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08/09 - L’ALUMINIUM : CE POISON LÉGAL
QUI MET EN DANGER LA SANTÉ HUMAINE.



Aluminium et cancer du sein. 
De l'aluminium dans les vaccins, le thé.....
Eau aluminium et alzheimer* 

Un Toxicologue nous apprend ,comment protéger son corps de l’Aluminium
Boire de 'eau minérale riche en silicium.

Aluminium, un poison répandu dans l'alimentation... mais pas seulement. Dans les médicament aussi, les cosmétiques, et plus grave : les vaccins. J'ai décidé de porter ici mon propre témoignage ainsi qu'une mise en lumière plus générale sur ce poison qu'est l'aluminium. Beaucoup ont écrit dessus, peu l'on vécu. je souhaite que cet éclairage fasse venir une prise de conscience.

A l’occasion de l'émission sur France 5 le 14/2 enquête de Santé, je décide ici de briser le tabou que France 5 n'a pas voulu écorner pour des raisons évidentes (protéger le discours de la vaccination), quand cela avait été fait plus tôt sur France 3 le 22/01 « Aluminium notre poison quotidien »

L’aluminium, ce poison légal, est présent partout dans notre alimentation moderne, et parfois en quantités significatives. Ce qui est le cas de certaines crèmes cosmétiques, les vaccins (adjuvant d’activation), certains dentifrices, déodorants (anti transpirants), des conserves telles que du lait pour bébé, ou encore l’eau du robinet (adjuvant de floculation).

On peut en citer d’autres, la liste n’étant pas exhaustive bien entendue, tel que pourrait vous le dire le docteur souvet (du même reportage).


Papier alu mis en contact avec des substances acides, pains et viennoiseries (dans la conservation du levain) et biscuits, après champoings, fars, vernis…. Et autres cosmétiques de type teinture notamment, crèmes (anti agglomérant) comme dans les crème solaires…

L’aluminium se cache dans de très nombreux produits, ses effets sont considérables, et plutôt du genre irréversible. Comme de nombreux métaux lourds il est toxique (sauf les oligo-éléments et autres non métabolisés car non réactifs), il constitue un poison qui, grâce aux lobbies industriels, n’est pas pris en compte en France comme étant potentiellement dangereux alors que les effets délétères sont connus et avérés.

L’aluminium est considéré par certains comme neurotoxique pour l’homme. Issu de la bauxite importée d’Afrique, il le devient notamment sous l’hydrate d’alumine, forme la plus courante utilisée dans la chimie.

Utilisé dans certains aliments, cosmétiques, médicaments, tous les vaccins quasiment, l’eau du robinet souvent, c’est un scandale sanitaire.


En Grande Bretagne, il avait été mesuré des quantités dans le lait infantile de 0.4 à 0.63 mg/litre soit trois fois plus de que ce qui est utilisé pour l’eau du robinet (0.2 mg/l). C’est ce qui a mis le feu aux poudres (de lait) pour ainsi dire…
Alors que l’aluminium est en cause, la désinformation règne !

Pour des raisons de coût, ce produit reste dans les processus industriels.

Si l’aluminium a fait polémique en grande Bretagne (et exit la France au passage), c’est parce que avant 6 mois la barrière encéphalique n’est pas formée, faisant pénétrer dans le cerveau des enfants de grandes quantités de ce produit, ce qui, étant donné que l’aluminium reste dans les tissus, va causer des maladies neurologiques graves à l’âge adulte, une fois la dose limite* dépassée ainsi plus rapidement.

(*Il existe néanmoins une norme européenne conseillée* de l’EFSA : 1 mg/kg et par semaine : ce qui est déjà en fait beaucoup…)

(*Ce qui veut dire que les industriels en font strictement ce qu’ils en veulent, ce qu’ils ne se privent pas de faire).

L’aluminium est utilisé comme additif en agent levant, de blanchiment, le sulfate d’alumine est utilisé comme agent de transformation de réaction pour des substances comme les amidons modifiés, c’est aussi un conservateur générique (charcuterie, plats préparés), unantiagglomérant (présent même dans le sel de table), un colorant alimentaire, un pénétrant pour les crèmes, un durcissant pour le vernis à ongle, un agent anti-transpirant dans les déodorants…

Parfois les publicitaires mentent carrément, enlevant l’aluminium sous forme chlorhydrate et s’en ventant avec grand renfort de pub… pour le remettre discrètement sous une autre forme chimique mais ça reste de l'aluminium.

Il est présent pour une dizaine d’additifs alimentaires, dont le E541 (boulangerie), le E173 (colorant), le E520 (épaississant), le E1452 (émulsifiant), le E559...

Bien que l’approche en dose limite utilisée par la réglementation est soit de fait une arnaque (déjà personne n’est sensible à la même dose pour commencer…), il est impossible en définitive de calculer le cumul absorbé par une même personne dans une même journée. Sauf à dire que, nous explosons forcément ce maximum quotidiennement à cause des produits multiples utilisés.

Car dans la pratique, les fabricants en usent énormément. Il n’y a bien que le bio pour ne pas utiliser l’aluminium.

Pour la vaccination, pratiquement tous les vaccins sont à l’aluminium, et en particulier les vaccins conçus sur le sol Français. En cause principalement en effet "secondaire", laMFM. C’est une maladie auto-immune grave neuromusculaire !!!.

Car il a été démontré que, dans le muscle, en particulier à l’endroit de la vaccination, puis ailleurs aussi, l’aluminium des vaccins persistait dans les tissus très longtemps (des années) chez les personnes qui déclarent une MFM, leur donnant des douleurs musculaires et des fatigues chroniques. Il a été mise en évidence en particulier une relation avec l’adjuvant aluminium et non pas uniquement une relation avec un vaccin donné.

Une étude du docteur Romain Gherardi met en cause chez la souris les vaccins à l’aluminium, avec une neurotoxicité dans le cerveau évidente.

De nombreux autres articles sont parus à ce jour sur le sujet dans le monde...

Après le vaccin, les anti-transpirants chargent considérablement le corps avec l’aluminium. Les sels d’aluminiums seraient aussi été impliqués dans le cancer du sein avec des cosmétiques appliqués localement.

Les vaccins peuvent être fabriqués en utilisant le phosphate de calcium avec le même bénéfice que l’hydroxyle d’aluminium, mais avec une garantie d’innocuité car le calcium est, lui, métabolisé normalement par l’organisme.. dans les os !

Ce composé alternatif a été supprimé des vaccins sans autre justificatif que le profit industriel. Lorsque Pasteur a fusionné avec Mérieux, il a abandonné la fabrication des anciens vaccins à base de calcium, pour privilégier une unique chaine de fabrication préconisée par l’Institut, chaîne répandue à l’époque, et donc conservée depuis.

En témoignait ainsi Marc Girard, directeur scientifique pasteur de 84 à 88, dans le reportage de France 3.

Sanofis-pasteur a même été jusqu’à affirmer que son laboratoire n’a jamais fait de vaccin à base d’adjuvant au calcium, pour ensuite revenir sur cette déclaration (il en existait bien un en 2008, supprimé depuis).

En règle générale, il semble que les laboratoires Sanofis-pasteur-merieux (ce consortium en fait) ne fabrique à ce jour plus aucun vaccin autre qu’avec de l’aluminium.

On savait pourtant alors que l’aluminium favorisait la production d’IGE (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/707792) , impliquée dans les réactions allergiques, et plus généralement dans les problèmes immunitaires comme pour la MFM.

À ce sujet, on ne parle que de cette maladie liée à l’immunité, alors que d’autres maladies immunitaires sont en cause.

Pour terminer, j’en parle de source sûre, et j’enlève le conditionnel, puisque votre serviteur est personnellement concerné. Je donne ici relativement courageusement mon propre témoignage, en preuve et à charge (et c'est là que l'anonymat tant contesté par le pouvoir sert !).

Depuis une dizaine années, à chaque fois que je fais la vaccination pour la grippe, environ exactement 7 à 15 jours plus tard, après que les réactions immunitaires du vaccin sont effectives, je contracte une éruption allergique cutanée systématique et de plus en plus forte d’année en année. Cette éruption met plusieurs mois à se dissiper incomplètement.

D’abord discrète et quasi invisible, elle est devenue handicapante depuis ces trois dernières années. Bien que reconnu génétiquement comme étant dans la communauté des allergiques, je mets à ce jour en cause le vaccin.

En effet, si le corps médical attribue ma réaction à une Dermatite Atopique érythémateuse, je l’ai bien développée à la suite des injections du vaccin de la grippe. La maladie ne se déclare essentiellement qu’après la vaccination et s’estompe de plus en plus difficilementaprès.

Plus grave encore, je fais d'autres poussées éruptives inexplicables alors qu'avant j'en faisait pas. Mais elles sont sans commune mesure avec celle qui suit la vaccination.

Devant la fulgurance de la dernière réaction de 2011 (j'aurais pu croire avoir eu de nouveau contracté la variole, or c'est impossible  !), J’ai donc décidé d’arrêter le vaccin… (malgré les risques de grippe) et ce, malgré également le discours médical, que bien entendu je ne crois plus, d’autant plus que la D.A. est une maladie héréditaire qui ne se déclare normalement*que pendant l’enfance… Ce qui n’est mystérieusement (d’après le corps médical) pas mon cas : cherchez l’erreur !.

(*en fait,  je connais avec certitude au moins une cause pour laquelle l’adulte la déclare !).

Pour moi, il n’y a donc plus de mystère à ma maladie. J’en tire enfin les conséquences (il était temps). Bien entendu, je fais partie des pauvres malheureux qui ont une prédisposition génétique aux allergies. Mais mon cas est répertorié nulle part. Il est juste concerné par le lien entre aluminium et maladies immunologiques.

Par ailleurs, La médecine n'étant pas capable de me soulager, surtout au niveau des douleurs, ayant des érythèmes extrêmement et anormalement douloureux, j'ai pu avec succès avoir de bons résultats avec la phytothérapie, que j'ai dû m'auto prescrire après des recherches poussées sur Internet (au passage : parfois la phyto ça se prescrit aussi), les médecins étant "infoutus" de bien me conseiller, bien au contraire...

Non seulement j'ai été victime de l'aluminium, mais également j'ai dû subir l'incapacité de la médecine (voir le mépris du sachant) vis-à-vis des malades de la D.A., avec en cause aussi le manque de moyens de recherche. Abandonné, je n'ai eu mon salut qu'a la présence d'esprit de rechercher seul et vite une alternative. (et je ne suis même pas guéri, juste quej'essaye de garder les choses sous contrôle, étant comme vous quotidiennement toujours exposé. depuis je cours derrière le train de la santé, mais peut-être il aurait mieux valu ne pas le laisser filer...)

Depuis, je relativise fortement sur la capacité qu'a la médecine à faire son travail : il vaut mieux agir en cas de doutes et ne pas tout croire, je puis vous l'affirmer.

Combien d’autres cas en France vont à l’insu des Français causer des maladies auto-immunes diverses, des dégénérescences cérébrales, des cancers du sein et peut-être d’autres maladies, parce que l’usage de l’aluminium (et d’autres produits) n’est (ne sont) pas règlementé(s), voire interdit(s), comme il le devrait(aient) ?.

De plus en plus de Français sont ou deviennent des allergiques à divers degrés, et certains ne le savent même pas, et surtout ne savent pas qu'ils vont devenir malade. Si moi suis concerné, je fais le pari que la sensibilisation à l’aluminium est bien plus rependue et plus potentielle qu'on voudrait bien nous le faire croire... Mais à des degrés divers.

Il faut comprendre que la maladie se déclare n'importe quand. Il n'y a pas de règles : pourquoi telle année alors qu'avant tout se passait bien ? mystère... Des enfants verront la réaction dès les premiers vaccins, mais cela n'est pas obligatoire, voici ce que je peux vous en dire...

Car si l’Aluminium est mise en cause directement par les personnes ayants des prédispositions immunologiques héréditaires, la population entière reste concernée, au même titre que pour l’amiante, le mercure, le plomb… pour ne citer que dans les métaux déjà connus et reconnus.

Pire encore que le "quand," le "n'importe qui" est aussi probable...

Pour faire comprendre l'étendue du problème, il faut savoir que les déficiences de typegénétiques ne sont pas uniquement du ressort de la génétique seule mais aussi de l'épigénétique, ce qui fait qu'un individu peut déclarer de son vivant une maladie que normalement il ne devrait pas contracter d'après les seules loies génétiques. Et qui plus est, à n'importe quel moment. J'ai le droit de le dire, je l'ai vécu, ayant combiné en fait les deux problèmes. Ayant fait des recherches sur le sujet, j'affirme aussi que l'épigénétique suffit à elle seule à expliquer certains cas.

Ce point de vue est largement mis entre parenthèse par la communauté scientifique (sans le nier), mais qui néanmoins mène activement des recherches dans ce sens depuis bien des années...

Il en ressort que la définition des malades de demain sera différente de celle supposée hier... Oui la médecine a beaucoup à apprendre.... de ses patients, quand elle veut bien les écouter, chose qui n'est visiblement pas si évidente que cela...

L’AFFSAPS, à ce jour, refuse de mettre en cause l’utilisation de l’aluminium dans les vaccins. Les parents qui refusent l’administration d’un vaccin à leur enfant se retrouvent dans l’illégalité, même si le lien est démontré par affiliation génétique (parent malade et reconnu comme tel avec relation avec les vaccins) démontrant ainsi que les enfants courent notoirement un risque.

L’EFSA, à ce jour, n’impose pas aux industriels de limite à l’utilisation de l’aluminium. Songez simplement aux containers que vous manipulez tous les jours contenant des denrées alimentaires ou en contact avec, mais aussi des médicaments divers… Et puis il y a les additifs criminels, bien entendu.

À ce jour, le plein permis de nous empoisonner la vie est délivré. Y compris sur ordonnance. Et s’il n’y avait que l’aluminium encore, mais ce n’est qu’un petit exemple des méfaits de l’industrie capitaliste…

Un petit post-scriptum toutefois.

Il n'est malheureusement pas question d'arrêter les vaccinations en général, mais il faut ouvrir l’œil. Mon conseil : en cas de défaillance immunitaire ou neurologique quelconque constatée après le vaccin ou connue héréditairement, il sera bon d'arrêter promptement la vaccination. Sachez que le serpent ne prévient pas plusieurs fois. A la moindre alerte : arrêtez. Sinon il y aura des séquelles importantes assurées.

J'estime avoir "gagné" le droit de l'affirmer ici, sans que nul ne me le conteste.

Et pour les autres : il faudrait une mobilisation générale pour qu'enfin les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités. Tout le monde est potentiellement exposé en fait. Un jour ou l'autre. Pourquoi attendre ? Ah oui, je sais, c'est l'histoire une certaine autruche mythique qui visite le fond d'un bac à sable...

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Un médecin prend l’engagement de « NE PLUS VACCINER » après avoir assisté auSymposium sur l’autisme à Chicago

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Les eaux minérales les plus riches en silice
Rozana : 95mg/l
Chateldon : 90mg/l
Fiji water : 45mg/l
Spritzal : 35 mg/l
Volvic : 31mg/l
Badoit : 30mg/l

Vichy Célestins : 30mg/l.

Silice, eau minérale et sélénium - Nicolas Bles

LES BIENFAITS DU SILICIUM DU DR LE RIBAULT

Eau minérales :
10 références d’eau en bouteille présentaient des microtraces de polluants d’après 60 Millions de consommateurs.
Parmi les eaux minérales testées positives: Hépar (buflomédil (médicament)), Volvic (atrazine), Vittel (hydroxyatrazine), Cora (atrazine), et l’eau de source Cristaline (de source Louise) avec de l’oxadixyl (pesticide).

Plus surprenant, du tamoxifène, qui est un traitement du cancer du sein, aurait été retrouvé dans la Saint Amand, la Mont Roucous, la St Yorre et La Salvetat, l’eau de source Carrefour Discount, ainsi que dans 3 prélèvements sur 10 d’eau du robiNet
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Alzheimer : maladie iatrogène ! (déclenchée par les médicaments)


Alzheimer causé par les médicaments

Les médicaments chimiques seraient à l’origine de la maladie d’Alzheimer. « La nouvelle risque de provoquer un coup de tonnerre dans le domaine de la santé publique », déclare sans ambages le Professeur Bernard Bégaud, l’un des pharmacologues et épidémiolo­gistes français les plus respectés. Ce cri d’alerte puissant, après une étude épidémiologique, montre une association significative entre consommation de benzodiazé­pines et risque de démence de type Alzheimer : 30 000 cas supplémentaires chaque année sont attri­buables à l’effet de ces médicaments. « Alzheimer », le nom de cette affection neurodégénérative est lâché. C’est « LA » maladie qui, depuis quelques années, semble avoir rejoint le cancer au pan­théon des fléaux les plus redoutés. Il y a de quoi frémir à l’aspect quantitatif, et de santé publique : 200 000 nouveaux cas recensés chaque année.
Qui n’a un proche ayant eu recours – ou ayant toujours recours – à un de ces anxiolytiques ou somnifères aux noms presque devenus communs : Valium, Mogadon, Temesta, Lexomil, Aricept… ?
Tout en rappelant, un comble, ce que dit la loi elle-même depuis 2001 : certains médicaments incriminés ne devraient pas être prescrits plus de deux semaines !
C’est ainsi que : « L’industrie pharmaceutique s’est reti­rée de la recherche sur le cerveau parce que c’est trop complexe. » Rappelons que les molécules incriminées ont été, pour certaines, mises sur le marché.
Le vaste domaine de la toxicologie, notamment professionnelle et environnementale, ainsi que le recueil des effets indésirables des médicaments de synthèse pris au long cours, nous offrent des modèles expérimentaux spontanés de toutes les maladies d’encrassage, et en particulier des maladies neurodégénératives.
La détérioration cérébrale peut être perceptible cinq ans après les premières prises.

Tous les médicaments chimiques consommés au long cours induisent en un premier temps une hyperperméabilité intestinaleet un stress oxydant par production de radicaux libres oxygénés. Le stress oxydatif est un effet pervers du mécanisme d’élimination et de la phagocytose (destruction) des substances étrangères à l’organisme. C’est le prix à payer pour la détoxination.
Les traitements symptomatiques retardent l’échéance d’un vrai traitement de la cause et finissent par induire un phénomène d’échappement thérapeutique (loi d’inversion) qui annonce une polymédication, laquelle prise d’autres produits antigéniques ne fait qu’aggraver le stress oxydatif. Toutes ces substances qui appartiennent à la grande famille des inhibiteurs de la chaîne respiratoire mitochondriale, ou du cycle de Krebs finissent par produire l’apoptose et la mort cellulaire. On a identifié plusieurs médicaments de synthèse pharmacologiques inhibiteurs de la chaîne respiratoire, autrement dit inducteurs de mort cellulaire.

Nos cinq barrières

Pour nous protéger de l’ensemble des éléments étrangers agressifs, l’organisme dispose de cinq niveaux successifs :
1) les cellules intestinales : ce sont les cellules dendritiques des entérocytes. C’est la barrière immunitaire intestinale où veillent les cellules présentatrices d’anti­gènes (CPA), véritables chiens de garde à l’affût de la moindre molécule étrangère comme par exemple l’ensemble des médicaments de synthèse ou molécules toxiques induites par la cuisson (molécules de Maillard, acides aminés oxydés…). L’intervention des CPA (macrophages, lymphocytes B) et des lymphocytes T pour éliminer ces molécules étrangères induit la production de radicaux libres qui annonce l’inflammation et la mort cellulaires.
Dès son contact avec la muqueuse intestinale, le peptide antigé­nique est présenté aux lymphocytes T par les CPA, en particulier les cellules dendritiques : ce sont les vraies CPA de l’intestin; elles sont abritées dans les poches infra-épithéliales des cellules M, sortes d’entérocytes spécialisées dans la présentation d’antigènes (Ag). Elles vont chercher elles-mêmes les Ag dans la lumière intestinale à l’aide de leurs prolongements (dendrites) en ouvrant les jonctions serrées entre entérocytes, ce qui accroît encore le risque de passage de macromolécules, de substances étrangères, de minéraux (calcium, magnésium) de vitamines qui vont mobiliser la lignée blanche (macrophages, leucocytes) et le système immunitaire
2) les cellules du tissu réticulo-endo­thélial composées de monocytes et de macrophages
3) les cellules vasculaires composées de cellules endothéliales vasculaires
4) les cellules sanguines composées de monocytes et de lymphocytes B
5) Enfin la dernière barrière qui compose les cellules du système ner­veux central.
Un seul organe échappe dans un pre­mier temps à l’assaut des antigènes : c’est le système nerveux central, qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et le système nerveux périphé­rique. On sait que le système nerveux est indispensable à la transmission de l’influx nerveux, et à ce titre est protégé par une barrière immunitaire anatomo-physiologique, la barrière hémato-encéphalique (BHE)très similaire d’ailleurs à la barrière immunitaire intestinale.
Deux types cellulaires composent la BHE : les cellules microgliales et les astrocytes, qui sont des CPA (cellules présentatrices d’antigène) de la bar­rière hémato-encéphalique. C’est la rupture de cette barrière sous l’assaut des antigènes qui est responsable de la mort neuronale. De topographie exclusivement périvasculaire et organisées en réseau, ce sont elles qui forment la véritable BHE du système nerveux central. Leur rôle est de protéger les neurones des substances étrangères susceptibles de pénétrer dans le cerveau ou la moelle épinière par le liquide céphalo-rachidien et donc par le sang. Pour ce faire, les astrocytes forment un épithélium « très étanche » en jonctions serrées qui tapisse les parois des ventricules cérébraux et du canal de l’épendyme de la moelle épinière. Outre leur fonction de protection, les astrocytes jouent un rôle majeur dans le main­tien du fonctionnement des synapses neuronales et dans les processus de myélinisation des fibres nerveuses. Les astrocytes interviennent égale­ment dans la recapture des neurotrans­metteurs et dans leur dégradation.
L’introduction de substances étrangères cause des dégats irréversibles car non seulement elle induit la production de radicaux libres oxydés toxiques pour les molécules biologiques qui deviennent inaptes à l’exécution de leurs fonctions, mais de surcroît elle surconsomme du tryptophane, des vitamines B3 et B6, du calcium et du magnésium qui compose l’attelage immuno-modulateur, et neutralise enfin le fameux système antiradicalaire mitochondrial : composé de la co-enzyme Q10, de la superoxydase-dismutase (SOD), de la glutathion péroxydase à sélénium, enfin de la vitamine B3 qui constitue le quatuor antiradicolaire.

La membrane et les échanges cellulaires

La communication et les échanges cellulaires ont une importance primordiale pour assurer l’équilibre de l’organisme. Le couple membrane-récepteur doit donc parfaitement fonctionner.
La membrane est la porte de la cellule, les récepteurs en sont les clefs. Encore faut-il que cette porte soit fluide. Si la fluidité membranaire n’est pas assez importante, les échanges se font mal et les cellules souffrent de malnutrition. La cellule reçoit et produit. Un perpétuel va-et-vient existe entre l’intérieur et l’extérieur. La membrane agit comme une barrière à perméabilité sélective pour des petites molécules, jusqu’ à l’incorporation ou l’éjection de vésicules pour les plus grosses molécules qui sont solubles dans les lipides.
Les transports transmembranaires peuvent être plus ou moins faciles. Le transport actif est plus complexe. Il met en jeu la polarité électrique des molécules et de la membrane, et va à l’encontre des gradients de concentrations.

Les différentes pompes ioniques

Le modèle le plus courant, commun à toutes les cellules, est la pompe à sodium/potassium (Na+/K+). Elle permet la concentration du K+ dans la cellule et du Na+ à l’extérieur, contre les lois physiques de diffusion. La protéine responsable subit une succession de déformations, son environnement doit donc être souple.
ll existe d’autres pompes (à calcium/potassium/phosphore) dont l’importance est insoupçonnée. Le fait qu’une augmentation du calcium intracellulaire soit associée à l’action neurotoxique du peptide β-amyloïde a conduit certains auteurs à considérer les inhibiteurs calciques comme pouvant jouer un rôle neuroprotecteur au stade précoce de la maladie d’Alzheimer : il n’en est rien, car l’inondation intracellulaire par le calcium est déjà synonyme de mort cellulaire ! Ce constat confirme, d’une part, le bien-fondé de la responsabilité du trouble du métabolisme du calcium dans la mort cellulaire, d’autre part, qu’il convient dans ce cas d’optimiser en amont la biodisponibilité du calcium, objectif impossible à atteindre par les inhibiteurs calciques, et plus généralement par tous les traitements symptomatiques. Rappelons que c’est le mécanisme d’inhibition calcique qui est mis en jeu au cours de la rigidité cadavérique !
Rappelons également que le phosphore métalloïde indispensable à la vie de la cellule qui entre dans la composition de l’acide triphosphorique (ATP) et des acides nucléiques (ADN, ARN) a une extraordinaire avidité pour l’oxygène lui-même indispensable à la vie et se comporte, lorsqu’il est présent en excès dans les milieux biologiques, comme un bloqueur des canaux K+, et par voie de conséquence un inhibiteur calcique. Le phosphore est surtout contenu dans les protéines alimentaires (laits animaux, céréales à gluten, œufs, soja), certains médicaments (biphosphonates) et, bien sûr, dans les conservateurs, les pesticides et autres polluants environnementaux. C’est la raison pour laquelle le phosphore en excès empêche l’utilisation du calcium par la cellule et induit une inhibition calcique. C’est le cas des laitages et fromages qui récèlent 80% des phosphoproteines dans les caséines.
En fonction de la gravité du stress oxydant. Le docteur F. Affoyon qui a explicité les vrais mécanismes de la maladie d’Alzheimer, a identifié trois grades d’inhibition de la pompe à calcium :
– le premier grade, c’est l’inhibition calcique modérée : elle concerne les maladies allergiques, la déminéralisation, les troubles anxio-dépressifs (fibromyalgie)
– le deuxième grade résulte de l’inhibition calcique sévère : elle s’étend aux maladies auto-immunes sans atteinte du système nerveux.
– le troisième grade concerne les maladies auto-immunes touchant les structures neuronales depuis les nerfs périphériques (neuropathie, polyradiculoneuropathies : Guillain-Barré) ou les jonctions neuromusculaires (maladies des récepteurs : myasthénie) en passant par les axones des nerfs du système nerveux central (sclérose en plaques) jusqu’aux corps cellulaires des neurones (Parkinson ; Alzheimer ; Sclérose latérale amyotrophique). C’est le stade de blocage des canaux potassium et de la rupture de la barrière hémato-encéphalique synonyme d’attaque des structures neuronales.
Il est permis d’élaborer une hypothèse sur l’origine et la cause des maladies neurodégénératives et des autres maladies de stress oxydant : celle de l’inhibition plus ou moins complète des canaux calciques.
Le flot incessant d’antigènes favorise le dépôt de complexes immuno-circulants et aggrave le mécanisme d’inhibition calcique, ce dernier finit par s’inverser entraînant alors un blocage des canaux potassium avec une rupture de la BHE par un mécanisme ischémique à l’origine de la souffrance des structures neuronales. Aucune neurogenèse n’est possible en cas de rupture de cette barrière et les neurones détruits sont irrémédiablement perdus (maladie d’Alzheimer, SLA, Parkinson, SEP).
La rupture progressive de la BHE sous l’assaut des antigènes est proportionnelle à la gravité du stress oxydant, depuis l’atteinte des axones des nerfs périphériques, en passant par les axones des nerfs du système nerveux central, jusqu’à l’atteinte des corps neuronaux.
C’est ainsi qu’on peut affirmer qu’en partie la maladie d’Alzheimer est une maladie iatrogène résultant de la prise au long cours de produits chimiques (statines, biphosphonates, IPP, pilules contraceptives).

Le donépézil (Aricept), traitement conventionnel contre Alzheimer

Paradoxalement, c’est le remède donné aux patients atteints de la maladie d’Alzheimer sous le nom commercial Aricept. L’arme fatale serait le mécanisme anticholinestérasique qui bloque l’enzyme acétylcholinestérase (empêchant ainsi la destruction de l’acétylcholine après le passage de l’influx nerveux). C’est ainsi qu’il ne permet plus au récepteur de se détacher de l’acétylcholine pour se préparer à recevoir une nouvelle molécule d’acétylcholine. Il en résulte une accumulation d’acétylcholine au niveau de la fente synaptique et interruption de la transmission de l’influx nerveux, qui occasionne de nombreux signes d’hyperexcitabilité de la fibre nerveuse par dépolarisation intempestive de la membrane post-synaptique. Le récepteur cholinergique sollicité en permanence par ce médiateur chimique parasympathique finit par se détacher de celle-ci.

Médicaments de synthèse mis en cause

  • les inhibiteurs calciques dans leur ensemble
  • les β bloquants
  • les neuroleptiques
  • les antidépresseurs imipraminiques
  • les statines (hypolipémiants : Tahor, Crestor)
  • les IPP (Inhibiteurs de la pompe à protons) dans les gastrites + RGO
  • la plupart des anticoagulants
  • les diurétiques
  • les biphosphonates (ostéoporose)
  • les additifs et colorants identifiables par la lettre E suivie d’un chiffre. Nombre d’entre eux consommés régulièrement (et parfois même intégrés aux médicaments : colorants) sont délétères pour la membrane cellulaire.
En conclusion on peut affirmer selon le Dr Affoyon que : la maladie d’Alzheimer est une maladie protéique hétéro-immune au même titre que l’athérosclérose, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la maladie de Parkinson, les cancers, les diabètes et autres endocrinopathies, et les maladies dites « auto- immunes ».
Alors que la maladie d’Alzheimer est déclarée cause nationale, il serait intéressant que le corps médical et universitaire relève dans l’anamnèse la présence de ces médicaments de synthèse et autres agresseurs antigéniques. C’est ainsi que l’on pourra progresser dans la recherche et les solutions thérapeutiques. Je rappelle qu’un million de Français sont atteints de cette pathologie neuro-dégénérative irréversible.

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