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13/02- DONALD TRUMP ENVISAGE
UN NOUVEAU DÉCRET ANTI-IMMIGRATION.

11 févr. 2017,
Le président américain Donald Trump a affirmé qu'il envisageait plusieurs options pour relancer son décret anti-immigration actuellement bloqué par la justice, dont la présentation d'un «nouveau» texte.
«L'aspect malheureux c'est que ça prend du temps statutairement [de saisir à nouveau la justice], mais nous gagnerons cette bataille. Nous avons aussi beaucoup d'autres options, y compris présenter simplement un tout nouveau décret», a déclaré le président aux journalistes qui l'accompagnaient à bord de l'avion présidentiel Air Force One.
Toutefois, selon des responsables américains, l'option de saisir à nouveau la justice, y compris la Cour suprême, plus haute instance judiciaire du pays, n'est pas abandonnée. «Nous gardons la porte ouverte à toutes les options», ont-ils déclaré.
Donald Trump a précisé dans l'avion qui l'emmenait en Floride, où il va jouer au golf ce week-end avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe, qu'il n'y aurait pas de nouvelle mesure avant la semaine prochaine, «peut-être lundi ou mardi».
Interrogé pour savoir s'il allait publier un nouveau décret, il a répondu: «Ça pourrait vraiment être le cas. Nous devons aller vite pour des raisons de sécurité, donc ça pourrait tout à fait être le cas».

Le président est resté cependant flou sur ce qu'il prévoit d'amender dans l'actuel décret: «Nous allons aller très fort sur la sécurité», a-t-il dit.
Donald Trump avait affirmé quelques heures auparavant lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche avec Shinzo Abe qu'il allait «poursuivre le processus judiciaire» et gagner.

Il s'est vu infligé le 9 février un revers par une cour d'appel de San Francisco, qui a maintenu le blocage de son décret, mesure phare de son début de mandat pour protéger les États-unis de la menace terroriste.
«D'énormes menaces pèsent sur notre pays. Nous ne permettrons pas que cela arrive», avait-il martelé. «On n'autorisera pas des gens qui veulent nous faire du mal à entrer dans notre pays, on autorisera l'entrée de pleins de gens qui aiment notre peuple et feront le bien de notre pays», a déclaré Donald Trump.

Signé le 27 janvier, le décret sur la «Protection de la nation contre l'entrée aux États-unis de terroristes étrangers» bloquait temporairement l'entrée aux États-unis des ressortissants de sept pays à majorité musulmane (Iran, Irak, Syrie, Soudan, Libye, Somalie, Yémen) et de tous les réfugiés. L'interdiction est illimitée dans le temps pour les Syriens.
Le 3 février, un juge fédéral de Seattle, dans l'État de Washington, a émis une injonction temporaire bloquant l'application du décret sur l'ensemble du territoire américain. C'est l'appel de l'administration Trump contre cette décision que la cour de San Francisco a rejeté le 9 février.

Insistant sur la nécessité de protéger «l'intérêt général», les trois juges de la cour d'appel ont estimé à l'unanimité que l'administration Trump n'avait pas démontré que la suspension du décret se traduirait par de graves atteintes à la sécurité des États-unis, comme l'affirme le président. 
Une décision «scandaleuse», a tonné le 10 février Donald Trump. Quelques minutes seulement après l'annonce de leur décision, la colère de Donald Trump avait éclaté sur Twitter: «RENDEZ-VOUS AU TRIBUNAL, LA SECURITE DE NOTRE NATION EST EN JEU!», avait-il écrit. 

Rappelons ceci afin de comprendre la raison de cette décision :
L'explication de ce rejet : Trump, qui dirige à présent la République restaurée, a banni 7 pays de l’immigration vers l’Amérique parce que la Cabaleleur a fourni des Dinars (irakiens) et des Zims (du Zimbabwe) pour les échanger à des taux plus élevés ici aux États-unis.

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