra 100 000 $ par mois pendant 11 ans, mais les demandes des agriculteurs seront satisfaites en premier lieu. Dans ce cas, les règlements comprendront une annulation de la dette de 300 000 $ par famille d’agriculteurs (y compris les emprunts hypothécaires, les cartes de crédit et les autres emprunts). Des réformes similaires seront engagées dans tous les pays du monde. D’énormes quantités d’argent seront mises à disposition dans des buts humanitaires. De nouvelles technologies jusque-là interdites telles que des appareils à énergie libre, des équipements de nettoyage de la pollution et des machines de guérison sonique seront autorisées à l’usage de tous.

D’autres détails sur l’arrière-plan et les liens concernant les programmes de prospérité mondiaux de NESARA et leur histoire pourront être trouvés ci-après, et chez James Rink, chez Patrick Bellringer et chez Mark Clarke. En réponse à un interlocuteur critique, Patrick Bellringer explique l’histoire judiciaire du processus de financement de NESARA. Il existe une compilation utile de liens à NESARA et matière à recherche chez Detailshere.com. Et un récent article de NESARA relatif aux clones peut également être consulté.

Quelques informations sur la corruption de la Maison Blanche aux Etats-Unis qui se croisent avec le blocage des réformes mondiales de NESARA par l’Amérique peuvent être trouvées sur d’autres pages de ce blog (scandale de Citybank), et (la Maison Blanche de Bush commence à se désintégrer) et (la crucifixion du Juge de la Cour Suprême John Glover Roberts).

Des évènements en coulisse influencés par NESARA ont commencé à prendre de la vitesse à la fin octobre 2008. La focalisation du monde sur la corruption politique et financière s’est alors reportée des Etats-Unis sur l’Europe. Huit personnes appartenant à la direction ont été arrêtées à la Deutsche Bank (Allemagne). Une cellule de conspirateurs liés entre eux a été arrêtée au même moment à Londres.

Dans l’après-midi du mercredi 29 octobre 2008, le Président George Bush Jr et son équipe de collaborateurs proches de la Maison Blanche ont été informés que l’ancien Premier Ministre britannique Tony Blair avait changé de camp à l’intérieur du milieu criminel. Blair avait tout divulgué aux autorités d’enquête internationales. Il avait été confronté à des preuves indubitables de sa propre implication criminelle dans des affaires géopolitiques et avait décidé de parler dans une tentative d’échapper à sa propre arrestation et à l’emprisonnement à vie.

En particulier, Blair a fourni aux autorités des détails sur les comptes secrets servant au blanchiment d’argent, y compris ceux de la Deutsche Bank et de la Banque du Vatican, ainsi que dans d’autres refuges bancaires en Suisse, en Hongrie, à Abu Dhabi, aux Iles Vierges britanniques et en Malaisie. Il a pleinement mis en lumière les rôles criminels et traîtres joués dans la manipulation de ces comptes par le Pape Joseph Ratzinger, la Maison Blanche de Bush, la famille Bush, les Clinton, Angela Merkel, Alan Greenspan et beaucoup d’autres.

Avec le soutien de la Chine et de l’Europe, le Président français Nicolas Sarkozy avait menacé de faire arrêter la Chancelière allemande Angela Merkel, si elle ne cessait pas ses interventions criminelles dans les procédures de sécurité bancaires de la Deutsche Bank.

Merkel avait autorisé plus de vingt virements électroniques de la Deutsche Bank vers des comptes bancaires secrets contrôlés par le Vatican à Rome. Un de ces comptes est dénommé Francis X Driscoll Trust. Les fonds en question avaient été secrètement dérobés sur des comptes du Trésor américain et français.

Les virements électroniques orchestrés illégalement par Merkel à partir de la Deutsche Bank ont laissé une trace visible sur les comptes du 3ème trimestre de la banque, publiés le 30 octobre 2008. Le ratio des capitaux propres sur le total des actifs de la banque est passé de 9,3 à 10,3%. L’essentiel de ce changement était dû aux grosses sorties de capitaux de l’argent volé à d’autres depuis la Deutsche Bank vers des comptes contrôlés par le Vatican dans d’autres banques en Italie et ailleurs. Il s’agissait d’un coup de pouce parfaitement synchronisé aux résultats du 3ème trimestre.

C’est ainsi que la Deutsche Bank a pu ajuster la valeur de certains de ses actifs toxiques en conformité avec les nouvelles normes comptables internationales (IAS) décidées par les autorités de l’Union Européenne à la mi-octobre. Les règles facilitant la définition des dépréciations d’investissements ont été utilisées pour réduire les dépréciations de la Deutsche Bank pour le trimestre de 845 millions d’€ à 1,2 milliards d’€. Sans cette comptabilisation créative, la banque aurait dû déclarer une perte pour le troisième trimestre.

La combinaison des virements électroniques à l’Eglise Catholique Romaine et de la manipulation de la comptabilité a provoqué la surprise des gestionnaires de fonds dérivés à la vue des résultats du 3ème trimestre de la Deutsche Bank et la hausse consécutive du prix de l’action sur les principales places boursières. Préalablement au 30 octobre 2008, les analystes du monde entier avaient prédit une perte substantielle de la Deutsche Bank au 3ème trimestre, et leurs clients s’étaient positionnés en conséquence.

La Deutsche Bank sert de bras armé pour le blanchiment d’argent à l’organisation de renseignement et d’opérations secrètes allemande appelée Deutscher Verteidigungs Dienst (DVD) basée à Dachau (Munich). Par l’intermédiaire de la Deutsche Bank, le DVD finance des programmes de contrôle mental utilisés pour subvertir et contrôler des intérêts britanniques au sein de la police, du secteur bancaire, de l‘industrie et du gouvernement. Ce programme de subversion est appelé «Common Purpose» et est géré depuis le Bureau du Premier Ministre adjoint au Conseil des Ministres (Cabinet Office) à Whitehall, Londres.

Le Vatican a joué un rôle central dans de nombreuses machinations en coulisse au cours de l’effondrement financier mondial de 2007-2008, et dans le blocage des règlements de la prospérité internationale relative à NESARA. En avril 2008, Joseph Ratzinger (le Pape Benoît XVI) a échoué dans sa tentative pour revendiquer une grosse partie des fonds de prospérité de NESARA. On a relaté qu’il avait dit à de proches collaborateurs : «Les petites gens ne sont pas capables de gérer correctement cet argent, mais l’Eglise le peut.»

La tentative audacieuse de captation de Ratzinger a dû être examinée par la Cour internationale de La Haye et a été la cause de sérieux retards dans la mise en œuvre des accords de refinancement mondiaux. Au bout du compte, Rome a été obligé de faire marche arrière et le Saint Père a donné à contre-cœur son accord pour un règlement de 2000 milliards de $. La somme a été payée sur la base des feuilles d’impôt des citoyens américains. Le Président George Bush Jr a signé les documents. S’adressant à un groupe à Washington le jeudi 17 avril 2008, le Pape a dit : «Si les péquenots pensent qu’ils vont avoir cet argent, ils vont devoir changer d’avis. Cela n’arrivera jamais.» Il ne parlait pas des 2000 milliards de $ ; il parlait des fonds de prospérité mondiaux en général.

Nicolas Sarkozy avait été encouragé dans son travail contre la corruption européenne par le souvenir douloureux du fait qu’il avait échappé de peu à un assassinat le mardi 24 juin 2008. A l’aéroport de Tel Aviv en Israël, une équipe des opérations spéciales américano-israélienne avait en effet manqué de l’assassiner. L’opération de dissimulation hâtivement montée consistait en une histoire fictive d’un garde-frontière israélien ayant commis un suicide au cours de la cérémonie de départ. Les renseignements français ont plus tard expliqué à Sarkozy le lien entre ce qu’il savait de ce qui se passait à la Deutsche Bank et la tentative d’assassinat. Il existe un vidéo-clip de 51 secondes d’une chaîne de télévision relatif à la tentative d’assassinat ratée. Il est intéressant de noter l’expression des visages des gardes du corps entourant la voiture d’Ehud Olmert. Etaient-ils au courant ?

A la fin octobre 2008, Sarkozy, agissant au nom des intérêts de l’Union Européenne au sens large, a menacé la Chancelière Merkel (Allemagne) d’arrestation sous le chef d’inculpation de la législation anti-terroriste européenne. Muni de la signature du Président George Bush Jr sur un document-clé, Sarkozy (la France assurant la présidence tournante de l’UE, NdT.) représentant l’Europe a forcé la cadence pour s’attaquer aux criminels de haut rang en Europe.

En plus des virements de fonds illégaux, Angela Merkel protégeait la Deutsche Bank des enquêteurs criminels internationaux et des procédures de supervision bancaires de Bâle II ; cachés à la Deutsche Bank se trouvaient des documents relatifs à des fonds spéculatifs américains qui mettaient en cause des personnalités politiques de premier plan et les milieux financiers aux Etats-Unis. Angela Merkel avait également perçu des pots-de-vin versés par George Bush Sr pendant quatre ans. Son travail consistait à dissimuler les menées criminelles financières personnelles de Bush en Europe au sein de la Deutsche Bank. Cela, Nicolas Sarkozy le savait. Les comptes de Bush à la Deutsche Bank ne pouvaient pas être documentés légalement quant à leur source, selon les exigences requises par les réformes bancaires internationales de Bâle II.

Des membres de gouvernements de l’Union Européenne ont dit à Nicolas Sarkozy : «Mettez-y bon ordre ou nous allons vous démettre de vos fonctions.»

Il s’en est suivi des arrestations massives de gangsters financiers en Europe, aux Etats-Unis et dans le reste du monde.

Les accords de refinancement international liés à NESARA ont été bloqués par une Banque d’Angleterre corrompue à Londres, opérant à la limite de la trahison.

On a averti le Premier Ministre de l’époque Gordon Brown : «Vous allez être évincé si vous ne faites pas ce qu’il faut.»

Gordon Brown connaissait des détails confidentiels de l’implication personnelle de José  Manuel Durao Barroso dans l’enlèvement de la petite Madeleine McCann âgée de cinq ans ; Brown avait le numéro privé des parents de McCann sur son portable.

Gordon Brown et Tony Blair étaient désignés comme étant des agents secrets dissimulés.

Apparemment le chef des services secrets britanniques du MI6 et du GO-2, John Scarlett, s’avérait être sous le contrôle du renseignement allemand. 

Il est également apparu que le nouveau ministre du gouvernement britannique, Peter Mandelson (Secrétaire d’Etat à l’Economie), détenait des informations confidentielles sur l’enlèvement Barroso/Madeleine McCann ; l’association de Mandelson avec l’oligarque russe en difficulté financière, Oleg Deripaska (Rusal, Norilsk Nickel, Basic Element, etc.) représentait un conflit d’intérêt de première grandeur par rapport à son rôle dont il venait de démissionner de Commissaire Européen du Commerce à Bruxelles. Le renseignement britannique détenait un dossier actif sur Mandelson qui était commun au MI5 (sécurité intérieure), au MI6 (renseignements extérieurs) et au GCHQ (Cheltenham, homologue britannique de la NSA américaine).

Deripaska, un agent des renseignements russes, avait noué de nouvelles relations d’affaires avec Izmailovo, la plus grande organisation mafieuse russe. Les fichiers du renseignement britannique du MI6 indiquent qu’Izmailovo s’était spécialisé dans les montages de blanchiment d’argent par l’intermédiaire de banques sous contrôle en Hongrie, en Bulgarie et dans les Iles Caïman.

On pense qu’Izmailovo était également impliqué dans l’assassinat de deux prêtres jésuites bien connus en Russie. Le 28 octobre 2008, les corps mutilés d’Otto Messmer (47 ans) et de Victor Betancourt-Ruiz (42 ans) ont été découverts dans un appartement de la rue Petrovka à Moscou, proche du Kremin et du Théâtre Bolchoi. Messmer était le dirigeant de l’ordre jésuite en Russie et Betancourt-Ruiz (d’origine équatorienne) collaborait étroitement avec lui. Tous deux entretenaient des contacts avec le milieu et on pense qu’ils étaient engagés dans une sorte de guerre de territoire avec des éléments criminels de l’Eglise Othodoxe russe ou ses sous-traitants. Plusieurs histoires de dissimulation ont été répandues par les autorités catholiques romaines. L’une d’entre elles impliquait un vagabond hispanique ivre. Une autre prétendait qu’il s’agissait d’une tentative de cambiolage des biens de l’église qui avait mal tourné.

Le dimanche 26 et le lundi 27 octobre 2008, des appels téléphoniques de la part du Président George Bush Jr et de ses assistants à la Maison Blanche adressés au Président français Nicolas Sarkozy ont été refusés à plusieurs reprises par l’Elysée à Paris. Cette confrontation diplomatique occidentale au plus haut niveau était sans précédent entre alliés en temps de paix. En arrière-plan il y avait le refus américain de débloquer un prêt de 14 000 milliards de $ lié à NESARA et maintenu en situation de blocage dans la BRI par de gros dépositaires financiers américains. Ce prêt de 14 000 milliards de $ comporte une documentation sur l’origine des fonds relative au Temple de la Couronne à Londres, et à de puissants intervenants financiers en Arabie Saoudite et en Chine.

Des évolutions internationales historiques induites par la crise financière croissante ont été délibérément passées sous silence par les principaux médias occidentaux en pleine confusion, ou carrément supprimées par des services gouvernementaux.

Du jour au lendemain, le lundi 25 / mardi 26 août 2008, les quatre mille paquets déclencheurs des fonds de prospérité internationaux liés à NESARA ont regagné les coffres de la Cour Suprême des Etats-Unis à Washington D.C. Ils avaient été en possession d’Interpol depuis qu’ils avaient été confisqués à John Glover Roberts, le Juge Principal de la Cour Suprême des Etats-Unis en vertu d’une Ordonnance internationale exécutée le 18 août 2008. Cette procédure impliquait la Cour Internationale de La Haye, la Banque des Règlements Internationaux (BRI) en Suisse, et les forces de police de plusieurs nations souveraines. Roberts avait menacé de brûler les paquets. Interpol (parfois écrit INTERPOL) est l’Organisation Internationale de la Police Criminelle. Les paquets déclencheurs des fonds de prospérité ont été restitués illégalement à la Cour Suprême des Etats-Unis sur l’ordre du Secrétaire général d’Interpol, Ronald Noble. Il a obéi à des instructions non autorisées du Président George Bush Sr et a reçu des pots-de vin pour cela. Noble avait dû sa nomination au poste de Secrétaire général d’Interpol en 2000 à la Maison Blanche de George Bush. Il avait été préalablement responsable de la police financière du Trésor américain sous Lloyd Bentsen et Robert Rubin durant la première présidence de Bill Clinton.

Lorsque les activités illégales de Ronald Noble ont émergé en pleine lumière, une note a été adressée à chacun des 186 pays membres d’Interpol. Cela a déclenché une colère généralisée et de nombreuses nations ont exigé une refonte radicale de l’organisation. Ronald Noble et douze de ses complices à Interpol ont été arrêtés.

Il y a eu une tentative précipitée de la part d’éléments du Tribunal Pénal International (Cour Internationale) et d’Interpol pour étendre un écran de fumée de relations publiques à la suite de la débâcle du vol des paquets par Washington. Le mercredi 3 septembre 2008, le site d’Interpol a publié un article intitulé : «La visite du Procureur du Tribunal Pénal International à INTERPOL souligne la collaboration entre les deux organisations.» Le résumé déclare : «Le Procureur Luis Moreno-Ocampo du Tribunal Pénal International (TPI) a rencontré aujourd’hui le Secrétaire général d’Interpol Ronald K. Noble pour définir les outils de la police destinés à améliorer la coopération entre les deux organisations, tout en respectant pleinement leurs mandats et domaines de compétence respectifs.»

Au cours des dernières années s’étaient développée dans les milieux de la police et du renseignement la conception qu’Interpol était devenu une carrière de premier choix pour les personnels de police en cols blancs corrompus du monde entier. La réalité de fait est qu’Interpol existe pour fournir des services d’information-destruction et de support logistique aveugle pour le milieu, le crime organisé et les gangsters internationaux de tous les continents.

Interpol s’est spécialisé dans le soutien dissimulé à la criminalité financière, aux contrats d’assassinats, au trafic de drogue et au trafic d’êtres humains. Comme Catherine Austin Fitts l’a souligné : «La suprématie du modèle d’investissement des banques centrales qui a dominé notre planète au cours des 500 dernières années dépend de la capacité de combiner les marges élevées du crime organisé avec le coût réduit du capital et des liquidités qui est assuré par les autorités gouvernementales et la confiance populaire dans le règne de la loi.» Tout ce que demandent les dirigeants d’Interpol est le versement fiable de pots-de-vin importants, réguliers, non traçables de la part de politiciens et grands criminels sur lesquels ils ont un dossier.

Par exemple, le 12 janvier 2008, la vedette de la police sud-africaine, Jackie Selebi, a été obligé de démissionner de la présidence d’Interpol. On avait découvert qu’il avait accepté des pots-de-vin d’une valeur de 1,2 millions de rand (80000 livres) et agi d’une manière qui avait délibérément empêché le cours de la justice. Avant de devenir Président d’Interpol, Selebi avait été le Directeur National de la Police sud-africaine et le représentant de l’Afrique du Sud aux Nations Unies.

L’Eglise Catholique Romaine a montré un intérêt renouvelé pour l’organisation internationale de la police criminelle. Une demande pour devenir membre d’Interpol a été soumise par l’Etat de la Cité du Vatican (document Interpol AGN-2008-RAP-02). Cette demande a été discutée lors de la 77ème Assemblée Générale qui s’est tenue à Saint Pétersbourg du mardi 7 au vendredi 10 octobre 2008. Le Vatican est donc devenu le 187ème membre d’Interpol (NdT.)


Le soir du lundi 18 août 2008, les dirigeants de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), accompagnés par des gardes armés, sont arrivés à Washington D.C. Ils étaient venus discuter avec le Secrétaire au Trésor des Etats-Unis, Henry Paulson, qui avait menacé certains collaborateurs-clé du Trésor d’arrestation pour trahison, en vertu du Patriot Act, s’ils persistaient dans leurs tentatives légales de débloquer les paquets déclencheurs des fonds de prospérité liés à NESARA.

Dans d’autres pages de ce blog, nous avons détaillé la manière dont Henry Paulson avait été abattu par un assassin le vendredi 28 décembre 2007, et était décédé à l’hôpital le mercredi 2 janvier 2008. Cela faisait suite à une plainte des autorités chinoises, à qui Paulson avait volé une somme de 4500 milliards de $ prélevés sur la Banque Populaire de Chine en mai 2006. Depuis janvier 2008, la Maison Blanche de Bush a comploté pour prétendre que le Secrétaire américain au Trésor Henry Paulson était toujours en vie. Une combinaison de vidéos enregistrées, d’imagerie informatique, de projections holographiques, de clones de Paulson et un sosie financier s’exprimant avec aisance nommé Edward Lazear (anagramme de Lazare, NdT.) ont été utilisés pour maintenir la fiction que Henry Paulson faisait toujours partie du gouvernement américain.  Au Département du Trésor, «Paulson» était alors appelé «Le Double». Plus d’informations dans notre article sur les Clones, Doubles & Aliènes. Il faut noter que le Sénateur Barack Obama (Démocrate – Illinois) et le Sénateur John McCain (Républicain – Arizona), candidats à la présidentielle de l’époque, sont tous deux des clones. Chacun d’entre eux a donné des garanties à ses contrôleurs qu’il ne permettra jamais aux réformes de NESARA d’être mises en œuvre ou aux fonds de prospérité mondiaux qui y sont liés d’être débloqués. La Banque des Règlements Internationaux, la plus ancienne organisation financière internationale, est basée à Bâle en Suisse. A présent, la BRI lutte contre la corruption financière du gouvernement américain sur trois grands fronts.

D’abord, comme mentionné précédemment, la BRI est engagée dans une ultime tentative pour surmonter les tactiques de sabotage de la Maison Blanche de Bush pour empêcher le déblocage des fonds de prospérité liés à NESARA.

En second lieu, la Banque des Règlements Internationaux insiste pour que les Etats-Unis se conforment à la lettre aux réformes bancaires internationales de Bâle II. La Maison Blanche de Bush encourage les plus importantes banques américaines à s’opposer aux réformes afin de faire s’effondrer l’économie américaine et de faire chuter les cours des marchés boursiers mondiaux. Ce chaos planifié serait ensuite suivi par l’imposition de la loi martiale aux Etats-Unis. Par conséquent les réformes de NESARA et le déblocage des fonds seraient retardés une fois de plus, de manière similaire à 2001, à la suite de la démolition contrôlée des Tours Jumelles organisée par Bush à New York le 11 septembre de la même année. Deux très importants centres informatiques du World Trade Center ont été détruits le 11 septembre, à peine quelques heures avant la télétransmission d’énormes volumes de données sécurisées de NESARA vers une multitude d’institutions financières dans le monde entier.

Troisièmement, la Banque des Règlements Internationaux, avec le soutien total d’autres organismes internationaux, y compris la Cour internationale de La Haye, a exigé qu’à la date du 30 septembre 2008, la Maison Blanche de Bush rembourse les milliers de milliards de dollars que les Etats-Unis devaient au reste du monde. Cet argent avait été volé au cours de la présidence de Ronald Reagan par George Bush Sr pour financer l’effondrement de l’Union Soviétique. Cet argent devait être restitué à ses propriétaires légitimes, selon la BRI. L’argent à rembourser se rapporte au Plan Wanta / Fonds du protocole Reagan-Mitterrand.

Le vendredi 22 août 2008, Lee Wanta a écrit une lettre au Président George Bush Jr, offrant d’acheter Freddie Mac et Fannie Mae (les deux sociétés privées américaines qui possèdent ou garantissent le marché américain des hypothèques à une hauteur estimée en 2008 à 5200 milliards de $ – qui servait à son tour de garantie aux fonds spéculatifs, NdT.) à réception des 4500 milliards qu’ils lui devaient. Cette lettre, qui comportait une durée de validité de 24 heures, avait été adressée en copie aux Nations Unies et à beaucoup d’autres destinataires concernés.

Le texte complet de la lettre de Lee Wanta est le suivant :
«A l’attention de l’Honorable George W Bush Jr.

En contrepartie de la Réception du Paiement de 4500 milliards d’USD, moi, Ambassadeur Lee E Wanta (le bénéficiaire) vous fais la proposition suivante subordonnée à votre accord et facilitation immédiats concernant l’achat de Freddie Mac et Fannie Mae :
  1. Achat de la totalité des actions ordinaires des deux sociétés, à un prix plafonné,
  2. Achat de la totalité des actions préférentielles des deux sociétés, à un prix plafonné,
  3. Achat de la totalité des dettes des deux sociétés, au-dessus du niveau de la dette subordonnée, mais en-dessous du niveau garanti par rapport aux supports autorisés de la dette par le droit des sociétés.
  4. Paiement à réception de mon Récépissé de Paiement et avis d’imposition, de l’impôt sur le revenu au Département du Trésor des Etats-Unis de 1575 milliards d’USD (soit le taux de l’impôt sur le revenu de 35%, NdT.)
  5. Augmentation de l’achat original en liquide de 1000 milliards d’USD en bons du Trésor américain, en y ajoutant 1600 milliards d’USD, tous deux à la valeur nominale, en vertu du Traité de Londres original à un coût de 85%.
 Je suis absolument disposé, tout comme vous, à tout faire pour protéger notre Grande Nation.
Lee.»

Le lundi 11 août 2008, John Glover Roberts, le dix-septième Juge Principal de la Cour Suprême des Etats-Unis, était pris par des agents de sécurité américains sur le fait, en train d’essayer d’accéder illégalement aux fonds de prospérité mondiaux destinés à être débloqués en relation avec le processus de NESARA. Roberts a effectué cette tentative en utilisant un code de virement électronique dépassé obtenu par les ambassadeurs chinois et japonais évincés (Zhou Wenzhong et Ichiro Fujisaki). Ces ambassadeurs aux Etats-Unis avaient été relevés de leurs fonctions au cours de la semaine précédant le 21 juillet 2008. Ils ont été arrêtés à Washington par des personnels de sécurité venus spécialement par avion de leurs pays respectifs.

Ayant échoué dans sa tentative d’accéder aux fonds de prospérité mondiaux à partir de ses bureaux de la Cour Suprême, Roberts s’est rendu au Département du Trésor et, plus tard dans la même journée, a viré une somme de 3000 milliards de $ sur un compte en banque à son nom à Dubai. Le même jour, Roberts supervisait les virements d’autres énormes montants d’argent américain du Trésor des Etats-Unis vers Dubai. Ils se montaient à plus de 10 000 milliards de $ et ont été crédités sur des comptes détenus au nom de Dick Cheney, Bill Clinton, Hillary Clinton, John McCain et divers autres dirigeants du Trésor américain.

Le mardi 12 août, le mercredi 13 août et le jeudi 14 août 2008, John Glover Roberts a à nouveau bloqué la distribution de quatre mille paquets déclencheurs des fonds de prospérité. La semaine précédente, Roberts avait reçu comme instruction des autorités de police internationales de distribuer les paquets à partir des coffres de la Cour Suprême à midi le vendredi 8 août 2008 au plus tard. (Date symbolique du 8.8.08, NdT.)

Le jeudi 14 août 2008, John Roberts, réalisant que les autorités militaires et policières internationales finiraient par se saisir de lui, a essayé de conclure un accord pour obtenir l’immunité par rapport aux poursuites. Il a fourni aux enquêteurs des documents compromettants et des fichiers électroniques incriminant George Bush Jr, Bill Clinton, Dick Cheney, plusieurs Sénateurs et membres du Congrès et divers dirigeants du Département de la Justice et de la Cour Suprême. On a remercié John Roberts pour ses informations, mais on lui a refusé l’immunité. Roberts a alors menacé de brûler tous les paquets de prospérité de chaque programme et donc d’empêcher la Brink’s de les distribuer. Dans l’après-midi du lundi 18 août 2008, les militaires et les forces de polices internationales, ayant pris connaissance des menaces de Roberts, ont sorti les quatre mille paquets déclencheurs des fonds de prospérité des coffres de la Cour Suprême des Etats-Unis.

FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE



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