POUR SON ÉMISSION AYANT POUR BUT
DE DISCRÉDITER LE FN ET PAS D'INFORMER
CE QUI DEVRAIT ETRE SON RÔLE.
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La directrice de France Télévision fait-elle campagne pour Macron ?
Envoyé Spécial anti-Front national : Frédéric Chatillon* dépose plainte pour diffamation
* C'est un ami de vingt ans de Marine Le Pen. Elle et Frédéric Chatillon se sont rencontrés sur les bancs de la faculté d'Assas, à Paris, au début des années 1990.
* C'est un ami de vingt ans de Marine Le Pen. Elle et Frédéric Chatillon se sont rencontrés sur les bancs de la faculté d'Assas, à Paris, au début des années 1990.
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LE FN DIFFUSE UNE TRÈS ÉTRANGE INTERVIEW QUI ACCUSE DELPHINE ERNOTTE ET FRANCE TV DE FAIRE CAMPAGNE POUR EMMANUEL MACRON.
Mercredi 15 mars, C8 diffusait un documentaire pour le moins gênant pour le Front national. Ce reportage a notamment entraîné la suspension du chef de file du FN de Nice pour avoir tenu des propos négationnistes.
Le lendemain, jeudi 16 mars, c'était au tour de France 2 de diffuser un documentaire Mediapart-Marianne-Envoyé Spécial consacré au parti d'extrême droite. Point de révisionnisme en apparence mais des témoignages accablants pour l'entourage de Marine Le Pen et notamment les anciens-gudards que sont Frédéric Chatillon et Axel Lousteau, deux proches de la présidente frontiste mis en examen dans le cadre de l'affaire Riwal sur le financement occulte du parti.
Dans ce reportage basé sur les informations issues de l'enquête publiée dans le livre Marine est au courant de tout(éd. Flammarion), un témoignage a semble-t-il marqué le FN : celui d'un ancien du GUD qui, sous couvert d'anonymat, accuse Frédéric Chatillon et ses amis d'être des "nazis", de vouer un culte certain à Adolf Hitler, de plaisanter sur les Juifs, de se lâcher "sur des saluts nazis, des croix gammées", etc. Cet extrait a été dévoilé par Marianne quelques heures avant sa diffusion sur France 2.
Ce témoignage a largement irrité le Front national. Vendredi, sur FranceInfo:, Nicolas Bay dénonce "des méthodes de voyous". "On fait témoigner des gens anonymement, la voix masquée, le visage floutée, qui racontent n'importe quoi, un torrent de mensonges et de diffamation, tout ça avec l'argent du contribuable ?", s'est-il ému.
Le FN a décidé de s'accrocher à ce témoignage pour critiquer l'ensemble du reportage d'Envoyé Spécial et plus largement la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, accusée de faire la campagne d'Emmanuel Macron. Une constante au FN. Marine Le Pen elle-même accuse France Télévisions – et BFMTV, entre autres – de tout mettre en œuvre pour favoriser le candidat d'En Marche !
Durant la diffusion du reportage d'Envoyé Spécial, jeudi soir, David Rachline a donc contre-attaqué en diffusant une vidéo de 2 minutes 24 secondes dans laquelle un homme présenté comme un ancien collaborateur de Delphine Ernotte explique que cette dernière a été désignée en 2015 "évidemment pour faire la campagne de François Hollande".
L'homme ajoute :
Il faut maîtriser l'information. On est en contact permanent avec l'Élysée. […] Dès que Hollande n'a plus été candidat, bien évidemment il a fallu soutenir coûte que coûte Macron avec l'objectif clair de faire battre Marine Le Pen. […] D'ailleurs Macron et Delphine Ernotte ont des liens d'amitié qu'ils ne cachent pas. Ils s'embrassent, ils se tutoient. Voilà, ce sont des relations plus qu'amicales. Ce sont des relations à la fois professionnelles et amicales. Tout ça se mélange allègrement. Même si elle l'a démenti, on sait très bien que Delphine Ernotte a rencontré Macron au moment-même où elle faisait sa campagne pour être désignée à France Télévisions.
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Il faut maîtriser l'information. On est en contact permanent avec l'Élysée. […] Dès que Hollande n'a plus été candidat, bien évidemment il a fallu soutenir coûte que coûte Macron avec l'objectif clair de faire battre Marine Le Pen. […] D'ailleurs Macron et Delphine Ernotte ont des liens d'amitié qu'ils ne cachent pas. Ils s'embrassent, ils se tutoient. Voilà, ce sont des relations plus qu'amicales. Ce sont des relations à la fois professionnelles et amicales. Tout ça se mélange allègrement. Même si elle l'a démenti, on sait très bien que Delphine Ernotte a rencontré Macron au moment-même où elle faisait sa campagne pour être désignée à France Télévisions.
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Communiqué publié par Frédéric Chatillon sur sa page Facebook :
Le magazine « Envoyé Spécial » s’apprête à diffuser un reportage sur le Front National. Manifestement désireux de gagner le concours de l’accusation la plus grave et la plus fausse portée contre moi, un faux témoin a cette fois-ci été requis. Ce Monsieur ne montre pas son visage, dissimule sa voix et porte des accusations infâmes et invérifiables. Je n’ai jamais tenu de tels propos et ce Monsieur sans nom, ni voix, ni visage est une invention pure des journalistes pour assurer le buzz de leur émission. Je les accuse d’avoir organisé de toutes pièces ce faux témoignage. Je dépose plainte contre les auteurs de cette manipulation diffamatoire.
Il y a quelques années, le rôle du faux témoin avait été tenu par un autre brillant personnage qui lui apparaissait sous son nom et à visage découvert : M. Denis Le Moal. Il est apparu rapidement que ce Monsieur était en Belgique le président d’un syndicat de proxénètes, un homme de parole par conséquent…
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De plus, les médias utilisent à nouveau les déclaration de JM Le Pen sur la thèse révisionniste pour attaquer le FN. Qui dit que ceci n'est pas la vérité ? D'autres personnes comme Robert Faurisson,* professeur d'université, spécialisé sur la critique de textes et documents, qui a mené une longue enquête sur les chambres à gaz et qu'on a voulu assassiner, ou une personne plus qu'honorable comme l'Abbé Pierre** nous en ont parlé. Il est certain que JM Le Pen n'a pas rendu service au FN en divulguant ces informations sur la présentation de faits historiques qui ont été si martelés, encrés dans les cerveaux malléables de téléspectateurs, et lecteurs de la presse aux ordres, que personnes n'osent les remettre en question.
* Robert Faurisson "Le Problème des chambres à gaz"
Ici son site où on peut voir qu'il est toujours inquiété pour avoir dévoilé cette vérité des plus importantes.
** L'Abbé Pierre et la Shoa
En cette fin du mois d’avril 1992, l’affaire Garaudy-abbé Pierre bat son plein. Elle ne semble pas près de s’apaiser même si les deux principaux intéressés veillent à prendre leurs distances d’avec le révisionnisme. Les juifs ne pardonnent jamais la moindre atteinte à leur tabou. Les excuses, les rétractations, les explications, les flatteries ne répareront pas l’offense qui leur a été faite. Ils seront sans pitié. Ils frapperont d’autant plus fort celui qui aura, ne fût-ce qu’un instant, ployé l’échine.
Le soutien de l'abbé Pierre à Roger Garaudy n'était ni une faiblesse d'amitié ni un dérapage d'octogénaire. Dans une interview à «Libération», le fondateur des communautés d'Emmaüs estime que les écrits qui valent à Roger Garaudy d'être mis en examen pour contestation de crimes contre l'humanité (la négation du génocide des juifs commis par les nazis) touchent à «un sujet sur lequel le débat n'est pas clos».
Fin 1995, Garaudy publie, aux éditions de la Vieille Taupe , un ouvrage intitulé les Mythes fondateurs de la politique israélienne, dans lequel il conteste «le mythe des six millions de juifs exterminés» et la qualification de «génocide» qui en a été faite. Stupéfaction, l'abbé Pierre apporte son soutien à Garaudy, dont il est l'ami. Dans une interview à Libération du 29 avril 1996, il s'enferre, affirmant que toutes les chambres à gaz projetées par les nazis n'ont pas été construites et s'insurgeant contre tous ceux qui déclarent «d'une manière absolument dogmatique que [la Shoah ] est un sujet sacré et que toute recherche historique comme on pourrait chercher à mieux comprendre l'Inquisition ou les croisades n'est pas nécessaire». Propulsé sur le devant de la scène politique et médiatique, l'abbé Pierre persiste et signe, dénonçant dans le Corriere della Serra ces médias sous la pression du «lobby sioniste international». En juillet, il demande finalement que son nom ne soit plus associé à l'ouvrage de Garaudy. «Ma confiance en ta sincérité reste totale», écrit-il toutefois à son ami.
LES DIX VIES DE L'ABBÉ DES SANS-LOGIS
L'abbé Pierre persiste et signe
Nous retrouvons ici le traître, le "bon french docteur" Kouchner
L'abbé Pierre s'estime «convaincu» qu'en remettant en cause l'holocauste, «il y a une espèce de ouf! Le tabou est levé». Il raconte avec enthousiasme qu'à l'occasion d'un voyage récent en Belgique, «dès que je suis sorti de voiture à l'aéroport de Bruxelles, des gens sont venus vers moi (...) pour me dire: merci, parce que vous avez eu le courage de remettre en cause un tabou». Au point d'en éprouver un soulagement: «On ne se laissera plus traiter d'antijuif ou d'antisémite si on dit qu'un juif chante faux.»
Oui, la Shoa est une invention pour faire taire ceux qui s'opposent à tous les actes infâmes commis par les dirigeant d'Israël.
Au fil des années, la Shoah s’est transformée en sujet totalement tabou et sacralisé dans nos sociétés occidentales. Échappant aux historiens qui risquaient de la « banaliser », crime suprême, elle a fini par quitter le domaine du rationnel et de la critique historique pour entrer de plain-pied dans celui du « mystère ». Pour ne pas dire de la religion.
Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que des petits malins aient exploité à leur profit un filon qu’ils jugeaient prometteur. Cet ouvrage relate un certain nombre des tromperies avérées de ces menteurs de la Shoah , récits d’imaginaires souffrances ou de tribulations présentées comme autobiographiques.
Il relate également les affabulations, exagérations, inventions ou récupérations d’autres personnages, y compris celles d’anciens déportés dont les récits soulèvent quelques questions.
Shoah et autofiction victimaire par Jean C.
Il est aujourd’hui acquis que la Shoah tient un rôle de premier plan dans la montée des communautarismes victimaires au cours des dernières décennies.
L’organisation des minorités agissantes en lobbies prêts à traîner en justice leurs contradicteurs et l’extension du désormais célèbre "devoir de mémoire"à des faits historiques comme le génocide arménien ou l’esclavage relève à la fois d’une jalousie et d’un effet de mimétisme vis-à-vis des organisations communautaires juives ayant à leur actif le déplacement de la Shoah du champ historique vers les champs mémoriel et émotionnel.
Dans ce contexte, il est évident de saisir l’intérêt qu’ont pu avoir des individus à s’approprier le passé d’anciens déportés, quitte à rédiger et publier en leur nom des témoignages fictifs. Récemment, des témoignages ont permis de mettre en doute la véracité des récits d’Elie Wiesel [1] portant sur sa déportation à Buchenwald. Plus récemment, le président de l’association des déportés espagnols, Enric Marco [2], confondu par des éléments inexacts et contradictoires dans ses récits, s’est vu forcé de reconnaître avoir menti depuis plus de 30 ans.
Loin des prix Nobel et des dirigeants d’associations de déportés, l’extraordinaire quantité de récits, fictions, témoignages et reportages autour de la Shoah a eu des répercussions souvent surprenantes sur des individus quelconques. La diffusion du juif comme archétype de la victime douce et innocente continue ainsi de pousser jusqu’à nos jours ces individus, souvent fragiles psychologiquement et taraudés par des questions ayant trait à leur identité, à s’identifier aux juifs victimes de persécutions antisémites parfois même au point de croire à leurs propres affabulations.
En France, beaucoup se souviennent de l’affaire dite du "RER D" qui déclencha au début de l’été 2004 un tonnerre de réactions politiques et médiatiques et dont il s’était avéré quelques semaines plus tard qu’elle reposait uniquement sur un témoignage inventé de toutes pièces par une jeune femme, Marie-Léonie Leblanc [3]. En 2009, une affaire similaire défraya la chronique en Suisse et jusqu’au Brésil, pays pourtant éloigné de par son histoire et sa situation géographique des turpitudes de la seconde guerre mondiale. Paula Oliveira, jeune juriste brésilienne de 26 ans résidant en Suisse, prétendit avoir été agressée au cutter en pleine gare de Zurich par trois néonazis dont les enquêteurs ne trouvèrent pourtant nulle trace. Elle avoua une semaine plus tard être l’auteur des scarifications et avoir inventé l’agression [4].
D’autres affabulateurs plus âgés et plus doués pour l’écriture et le storytelling parvinrent à publier des récits consacrés à leurs déportations imaginaires et à en retirer une brève mais impressionnante notoriété. C’est notamment le cas de Bruno Dössekker, alias Binjamin Wilkormiski, et de Monique Dewaël, alias Misha Defonseca, auxquels J.P. Luauté et O. Saladini ont consacré un article publié dans la revue pyschiatrique des Annales Médico-Psychologiques [5].
Bruno Dössekker, un musicien suisse abandonné en bas âge par sa mère puis adopté par un couple de notables zurichois, publia en 1995 Fragments : une enfance 1939-1948, un ouvrage prétendument autobiographique retraçant le parcours de l’enfant Wilkormiski entre cachettes dans la Pologne occupée, camps nazis et orphelinats. Le récit, émaillé de terribles descriptions tirées pour partie de l’abondante littérature concentrationnaire, valut à son auteur plusieurs prix décernés entre autres par l’association américaine d’orthopsychiatrie et le National Jewish Book Award. En 1997, l’hebdomadaire suisse Die Weltwoche publia le résultat d’une enquête menée par le journaliste Daniel Ganzfried, révélant la supercherie [6].
Le cas de Misha Defonseca, née Monique Dewaël, surpasse en retentissement et en inventivité celui de Dösseker-Wilkormiski. Monique Dewaël, Américaine d’origine belge, publia en 1997 Survivre avec les loups, récit de l’invraisemblable périple d’une fillette voyageant à pied à travers l’Europe occupée, de la Belgique aux plaines glaciales de la Pologne , où elle sera finalement adoptée par une meute de loups. Les sérieux doutes émis par des journalistes ainsi que par des spécialistes du comportement des animaux n’ont entravé ni le succès de l’ouvrage, traduit en une vingtaine de langues, ni la réalisation d’un film. Néanmoins, le succès du film réalisé par Véra Belmont en 2007 fit enfler la polémique et en 2008, Monique Dewaël, pressée par son entourage, se vit contrainte d’avouer son mensonge.
Pour en expliquer les raisons, elle évoqua un traumatisme identitaire remontant à sa petite enfance. Fille d’un ancien résistant belge ayant parlé sous la torture, Monique Dewaël grandit après-guerre dans un orphelinat, ses parents étant morts en prison. Son statut de "fille de collabo" lui valant les sarcasmes et l’hostilité de ses camarades, elle s’identifia dans sa solitude de victime à la figure du juif persécuté.
Placée sur un piédestal symbolique, trônant au sommet de la hiérarchie des souffrances et clef de voûte du système d’exacerbation des mémoires communautaires, la Shoah engendre ainsi chez des individus parfois fragiles et anonymes de curieux phénomènes d’identification à la victime sublimée, exploitée par des éditeurs souvent peu dupes et sans vergogne. Il ne fait aucun doute que ce type d’agissements n’est que l’un des symptômes d’une époque marquée par la promotion constante et la concurrence sans fin des communautarismes victimaires et qu’une prise de recul salutaire marquerait probablement le retour à l’entretien de rapports plus sains et équilibrés vis-à-vis de pans entiers de notre histoire récente.
La shoah : un ignoble mensonge !
UN RABBIN ANTI SIONISTE DÉCLARE " LA SHOAH A ÉTÉ CRÉÉE PAR DES SIONISTES "
Écoutez jusqu'au bout même si le début vous perturbe
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Benoît Loeuillet, ex-dirigeant identitaire et cadre du FN à Nice, libraire, s’est retrouvé piégé par des vrais journalistes, faux sympathisants FN, à qui il a expliqué
« qu’il ne sait pas trop quoi penser de la thèse révisionniste. C’est compliqué. Bon, après, je pense qu’il n’y a pas eu autant de morts. Il n’y a pas eu 6 millions. »
Immédiatement et avant même la diffusion de ce nouveau brûlot anti-FN mais surtout anti-identitaire, les cadres du parti ont les uns après les autres annoncé que le jeune homme sera suspendu. Dans un communiqué Nicolas Bay, secrétaire général du Front National, a annoncé qu’il
« sera convoqué très prochainement devant les instances disciplinaires du mouvement, en vue de son exclusion. »
Marion Maréchal-Le Pen, président de groupe FN à la région PACA, a écrit pour sa part dans un autre communiqué que Benoît Loeuillet
« à compter de ce jour, Monsieur Loeuillet ne fait plus partie du groupe Front national au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur. »
Benoît Loeuillet de son côté a déclaré à Nice-Matin qu’il « comprend l’émoi que ces propos peuvent susciter tels qu’ils sont présentés, habilement découpés », mais qu’il s’inscrit en faux contre le portrait que ce reportage entend faire de lui. Il a affirmé pareillement qu’il demande à son avocat de porter plainte contre le « journaliste » Quentin Pichon, la production de ce reportage et contre C8 pour diffamation publique, et qu’il se rendra à la convocation de son mouvement.
Sur le site du Figaro.fr on peut y lire ce descriptif du documentaire :
« Dans le documentaire La face cachée du Front national diffusé ce soir sur C8 dans le cadre d’une «Soirée spéciale», Quentin Pichot s’est immergé durant deux mois, avec une caméra cachée, au sein du Front national de la jeunesse (FNJ) à Nice. Accueilli par de jeunes militants, le journaliste de TV Presse, l’agence de presse de FremantleMedia (RTL Group), s’est mis dans la peau d’un sympathisant souhaitant s’impliquer dans la campagne du FN. »« L’usage de la caméra cachée reste un outil journalistique délicat à manier, mais ces vues «de l’intérieur» sont sans appel. Le FN y verra probablement une démarche hostile en période électorale, mais Guy Lagache, le directeur de l’information sur C8, assume le «but légitime d’informer» dans le contexte de l’«actualité» présidentielle. Pour Jacques Aragonès, le producteur de TV Presse, l’usage de la caméra s’est imposé «par défaut» suite à l’impossibilité d’obtenir des autorisations. «On voulait comprendre comment le parti fonctionne dans sa conquête du pouvoir», explique-t-il. »
Outil de désinformation et de propagande anti-nationaliste, ce documentaire sème la pagaille au sein du Front National en quête de respectabilité républicaine, d’honorabilité historiquement correcte et de dédiabolisation. Les purges vont être sévères… Certains cadres et militants du parti risque de voir leur flamme patriotique totalement éteinte par une Marine à la rose bleue épineuse !
Francesca de Villasmund
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CES FAUSSE ÉMISSION DE DÉNONCIATION DU POUVOIR..
PAR EXEMPLE : ENVOYÉ SPÉCIAL…
1990-2016 : histoire d’une dérive éditoriale.
Depuis plus de 25 ans, jamais Envoyé spécial n’a dérogé à cette règle : on ne froisse pas le pouvoir. Même si des pouvoirs intermédiaires, corps constitués, communautés ont pu être froissés, tels l’armée ou l’église. Mais dès que ça touche la Défense ou à l’Intérieur, la rédaction s’aligne. Simplement, elle s’aligne de manière intelligente, en ne reprenant pas mot pour mot la version officielle.
Sur la tuerie de Charlie Hebdo, flanquée de la tuerie de l’Hyper Casher, pas un sujet sur les incohérences qui pourtant foisonnent. Sans même verser dans un début de complotisme. Il semble que des connections ne soient pas faites à la rédaction, même si elles appellent à la plus grande prudence. Personne ne remet en cause l’attentat commis par trois personnes, fichées et suivies par le Renseignement depuis des années, dont la surveillance a été levée, et dont le commanditaire, au Yémen (!), s’est opportunément fait éliminer par un tir de drone américain. Et hop, on referme la boite, avec toutes les questions à l’intérieur.
Le fameux reportage de Thierry Vincent sur l’antisémitisme supposé des Français
Si le rôle d’Envoyé spécial n’est pas de faire des hypothèses, on peut arguer que la version servie aux Français depuis un an est une hypothèse, reprise aveuglément, ou presque, par l’écrasante majorité des médias. Il serait intéressant de croiser cet « attentat » avec le sujet diffusé jeudi 15 octobre 2015, qui parlait – encore une fois – des angoisses de la communauté juive française. Et si, pour une fois, courageusement, allant contre le sens du vent (ce sont plutôt les faits qui allaient contre le discours dominant), le journaliste reporter Thierry Vincent prouve que la France n’est pas un coupe-gorge pour nos compatriotes juifs (un responsable de la communication d’un groupe israélien orthodoxe a comparé Paris à « Ramallah »), un sujet dans le sujet nous interpelle : une famille juive française décide de faire son Aliyah. Ils sont déjà 10 000 (officiellement) à avoir choisi le grand départ vers Israël en 2015 (contre 7 000 en 2014), parce que la France serait devenue trop dangereuse pour les juifs. Une montée en Israël qui finit parfois en descente... beaucoup moins médiatisée.
La vrai infos, c'est pas à la télé, c'est ici :
L'avis de Thierry Meyssan, un homme intègre et de bonnes infos
Suite au vomi propagandiste d'Envoyé Spécial sur France 2 le 07.janv.2016
https://www.youtube.com/watch?v=zGkNT71D3Y4
https://www.youtube.com/watch?v=zGkNT71D3Y4