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+28/07 -ATTENTATS : LAURENT WAUQUIEZ
APPELLE MANUEL VALLS ET BERNARD CAZENEUVE
À LA DÉMISSION.

"Gloire aux pays où l'on parle", Honte aux pays où l'on se tait" - Georges Clemenceau relayé par Nicolas Dupont Aignan. (voir plus bas)

Journal "LE MONDE" -  28.07.2016
Dans un entretien accordé au Figaro du jeudi 28 juillet, le vice-président délégué du parti Les Républicains (LR), Laurent Wauquiez, estime que « [le premier ministre] Manuel Valls et [le ministre de l’intérieur] Bernard Cazeneuve doivent partir parce qu’ils refusent de prendre les mesures indispensables pour combattre l’islamisme ».
Après les attentats de Nice (le 14 juillet) et de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime, le 26 juillet), celui qui est par ailleurs président de la région Auvergne-Rhône-Alpes réclame « un nouveau gouvernement, déterminé à agir » :
« Si le gouvernement n’est pas responsable de la vague terroriste, il est coupable de ne pas avoir tout fait pour l’empêcher. Aujourd’hui, il apparaît clairement que le premier ministre et le ministre de l’intérieur ne sont pas capables de changer de ligne. Parler de guerre n’a de sens que si on est prêt à la mener. Ce n’est visiblement pas le cas du premier ministre, qui nous explique qu’il faut s’habituer au terrorisme. »
C’est la première fois qu’un responsable politique de ce niveau, à droite, demande la démission du ministre de l’intérieur et du premier ministre. Jusqu’à présent, seul le Front national (FN) avait réclamé la tête de M. Cazeneuve, uniquement. Même si, après les révélations du quotidien Libération sur les louvoiements de la communication de la Place Beauvau au sujet du dispositif de sécurité à Nice, le 14 juillet, Eric Woerth, le secrétaire général de LR et député de l’Oise, avait déclarré : « Si certains ont menti, il y a une chaîne de commandement et les responsabilités doiventêtre engagées. »
Georges Fenech, député (LR) du Rhône et président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, avait été plus direct, mais pas encore définitif : « Désormais, la question de la démission du ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, est inévitablement posée. »
« Cela suppose d’adapter la Constitution »
Le 20 juillet, une intervention à l’Assemblée nationale de M. Wauquiez, également député de Haute-Loire, avait provoqué une violente passe d’armes avec M. Valls. Lors du débat sur la loi de prorogation de l’état d’urgence, le numéro deux des Républicains défendait le principe de centres de rétention pour les « suspects » d’actes terroristes, une proposition reprise aujourd’hui par l’ancien chef de l’Etat, Nicolas Sarkozy. « Nous disons : il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la République », avait-il expliqué, sous des huées à gauche.

M. Valls avait dénoncé des propos « inadmissibles » :
« Je ne crois pas que ce soit un dérapage de votre part, je pense que c’est une stratégie de votre part, que je ne confonds pas avec la droite républicaine. Cette stratégie, elle vous emportera.»
«La France dont je dirige le gouvernement ne sera pas celle où seront instaurés des centres où l’on enferme de manière indéterminée, pour un temps indéterminé, des individus que l’on suspecte », avait ajouté le chef du gouvernement, selon qui « la notion même de suspect a entraîné ce pays à des moments donnés, dans son histoire au cours des deux derniers siècles, dans le pire».
Sur cette question, le gouvernement avait saisi le Conseil d’Etat après les attentats à Paris et à Saint-Denis en novembre 2015. Ce dernier avait rendu dans la foulée un avis consultatif, publié le 23 décembre. La réponse était catégorique : selon la Constitution et la Convention européenne des droits de l’homme, « il n’est pas possible d’autoriser par la loi, en dehors de toute procédure pénale, la rétention, dans des centres prévus à cet effet, des personnes radicalisées ».
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Valls ne manque pas d'air, surtout que lui tremble de plus en plus. Ils ont peur. La peur change de camp. 
Laurent Wauquiez a appris l'arabe au Caire et est agrégé d'histoire.
Gros clash entre Laurent Wauquiez et Manuel Valls - ZAPPING ACTU DU 20/07/2016
L'état d'urgence a été prolongé, après le vote de l'Assemblée Nationale dans la nuit de mardi à mercredi 20 juillet. Si le texte a été voté, cela n'a pas empêché de nombreux débats entre le gouvernement et l'opposition.

"L’assistanat est le cancer de la société."
"Il n'y a pas de fatalité dans la décadence".

Autre vidéo de Laurent Wauquiez ici :

Puy en Veulay dont il était maire. Point de départ du pèlerinage de Compostelle.

Il pourrait faire comme Poutine, se placer près de Sarkozy pour imposer après une toute autre politique.

Ici une super vidéo d'"envoyé spécial" qui le suit pendant 6 jours.
On y voit la droite et le FN le bouder en bons politichiens qu'ils sont....Lui est de notre coté, pas de droite ou autre.
ici une vidéo d'1/2h qui veut pourtant le montrer comme un arriviste et voient une visée politique dans ses moindres mots et paroles. Les agriculteurs ne s'y trompent pas.
Jugez vous-même avec votre âme. Oui, il aime parler de Sœur Emmanuelle comme j'aime parler de Mère Térésa. Et alors ! 
Une femme dit ne pas avoir vu Laurent Wauquiez. Ayant vécu en Inde et connu des personnes comme ces 2 belles âmes, j'ai constaté que les personnes qui étaient proches d'elles et responsables de leur agenda n'étaient pas de belles personnes. Efficaces pour l'administration seulement mais imbues de leur place et descendant ceux qui sont proches par le cœur de ces personnes.

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Prorogation de l’état d’urgence : Intervention de Nicolas Dupont-Aignan à l'Assemblée Nationale
"Gloire aux pays où l'on parle", Honte aux pays où l'on se tait" - Georges Clémenceau
Le Mardi 19 juillet 2016, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et candidat à l'élection présidentielle de 2017 intervenait à l'Assemblée Nationale à l'occasion de la séance consacrée à la prorogation de l’état d’urgence.
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Un beau discours du pape François :
Prêtre assassiné: le monde est "en guerre" estime le pape
Extraits de son discours : Le pape François a estimé mercredi, au lendemain de l'assassinat d'un prêtre en France, que le monde était "en guerre", mais, a-t-il souligné, pas en guerre de religions.
Puis, dans son premier discours prononcé à Cracovie, il a appelé les Polonais à "dépasser les peurs" et à accueillir "ceux qui fuient la guerre et la faim", abordant d'emblée la question des réfugiés, sujet délicat pour Varsovie.
"Le monde est en guerre parce qu'il a perdu la paix", a ajouté le souverain pontife. Mais, "quand je parle de guerre, je parle d'une guerre d'intérêts, d'argent, de ressources, pas de religions. Toutes les religions veulent la paix, ce sont les autres qui veulent la guerre".
"On répète le terme d'insécurité, mais le vrai terme est la guerre. Depuis longtemps le monde est en guerre fragmentée. La guerre qui était celle de 1914, puis de 39-45, et maintenant celle-ci".
Le pape utilise souvent le terme de "guerre fragmentée" ou "guerre en morceaux", pour décrire, semble-t-il, une guerre composée de différents événements et phénomènes violents à travers le monde.
Je ne peux que répéter ce que je dis toujours: nous nous ne refusons notre aide à personne. Si quelqu'un veut venir chez nous, surtout s'il est réfugié, fuit la guerre, veut avoir la vie sauve, il sera certainement accueilli", a affirmé M. Duda. Mais "nous ne sommes pas d'accord pour qu'on impose des gens en Pologne par la force", a-t-il ajouté, dans une allusion au système de quotas de migrants de l'UE, refusé par Varsovie.



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