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+03/08 - ADAMA TRAORE ASSASSINÉ PAR 3 POLICIERS. 
ÇA NE PASSE PLUS ! 
NOUS, LES OPPRIMÉS, NOUS NOUS LEVONS TOUS. ENFIN ! 

Regardez bien tous ces visages. Y voyez-vous de la Haine
Et pourtant cela pourrait être le cas !

Quand je parle de cette affaire, les gens restent indifférents. Sauf mes amis africains, bien sûr ! Est-ce qu'une vie vaut plus qu'une autre ? Demain, ce sera peut-être nous les victimes ! Noir ou blanc, pauvre ou riche, homme ou femme, catholique ou musulman, nos enfants....
Oui, bien sur, il y a eu l'Euro, les soldes et bientôt les JO. la cabale sait comment nous endormir, nous asphyxier.
Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n'ai rien dit,
Je n'étais pas communiste.....

La suite en fin d’article*.
Adama n'est pas mort pour rien. Ses frères africains osent défendre leurs droits dans les rues et seront peut-être bientôt avec nous lors des manifestations contre le gouvernement.

Manifestation Adama Traoré bloquée par la police / Paris - France 30 juillet 2016
Plus de mille personnes se sont réunies à la Garedu Nord à Paris pour manifester et demander la vérité sur la mort d'Adama Traoré décédé en garde à vue.
Mais la police a stoppé le cortège après une centaine de mètres la manifestation finissant là.


La soeur d'Adama, Assa, lors d'une manifestation 
pour demander la "vérité" sur la mort de son frère. 

"Justice pour notre petit frère"
La famille d'Adama Traoré dit ne vouloir qu'une chose aujourd'hui, "la justice pour notre petit frère". Lassana Traoré, son frère aîné, indique: 
"Nous devons chercher et connaître les causes de la mort d'Adama. Car pour nous, au stade où nous en sommes, elles ne peuvent être liées à une maladie."
Les deux expertises évoquent dans leurs conclusions un "syndrome asphyxique"à l'origine du décès.

Les interpellation à la Gare du Nord et dans le métro, à Paris, sont inqualifiables. La police manifeste un non respect et une brutalité ignoble avec des interpellés innocents. Il y a toujours dans leurs rangs, un ou 2 méchants et les autres laissent faire. Si vous intervenez vous vous faites écarter, menacer parfois. 

Devant la gare du Nord à Paris.

RAPPEL DES FAITS :
Mort d'Adama Traoré : l'étrange communication du procureur Jannier
Les affirmations successives et contradictoires du magistrat sèment le trouble dans une affaire déjà explosive.

Si l’affaire Adama Traoré suscite tant d’émoi et de colère, c’est que les déclarations d’Yves Jannier, procureur de la Républiquede Pontoise, sur les circonstances de la mort du jeune homme le 19 juillet dernier lors de son interpellation par les gendarmes à Beaumont-sur-Oise, ont pour le moins été incomplètes, voire sélectives. Retour sur une communication ponctuée d’erreurs et d’omissions : 
"Allé au contact" avec les gendarmes ?
Dès le lendemain des faits, soit le jeudi 20 juillet, Yves Jannier, magistrat en charge du parquet de Pontoise, affirme qu’Adama Traoré est "allé au contact" avec les forces de l’ordre.
Or, les auditions des gendarmes ont été recueillies dans la nuit suivant le décès du jeune homme de 24 ans. Tous trois y racontent une même version, plus complexe que celle avancée par le procureur de la République. Les gendarmes, en mission, cherchaient ce soir-là le grand frère Traoré. Ils sont tombés sur Adama. Au moment où ils enfilent leurs brassards et s’annoncent pour un contrôle, "l’individu à vélo s’enfuit".
"Voyant qu’il ne va pas être assez rapide", il lâche le vélo et continue en courant. Un gendarme le rattrape "dans le parc à côté de la mairie. Il semble obtempérer au contrôle", explique-t-il. "Je lui demande de me présenter une pièce d’identité mais il refuse, me repousse brusquement d’un coup d’avant-bras […] Je le maîtrise sans le frapper […] nous procédons à la pose des objets de sûreté sur l’individu".

Les gendarmes passent les menottes à Adama Traoré, un seul reste avec le jeune homme interpellé. Une personne aurait alors pris à partie le gendarme, permettant à Adama Traoré de s’enfuir à nouveau. Et quand ils le retrouvent dans un appartement, les gendarmes racontent :
"Nous distinguons une forme humaine par terre, comme cachée dans un drap, au pied du canapé. Nous comprenons immédiatement qu’il s’agit de l’individu […] Nous nous jetons sur lui avec mes deux collègues".
L’un des gendarmes dit :
"On se trouvait à trois dessus pour le maîtriser".
Ils le menottent, le palpent.
"A l’issue de la palpation, l’individu indique qu’il a des difficultés à respirer".
Mort d'Adama Traoré : "Il a pris le poids de nos corps à tous les trois"
Détails auxquels Yves Jannier au parquet de Pontoise a accès, puisque c’est lui qui a saisi la Section de recherches de la gendarmerie et l’inspection générale de la gendarmerie nationale pour mener l’enquête.
"Un malaise cardiaque" ?
Toujours le lendemain des faits et dans les jours qui suivent encore, Yves Jannier prétend qu’Adama Traoré a fait "un malaise cardiaque".
Or, rien de probant à ce moment-là ne lui permet de formuler une telle affirmation. Le compte-rendu préliminaire d’autopsie est rédigé le 21 juillet par un médecin légiste de l’Institut médico-légal à l’hôpital de Garches.
Nulle part et d’aucune manière que ce soit, il n’est fait mention d’un "malaise cardiaque" dans ce rapport. Par contre, la première ligne de ce compte-rendu indique clairement : "Absence de cause immédiate au décès". Et la phrase qui suit évoque d’ores et déjà "un syndrome asphyxique spécifique".
"Les pompiers alertés immédiatement" ?
Le procureur de la République de Pontoise a expliqué qu’Adama Traoré "a fait un malaise pendant le trajet dans le véhicule" et que "les pompiers ont été immédiatement alertés".
Là encore, le magistrat est allé trop vite. Dans l’appartement déjà, les gendarmes l’indiquent dans leurs dépositions, Adama Traoré se plaint de "difficultés à respirer" : "Nous le relevons immédiatement". Les gendarmes l’embarquent dans leur véhicule, l’attachent. Ils prennent les coordonnées de la personne chez qui a eu lieu l’interpellation. Puis, le véhicule rejoint la brigade située à quelques minutes de là.
Dans le véhicule, le gendarme adjoint volontaire fait part à ses collègues du fait qu’Adama Traoré "est en train de s’assoupir comme s’il perdait connaissance". Il a "la tête qui part vers l’avant" et "présente les signes d’un malaise". Arrivés à la brigade, les gendarmes sortent le jeune homme de la voiture, et "au moment de le lever, nous remarquons une auréole laissant penser à de l’urine."
"Nous accompagnons l’individu dans sa sortie, il a l’air mou, il n’est pas ferme sur ses appuis, il a besoin d’assistance pour sortir de la voiture […] Au vu de son état, nous décidons de le placer en position latérale de sécurité dans la cour de la brigade".
C’est alors seulement que le chef "demande à un collègue de la brigade de prévenir les secours". Adama Traoré a été contrôlé une première fois à 17h15, puis interpellé peu avant 17h45. Sa mort a été prononcée par le médecin à 19h05.
"Une infection très grave" ?
Le vendredi 21 juillet, Yves Jannier assure que, selon les premiers éléments de l’autopsie, "Adama Traoré souffrait d’une infection très grave touchant plusieurs organes".
Le premier rapport d’autopsie ne fait pas du tout mention d’une telle pathologie, il relève seulement "des lésions d’allures infectieuses (poumons, foie, ganglions cervicaux et de la carène)". Ce qui signifie que des prélèvements plus poussés doivent être réalisés pour déterminer si, au-delà de cette simple apparence infectieuse, un ou plusieurs foyers existent réellement.
Dans ces mêmes conclusions, le procureur de la République n’a pas retenu un point important : "il a été décelé une inhalation de matériel gastrique obstruant partiellement les bronches souches pouvant être en lien avec les manœuvres de réanimation et/ou ayant pu participer au mécanisme du décès". Dans le rapport de la seconde autopsie pratiquée le 26 juillet, les deux médecins légistes de l’Institut médico-légal de Paris notent en caractères gras "l’absence de point d’appel infectieux sévère". Et toujours en caractères gras, il relève "l’absence d’anomalie cardiaque"... Ce que le procureur de la République omet de pointer, alors qu’il affirmait le contraire la veille.
"Un sujet en hyperthermie" ?
Le procureur de la République ajoute que la cause de la mort d’Adama Traoré "semble être médicale chez un sujet manifestement en hyperthermie au moment où il a été examiné par les services de secours".
Ce qui laisse à penser que la victime pouvait avoir de la fièvre. Or, le jour du drame, l’atmosphère était caniculaire. Adama Traoré est resté une heure sur le sol de la cour de la gendarmerie, ce qui peut expliquer que la température du corps était montée à plus de 39 degrés au moment de son décès. Yves Jannier s’est trompé : il n’y a rien de "médical" pour l’heure dans les causes de la mort d’Adama Traoré.

Elsa Vigoureux pour le magazine "l'OBS" le 03 août 2016
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Adama n'est pas le premier, mais, il faut tout faire pour qu'il soit le dernier.
1 mort tous les mois tué par la police française.
Souvenez-vous de Malik Oussekine, Remy Fraisse et des autres victime de la violence policière impunie, couverte par notre gouvernement.
L’affaire Malik Oussekine est une affaire de violence policière française, très médiatisée, ayant entraîné la mort de Malik Oussekine, le 6décembre1986à Paris, après une manifestationétudiante contre le projet de réforme universitaire Devaquet. À la suite de cet événement, le projet de loi a été retiré et son auteur, le ministre délégué Alain Devaquet, a démissionné.

Manifestation contre les Violences Policières Paris/France - 6 Décembre 2014
Cérémonie rue Monsieur Leprince, en mémoire de Malik Oussekine victime de violences policière en 1986. Un hommage était également rendu à toutes les autres victimes de violences policières anciennes ou plus récentes.
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Rémi Fraisse : "Il est mort, le mec, là !" Les conversations des gendarmes révélées
La vidéos des témoins a disparue, mais, il y a le compte rendu qui suit.
Selon les enregistrements, Rémi Fraisse s'effondre dans la nuit du 25 au 26 octobre entre 1h40 et 1h50. A 1h53, un militaire ordonne de "stopper les F4". Les F4 désignant les grenades offensives dont l'usage est désormais suspendu. "Il est là-bas le mec. OK, pour l'instant, on le laisse", continue-t-il selon les enregistrements que se sont procurés les journalistes du Monde.
"Il est décédé le mec ! Là c'est vachement grave..."
Un gendarme se veut rassurant : "C'est bon, il va se relever !". Sept minutes plus tard, à 2h, un peloton part récupérer le corps de Rémi Fraisse. 
Ils auraient pu le ranimer !
Sur le procès-verbal, les enquêteurs de la section de recherche de Toulouse notent que le chef de l'unité demande à un de ses hommes de "soutenir ceux qui sont allés chercher le manifestant". Sans préciser pour autant ce en quoi cela consiste.
Bernard Cazeneuve : "L'autorité judicaire est pleinement maîtresse de l'enquête". Ce qui veut dire qu'ils prennent le temps de maquiller les faits. Comme je vous le dit, j'ai donné des cours à la police et ils m'en ont raconté des histoires comme celle-là !
Une fois le corps récupéré, l'inquiétude monte : "Il respire ou quoi ?". Selon le procès-verbal, l'infirmier aurait tenté les gestes de premiers secours. A 2h03, la panique remplace l'inquiétude : "Il est décédé le mec ! Là c'est vachement grave... Faut pas qu'ils le sachent ", s'écrit un gendarme faisant référence aux manifestants. "Il fallait éviter que ceux qui agressaient les gendarmes ne redoublent d'ardeurs en apprenant la mort de Rémi Fraisse."
Des révélations qui jettent un nouveau froid dans une affaire où les autorités ont largement failli dans leur communication. Il avait d'ailleurs été reproché à Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, d'être resté silencieux pendant plus de 48h.

Rémi Fraisse avait les mains en l’air quand il a été tué par la grenade d'un gendarme par Michel Delean article publie le dimanche 27 mars 2016.
Cazeneuve/Hitler était déjà aux commandes. Démission !!!
" L'État a, pour moi, fait prendre des risques aux forces de l'ordre et aux personnes qu'elles affrontaient"
Plus de 700 grenades lancées
C’est grâce à un appel à témoins lancé par les parents de Rémi Fraisse, et à la ténacité de leurs avocats (Claire Dujardin, Arié Alimi et Étienne Noël, ce dernier ayant remplacé Éric Dupond-Moretti), que ces protagonistes ont pu être retrouvés. La plupart d’entre eux n’avaient pas été interrogés par les gendarmes de la section des recherches (SR) de Toulouse, chargés de l’enquête – ils n’y tenaient d’ailleurs pas forcément –, mais ils ont accepté de parler à des juges indépendants.
selon plusieurs militants, ce alors que l’arrivée de petits groupes violents était prévue par le service départemental du renseignement territorial.
Je pense que ces groupes comme les Femens sont payés grassement pour semer le trouble. Quand on les voit lors des manifestations, ça en fait aucun doute.
La suite :

Mort de Rémi Fraisse : portrait d’un jeune homme "pacifiste"
 La manifestation des 25 et 26 octobre 2014 contre le barrage de Sivens constitue le point d'orgue d'un mouvement de contestation du projet de barrage de Sivens envisagé sur le cours du Tescou, un affluentdu Tarn dans le bassin de la Garonne. Elle a lieu sur le territoire de la commune de Lisle-sur-Tarn dans le Tarn.
Commencée dans le calme, la manifestation évolue dans la nuit du 25 au 26 en affrontements violents entre des activistes et les forces de l'ordre. Le 26 vers 1 h 50, un tir de grenade offensive tue Rémi Fraisse, un militant écologiste de 21 ans qui avait rejoint le mouvement dans l'après-midi.
Les conséquences immédiates sont la suspension des travaux et l'interdiction définitive de l'usage des grenades offensives dans l'exercice du maintien de l'ordre.

VIDEO. Mort de Rémi Fraisse : des vidéos amateurs retracent les faits

Barrage de Sivens : le père de Rémi Fraisse assure que son fils n'était pas violent

Barrage de Sivens : le gendarme responsable de la mort de Rémi Fraisse devant la justice
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Les policiers devraient se méfier, ils ne sont pas invulnérables.
Une vidéo montre l’assaut contre la voiture de police incendiée à Paris
Ce jour-là, j'avais prévenu plusieurs brigades autour de la Place de la République lors de la manifestation des policiers le 18 mai 2016, que des casseurs se rassemblaient près de là. Comme d’habitude, ils ont laissé faire. mais cette fois les casseurs s'en sont pris à leurs collègues et pas aux banques.
Ils disent 2 policiers blessés. C'est faux !
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* Poème de Martin Niemöller
Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n'ai rien dit,
Je n'étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n'ai rien dit,
Je n'étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n'ai pas protesté,
Je n'étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n'ai pas protesté,
Je n'étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester


 
 Martin Niemöller (14 janvier 1892 - 6 mars 1984) est un pasteur et théologien allemand. Il combat lors de la Première Guerre mondiale. Après celle-ci, bouleversé par les horreurs qu’il a vécu, il s’oriente vers la théologie et devient pasteur.
Il admire le régime hitlérien à ses débuts, mais quand celui-ci veut soumettre l’église allemande, Martin Niemöller demande à tous les pasteurs qui ne veulent pas accepter l’idéologie nazie de se rassembler afin de créer le Pfarrernotbund (Ligue d’urgence des pasteurs). Cette organisation respecte et défend la profession de foi de l’Église Réformée et les principes de tolérance de la Bible.
À la fin de 1933, six mille pasteurs (plus d’un tiers des pasteurs protestants) ont rejoint l’organisation. Le Pfarrernotbund reçoit également le soutien de protestants de l’étranger.
L’organisation adresse alors au synode une lettre dénonçant les persécutions dont sont victimes les juifs et les pasteurs qui ne veulent pas se plier aux ordres des nazis.
En représailles, Martin Niemöller est déchu de ses fonctions de pasteur. La plupart de ses paroissiens lui restant fidèles, il continue d’assurer son ministère.
Arrêté en 1937, il est interné au camp de concentration de Sachsenhausen. En 1941 il est transféré au camp de Dachau. Libéré en 1945, il devient militant pacifiste et consacre le reste de sa vie à la reconstruction de l’Église protestante d’Allemagne.


Pour ceux qui ont aimé ces disparus

VANESSA PARADIS - LA MINUTE DESILENCE



Un autre de nos frères qu'ils ont assassiné comme tant d'autres.

Mais ils sont venus pour nous interpeller. Nous faire réagir.

Réaction de Goldman et Berger à la mort de Balavoine



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