07/08 - LA SANTÉ SANS LES MÉDICAMENTS POISONS.
LE MAGAZINE "DOSSIERS SANTE ET NUTRITION".

Vous pouvez avoir accès à des médecines naturelles dans ce magazine.
J’ai utilisé des remèdes naturels, suis passée à une alimentation de plus en plus saine.
Mais, si vous manger de la vie, du cru, une bonne eau et pas de boisons sucrés vous éviterez la «mal a dit» et aurez de moins en moins besoins de remèdes, même naturels
Cette vidéo vous explique comment la médecine apporte la maladie plutôt que de la soigner, alors que nous avions des remèdes naturels et plus efficaces, sans effets secondaires qui mènent à la maladie et même parfois à une mort prématurée :
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Le numéro d'août et un article sur l’hyperactivité :
Connaissez-vous Pierre l’Ebouriffé, alias Crasse-Tignasse ? Ce petit garçon aux cheveux noirs, héros d’un livre écrit par le docteur Heinrich Hoffman en 1845, avait une particularité déroutante : celle de ne jamais tenir en place.
A longueur de temps, Crasse-Tignasse bouge, se tortille, s’agite et se balance d’avant en arrière. C’est comme si sa chaise était plantée de clous : jamais il ne reste assis tranquille dessus... Il refuse également que l’on lui coupe les ongles et les cheveux, ce qui explique cette chevelure dégoûtante qui lui vaut son surnom.
A travers ce personnage d’enfant terrible, le docteur Hoffman a décrit pour la première fois ce que l’on nomme aujourd’huiun enfant hyperactif.
Mais il faudra attendre 1897, pour que Désiré-Magloire Bourneville, «médecin aliéniste» comme on les appelait avant la fondation de la «psychiatrie», décrive en 1897 les symptômes de l’enfant instable.
Depuis, comme vous allez le voir dans ce nouveau numéro des Dossiers Santé & Nutrition signé par le Docteur Jean-Paul Curtay, la fréquence de l’hyperactivité de l’enfant a littéralement explosé dans les pays dits «développés». On estime aujourd’hui qu’elle affecte 3 à 11 % des enfants.
Mais très souvent, les parents ne sont pas conscients du problème.
«Pfff…C’est une maladie imaginaire»
En lisant ce dossier, vous allez voir ce qui se cache réellement derrière ce trouble encore teinté de mystère. Et comprendre pourquoi on parle aujourd’hui autant d’une maladie dont on ignorait souvent jusqu’à l’existence, il y a quelques dizaines d’années encore. D’autres explications permettent également de saisir pourquoi, notamment, on compte deux à trois fois plus de garçons que de filles qui sont atteints.
Vous allez découvrir que le diagnostic de ce trouble pose de sérieux problèmes : trop souvent, il est rangé sans ménagement dans la catégorie des pathologies «imaginaires» ou «inventées».
Dans ce numéro des Dossiers Santé & Nutrition, le Dr Curtay vous propose le premier tableau récapitulatif permettant de détecter le trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité (TADH) chez l’enfant. Servez-vous en, bien sûr, et faites-le connaître autour de vous aux personnes que vous connaissez qui ont un enfant «agité». Ils feront certainement d’intéressantes découvertes.
Car plus on détectera précocement le syndrome, plus on pourra réduire l’incidence des troubles.
Ceci est d’autant plus important que les conséquences de ce trouble s’aggravent avec l’âge adulte dans 40 % des cas et peuvent entraîner :
- des relations sociales peu satisfaisantes,
- une instabilité professionnelle,
- des taux élevés de séparation et de divorce,
- des déviances, parfois criminelles.
On estime par exemple que le risque de consommer de la drogue à l’adolescence est multiplié par 3,5 chez les enfants hyperactifs.
Les médicaments traitent le problème…à l’envers !
La passionnante étude du Dr Curtay permet d’identifier plusieurs facteurs expliquant le TADH :
- une disposition génétique
- une grossesse à problèmes
- une exposition in utero à l’alcool et/ou au tabac
- la prématurité
- des déficits nutritionnels pendant la grossesse, en particulier en vitamines B
- un accouchement difficile qui a pu engendrer quelques lésions cérébrales
- un traumatisme crânien, surtout dans la petite enfance
etc.
Mais dans ce numéro des Dossiers Santé & Nutrition, vous verrez que les scientifiques ont commis une grosse erreur, en faisant une confusion entre la cause (le sur-régime) et les effets (l’épuisement).
Le résultat est qu’on prescrit souvent une amphétamine, qui est un accélérateur des pulsions (la plus connue étant la Ritaline). Mais c’est une erreur. Ces enfants ont certes une baisse de régime, mais elle est purement ponctuelle.
Le problème de fond est inverse : c’est bien un excès pulsionnel. Et vous verrez qu’un traitement adapté (voir plus loin) doit veiller à moduler et atténuer ces pulsions et non les stimuler comme le fait la Ritaline.
Mauvaise nouvelle à propos du poisson
D’autre part, vous allez comprendre pourquoi un certain nombre de facteurs environnementaux ou nutritionnels augmentent l’incidence de l’hyperactivité chez les enfants.
- Le plomb induit des effets de type TDAH avec des effets observables dès 1,6 µg/dl de sang. C’est beaucoup moins que le seuil de 10 µg/dl retenu pour l’exposition in utero. Cela confirme la nécessité de revoir d’urgence à la baisse les niveaux de plomb tolérables pour les enfants.
- Le mercure, ou surtout le méthylmercure (sa forme la plus bioassimilable), peuvent être en cause également. On le trouve beaucoup dans les poissons.
C’est ce qui explique que les enfants des tribus inuits, dans les régions arctiques du Nunavik canadien, sont trois fois plus enclins aux troubles de l’hyperactivité que la moyenne.
C’est pourquoi il faudrait retirer du marché alimentaire les plus gros prédateurs qui présentent les taux de mercure les plus élevés : requin, espadon, marlin, mérou, anguilles, silure, brochet…
Mais ce n’est pas tout : le Dr Curtay vous révèle également quels sont les trois poissons que les femmes enceintes doivent éviter absolument.
Une semaine sans additif alimentaire : les symptômes chutent !
Parmi les autres facteurs qui tiennent une place de premier plan dans l’incidence de l’hyperactivité, on trouve les additifs alimentaires, et en particulier le benzoate de sodium.
Bien évidemment, ce n’est pas la peine de compter sur les experts, souvent en lien avec les lobbys agro-alimentaires, pour accepter une obligation d’étiquetage avertissant les consommateurs du risque augmenté de TADH avec ces additifs.
Pourtant, une étude réalisée en double aveugle sur 1863 enfants de 3 ans a montré que le retrait pendant une semaine des colorants et du benzoate de sodium est pourtant associé à une réduction de l’hyperactivité.
Voilà pourquoi le Dr Curtay a décidé de vous livrer la liste des additifs à qui les autorités de santé publique devraient retirer l’autorisation: parmi eux on retrouve les colorants, les benzoates, le mono sodium glutamate(MSG), mais aussi les médicaments contenant encore du glutamate et de l’aspartate(en France, le Sargenor reste très prescrit chez les enfants).
Il y a du glutamate dans tous les produits alimentaires salées et de l’aspartame dans toutes les boissons et produits sucrés. Mangez naturel, buvez de l’eau.
A côté de ces additifs à éviter à tout prix, ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition vous fait découvrir les substances naturelles qui agissent en défense de l’organisme.
Manque de magnésium et d’oméga 3 augmentent les perturbations
Le magnésium est un minéral qui contribue à protéger des métaux lourds dont il réduit le passage à l’intérieur des cellules. Mais surtout, le magnésium est fondamental dans la modulation des stress psychologiques.
Son déficit se traduit par des tensions musculaires, digestives, des perturbations du sommeil et de l’anxiété.
En Allemagne, une étude a été menée sur 2 841 écoliers. Elle a permis de montrer que de meilleurs apports en magnésium réduisait de façon significative le niveau de stress des enfants, qui se manifeste par exemple par des maux de ventre.
De la même manière, les études très nombreuses (le Dr Curtay en a recensé 34 !) attestent des effets positifs d’un meilleur statut en acides gras oméga 3 sur les enfants souffrants des syndromes de TADH. Pour mémoire, on en trouve dans les petits poissons (anchois, sardines, hareng), l’huile de colza, de lin, les graines de chia ou de chanvre.
Le traitement oublié par l’industrie pharmaceutique
Je vous en ai parlé au début de cette lettre : il existe un traitement nutritionnel contre l’hyperactivité qui a été totalement négligé par l’industrie pharmaceutique et les autorités de santé.
Au lieu de stimuler artificiellement l’attention, comme le font les amphétamines, il s’agit de redonner aux neurones de quoi produire normalement et durablement la noradrenaline, qui agit comme relanceur de l’attention et de la concentration.
La noradrénaline est fabriquée à partir d’un acide aminé, la tyrosine. Il suffit d’en prendre quelques jours pour que les neurones se rechargent et continuent à refonctionner de manière durable, avec beaucoup moins d’effets secondaires que les médicaments.
Dans ce numéro des Dossiers Santé & Nutrition, le Dr Curtay vous précise bien sûr la posologie, les conditions de prise, les contre-indications (grossesse, allaitement, mélanome malin, hyperthyroïdie etc.), et vous révèle une astuce pour éviter les effets secondaires possibles de la tyrosine.
Enfin, il propose également un protocole complet destiné à équilibrer l’impulsivité.
- manger des glucides lents : légumes secs, pain semi-complet, flocons/semoules…
- consommer des oléagineux et du chocolat noir (qui constituent l’en-cas idéal pour les enfants)
- garder du temps pour l’expression créative de tous ordres
- prendre du magnésium matin, midi, soir (liposoluble, avec taurine et arginine : D Stress Booster)
- faire une cure d’un mois seulement de vitamines B à dose correctrice, comprenant le spectre entier des vitamines B, dont 50 mg de vitamine B6)
- si insuffisant, prendre nicotinamide ou vitamine PP (Nicobion 500)
- éventuellement : luminothérapie, mélatonine (3mg au coucher)
Vous trouverez bien d’autres conseils dans ce numéro d’août des Dossiers Santé & Nutritionconsacré à l’hyperactivité.
En particulier, le Dr Curtay vous en dit plus sur un produit que vous avez hélas certainement dans votre arrière-cuisine, et qui réduit le volume du cortex cérébral et entraîne des troubles de l’attention, du langage, et du contrôle pulsionnel.
Mon conseil : débarrassez-vous en sans attendre.
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En bonne santé jusqu’à 100 ans :
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Peut-être le meilleur nutritionniste de sa génération :
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