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++21/04 - LE GRAND RÉVEIL. CHANSON DE M. SARDOU 
QUI A POUR SUJET L’AUTISME.


Michel sardou - le grand réveil

Il existe de multiples signes dans ce monde afin de nous alerter, de nous interpeller, de nous éclairer sur les grands mystères qui nous entourent et qui nous attendent.
Souvent, involontairement, nous contribuons par nos œuvres à ce vaste plan d’enseignement du monde voulu par le Créateur et exécuté par ses créatures. Y compris dans des œuvres profanes, des œuvres du monde.
Cette chanson Le grand réveil n’a pas été écrite par hasard, son titre non plus n’est pas dû au hasard. Ses auteurs sans le savoir ont contribué au plan divin.
Dans le roman "le Petit Chose" d’Alphonse Daudet, Jacques, le frère du petit chose, est employé par un marquis pour écrire ses mémoires sous la dictée. Combien de gens écrivent ou parlent sous la dictée du Saint-Esprit ou de Satan ? Sans le savoir ou en pleine conscience ? Et même sous la dictée du Malin, ils participent néanmoins au plan divin, qui autorise le mal pour en tirer du bien.


Les paroles du Grand Réveil ont été écrites par Michel Sardou sur une musique de Jean-Pierre Bourtayre. Cette chanson fait partie de l’album le Bac G paru le 5 avril 1992. Soit le jour de Pâques 2015 ; mais il faut savoir que le calendrier 2015 correspond très probablement au vrai calendrier de l’année de la mort du Christ en 34. Est-ce vraiment une coïncidence ? Ou un signe de plus ?

Cette chanson a pour sujet l’autisme.
Nous allons ici en décrypter le sens mystique.
Celui qui parle, c’est le Bon Dieu. Le Bon Dieu qui regarde l’humanité d’en haut et constate ce qu’elle est devenue. Une pourriture sans nom ; un cloaque d’iniquités ; un repaire de brigands et d’idolâtres; un fumier vautré dans l’impureté et l’impudicité.
Et des hommes contents de leur décadence, heureux de leur putréfaction, satisfaits de leur vie engluée dans le péché parce qu’ils ont le confort matériel, la science et la technologie. Sous le regard horrifié de quelques-uns plus lucides mais qui ne savent pas comment en sortir.
Je crois que c’est ça le pire : le dégoût ou le malaise qu’inspirent ce monde et cette société à beaucoup d’entre nous est moins fort que la peur d’en perdre les avantages. Les hommes ont vendu leur âme au diable pour avoir du pain et des jeux. Et surtout le confort matériel.
Ces hommes-là, qui constituent 99% de la population mondiale, subissent de plein fouet les châtiments. Les chrétiens, surtout, eux qui n’auraient pas dû succomber aux sirènes du monde, sont encore plus fautifs que les autres ; alors Dieu leur a envoyé « une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’auront pas cru à la vérité, mais qui auront consenti à l’iniquité, soient condamnés. » (II Thess. 2, 11)
Ils sont aveugles. Enfermés dans Babylone. Autistes.
Ils ne voient pas que la troisième guerre mondiale annoncée par Albert Pike est commencée depuis longtemps, que « le cataclysme social » consiste à leur faire perdre leurs valeurs, leur culture, leurs vertus, leur morale, et en définitive… leur Dieu.
Ils ne voient pas qu’une loi comme celle du mariage gay est un acte de guerre bien plus grave que n’importe quel attentat terroriste parce qu’elle porte atteinte aux fondements même de la morale et de la famille, et qu’elle s’attaque à l’esprit. 
Comment transmettre des valeurs morales à ses enfants dans une société qui légalise le meurtre d’enfants (l’avortement) et le vice ? Qui oblige les citoyens à s’y soumettre sous peine de sanctions pénales et qui l’enseigne dans toutes les écoles, y compris privées.

Ils ne voient pas que les menaces d’effondrement économique, de guerre civile ou de guerre planétaire qui se perpétuent depuis au moins 20 ans, savamment entretenues par un krach par ci, une flambée des banlieues par là, un attentat pseudo-terroriste par-ci, ont pour but d’entretenir les populations dans la peur de perdre leurs privilèges. Quels privilèges ? Le confort matériel, l’Etat-providence, la société des loisirs et de l’argent, la technologie, le tout sur fond de fausse paix. Même les catholiques aujourd’hui placeraient le maintien d’un système leur garantissant ces avantages matériels en tête de leurs priorités, bien avant la sauvegarde de leur âme.
Pourtant, le Seigneur les avait bien prévenus : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. »


D’ailleurs nos contemporains sont bien conscients de leur servitude vis à vis de la technologie puisqu’ils considèrent que la perte de l’électricité et d’un système basé sur les énergies fossiles serait « le retour à l’âge de pierre« , lit-on régulièrement. Non, on reviendrait à une situation correspondant à peu près au milieu du XIXème siècle. Rien à voir avec la préhistoire. Quel aveu d’un attachement insensé au progressisme.
Cette puissance d’égarement a fait de nous des autistes, enfermés dans Babylone, dans la cité du mal, tournant en rond et ne trouvant pas d’issue ni de solution viable.
Nous sommes dans l’enfer-mement du péché et de la société du démon.
Voilà le véritable sens de cette chanson et dont les paroles s’éclairent maintenant d’un jour nouveau:

"Incapable de bouger son corps,
Sentir sa mémoire s’en aller.
Sa terreur fut son dernier effort
Et il n’a jamais plus parlé."
Cet homme autiste, c’est à dire nous, est bloqué, enfermé dans le rouleau compresseur de la cité du mal, qui étend son empire partout, sur tout et sur tous, grignotant petit à petit chaque espace resté sain. Ce système s’apparente à un grand remplacement. Pas uniquement des populations, mais aussi des cultures, des traditions, des religions, des lois, des doctrines, des coutumes, des habitudes.
La mémoire de la civilisation chrétienne s’en va, chassée par une civilisation athée, matérialiste, idolâtre et impudique.
Cet homme ne parle plus car on occupe son esprit en permanence avec un flot ininterrompu de sujets, de considérations, d’événements superficiels qui lui font oublier l’essentiel : la vie naturelle, la proximité avec Dieu, la vie éternelle, l’amour de Dieu et du prochain. L’homme d’aujourd’hui parle pour ne rien dire, pour occuper l’espace, il tient des propos insignifiants, il répète bêtement le prêt-à-penser que les médias et son smartphone lui transmettent. Générer du vent n’est pas parler, la chanson a raison.

"Il est assis, il est couché,
Des heures à fixer le soleil
Et quand les nuits sont étoilées,
Son cerveau entend les abeilles."
Quoiqu’il fasse, assis ou couché, l’homme contemporain continue à être soumis au regard de son créateur : Jésus-Christ est souvent comparé au soleil. Mais nos regards vides et ternes le contemplent sans le voir ; Dieu est partout, sa création nous rappelle à chaque instant sa présence, sa puissance et son intelligence, mais qui y pense, qui le voit ,qui rend grâce pour tant de bienfaits ?
N’oublions pas que dragon de l’Apocalypse entraîne dans sa rage le tiers des étoiles du ciel : ces étoiles ce sont les anges déchus que l’Eglise appelle les démons de l’air, symbolisés ici par les abeilles. Ces démons ont été détachés de l’enfer en grand nombre, nous dit la Sainte Viergeà la Salette : « ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d’une telle manière qu’à moins d’une grâce particulière, ces personnes prendront l’esprit des mauvais anges« . 

Oui nous avons été prévenus ; comment s’étonner qu’aujourd’hui un gamin de 17 ans prenne un flingue pour tirer sur ses camarades dans la cour du lycée ? C’est le résultat d’une société hautement satanisée où les démons sont omniprésents, surtout dans les programmes destinés à la jeunesse : dans la plupart des clips musicaux, quasiment tous les jeux vidéos, à la télévision, dans les films, les dessins animés… oui nos cerveaux sont attaqués en permanence par les abeilles de la violence, de la haine, de l’impureté, de l’égoïsme et du sans-cœur.

"Rain* – Rain – Go away –
Rubbers’nd raincoats for today…"
Oui, il pleut en abondance. Il y a quelque temps, j’avais comparé notre époque au déluge, comme si un déluge du mal s’était abattu sur nos pays, dont les eaux montent inexorablement. Je comparais en 2014 les 150 ans qui nous séparaient de 1864, année où les démons sont détachés de l’enfer selon la Salette, aux 150 jours du déluge. Aujourd’hui nous en sommes à 153 ans, chiffre symbolique qui n’est pas dû lui non plus au hasard. Aujourd’hui les eaux sont hautes, au maximum, tout le monde est noyé (« tu te crois vivant mais tu es mort » nous dit l’Apocalypse -la pire des morts, la mort éternelle), sauf quelques uns qui surnagent ou ont trouvé refuge au sommet des montagnes, selon la recommandation de Jésus. Sachant que les Pères de l’Eglise comparent volontiers Jésus à une montagne, celle où nous devons nous réfugier en cas de danger.
Tous ceux qui ont compris que le sens mystique des textes primait sur leur sens littéral (d’où les paraboles) savent qu’en l’occurrence les bottes en caoutchouc et les impers sont la prière et les sacrements.

"Je sais, je sens
Que dans son néant, il comprend.
Tout ce qui résiste en ce monde
Est vivant."
Il y a là un très beau message d’espérance : tout homme, malgré ce néant, cet enfer-mement, cette puissance d’égarement prophétisée, peut comprendre ce qui se passe et découvrir la vraie nature des choses et le véritable sens de sa vie. Dieu donne toujours sa chance à chacun d’entre nous, à moment donné, sachant « qu’il y a plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repend que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Luc 15:7)
Mais la phrase-clé de la chanson a une haute portée eschatologique : tout ce qui résiste* en ce monde est vivant. Nous avons parlé à l’instant de la mort éternelle, de tous ces gens qui se maintiennent en état de péché mortel, qui vivent mal, mangent mal, prient mal, parlent mal, se comportent mal. Ils sont légions ces êtres déjà morts. Tout simplement parce qu’ils se sont soumis au royaume de la bête, ils ont accepté et intégré sa façon de penser et de vivre (la marque au front et à la main).
Par contraste, les justes sont des résistants, ils vivent comme des étrangers au milieu d’un monde dont ils n’approuvent ni le mode de vie, ni la mentalité, ni l’organisation politique, économique et sociale. Les justes sont les témoins de la foi, ils suivent la loi et les prophètes (les deux témoins), ils prient chaque jour pour « rester fidèles au milieu de tant d’assauts ennemis et persévérer dans la fidélité jusqu’à la mort » (prière du pape Pie IX). Fidèles à la tradition, à la foi de leurs pères, par leurs actes, leurs pensées et leur doctrine. Saint Ambroise disait : « Tu peux fuir en esprit, même si tu es retenu physiquement. Tu peux à la fois demeurer ici et être en présence du Seigneur, si ton âme s’attache à lui, si, par la pensée, tu marches derrière lui, si tu suis ses chemins par la foi, non par la vue, si tu te réfugies en lui ; car il est refuge et force. »
Cette parole est géniale car effectivement tout ce qui résiste(au monde, au Malin, à Babylone) est vivant, car il possède la vie éternelle. Par opposition à tous les autres qui sont déjà morts, même s’ils ne le savent pas, et pire, même s’ils croient le contraire.

"Une nuit, ses yeux se sont ouverts.
Un instant, l’orage est passé.
Il a saisi dans un éclair
Une femme assise à  ses côtés.
Une nuit ses yeux se sont ouverts,
Une bougie dans l’obscurité.
Il a su qu’elle était sa mère.
Les abeilles ont recommencé."
Nous revenons à ce très beau message d’espoir adressé aux fils prodigues, aux bons larrons, aux ouvrier de la dernière heure. Jésus ne veut pas la mort du pécheur mais qu’il vive. De même que les autistes connaissent de brèves périodes de rémission, la possibilité de prendre conscience de son péché et de s’amender est offerte à tous à plusieurs reprises au cours de sa vie. Le mensonge de la fausse apparition de Garabandal repose sur un fait réel : l’illumination de la conscience est proposée à tout homme à moment donné. Mais pas de façon universelle et simultanée ; non elle est proposée à ceux qui en ont besoin de façon personnelle et personnalisée, à un moment dans leur vie. Il y a de nombreux témoignages de ce type de phénomène surtout depuis 2012, d’hommes et de femmes que le Ciel est allé repêcher, quelquefois de façon spectaculaire, attestant de la réalité de cette assertion.
Et quand nos yeux s’ouvrent enfin, tels ceux de Bruno Cornacchiola qui sentit comme deux mains blanches lui enlever un voile sur les yeux (apparition des Trois Fontaines du 12 avril 1947), ils voient immédiatement que le Ciel est à nos côtés et qu’il ne nous a jamais quittés. Ils voient assise à notre côté la Très Sainte Vierge Marie, mère de Dieu, mère de l’Eglise et mère de tous les hommes croyant en Jésus-Christ. Et nous savons alors instinctivement qu’elle est notre mère.
Une conversion qui n’est pas tournée vers Marie, co-rédemptrice et dispensatrice de toutes grâces, n’est pas une vraie conversion. C’est une illusion du Malin. Un Malin qui ne s’arrêtera pas pour autant: les abeilles recommencent ; mais nous obtiendrons alors les grâces pour lui tenir tête et lui résister.

"Je sais, je sens,
Que dans son désert, il m’attend.
Très loin, dans sa mémoire profonde,
Il m’entend."
Oui, hommes de peu de foi, oui pauvres pécheurs que nous sommes, Dieu sait que malgré nos faiblesses et la puissance du démon, l’être humain est intrinsèquement attaché à son Créateur. C’est dans ses gênes. Le voile opaque qu’a patiemment tissé le diable, cachant, annihilant ou salissant jusqu’à nos souvenirs les plus profonds ne pourra jamais tout supprimer. Très loin dans notre mémoire profonde nous pouvons entendre l’appel divin, nous pouvons quitter ce désert de la mort et renaître à la vie. Il ne tient qu’à nous de stopper la domination de la chair et de nos sens sur nos êtres et d’ouvrir notre cœur et notre esprit à la prédominance de la seule vraie vie : la vie spirituelle, celle du royaume de Dieu.

Le Seigneur est à la porte, il frappe au plus profond de notre être, il vient nous chercher malgré nos défauts et nos péchés : ne laissons pas passer cette ultime chance.


Oui le Grand Réveil est à la porte ; l’heure du jugement dernier va sonner ; espérons que le Seigneur nous donne une dernière chance pour nous amender et revenir à Lui. 
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Certains vont faire partie de cette "nouvelle Terre", d'autres irons vers une planète de 3ème dimension continuer leurs expériences.

* Rain man
A la mort de son père, Charlie Babbitt, homme d'affaires pressé, hérite d'une vieille Buick qu'il convoitait depuis longtemps mais se voit spolié de quelque trois millions de francs versés à l'Institution psychiatrique Wallbrook au profit d'un bénéficiaire anonyme. Charlie se rend a Wallbrook et découvre l'heureux bénéficiaire. Il s'agit de Raymond, savant autiste, celui qu'il appelait dans son enfance Rain Man, qui représente ses seuls souvenirs heureux et qui n'est autre que son frère.

**France Gall - Résiste


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