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+++19/01 - TRUMP - DEMAIN, SON INVESTITURE. 
PARIS : MANIFESTATION DE SOUTIEN PLACE DE L’ALMA*. 
SON INVESTITURE: LE PROGRAMME HEURE PAR HEURE. 

Donald Trump. La tornade qu'on attendait 
après le près nettoyage indispensable d'Obama.
Paris - La manifestation de soutient à Donald Trump aura lieu au parvis des Droits de l’Homme au Trocadéro de 19 à 21h.
Le vendredi 20 janvier 2017, Donald Trump, après la cérémonie d’investiture, prendra officiellement la fonction de président des États-unis.
Cet évènement est remarquable pour les Américains qui retrouvent un dirigeant digne de leur pays, mais aussi pour tout le monde occidental et par conséquents pour les Français.
Cette élection contre l’establishment politique et médiatique est un rafraîchissement pour les patriotes occidentaux, et une défaite pour tous les internationalistes pressés de voir la disparition des États-nations.
C’est pourquoi, en tant que citoyens français, attachés à notre pays et à notre civilisation, nous invitons nos concitoyens et tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs défendues par les millions d’électeurs de Donald Trump à venir manifester leur joie et leurs souhaits de réussite :
Vendredi 20 janvier 2017, à Paris.
- Place de l’Alma, 75008 Paris, France
De 17 heures à 19 heures
- Trocadéro - sur le parvis des Droits de l’Homme de 19 à 21h.
Pour suivre l’évènement depuis Facebook :
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A partir de sont élection il avait 2 mois de transition :
Donald Trump a été désigné mercredi 19 décembre 2016 comme le 45ème président des États-unis.Mais il ne l'est pas encore tout à fait: c'est en réalité une période de transition de deux mois qui s'ouvre, pendant laquelle le pays va avoir deux chefs d'État à la fois. Barack Obama, le président en exercice - traditionnellement appelé «Lame duck», ou «Canard boiteux» en français - et Donald Trump, le «Président elect» qui devra attendre son investiture pour prendre officiellement ses fonctions. Pendant cette période de deux mois, il n'aura aucun pouvoir, notamment sur la Constitution. Toutefois, ses discours auront une forte portée symbolique, puisque sa parole engagera désormais son pays, notamment lors de ses déplacements.

73 jours pour nommer ses ministres et fonctionnaires
Durant cette période, Donald Trump va devoir annoncer quels seront ses ministres et les 4.000 hauts fonctionnaires qui l'entoureront. Parmi eux, 1.000 devront obtenir la confirmation de leur statut par une décision du Sénat. L'équipe de transition du 45ème président des États-Unis prépare depuis plusieurs mois cette période, potentiellement délicate à gérer.

12 décembre: vote des grands électeurs
Les grands électeurs ont été appelés à cette date à voter dans la capitale de leurs États respectifs pour désigner le président et son vice-président. S'il est tout à fait possible qu'un grand électeur se prononce avant le scrutin pour un candidat différent de celui pour lequel il décide de voter finalement, ces cas restent tout à fait exceptionnels et n'ont été observés qu'en cas de mort d'un candidat ou bien lors d'événements hors du commun. Surtout, cela n'a jamais eu un impact sur le résultat final de l'élection.

6 janvier: le Congrès approuve les résultats du vote
Ce jour-là, les enveloppes contenant les votes du collège électoral sont ouvertes devant le Congrès qui les valide. Puis c'est le président du Sénat qui se charge de proclamer de façon officielle les résultats.

20 janvier: cérémonie d'investiture
C'est à cette date que Donald Trump prêtera serment sur la Bible devant les marches du Capitole à Washington D.C. et deviendra de façon effective le nouveau président des États-Unis. Il devra, comme c'est la tradition, prononcer la phrase suivante: «Je jure solennellement que j'exécuterai loyalement la charge de président des États-Unis et que du mieux de mes capacités, je préserverai, protégerai et défendrai la Constitution des États-Unis.» Depuis l'adoption du douzième amendement en 1933, la cérémonie d'investiture a toujours eu lieu le 20 janvier, sauf si ce jour est un dimanche.

SES MINISTRES CONTROVERSES COMME LUI !


Situation au 9 décembre 2016
Depuis son élection, il y a un mois, le 8 novembre, Donald Trump, et son vice-président MikePence, composent la future équipe qui siégera à Washington dès le 20 janvier. Les deux hommes ont rencontré plus de 70 candidats potentiels et se plaisent à entretenir le suspense sur certaines nominations.
Ils doivent renouveler plus de 3 600 postes administratifs. Selon le décompte du Washington Post, il reste, au 13 décembre, à nommer 671 des 689 postes-clés de la future administration.
Ces nominations devront être confirmées par le Sénat, contrôlé par les républicains, après l’entrée en fonction du nouveau Congrès, le 3 janvier, soit deux semaines avant l’investiture de M. Trump à la Maison Blanche.
Qui le magnat de l’immobilier a-t-il choisi jusqu’ici ?
-         Les « élites » de la finance et du monde des affaires
-         Les conservateurs
-         Les anciens militaires
-         Les profils moins atypiques

Les « élites » de la finance et du monde des affaires :
Donald Trump n’a cessé de dénoncer « les élites de la finance » lors de sa campagne. L’équipe gouvernementale devrait toutefois faire la part belle aux hommes et femmes d’affaires, souvent multimillionnaires.

Rex Tillerson - SECRÉTAIRE D’ETAT

Rex Tillerson, le 2 juin 2015 à Paris lors du Congrès mondial du gaz.Agé de 64 ans, Rex Tillerson, PDG du géant pétrolier ExxonMobil, est un néophyte dont la vision des affaires étrangères n’a cessé d’alimenter les interrogations. Son poste, qu’il devait quitter en mars, atteint par la limite d’âge, l’a familiarisé avec les puissances pétrolières que sont l’Arabie saoudite ou la Russie. Sa connaissance de ce dernier pays et de son président, Vladimir Poutine, qui lui a remis en 2013 la plus haute distinction pour un civil, l’ordre de l’Amitié, a été sans doute un atout auprès de M. Trump, qui apprécie le dirigeant russe. Il devrait être chargé de normaliser les relations avec la Russie, mises à mal par l’annexion de la Crimée et le différend entre Washington et Moscou sur la guerre en Syrie.

Wilbur Ross - SECRÉTAIRE AU COMMERCE

Wilbur Ross, 78 ans, à sa sortie de la Trump Tower le 29 novembre à New York.Agé de 78 ans et l’une des figures de Wall Street, Wilbur Ross a été choisi comme ministre du commerce. Fondateur d’un fonds d’investissement dans les entreprises non cotées, sa fortune est estimée par le magazine Forbes à environ 2,5 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros). Ce collectionneur de toiles de maîtres, qui a longtemps travaillé pour la banque Rothschild, a gagné son surnom de « Roi de la faillite » en rachetant pour une bouchée de pain des fabricants d’acier, des entreprises textiles et des mines de charbon. Il les a ensuite revendus à bon prix après les avoir restructurés, procédant, entre autres, à des milliers de licenciements. Espérons qu'il va se racheter.
Il a participé à l’élaboration des propositions de M. Trump en matière commerciale durant la campagne électorale, notamment en ce qui concerne la dénonciation de l’accord de libre-échange nord-américain et de l’entrée de la Chine au sein de l’Organisation mondiale du commerce. Son adjoint, s’il est confirmé par le Sénat, devrait être Todd Ricketts, le copropriétaire de l’équipe de baseball des Chicago Cubs.

Steven Mnuchin - SECRÉTAIRE AU TRÉSOR

Steven Mnuchin après une rencontre avec le président élu américain à la Trump Tower, le 6 décembre.Le nouveau grand argentier a fait fortune en rachetant la banque californienne IndyMac pendant la crise financière de 2008 avant de la revendre quelques années plus tard, dégageant une plus-value de près de 2 milliards de dollars. Sa fortune personnelle est évaluée à 40 millions de dollars.
Lire son portrait :   Un loup de Wall Street entre à la Maison Blanche

Betsy DeVos - MINISTRE DE L’ÉDUCATION

Donald Trump et Betsy DeVos après leur rendez-vous au Trump International Golf Club, le 19 novembre à Bedminster Township, dans le New Jersey.«Sous sa direction nous allons réformer le système scolaire américain et supprimer la bureaucratie qui handicape nos enfants, afin que nous puissions offrir une éducation et un choix d’écoles de niveau mondial à toutes les familles», a déclaré M. Trump dans un communiqué.
Cette richissime philanthrope conservatrice et farouche partisane du droit à choisir entre école publique, privée ou enseignement à la maison, dirigera le ministère de l’éducation. Ardente républicaine de 58 ans, elle est mariée à Dick DeVos, l’un des héritiers de Richard DeVos et 88ème fortune américaine au classement Forbes avec 5,1 milliards de dollars. Le magazine américain explique que les époux DeVos donnent chaque année des sommes conséquentes à des organisations chrétiennes et conservatrices comme Focus on the Family, The American Enterprise Institute, un centre de réflexion libéral et aussi l’ultraconservatrice Heritage Foundation.

Linda McMahon - ALA TÊTE DELA SMALL BUSINESSADMINISTRATION

Linda McMahon après sa rencontre avec M. Trump à New York, le 30 novembre.
Cet organisme gouvernemental indépendant d’aide, deconseils et de protection des petites entrepriseschapeaute quelque 28 millions de sociétés,qui emploient près de la moitié des travailleurs du secteur privéaméricain. Mme McMahon, 68 ans, a notamment dirigé entre 1994 et 2010la World WrestlingEntertainment (WWE), entreprise spécialisée dans l’organisation de matches de catch. Le milliardaire Vince McMahon, auquel elle est mariée depuis cinquante ans,s’était battu avec M. Trump lors d’un show télévisé en 2007.

Andy Puzder - MINISTRE DU TRAVAIL

Andy Puzder, PDG de CKE Restaurants, au Trump National Golf Club à Bedminster, dans le New Jersey.C’est un dirigeant de chaîne de restauration rapide que M. Trump a choisi, jeudi 8 décembre, pour diriger le département du travail. Andy Puzder, PDG de CKE Restaurants, la maison mère des enseignes Carl’s Jr. et Hardee’s, était l’un des conseillers de M. Trump pendant la campagne présidentielle. Il s’est imposé ces dernières années comme un farouche adversaire du relèvement du salaire minimum, de l’amélioration des conditions de travail des salariés dans la restauration et de la généralisation de la couverture santé.

Jared Kushner - CONSEILLER À LA MAISON BLANCHE

Jared Kushner, ici avec Ivanka Trump, n’avait aucune expérience politique avant de devenir le cerveau de la campagne de Donald Trump.Jared Kushner, ici avec Ivanka Trump, n’avait aucune expérience politique avant de devenir le cerveau de la campagne de Donald Trump.
Riche promoteur immobilier, âgé de 36 ans, il est crédité d’une grande influence sur son beau-père. Jared Kushner, est le benjamin de la liste des personnes nommées par le président élu pour l’aider à diriger les États-unis. Les avocats de M. Kushner estiment que les lois fédérales antinépotisme, qui interdisent aux responsables des agences fédérales d’engager des membres de leur famille, ne valent pas dans son cas, car la Maison Blanche n’est pas une agence fédérale, selon le New York Times.
Lire aussi :Dans la famille Trump, le gendre Jared Kushner, personnage clé du nouveau président

LES CONSERVATEURS :
Tom Price - MINISTRE DE LA SANTÉ

Tom Price lors d’une intervention devant le think tank Brookings Institution le 30 novembre à Washington.La nomination de ce républicain antiavortement et farouche opposant à la réforme de l’assurance-maladie Obamacare, qui vise à offrir une couverture santé à des millions de personnes sans ressources, a provoqué des réactions indignées à gauche. Tom Price siège pour l’Etat de Géorgie à la Chambre des représentants depuis 2004. Il a travaillé pendant vingt ans dans le secteur privé comme chirurgien orthopédique.

Ben Carson - MINISTRE DU LOGEMENT ET DE L’URBANISME

Ben Carson lors d’un meeting le 4 mars à National Harbor, dans le Maryland.Cet ancien neurochirurgien ultraconservateur, de confession évangélique, avait été l’un des adversaires de M. Trump dans la course à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle. Agé de 65 ans, il est le premier Noir américain à entrer dans l’administration de M. Trump. Comme le milliardaire, il n’a jamais exercé de mandat politique. Orateur très recherché par les ultraconservateurs, il a cultivé lors de sa campagne pour la Maison Blanchele « politiquement incorrect » et scandalisé par des déclarations provocatrices sur l’homosexualité, l’esclavage, l’Holocauste, les armes ou encore la compatibilité de l’islam avec la Constitutionaméricaine.
Lire aussi :  Donald Trump confie le ministère du logement à Ben Carson, l’un de ses anciens rivaux

Jeff Sessions - MINISTRE DE LA JUSTICE

Jeff Sessions, sénateur de l’Alabama à sa sortie de la Trump Tower le  17 novembre à New York.Hostile à l’avortement, au mariage homosexuel et surtout opposé depuis longtemps à toute forme de régularisation des sans-papiers présents sur le sol américain, Jeff Sessions est classé parmi les membres les plus conservateurs du Congrès. Cet élu de l’Alabama, apprécié des ultraconservateurs du Tea Party, avait été le premier sénateur républicain à  soutenir M. Trump durant la campagne.
Lire son portrait : Jeff Sessions, un guerrier conservateur pour la justice américaine

Scott Pruitt - DIRECTEUR DE L’AGENCE DE PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT


M. Trump a nommé, le 7 décembre, un climatosceptique assumé, Scott Pruitt, à la tête de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Le ministre républicain de la justice de l’Oklahoma, État qui tire 50 % de ses richesses de l’exploitation pétrolière, est devenu, en quelques années, le bras armé des compagnies pétrolières pour tenter d’infléchir la politique de l’actuelle administration visant à réguler l’extraction énergétique. Il est également critiqué pour ses liens avec le lobby de l’énergie.
Lire aussi : Trump nomme un climatosceptique à l’Agence de l’environnement

Mike Pompeo - DIRECTEUR DE LA CIA

Mike Pompeo, représentant républicain du Kansas, en octobre 2015.Mike Pompeo, représentant républicain du Kansas et proche du vice-président élu Mike Pence, prendra les commandes de la CIA, sous réserve d’une confirmation par le Sénat. Au Congrès, il a notamment participé à la commission du renseignement et défendu des convictions orthodoxes au sein de sa formation politique, contre l’avortement ou l’encadrement du marché des armes. Conservateur fiscal, il soutient en 2013 la «fermeture» du gouvernement fédéral. M. Pompeo a, en outre, apporté son soutien aux programmes de surveillance de la National Security Agency et a jugé que le lanceur d’alerte Edward Snowden, ancien analyste de l’agence qui a dévoilé ces programmes et qui est réfugié en Russie, mérite la peine de mort pour trahison. Grave !
Lire son portrait :   Mike Pompeo, un « faucon » à la CIA

LES ANCIENS MILITAIRES :
Il devrait y avoir au moins trois anciens généraux dans la future administration Trump. Une situation inédite, qui commence à soulever des inquiétudes politiques, notamment côté démocrate.

Michael Flynn - CONSEILLER À LA SÉCURITÉ NATIONALE

Le général Michael Flynn lors d’une visite à la Trump Tower le 5 décembre, à New York.
M. Trump a commencé par nommer le général Michael Flynn, ancien chef du renseignement militaire, comme conseiller à la sécurité nationale. Ses missions successives en Irak et en Afghanistan l’ont convaincu d’un impératif absolu : la lutte contre le djihadisme. Mais sa conviction de la résilience des djihadistes, l’avait placé en porte-à-faux avec l’administration Obama le conduisant à une retraite anticipée, en 2014. Il avait aussi exprimé une certaine ambiguïté à propos du simulacre de noyade, une technique d’interrogatoire assimilée à de la torture. Sa nomination n’a pas besoin d’être confirmée par le Sénat.
Lire aussi :Michael Flynn, un revanchard au Conseil de sécurité nationale

James Mattis - MINISTRE DE LA DÉFENSE

Le général James Mattis après sa rencontre avec Donald Trump le 19 novembre au Trump International Golf Club, à Bedminster, dans le New Jersey.
A 66 ans, James Mattis sera, si le Sénat accepte sa désignation, le premier ex-général à diriger le Pentagone depuis 1950. Figure de l’armée américaine connue pour son franc-parler mais aussi son goût de la lecture et de l’histoire militaire, il a commandé sur les champs de bataille, en Irak et en Afghanistan, des missions qui lui ont valu son surnom de « mad dog », l’enragé.
Lire aussi :   Donald Trump choisit un militaire pour diriger le Pentagone

Le général John Kelly lors d’une audition au Sénat en mars 2014.John Kelly - MINISTRE DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE

Autre ancien général respecté, John Kelly a été choisi par M. Trump pour diriger le département de la sécurité intérieure. Créé après les attaques du 11-Septembre, M. Kelly supervisera plusieurs organismes dont les services secrets, la garde côtière (coast guard), les douanes et la protection des frontières.


L’ancienne secrétaire au travail de la seconde administration Bush, Elaine Chao à la Trump Tower le 21 novembre.
LES PROFILS MOINS ATYPIQUES :
Elaine Chao - MINISTRE DES TRANSPORTS

Agée de 63 ans, elle fut secrétaire au travail au cours des huit années passées par George W. Bush à la Maison Blanche.Elaine Chao siège au conseil d’administration d’Ingersoll Rand, News Corp et Vulcan Materials. Elle est par ailleurs l’épouse de Mitch McConnell, chef de file de la majorité républicaine au Sénat.

Nikki Haley, lors d’un meeting où elle soutenait Marco Rubio dans la course à l’investiture républicaine en février, à Clemson, en Caroline du Sud.Nikki Haley - AMBASSADRICE DES ÉTATS-UNIS À L’ONU

M. Trump a choisi la gouverneure de Caroline du Sud pour être la nouvelle représentante permanente des États-unis auprès des Nations unies. Fille d’immigrants venus d’Inde, l’élue républicaine, qui est âgée de 44 ans, et n’a que très peu d’expérience des affaires internationales, a soutenu deux rivaux de Trump durant la campagne des primaires avant de se rallier à lui du bout des lèvres.
En choisissant une femme symbole de la diversité, comme future ambassadrice des Etats-Unis à l’Organisation des Nations unies, mercredi 23 novembre, Donald Trump vient de montrer qu’il se souciait de l’image de sa future administration. Elle est « l’un des gouverneurs les plus respectés du pays, peut-on lire dans un communiqué des services de Donald Trump. Elle sera une grande leader pour nous représenter sur la scène mondiale ».
La désignation de Nikki Haley, la plus jeune gouverneuse des Etats-Unis et la première femme à avoir occupé cette fonction dans la très conservatrice Caroline du Sud, permet en outre au magnat de l’immobilier d’envoyer un message aux républicains longtemps restés hostiles à sa personne. Jusqu’à présent, le milliardaire n’avait en effet promu que des fidèles.
Désignée par le parti conservateur pour répondre au dernier discours sur l’état de l’Union prononcé par le président Barack Obama, le 12 janvier, Mme Haley, 44 ans, avait mis en garde contre « la tentation » de suivre« les chants de sirène des voix les plus en colère ». Elle n’avait pas mentionné le nom du magnat de l’immobilier, mais l’allusion à ses imprécations n’avait échappé à personne

Le gouverneur de l’Iowa Terry Branstad à sa sortie de la Trump Tower le 6 décembre.Terry Branstad - AMBASSADEUR DES ÉTATS-UNIS EN CHINE

Il est le gouverneur de l’Iowa. L’agence Bloomberg l’a présenté comme un «ami» du président Xi Jinping. Les relations entre M. Trump et Pékin n’ont cependant pas commencé de la meilleure façon, le président élu ayant eu un entretien avec la présidente de Taïwan, Tsaï Ing-wen, qui a provoqué la colère chinoise.

MIKE PENCE, UN MOINE SOLDAT À LA VICE-PRÉSIDENCE


Né le 7 juin 1959 à Columbus (Indiana), est un homme politique américain. Avocat de profession et membre du Parti républicain, il siège à la Chambre des représentants des États-Unis de 2001 à 2013 avant de devenir gouverneur de l'Indiana le 14 janvier 2013.
En 2016, il est choisi par Donald Trump comme colistier — offrant à la candidature de Trump une caution chrétienne et conservatrice.
Le 27 octobre, l’avion qui transportait le candidat à la vice-présidence des Etats-Unis Mike Pence a glissé sur la piste de l’aéroport La Guardia de New York.
Ancien animateur de radio, un passé qui lui donne une aisance certaine face aux médias, le gouverneur de l’Indiana pourtant aguerri par un long passage à la Chambre des représentants a souvent assuré aux sympathisants qui assistaient à ses meetings qu’il avait beaucoup appris en côtoyant le milliardaire.
Il a pu prendre la mesure de la verticale du pouvoir que semble apprécier l’homme d’affaires lorsque ce dernier l’a sèchement recadré sur le rapport que les Etats-Unis devraient entretenir avec la Russie lors du deuxième débat face à la candidate démocrate, le 9 octobre. M. Pence avait exprimé en la matière, cinq jours plus tôt, une défiance conforme aux positions traditionnelles du Parti républicain ; son mentor a indiqué qu’elles n’étaient plus de saison.
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INVESTITURE DE DONALD TRUMP : LE PROGRAMME HEURE PAR HEURE

Trump, le Capitole et les USA en grand travaux.
Jeudi et vendredi, la capitale des États-unis accueille les festivités de l'investiture du 45e président des États-unis. Le programme détaillé de l'investiture de Donald Trump comme 45e président des États-unis comprend des événements et cérémonies sur plusieurs jours dans la capitale américaine Washington, avec en point d'orgue la prestation de serment vendredi en milieu de journée. Ces célébrations, dont le coût total est estimé à près de 200 millions de dollars (187 millions d'euros), sont marquées par l'absence de grandes vedettes internationales.

JEUDI 19 JANVIER
16h35 (en France). Premiers concerts au Lincoln Memorial, situé à l'autre bout du National Mall qui traverse l'ouest de Washington et fait face au Capitole, où aura lieu vendredi la prestation de serment.
Divers groupes comme les cornemuses et tambours des pompiers du District of Columbia, l'autre nom donné à la zone urbaine de la capitale, la Republican Hindu Coalition, un mouvement hindou de soutien à Trump, des fanfares, des majorettes et des chorales de lycées joueront pour cet événement baptisé «Voices of the People» («Les voix du peuple»).

21h30 à 22h00. Donald Trump et le vice-président élu Mike Pence participeront à une cérémonie au cimetière national d'Arlington (Virginie) pour rendre hommage aux anciens combattants.

22h00 à minuit. Discours et concerts country. Le président élu s'exprimera lors de la deuxième partie des concerts au Lincoln Memorial, baptisée «Make America Great Again! Welcome Celebration» («Redonner à l'Amérique sa grandeur! Cérémonie d'accueil»). Retransmis en direct à la télévision, ces concerts seront dominés par des stars de la musique country, comme Toby Keith et Lee Greenwood, un genre surtout prisé dans le sud conservateur des Etats-Unis. Ils s'achèveront par des feux d'artifice.

VIDEO. Toby Keith, «Made in America»

 God Bless the U.S.A. by Lee Greenwood

Lee Greenwood - God Bless the USA (Live in 1985)

Vendredi 20 janvier 
Matinée.  Donald Trump, Mike Pence et leurs familles participeront à un office religieux à l'église épiscopalienne St John, située près de la Maison Blanche. Le président Barack Obama et sa femme Michelle accueilleront ensuite Donald et Melania Trump à la Maison Blanchepour un thé. Puis les deux couples se rendront ensemble dans le même cortège au Capitole, le bâtiment qui abrite le Congrès.

15h30. Début de la cérémonie proprement dite d'investiture devant le fronton ouest du Capitole, avec des chants et de la musique. Parmi les invités figureront les élus du Congrès (dont une cinquantaine ont annoncé qu'ils refusaient de venir), les juges de la Cour suprême, des diplomates et le public. Les anciens présidents Jimmy Carter, George W. Bush et Bill Clinton seront présents, ainsi que l'ex-rivale démocrate du futur président, Hillary Clinton. L'ancien président George H.W. Bush, hospitalisé à Houston, ne viendra pas.

17h30. Discours d'ouverture. Des responsables religieux prononceront l'invocation et feront des lectures. Mike Pence sera investi dans ses nouvelles fonctions de vice-président par un juge de la Cour suprême, Clarence Thomas.

18h00. Prestation de serment de Donald Trump, qui sera investi président par un juge de la Cour suprême, John Roberts. M. Trump utilisera la bible d'investiture de l'ancien président Abraham Lincoln ainsi que la bible que sa mère lui avait donnée à la fin de son catéchisme en 1955. Puis Donald Trump prononcera son discours d'investiture. Une jeune soprano de 16 ans, Jackie Evancho, chantera ensuite l'hymne national, The Star-Spangled Banner (la bannière étoilée).

VIDEO. L'hymne américain interpreté par Jackie Evancho

18h30.  Fin de la cérémonie. Conformément à la tradition, MM. Trump et Pence assisteront à un déjeuner du Congrès au Capitole.

21h00 à 23h00. Défilé d'investiture. Les nouveaux président et vice-président défileront sur environ 2,4 kilomètres le long de Pennsylvania Avenue, qui relie le Capitole à la Maison Blanche. Ils seront suivis par quelque 8.000 personnes représentant divers groupes: les différents corps d'armée, des fanfares de lycées et d'universités, des corps à cheval, des représentants des secours, des anciens combattants et même une brigade de tracteurs.

La troupe new-yorkaise des Rockettes devrait également se produire pour l'investiture. Certaines danseuses ayant exprimé leur réticence à participer à cet événement, la maison-mère avait assuré qu'elles seraient libres de venir ou non.

VIDEO. La troupe de danse «The Rockettes»

1h00 à 5h00. Trois bals. MM. Trump et Pence accompagnés de leurs épouses se montreront aux trois bals organisés pour l'investiture. Deux auront lieu au Walter E. Washington Convention Center et le troisième au National Building Museum, le musée de l'architecture. D'autres bals plus ou moins officiels seront organisés dans la capitale. Ces mondanités sont financées par des dons privés, qui s'élèvent à 90 millions de dollars cette année.

Samedi 21 janvier
16h00 à 17h00. MM. Trump et Pence participeront à une cérémonie religieuse oecuménique (National Prayer Service) à la cathédrale de Washington.
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INVESTITURE OBAMA. Quand Obama prêtait serment
https://www.youtube.com/watch?v=gbyq_3VT3kw

Obama. Le pouvoir, bien utilisé, use son homme.

Obama a été le président le plus cool de l’histoire tout en ayant très lourd sur le dos. Il était temps pour lui, d'enfant se reposer. Il nous l'a dit, il sera toujours là pour nous.
Un grand respect pour TOUS. Un exemple. Comme Poutine, il sait, quand il peut se le permettre sans nuire aux siens, remettre poliment, mais avec fermeté, certains à leur place. Il ne s'est pas gêné avec Trump, un électrochoc qui lui a permis de se remettre en question et d'être là où il est.
http://www.sudouest.fr/2017/01/18/videos-pourquoi-obama-a-ete-le-president-le-plus-cool-de-l-histoire-3116055-4803.php
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* La Place de l'Alma. Super choix :
1- Le zouave du Pont de l'Alma . Donald Trump est un drôle de zouave. Un cadeau ! Avec lui, nous ne risquons pas de nous ennuyer !
2 - C'est aussi l'endroit où Lady Di a été assassinée. Un ancien lieu sacrificiel.
Son dernier trajet le 18 août 2013. Départ de l'hotel Ritz, place Vendome, passage Place de la Concorde, puis les quais de Seine

James Hewitt a même régulièrement été présenté 
comme étant le père du Prince Harry

Honteux ! Lady Di : des extraits de lettres à son amant publiés et mis en vente

Lady Di et Dodo al FayedNe trouvez-vous pas cette pyramide étrange !
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Julian Assange et Noam Chomsky
Beaucoup de choses vont changer pour TOUS. Pas seulement à cause de Trump, mais parce que le moment est enfin venu !!!

Assange prêt à se rendre aux Etats-Unis, si ses droits sont garantis
Médias: le fondateur de WikiLeaks Julian Assange se dit prêt à se rendre aux États-unis, à condition que ses droits soient garantis
Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange se dit prêt à se rendre aux Etats-Unis, où il fait face à de lourdes accusations, à condition que ses droits soient garantis, a annoncé mercredi le site internet.

M. "Assange est prêt à venir aux États-unis à condition que ses droits soient garantis", indique WikiLeaks sur Twitter, suite à la décision du président Barack Obama de commuer la peine de Chelsea Manning, condamné pour avoir transmis plus de 700.000 documents confidentiels à WikiLeaks.

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