02/08 -PETS DES VACHES. UN INHIBITEUR DE MÉTHANE POUR RÉDUIRE L'EFFET DES PETS DES VACHES.
J’ai une idée qu’elle est géniale !
On ne mange plus de viande. Plus besoin de vache, sauf comme animal de compagnie, donc moins de pets, moins de pollution.
Si vous êtes inquiets et pensez que vous devez manger de la viande pour être en bonne santé, c’est le contraire. Lisez mes articles sur l’alimentation vivante, le manger cru, le site «vivre cru»…..
Kadhafi est un tortionnaire un terroriste. Là aussi c'est le contraire. C’est celui qui le dit qui l’est comme disent les gamins!
Tout est comme ça ! On nous lance toujours sur la fausse piste vu que les médias appartiennent à ceux qui nous exploitent et bien pire.
Arrêtons de surconsommer et nous serons libres et nos mais les animaux aussi.
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Article prise de tête : y'a des mecs qui s'prennent au sérieux et qui sont bien payés pour nous faire peur et nous mentir !
Les vaches émettent beaucoup de méthane, un gaz à effet de serre
L'enjeu est de taille puisque le méthane est un puissant gaz à effet de serre, émis en partie par les pets et rots des vaches.
Qu'on se rassure, le procédé n'a aucune conséquence sur la production de lait. Des chercheurs américains ont démontré qu'il était possible de réduire de 30% les émissions de gaz des vaches grâce à un inhibiteur de méthane. Or, au Royaume-Uni par exemple, les pets et rots des vaches et autres ruminants sont responsables d'un quart des émissions de ce polluant, un gaz à effet de serre 25 fois plus nocif pour l'atmosphère que le CO2.
L'étude, publiée au début du mois par l'Académie nationale des sciences américaine (PNAS), et repérée par Le Figaro, met en avant les effets du 3NOP, ou 3-nitrooxypropanol, qui agit sur les tissus du système digestif des vaches. En effet, c'est lorsque les bovidés ruminent que la fermentation de leur nourriture produit du méthane. On parle de méthanogénèse.
Un tiers de méthane en moins
Les chercheurs de l'université de Pennsylvanie estiment qu'en intégrant du 3NOP à leur alimentation, il est possible de réduire d'un tiers le méthane émis par les vaches. La méthode a été testée pendant trois mois sur 48 vaches laitières de race Holstein, et elle a fait ses preuves. Mieux, les effets ont perduré au-delà des 12 semaines de test.
Une option qui pourrait être développée sous peu, d'autant que ce traitement de la nourriture n'a pas de conséquence a priori sur l'organisme des vaches, leur ingestion de nourriture ou la qualité du lait produit. Au contraire, le lait contiendrait plus de protéines et de lactose. Quant au méthane émis malgré tout, il pourra toujours servir de combustible pour les avions.
Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche." - Charles de Gaulle
Qui trouvent, nous sommes d'accords et non qui publient ce qu'on leur donne à publier, qui cherchent à brosser le poil du payeur dans le bon sens.
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Je préfère cet article :
Le trou dans la couche d’ozone en fait couler de l’encre. Parmi les nombreuses raisons avancées, les ruminants sont considérés comme coupables (méritant la peine de mort ?). Alors qu’un humain lâche environ 1.5 litre de gaz par jour, la vache en largue près de 600 litres . Actuellement environ 70% des émissions de méthane en Europe leur sont dues.
De nombreuses études sont lancées pour comprendre ce phénomène et diminuer l’activité des pétomanes à cornes.
C’est bien évidemment le changement alimentaire des bovidés qui crée chez eux un dégagement gazeux en forte augmentation. Tant que la vache était dans un pré à manger de l’herbe, on ne faisait pas attention à ses flatulences. Mais avec la révolution agraire, tout a changé. Le maïs et le soja sont devenus les aliments de base de Marguerite et de ses copines remisées du 1er janvier au 31 décembre dans des étables gigantesques. Or la vache a du mal à digérer cette nourriture à demi fermentée et non seulement elle pète (ce qu’elle a toujours fait), mais elle rote (de plus en plus) comme un adolescent qui vient de se jeter trois canettes de bière.
Soulignons ici l’initiative de la société Valorex, spécialiste de la nourriture animale, qui vient de lancer un défi aux éleveurs : diminuer sensiblement les émissions des bovins.
Pour ce, il faut modifier l’alimentation. En ajoutant luzerne et graines de lin, on doit pouvoir les réduire de plus de 60%.
Décidément, on vit une époque formidable. On s’aperçoit que le régime alimentaire de la vache n’est ni la farine animale ni le maïs mais tout simplement l’herbe. Purée, ça c’est une découverte !
La volonté de l’homme de modifier la nature trouve ses limites et on se laisse à penser qu’un jour les bêtes d’élevage pourraient retrouver leur élément naturel et que les soit disant progrès permettant de mieux nourrir l’homme coûtent chers, rapportent essentiellement aux multinationales et posent des problèmes écologiques et bien entendu de santé.