Tout le monde a besoin de se dégriser, et en vitesse. Tout particulièrement Jacob Rothschild. M. Rothschild a rendu de précieux services, bien qu’il l’ai fait dans son propre intérêt. Il a acheté suffisamment de dettes du Fonds Monétaire International pour éviter la Troisième Guerre Mondiale, mais le quiproquo est que lui et sa nouvelle « société de services gouvernementaux » qui s’appelle elle-même « La Nouvelle République » héritent du contrat de service créé par La Constitution pour les Etats-Unis d’Amérique et destiné à fournir (à nos frais) les dix-neuf services fédéraux dûment énumérés.
Le problème est et a toujours été (depuis 150 ans) que nous sommes les Etats de l’Amérique et que c’est à nous de choisir qui nous fournit ces services et que nous assumons également la juridiction du territoire de ce pays, donc il y a un nouveau contrat à négocier. Et cette fois il sera négocié par nous, et non par des prestataires de services qui concluent des accords dans notre dos pour ensuite prétendre nous « représenter ». Nous n’avons pas été impressionnés par les services fournis par les précédentes entreprises Rothschild qui ont été mises en faillite sous de faux prétextes. Et nous avons encore moins apprécié les services fournis par les Rockefeller et leurs associés criminels.
Donc toute notion selon laquelle nous aurions une quelconque obligation d’accepter la société de M. Rothschild qui agit sous le nom de « La Nouvelle République » en tant que prestataire de services fédéraux est pour dire le moins, prématurée. Nous avons accepté certains services sur une base de nécessité immédiate, temporaire - et nous avons remercié M. Rothschild de les avoir fournis, mais nous n’avons contracté aucun engagement et ne l’avons pas autorisé, lui ou sa société, à assumer autre chose qu’une fonction de paiement au fur et à mesure des besoins. Les acteurs de DC nous ont créé un vrai problème, à nous et au reste du monde.
Et ces acteurs ne sont PAS Américains. Ce sont tous des Sujets Britanniques et l’ont toujours été. Les « Etats-Unis » qu’ils représentent ne sont pas les Etats-Unis qui nous appartiennent en tant que droit de naissance depuis et pour toujours. Toutes les fraudes et toutes les chicaneries bancaires et juridiques du monde ne changeront rien aux faits et nous avons pertinemment prouvé les faits et objecté à toute interprétation qu’en ont fait des intérêts privés devant le Suprema Tribunale - la Rote romaine (ou Tribunal suprême de la Signature apostolique).
Le contact international officiel pour les Etats Américains en ce moment, ce sont les Nations Indigènes Américaines, et les délégations indigènes Américaines, qui comprennent les nations Athabascan et Lakota, auprès des Nations Unies, non la « Neu République », qui n’est qu’une intervention européenne de plus dans nos affaires. Nous avons agi en qualité de Créanciers Privilégiés de la Réserve Fédérale et documenté nos revendications en vingt ans de Procédures et de Plaintes en justice et Recours internationaux au nom des populations vivant aux Etats Américains existants.
Nous sommes les Créanciers Privilégiés de toutes les 185.000 sociétés enregistrées dans ce pays, y compris des sociétés nationales comme « JAPON » et « AUSTRALIE » et « CANADA » et également toutes les sociétés créées sous leurs auspices. En cette qualité, nous nous sommes déchargés de toutes nos dettes et de celles de tous les autres, d’abord par échange de crédit contre compensation mutuelle, et ensuite par annulation de dette. Ce n’est pas une excuse pour des schémas de mise en faillite ou de fraude avérée, ni un prétexte pour des Créanciers chirographaires ou administrateurs judiciaires de venir frapper à notre porte en prétendant que nous avons des dettes à régler. De telles fausses plaintes et tentatives d’extorsion seront rapidement récusées et qualifiées de crimes de guerre économiques. Les Etats Américains ont été remis sous la juridiction du territoire et se trouvent sous la protection de tous les traités et garanties internationaux qui les concernent.
Le Roi d’Espagne en a été dûment notifié et il a pris le parti de s’assurer que la Reine et le Prince William ôtent leurs pattes de nos actifs et arrêtent d’usurper le pouvoir de notre gouvernement légal. Le rôle de M. Rothschild dans tout cela n’est pas résolu, du fait que lui et son organisation sont autorisés à proposer leurs services, mais que l’acceptation de ces services n’a pas été autorisée par les représentants fiduciaires. Les employés de la Nouvelle République sont payés au mois le mois. Et toute tentative de confisquer les actifs de la Réserve Fédérale par la Nouvelle République serait considérée comme un crime et un acte de guerre reconnu comme tel par la communauté internationale.
Notre pays va finalement connaître la réorganisation qui aurait dû être faite à la fin de la Guerre de Sécession il y a 150 ans. Dans le cadre de cette réorganisation nous avons beaucoup de rattrapage à faire et notre peuple a beaucoup à apprendre sur son histoire actuelle et sur l’organisation du reste du monde, la banque, et beaucoup d’autres sujets. L’Amérique, en un sens, est enfin mûre – et quelle qu’ait été la difficulté et la rigueur du processus, nous avons survécu à notre Maman, notre relation privilégiée avec la Grande-Bretagne et émergé de l’autre côté d’elle.
Nous acceptons l’aide de M. Rothschild et l’en remercions, mais elle ne devrait pas être considérée comme un accord contractuel à long-terme de fourniture de services. Notre population doit être pleinement informée et une tel contrat doit être complètement public et géré de manière appropriée dès à présent. Nos Etats doivent être correctement organisés et de nouveaux représentants fiduciaires doivent être formés et prêter serment et faire allégeance. Un véritable Congrès Continental doit être réuni et de nombreux problèmes devront être abordés, y compris pour décider qui sera le prestataire choisi pour le contrat fédéral et même s’il doit en exister un.
Seule parmi les grandes nations du monde, l’Amérique a accepté de « partager » sa juridiction internationale avec des nations étrangères – à la fois la Grande-Bretagne et la France. Notre expérience de cette configuration n’a pas été positive et après plus de deux cents ans de chicaneries européennes sur nos côtes, beaucoup d’entre nous sentent que l’Amérique a dépassé cela. Nous sommes prêts et désireux de discuter de nouveaux accords et d’assumer la responsabilité pleine et entière de nos affaires et oui, de prendre la place qui nous revient au sein des nations de la Terre – en cessant de jouer le rôle d’un appendice immature de la Grande-Bretagne ou de la France.
Envois et traduction de Patrick T.