Eh bien, nous, français, ça ne nous fait pas rire du tout !
Bill, tu ne vas plus rire longtemps !
Fondation Clinton : les liens troubles entre Bill Clinton et Douste-Blazy
La taxe Chirac aurait permis de financer la Fondation Clintongrâce à Unitaid, organisation présidée par l'ancien ministre de la Santé français.... *-*-*-*-*-*-*-*-*-
Nous, français, avons financé les ébats du couple satanique Clinton et leurs amis :
Pédophilie, pizza et Clinton...
Vu un journal gratuit, à portée de TOUS dans le métro. Veulent-ils faire croire que ce sont encore des inventions des complotistes ou veulent-ils mettre cette information à la portée de tous. Le résultat est le même. Tout le monde peut faire ses recherches.
Un article récent, ici, a parlé de cette affaire au moment des élections aux USA
L'histoire vraie de viols en série, d’intimidation, de violence, de mensonges, de drogues » est racontée par Roger Stone dans une interview accordée à WorldNetDaily*, un site à tendance conservatrice.
Ancien collaborateur de Donald Trump, dont il est toujours fervent partisan, Roger Stone a également écrit un livre contre les Bush intitulés «Jeb et la famille criminelle Bush».
Et c'est Trump que la plupart des français et certains américains traitent de criminel !
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Les liens sont plus que troubles entre la Franceet la Fondation Clinton, notre pays ayant participé à l’enrichissement de cette fondation qui est au centre d’un des plus gros scandales de corruption de l’histoire récente des États-Unis !
L’administration Trump fera pression sur les États étrangers pour enquêter sur la Fondation Clinton
Dans cet article du New York Post, vous apprendrez que de très nombreux pays ont financé la Fondation Clintondans le cadre, disons-le ou en tout cas soupçonnons-le, d’une immense opération de quasi-racket institutionnalisé entre cette fondation et des pays « souverains » et soumis aux États-Unis ainsi qu’à leur effroyable pouvoir.
Voilà ce qui est dit dans cet article, sans que je sache encore avec certitude, au moment où j’écris ces lignes, si c’est la Courdes comptes qui se penche sur le dossier ou d’autres services de l’État.
« Quelques jours après l’élection et la défaite de Hillary Clinton, les contrôleurs français ont commencé à suivre la piste de dizaines de millions d’argent public qui a fini dans les coffres de la Fondation Clinton, selon un document examiné par The Post. »
Puis le Post de faire la liste des pays « amis » de la Fondation…
« La Fondation Clinton, dirigée par Donna Shalala, a reçu des millions de douzaines de gouvernements étrangers, y compris l’Arabie saoudite, le Koweït, les Pays-Bas, le Canada, la Suède et l’Irlande… »
Mais ce n’est pas tout, le Nouvel Observateur a lui aussi commencé à se pencher sur les liens de nos politiques avec les époux Clinton.
Comment les Français ont financé sans le savoir la Fondation Clinton
C’est un article du 12 octobre dernier et passé relativement inaperçu. Pensez donc, Hillary gentille machin et Trump grosse brute. Pourtant, vous aurez de quoi vous gratter la tête dans les prochains mois.
« Quel drôle de pacte unit un retraité de la politique française, l’ancien ministre Philippe Douste-Blazy, candidat à la direction de l’OMS, au charismatique 42e président des États-Unis et à sa femme, Hillary ? »
Voilà une question qu’elle est excellente et pertinente mes amis ! Et voici le début de la réponse :
« Avez-vous pris l’avion ces dix dernières années, ne serait-ce qu’une fois ? Oui ? Eh bien, sans le savoir, vous avez financé la très controversée Fondation Clinton. Grâce à vous, la Francea même longtemps été la principale donatrice de cette institution caritative, objet d’incessantes attaques de la droite américaine.
Mais rassurez-vous : en donnant votre obole – par un mécanisme que l’on va vous expliquer – à cette ONG admirable mais peu transparente, vous avez fait œuvre triplement charitable.
Vous n'avez pas contribué à sauver des centaines de milliers d’enfants en Afrique, mais au formidable rebond de Bill Clinton sur la scène internationale et à l’improbable résurrection d’un homme politique français un peu falot qui avait disparu du paysage en 2007 : l’ancien maire de Lourdes, le cardiologue Philippe Douste-Blazy, alias « Douste Blabla », qui pourrait miraculeusement devenir, en juin prochain, le directeur général de la prestigieuse Organisation mondiale de la Santé(OMS). »
Sauf que notre Douste Blabla, comme le surnomme le Nouvel Obs, ne deviendra pas le nouveau directeur général de l’OMS car Clinton n’a pas été élue !
Il sera donc très intéressant de voir qui va hériter de ce poste aussi prestigieux surtout que le nouveau Président français aura été élu.
La Fondation Clinton est accusée d’être une immense entreprise de corruption depuis des années.
Si nous laissons de côté la propagande à laquelle nous avons été soumis encore une fois pendant des mois, il apparaît que les doutes sur la probité de la fondation Clinton sont pour le moins très importants.
La nouvelle administration Trump semble vouloir persévérer sur le chemin du nettoyage de Washington, ce qui est assez logique, alors que le camps Clinton, au lieu de reconnaître et d’accepter sa défaite, a décidé d’accorder son soutien aux groupes qui conduisent désormais une bataille judiciaire pour le recomptage des voix dans les trois États clefs.
Si le camps Clinton tente le tout pour le tout en contestant l’élection de Trump, alors si Trump s’empare réellement du pouvoir, sa réponse sera sans doute saignante à l’égard de la Fondation Clinton.
Comme prévu, nous sommes bien engagés dans un combat terrible, un combat de titans aux États-Unis, dans lequel notre pays sera tôt ou tard entraîné en raison d’une part de notre proximité avec ce grand pays évidemment, mais d’autre part en raison des liens étroits de notre classe politique, tous bords confondus, avec cet « establishment » et la Fondation Clinton. Comme le disait Trump, « l’heure des comptes a sonné ».
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !
Charles SANNAT ----------------------------------
Douste-Blazy, pompe à fric de la Fondation Clinton
Oct 16, 2016
Le naïf oportuniste et le pervers
Fondation Clinton : les liens troubles entre Bill Clinton et Douste-Blazy
Selon « L’Obs », la taxe Chirac aurait permis de financer la Fondation Clinton grâce à Unitaid, organisation présidée par l’ancien ministre de la Santé français.
Philippe Douste-Blazy et Bill Clinton, en 2005. Une amitié naîtra entre les deux hommes. Comme c'est touchant !
Si l’élection avait lieu en France, Hillary Clinton l’emporterait sans doute face à Donald Trump.
Les français regardent d’un œil complaisant la candidature de l’ex-première dame tandis qu’il fustige le comportement du milliardaire.
Mais la donne pourrait changer. Les français ouvrent les yeux aussi.
L’Obs a mené une enquête sur la controversée Fondation Clinton. Cette dernière, aucœurde la campagne américaine, aurait-elle été financée par les Français?
L’hebdomadaire révèle que la taxe Chirac (une part du montant des billets d’avion en partance de France était prélevée) aurait servi à remplir les caisses de la fondation.
Des intérêts communs
Alors ministre des Affaires étrangères, l’ancien maire de Toulouse doit faire appliquer cette taxe et trouver une œuvre humanitaire qui recevra les recettes financières. Il rencontre Bill Clinton en 2005. Ils évoquent un vaste projet de « centrale d’achat de médicaments ». L’organisation sera baptisée Unitaid. « Bill Clinton a vu dans Unitaid le gros paquet d’argent dont sa fondation avait besoin », signale à L’ Obs Joe Conason, le biographe de Clinton. La centrale d’achat est lancée en 2006 et Philippe Douste-Blazy en prend la présidence. Concrètement, la fondation négocie avec les labos, achète les médicaments ; Unitaid signe les chèques.
La Cour des comptes épingle le manque de transparence
« Tout a été fait dans les règles, avec appels à projets, même au début », se défend le désormais candidat à la présidence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Car, selon l’hebdomadaire, dès les premiers mois, « le représentant brésilien au conseil d’administration s’interroge sur le très haut niveau de fonds qu’Unitaid donne à la Fondation Clinton, par rapport à d’autres institutions plus installées comme l’Unicef ». Cependant, la fronde va prendre de l’ampleur. La Cour des comptes note en 2011 qu’en quatre ans la Fondation Clinton « a reçu541 millions de dollars», Unitaid « n’a pas de contrôle direct sur les fonds qu’il attribue ». « Rien n’indique que ces aides sont exactement employées comme le souhaite l’organisme ni que les médicaments initialement choisis […] sont bien ceux livrés », poursuivent les auditeurs de la Cour. « Je faisais tout pour obtenir plus de transparence, mais c’était difficile », répond l’ancien ministre de la Santé français.
L’Obs explique enfin que la relation intime qu’ont nouée Douste-Blazy et Clinton pourrait être favorable à ce premier dans sa quête du prestigieux poste de patron de l’OMS. Et l’élection à la tête des États-Unis d’Hillary Clinton pourrait bien profiter au Français…