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+++30/12 - SYRIE : NOUS SOMMES EN TRAIN DE GAGNER LA GUERRE 
QUI METTRA FIN AUX FAUSSES NOUVELLES. 



Les grands médias s’éveillent à leur propre «campagne de propagande» tendancieuse sur la Syrie
… de Sputnik News, Moscou

Les médias mainstream perdent-ils leur pouvoir?

Quand les grands médias parlent des événements en Syrie… qui n’ont jamais eu lieu
 Les grands médias tendent à diffuser des informations sur des événements imaginaires, et la manière dont ils couvrent l'actualité en Syrie est souvent déformée intentionnellement, a affirmé M. Dawa, le chef de l'agence de presse SANA, lors du forum "Nouvelle ère du journalisme: adieu aux grands médias internationaux", qui se déroule à Moscou.
https://fr.sputniknews.com/international/201606061025627498-medias-evenements-imaginaires/
Les usa et les sionistes , vont être détruit médiatiquement et puis si ça ne suffit pas et ils persistent , ils vont être exterminer militairement . le 8 juin 2016 par Samir Svet
Le forum "Nouvelle ère du journalisme: adieu aux grands médias internationaux" a démarré à Moscou le lundi 6 juin. Des experts des médias de 30 pays, dont les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, l'Inde, la Chine, l'Egypte, l'Arménie, l'Azerbaïdjan et les Emirats arabes unis, participent au forum qui se tient dans l'agence Rossiya Segodnya.



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Par Jim W. Dean, Managing Editor le 28 décembre 2016
(Note de l’éditeur : Comme nous l’avons écrit dans ces colonnes et avec les interviews que nous avons faites, nous avons été prompts à prédire qu’avec la libération d’Alep viendrait une opportunité céleste de révéler les fausses nouvelles sous stéroïdes, provenant non seulement des salles de presse gouvernementales, mais aussi de l’armée des médias privés, qui n’étaient rien d’autre qu’une courroie de transmission putride pour les djihadistes et leurs amis.

Les survivants aussi bien d’Alep-Est que d’Alep-Ouest auront le dernier mot sur les horreurs qui se sont produites, ainsi que les morts, avec leurs corps torturés et désarticulés, y compris des enfants.

Ceux qui gouvernent les USA ont refusé d’utiliser la force de l’aviation des Etats-Unis pour attaquer des unités d’Al-Nusra, parce qu’elles constituaient les unités militaires les plus efficaces après l’Etat Islamique, avec leur noyau constitué d’anciens membres du parti Baas* et d’officiers étrangers. Et Al-Nusra a intégré des unités de l’ASL (Armée syrienne libre) pour disposer de fait de la couverture aérienne américaine.
*le parti Baas (Parti de la résurrection arabe et socialiste) est un parti panarabe fondé à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale (Ndt).

Mais au bout du compte, le fait de couper les voies d’approvisionnement des djihadistes d’Alep ne semble pas avoir été l’élément décisif dans le basculement de la bataille, étant donné qu’ils disposaient de grandes réserves de ce dont ils avaient besoin. C’est la décapitation de quatre douzaines de leurs commandants par les Spetsnaz russes (forces spéciales) qui a déclenché des luttes internes, pendant que la coalition syrienne lançait son offensive pour reprendre la ville.

Je prédis que cette bataille sera enseignée dans les écoles militaires du monde entier comme un exemple de la manière dont des Forces Spéciales ont joué un rôle crucial en préparation de la bataille finale d’opérations combinées, par l’utilisation continuelle de gadgets high-tech. 

Lorsque ces mêmes académies militaires étudient la Guerre de Sécession américaine, elles étudient les généraux confédérés, une chose que les extrémistes yankee méprisants envers le Sud ne mentionnent jamais. Parce que la raison en est qu’ils avaient les meilleurs généraux … Jim W. Dean 

Première publication … le 28 décembre 2016
De plus en plus de sources médiatiques occidentales commencent à reconnaître que la couverture médiatique occidentale du conflit syrien et de la libération d’Alep était biaisée, sélective et ouvertement partisane. Dans sa récente analyse de la question, la station de radio-télévision allemande Deutsche Welle a appelé à une réévaluation de ce qui se passait réellement.

Dans son analyse de la couverture médiatique occidentale du conflit syrien en cours, Matthias von Hein, un journaliste de la chaîne publique internationale allemande Deutsche Welle, a reconnu qu’elle était sélective et partisane, clairement destinée à présenter Moscou, Téhéran et Damas sous un mauvais jour.

Il a cité comme exemple les reportages occidentaux sur la récente libération de la deuxième ville de Syrie, Alep, en rappelant que « la première victime de la guerre est toujours la vérité ».

« Bien que la manipulation habile de la vérité produise de meilleurs résultats qu’un mensonge éhonté ; et que la présentation sélective soit la manière la plus efficace d’orienter l’opinion dans une direction particulière », a-t-il reconnu.

En décrivant l’accent mis par les reportages occidentaux sur l’offensive, l’auteur remarque que « nos écrans nous montraient, presqu’exclusivement, des attaques aériennes par les forces aériennes Syriennes et Russes sur des quartiers résidentiels d’Alep ».

Et il a finalement été révélé « qu’ils ont trompé les gens en les utilisant comme boucliers humains ; ils ont systématiquement empêché les habitants d’Alep-Est de fuir vers la partie occidentale de la ville ; et ils ont tiré des roquettes et des obus de mortier dans des zones de la partie occidentale de la ville sans considération aucune pour la population civile ».

Dans de nombreux quartiers, dit-il, la loi de la Charia avait été imposée ; les femmes n’avaient le droit de sortir qu’en étant voilées.

« La principale différence entre cette situation et le soi-disant « Etat Islamique » est que ce dernier veut un califat mondial. Les djihadistes syriens se contentent, pour le moment, d’un califat syrien », a-t-il déclaré.

Ses vues recoupent celles du Professeur Tim Anderson, un auteur reconnu et maître de conférences en Economie politique à l’Université de Sydney en Australie, qui a également noté qu’il y avait un « déluge de mauvaise information de la part des gouvernements et des médias occidentaux (annonces de massacres, d’exécutions de masse et de « civils pris pour cible ») à propos de l’évacuation d’environ 100 000 civils et de plusieurs milliers de terroristes ».

« Les journalistes sur le terrain racontaient une toute autre histoire », écrit-il dans son article pour la plateforme d’information indépendante OffGuardian. « Alors que les forces syriennes perçaient les lignes d’al-Qaida, les civils pris au piège se sont précipités dehors en masse. Ils ont mis en ligne des vidéos montrant de longues files de gens quittant Alep-Est pour trouver refuge, nourriture et abri auprès de l’Armée Arabe syrienne.

Fatigués et soulagés, ils ont raconté leurs histoires à tous ceux qui voulaient les écouter. La Russieet l’Iran ont fourni des tonnes de nourriture, de vêtements, de couvertures et d’abris. Par contraste, les pays occidentaux n’ont généralement rien donné et les groupes terroristes ont rejeté toute aide de la part de l’alliance syrienne ».

« Les civils étaient empêchés de quitter l’enclave tenue par al-Qaida, beaucoup étant tués en essayant de fuir. Les groupes armés avaient des réserves de nourriture, mais les réservaient à leurs combattants. On a découvert des usines d’armement, y compris d’armes chimiques et on les a sécurisées. Certains des hommes armés ont été arrêtés, mais la plupart ont été conduits hors d’Idlib, où Damas a concentré les combattants soutenus par l’étranger », écrit le Professeur Anderson.

 « Lorsque les canons de l’enfer se sont tus, et qu’aucune bonbonne de gaz tirée par des mortiers artisanaux n’a plus atterri au cœur de la ville, il y a eu une euphorie et des danses dans les rues, largement diffusées sur les réseaux sociaux. Le porte-parole du Département d’Etat américain affirme ne rien avoir vu de tel », reconnaît-il.

Matthias von Hein se rappelle entre-temps ce que les officiels américains de haut rang avaient dit à propos des soi-disant rebelle syriens « modérés ». Le 16 avril 2016, le colonel Steve Warren, le porte-parole de l’intervention militaire américaine contre l’Etat Islamique, l’Opération Inherent Resolve, a déclaré lors d’une conférence de presse qu’Alep-Est était principalement tenu par le front al-Nusra. Il se rappelle également du discours prononcé par le Vice-président américain, Joe Biden, à Harvard en octobre 2014.

« Biden poursuivit en expliquant que les deux pays étaient obsédés par l’éviction d’Assad. Ils avaient, dit-il, distribué des centaines de millions de dollars et des milliers de tonnes d’armes à tous ceux qui voudraient se battre contre Assad. Le problème était que ces opposants étaient al-Nusra, une émanation d’al-Qaida, et des extrémistes djihadistes originaires d’autres parties du monde ».

Dès 2012, dit l’auteur, le renseignement militaire américain (DIA) avait averti dans une analyse que les protestations à l’origine pacifiques et démocratiques en Syrie étaient désormais dominées par les Islamistes.

« Le document avertissait déjà à ce moment-là de la possible émergence d’un état salafiste. Deux ans plus tard, en 2014, l’Etat Islamique déclarait précisément cela », affirme-t-il.

Pour résumer tout ce qui précède, Matthias von Hein en appelle au « scepticisme, avant tout, et à un effort d’honnêteté pour fournir une vue d’ensemble. « Bien sûr, dit-il, les médias doivent montrer la cruauté de la guerre, y compris les combats, la souffrance et la mort à Alep-Est.
« Mais s’ils entendent fournir sérieusement des informations, elles ne devraient pas être partisanes », dit l’auteur. Autrement, affirme-t-il, « la présentation sélective n’est que de la propagande ». 

Traduction Patrick T.

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 «Les reportages depuis Alep» diffusés par les médias britanniques sont faits...à Londres

Les nouvelles d’Alep libérée ont du mal à parvenir jusqu’à nous
Les journalistes sont-ils fatigués d’Alep ? On s’interroge sur la couverture assez sobre par la presse internationale des découvertes macabres de dimanche dernier à Alep Est : celles de victimes exécutées par balles et portant des marques de torture. Ces exactions vraisemblablement réalisées quelques heures avant la reprise de la ville par l'armée régulière  seront documentées « pour que les protecteurs européens à Londres et à Paris des soi-disant opposants prennent conscience de qui sont leurs protégés et qu'ils reconnaissent leur responsabilité dans la cruauté » des rebelles.
Pour rendre compte de ce soudain désintérêt pour la situation à Alep, nous avons tenté de joindre plusieurs rédactions, qu'il s'agisse de France 2 ou de France Info, aucune n'a donné suite à nos demandes. Seuls quelques journalistes, à l'image d'Yves Calvi, se demandent s'ils ne se sont pas fait « enfumer ».
Vidéo avec Yves Calvi, déjà présentée :


Fosses communes, corps mutilés, mines antipersonnel: le paysage d’Alep-Est libéré
décapiter un garçon de 12 ans, vendre les personnes violées, torturer les civils, extraire puis manger crus le cœur et le foie des soldats de l'armée régulière n'a bien évidemment rien à voir avec la modération. C'est même très loin des crimes de guerre « ordinaires ».
Alors, pourquoi ces accusations contre la Russieet l'armée syrienne, qui ont libéré Alep, de la part de Samantha Power, ambassadrice des États-Unis à l'Onu.

Le lien entre le père de la «blogueuse Bana» et Daech établi
Les utilisateurs des réseaux sociaux ont cru reconnaître le père de la célèbre «blogueuse» Bana armé et posant sur une photo en compagnie de terroristes de Daech.
été reçue par le président turc Recep Tayyip Erdogan. Les clichés de Bana et de sa famille pris au palais présidentiel ont fait le tour de la Toile.

Outil de propagande ultime: La vérité sur la «blogueuse Bana» révélée
Un militant syrien a contacté en novembre la célèbre blogueuse de 7 ans, Bana Alabed, dont l’histoire a fait le tour des médias mainstream, pour proposer d’aider sa famille à quitter d’Alep-Est. Un mois plus tard, il a reçu une réponse qui l’a convaincu que le compte en question est un «outil de propagande ultime».

Horreurs de la guerre à Alep: réponse d'un jeune Syrien à la «blogueuse» Bana

Aucune trace des Casques blancs n’a été détectée à Alep
Hollande a reçu le 19 octobre le chef des Casques blancs.


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