12/09 - TRAFIC DE MIGRANTS.
IL FAUT ARRÊTER LES PASSEURS.
Arrêter le mal à la racine a toujours été le seul remède. Mais qui va s'en occuper parmi nos gouvernements corrompus à qui les guerres et le désordre rapportent ? Que fait notre gouvernement ? Il est trop occupé aux élections, le seul but qui les intéresse. La France , ne les intéresse pas, seuls les votes des esclaves qui y cohabitent avec de plus en plus de difficulté.
Pourquoi des migrants préfèrent-ils Londres au droit d’asile en France ?
ALEXIS CONSTANT - 21/09/2015 (Journal "La Voix du Nord)
La campagne pour inciter les migrants du Dunkerquois à demander l’asile et obtenir ainsi le statut de réfugiés a débuté. Le sous-préfet s’est rendu ce mardi dans la « jungle » de Téteghem pour se rendre compte par lui-même de l’état d’esprit des migrants. Saisiront-ils cette main tendue de la France ? Ce n’est pas gagné…
Les agents de l’Ofii (Office français de l’immigration et de l’intégration) ont débuté leur campagne, ce mardi matin, par Grande-Synthe.
Il s’agit d’informer les migrants sur leurs possibilités de rester en France en les incitant à demander l’asile. « On a eu beaucoup de difficultés. Les passeurs surveillent tout, ne nous laissent pas travailler. Ils font pression sur les migrants. On a bien senti que la peur règne », confie un agent. Bref, l’expérience n’a pas été convaincante.
Dans la foulée l’Ofii s’est attaqué à la « jungle » de Téteghem, en présence du sous-préfet de Dunkerque, Henri Jean. L’essai n’a guère été plus concluant.
Nous demandons à une jeune femme syrienne qui porte son enfant de 4 ans si elle veut rester en France ou rejoindre l’Angleterre. La réponse est sans appel : « London ». Les agents de l’Ofii lui expliquent que si elle formule une demande d’asile, elle aura de fortes chances de l’obtenir rapidement. Elle pourra bénéficier dans l’attente de son statut de réfugiée, d’un toit, de prestations sociales, d’une couverture maladie. Elle ne semble toujours pas convaincue.
Les passeurs sur le dos des agents de l’Ofii
Comme à Grande-Synthe, très vite, les passeurs ont repris le camp en main, face aux agents de l’Ofii. « L’un d’eux m’a suivi partout. Il est devenu agressif. Ils ne veulent pas qu’on parle aux migrants. Je discutais avec un étranger qui semblait intéressé par une demande d’asile. Un passeur l’a tout de suite menacé, il n’a plus parlé. De toute façon, dès qu’on quitte le camp, les passeurs cassent notre discours, menacent les personnes éventuellement candidates à l’asile. Il y a des risques de représailles », détaille un agent de l’Ofii qui ajoute : « Ici, on ne se sent pas en sécurité ».
Le sous-préfet estime qu’il est nécessaire de faire ce travail d’incitation et d’information sur les droits dont peuvent bénéficier les réfugiés, tout en restant lucide sur les résultats. « Nous sommes dans des camps de transit pour la Grande-Bretagne. La plupart des migrants ont déjà payé leurs passeurs, parfois même dès le début de leur périple », dit-il, alors qu’une BMW, immatriculée en Grande-Bretagne, fait son entrée dans le camp. Les conversations sont surveillées. Les visages se ferment.
Les agents de l’Ofii ne se découragent pas pour autant. « On a rencontré quand même quelques personnes intéressées par le droit d’asile. Mais on ne peut pas leur mentir, leur dire qu’ils obtiendront automatiquement le statut de réfugiés, notamment les Irakiens et les Iraniens. Et pour eux, c’est un frein supplémentaire ».
Enfin, beaucoup ont déjà donné leurs empreintes dans le premier pays d’Europe qu’ils ont foulé. Et sauf dérogation spéciale, c’est ce pays qui doit les accueillir. Les démarches s’en trouvent considérablement alourdies.
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A la fête de l'Humanité, j'ai rencontré un transporteur qui m'a raconté sa vie ou plutôt son enfer encerclé de migrants qui prennent son camion d'assaut, Pendant que nos gentils journalistes attendaient pour interviewer les vedette Mélenchon, Montebourg... est-ce que ce que vit le peuple les intéresse. Moi et d'autres devons faire leur travail gratuitement pendant qu'ils sont payés à nous mentir. La place de Radio France reste déserte. Où sont les révolutionnaires français?.

France Television
Adresse : 3 Boulevard du Général Martial Valin, 75015 Paris
Téléphone :09 62 62 54 65
Nos journalistes à Paris, en province...ne doivent plus continuer à nous mentir sans que nous leur manifestions notre mécontentement.
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CRISE MIGRATOIRE A CALAIS : LE BLOCAGE D’UNE VILLE QUI N’EN PEUT PLUS (VIDÉOS)
PUBLIÉ LE 06/09/2016 - MIS À JOUR LE 06/09/2016
La rédaction de "La Voix du Nord" de CALAIS
Une journée d’action, à l’initiative du Grand rassemblement du Calaisis, du collectif d’entreprises et commerces du Calaisis, de la Fédération nationale des transporteurs routiers, de la CGT , des agriculteurs et des représentants de syndicats de police, était organisée ce lundi pour protester contre les effets économiques de la pression migratoire dans le Calaisis et contre les intrusions de migrants sur la rocade portuaire. Une chaîne humaine a été organisée. Un blocage, par des agriculteurs et routiers a duré toute la journée sur l’autoroute A16. Vers 20 h 30, le blocage a été levé.
C'est la politique telle qu'elle est qu'il faut bloquer. Pourrir les élections, les débats. Nous devons être solidaires avec nos amis du Nord. Ils s'essoufflent et tout le monde les ignore !!!!
DES PROMESSES ET RIEN NE CHANGE !!!
La suite de ce reportage, les vidéos, les photos :
A QUOI NOUS SERT LE GOUVERNE-MENT
Je remets cette vidéo à faire circuler (sous-titre en français (boutons en bas à droite))