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RÉCLAMENT LEURS DROITS.
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| Le jour arrive où ces natifs du Québec pourront vivre en harmonie avec les descendants des européens libérés de la Cabale.. |
Allégations à Val-d'Or : des leaders autochtones réclament à nouveau une enquête provinciale
publié le lundi 21 novembre 2016
Malgré la fin de non-recevoir opposée par le gouvernement du Québec, des leaders autochtones réclament à nouveau une commission d'enquête publique provinciale sur les relations entre les forces policières et les
Vidéo mise dans l'article consacré à un jeune Québecois qui a compris que les vraies connaissance utiles s'acquièrent bien plus sur le terrain que dans nos écoles prisons.
Brève histoire du colonialisme + l'importance des vraies réconciliations avec les premières nations
Une brève histoire du colonialisme au Québec + l'importance de faire de vraies réconciliations avec les premières nations + l'opportunité qui se présente à nous
L'arrivée des britannique signifie l'arrivée de la cabale au Canada.
* ''Le peuple invisible''- le peuple algonquin, Amérindiens du Canada
PREMIÈRES NATIONS.
un texte de Sophie-Hélène Lebeuf
Six d'entre eux, notamment de la région de Val-d'Or, sont revenus à la charge au cours d'une conférence de presse, lundi, dans la foulée de la décision du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) de ne pas déposer d'accusations pour la vaste majorité des dossiers relatifs à de présumés actes criminels qu'auraient commis des policiers de la Sûreté du Québec à l'encontre de femmes autochtones.
Tour à tour, ils ont accusé le gouvernement Couillard d'abdiquer ses responsabilités envers les Premières Nations et ont réclamé, « sans délai » une enquête provinciale, comme ils le font depuis décembre 2015.
Le DPCP a indiqué vendredi dernier que seuls deux cas sur les 37 que lui ont remis le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) avaient mené au dépôt d'accusations. De façon plus spécifique, aucune accusation n'a été portée contre les six agents de Val-d'Or dont il était question dans un reportage de l'émission Enquête, en octobre 2015.
Une décision mal accueillie par les communautés autochtones, a fait valoir le chef de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador (APNQL), Ghislain Picard. « La colère est encore palpable, même après quelques jours », a-t-il affirmé.
« Je les crois, nous les croyons », a-t-il dit au sujet des présumées victimes, craignant que d'autres victimes aient encore plus peur de briser le silence.
La présidente de Femmes autochtones du Québec, Viviane Michel, a elle aussi lancé un cri du cœur.
Alors que le système devrait veiller à notre protection et à notre sécurité, il protège et maintient une violence et un racisme systémique dont les femmes autochtones sont souvent les premières ciblées.
Viviane Michel, présidente de Femmes autochtones du Québec
Ce « racisme systémique au sein des forces de l’ordre » ainsi que les « pratiques policières discriminatoires » ont été dénoncés dans le rapport de l'observatrice civile indépendante mandatée par Québec pour évaluer l'enquête du SPVM, Fannie Lafontaine, publié mercredi dernier. Ses conclusions ont d'ailleurs été citées à plusieurs reprises au cours du point de presse
Il faut aller au fond des choses, plaident les leaders autochtones
Le grand chef du gouvernement de la Nation crie, Matthew Coon Come, a balayé du revers de la main la proposition du ministre responsable des Affaires autochtones, Geoffrey Kelley, de créer une « table de travail ». « Nous avons dépassé l'étape de la discussion, a-t-il lancé. Nous n'avons pas le temps de débattre. L'heure est à l'action. »
Québec a déjà fermé la porte à cette option, préférant laisser le fédéral aborder cet enjeu dans le cadre de son Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.
Le chef Ghislain Picard a demandé ce qu'il advenait de la « sacro-sainte juridiction provinciale du Québec ». « Cette enquête [fédérale] ne répond pas à nos besoins », a-t-il martelé.
Vous ne pouvez pas en même temps faire la promotion de la réconciliation et nier le racisme [systémique].
Ghislain Picard, chef de l'APNQL
Sur les ondes de l'émission Midi info, le ministre Kelley a de son côté reconnu l'urgence d'agir, mais refusé de parler de racisme systémique.
Loin d'être isolés, les cas de Val-d'Or démontrent une « crise d'ampleur provinciale », a plaidé Mathew Coon Come. Le gouvernement a été plus rapide à adopter une stratégie pour contrer les agressions sexuelles dans la foulée d'allégations visant un député libéral et à déclencher une enquête sur la protection des sources journalistiques, a-t-il lancé, dénonçant un système de « deux poids, deux mesures ».
Si Québec persiste dans son refus de lancer une commission d'enquête, les communautés autochtones ne se tairont pas, a de son côté averti Mme Michel. « Les femmes vont être entendues régionalement, nationalement, internationalement. S'il le faut, on fera entendre leur voix aux Nations unies. »
Une vigile à laquelle participeront Femmes autochtones du Québec, Idle No More et Amnistie internationale doit d'ailleurs avoir lieu mardi soir devant la Place des Arts afin de réclamer une commission d'enquête.
Une décision qui décourage
Deborah Einish, une Innue de Shefferville qui attend que les autorités statuent sur la plainte qu'elle a déposée en novembre dernier, se dit découragée par le peu d'accusations portées par le DPCP. « C'est difficile », a-t-elle confié les larmes aux yeux, à CBC et Radio-Canada après avoir elle-même assisté au point de presse.
J'ai beaucoup de peine. Ma confiance est partie.
Deborah Einish
Lors d'un second reportage de l'émission Enquête sur des cas d'abus sexuels, diffusé au printemps dernier, elle alléguait avoir été violée par un policier de la SQ en 1980, alors qu'elle était enceinte.
Selon notre compréhension, elle ferait partie de la deuxième phase de l'enquête du SPVM sur les abus allégués. Le service de police avait indiqué qu'il étudierait une centaine de plaintes.
« J'ai gardé le silence sur mon agression pendant tant d'années », dit Mme Einish. « Qu'est-ce qui va m'arriver? », a-t-elle demandé, avouant son « besoin de soutien ».
La chef Adrienne Anichinapéo du Conseil des Anicinapek de Kitcisakik, la chef Adrienne Jérôme, du Conseil de la Nation Anishinabe de Lac Simon, et la conseillère Françoise Ruperthouse, du Conseil de la Première Nation Abitibiwinni, ont d'ailleurs dénoncé le manque de ressources devant des « besoins criants ».
Article et vidéos de radio.canada.ca
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| Kevin Annett |
L'HISTOIRE DES PERSÉCUTION PAR UN PASTEUR CANADIEN.
L'histoire des pensionnats où les autochtone canadiens ont été forcés de placer leurs enfants aux mains de l'église catholique qui les martyrisaient, les violait et les donnait pour des sacrifices humains aux églises, au Vatican, à des personnes comme la reine Elisabeth d'Angleterre est très bien détaillée par Kevin Annett, ce pasteur de Vancouver, défroqué pour continuer à dénoncer ces horreurs.
Vous avez la continuité de tout ceci avec le Pizzagate des Clinton que nos merdias français traitent de désinformation.
Kevin Annett se bat depuis 20 ans pour la reconnaissance du génocide envers les enfants des autochtones.
Vous avez la continuité de tout ceci avec le Pizzagate des Clinton que nos merdias français traitent de désinformation.
Kevin Annett se bat depuis 20 ans pour la reconnaissance du génocide envers les enfants des autochtones.
Son site : http://kevinannett.com/
SON FILM :
Unrepentant: le génocide des amérindiens au Canada (Kevin Annet) (VOSTFR)
https://www.youtube.com/watch?v=NyPth0yM50s
https://www.youtube.com/watch?v=NyPth0yM50s