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Article 3

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24/08 - LE TERRORISME EST ENTRETENU, FAVORISÉ, 
VOIR CRÉÉ POUR NOUS SURVEILLER, 
NOUS MAINTENIR EN ESCLAVAGE, 
CAR LES FRANÇAIS SE REBIFFENT. 

 Flamby. Les grands partis, tous traites à leur pays. 
Sarkozy qui traîne tant de casseroles ose se représenter et des "français" le suivent. On nous ressert les mêmes !
Quand allons nous reprendre le contrôle de notre pays? Quand dirons-nous ASSEZ !!!

On nous espionne : "Il y a un vrai 'Prism'à la française".
Révélations sur le Big Brother français

Si la France n'a que mollement réagi aux dernières révélations faites au sujet de "Prism" et de la surveillance généralisée orchestrée par les États-Unis, c'est peut-être parce qu'elle utilise des procédés similaires. Une enquête du "Monde" révèle que la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) abrite dans ses sous-sols de gigantesques ordinateurs dont la fonction est de stocker tous les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France. Ces données sont ensuite rendues accessibles aux principaux organismes de renseignement français, sans aucun contrôle. 
Quelles sont exactement ces informations collectées ? Est-ce légal ? Qui est au courant de ce système de surveillance ? Les explications de Jacques Follorou, journaliste au service International du "Monde". 
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Révélations sur le Big Brother français
Par Alain Mirak-
Et après Flamby joue les offusqués quand il apprend que les Etats-Unis espionnent l’Europe… quelle hypocrisie. Il n’y a rien de bien nouveau concernant le fait que la DGSE espionne les français mais il est important que tout le monde en prenne bien conscience. Le réseau PRISM n’est pas une exception américaine et les gouvernements qui jouent les victimes font la comédie. L’espionnage généralisé est devenu monnaie courante, la preuve:

Le Monde:


« La France dispose, comme les États-unis avec le système Prism, d’un dispositif d’espionnage à grande échelle des télécommunications. Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l’étranger : la totalité de nos communications sont espionnées. Les politiques le savent, mais le secret est la règle : ce Big Brother français est clandestin…Il échappe à tout contrôle…

Ce que cherchent les services de renseignement, ce sont les « métadonnées » : non pas le contenu des messages, mais leur contenant. Le but est de savoir qui parle à qui pour reconstituer les liens entre les cibles, identifier des « cellules ». La DGSEcollecte ainsi les relevés téléphoniques de millions d’abonnés, les mails, les SMS, les fax… Et toute l’activité Internet, qui passe par Google, Facebook, Microsoft, Apple, Yahoo… Le dispositif est précieux pour lutter contre le terrorisme. Mais il permet d’espionner n’importe qui, n’importe quand.
« AUTORISATION VIRTUELLE »

La DGSE collecte ainsi des milliards de milliards de données, compressées et stockées, à Paris, sur trois niveaux, boulevard Mortier, dans les sous-sols du siège de la DGSE. Le service de renseignement dispose d’un supercalculateur capable de gérer des dizaines de millions de gigaoctets.
Les autres services de renseignement français ont accès en toute discrétion à cette gigantesque base de données, sobrement baptisée « infrastructure de mutualisation ». Certaines informations peuvent même être utilisées par la police judiciaire sous couvert de « renseignements anonymes ».
Le dispositif est pourtant parfaitement illégal – « a-légal », corrige l’un des patrons d’une des agences de renseignement. « Le régime juridique des interceptions de sécurité interdit la mise en œuvre par les services de renseignement d’une procédure telle que Prism », assure la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL).
La loi n’a en rien prévu un stockage massif de données techniques par les services secrets. « Voilà des années que nous sommes dans l’autorisation virtuelle, confie l’un des anciens patrons des services. Et chaque agence s’en satisfait. » Un parlementaire confirme « qu’une grande part des connexions électroniques en France est effectivement interceptée et stockée par la DGSE ».
Mais officiellement, « l’infrastructure de mutualisation » n’existe pas. »
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NSA : le toit de l'ambassade américaine cacherait un centre d'écoutes... sous une bâche

Fenêtre en trompe l’œil.
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Nice : l’Elysée nie avoir détenu une vidéo de l’attentat mais un témoin prétend le contraire.

Une enquête du Journal du Dimanche (JDD) révèle que la mairie de Nice aurait disposé d’une copie d’une vidéo prise par les caméras de surveillance sur la Promenade des Anglais le 14 juillet mais l’Elysée le dément. 

Un mois après l’attentat à Nice, les rumeurs sur les détails de cet attentat tragique se multiplient. Presque toutes les images filmées par les caméras de surveillance le 14 juillet ont été détruites pour éviter qu’elles fuitent et accroissent le degré d’anxiété de la société française. Il resterait toutefois trois copies de ces images tragiques: une à la mairie, une pour la justice et une à l’Elysée. Or, la présidence dément disposer d’une telle copie. 

«Aucune copie de la vidéosurveillance n’a été transmise à l’Elysée. Ce serait le non-respect de la justice. C’est de la calomnie et de la diffamation», a-t-on fait savoir. 

Néanmoins, les journalistes du JDD ont parlé au directeur de cabinet du maire de Nice, Anthony Borré, qui a déclaré que dans la nuit du 14 au 15 juillet, le directeur de cabinet du préfet des Alpes-Maritimes, François Xavier Lauch, avait demandé à la mairie de faire «une copie des images pour François Hollande». 

«Nous leur avons donné ce film et cela nous a semblé logique», a-t-il précisé. 

Si l’on en croit l’Elysée, ces images se seraient donc perdues ou seraient cachées. La question qui se pose maintenant, c’est de savoir pour quelle raison. 

Ce n’est pas la seule question qu’on se pose après l’attentat de Nice. Fin juillet, une policière municipale avait porté plainte contre le ministère de l'Intérieur d'avoir fait pression sur elle pour modifier son rapport. 

De plus, dans le rapport présenté par l’IGPN, on trouve plusieurs contradictions. Par exemple, la carte du dispositifs présentées ne ressemble pas à celle qui a décrit dans le rapport. On voit aussi les contradictions dans le nombre des policiers : le lendemain de l’attentat le préfet des Alpes-Maritimes a indiqué que 39 effectifs de police nationale étaient présents au moment de l’attentat, tandis que d’après le rapport de l’IGPN, il y aurait au moins 64. 

 


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