26/06 - SORTIE DE L'EUROPE, UNE BONNE PANDÉMIE.
Mais, Les anti-Brexit appellent à créer la République de Londres.drapeau monde
NOUVEAU COUP DE THÉÂTRE SUR L’EURO-TITANIC !
Le bobard de «l’Apocalypse en cas de sortie de l’euro» s’effondre.
Les journalistes français essaient pourtant de contaminer nos mais anglais. C'est leur travail, ils sont payés par le pouvoir en place pour ça !
BFM et Ruth Elkrief se sont déplacés en Angleterre pour leur communiquer leur panique devant leur sortie de l'Euro et les "grandes catastrophes" que cela va impliquer.
BFM et Ruth Elkrief se sont déplacés en Angleterre pour leur communiquer leur panique devant leur sortie de l'Euro et les "grandes catastrophes" que cela va impliquer.
Que font-t-ils du flegme britannique ?
Oui, les londoniens ont voté en majorité pour le non, mais ils sont les plus influencés par les médias qui ont propagé une vague de PEUR. De plus un petit trucage des votes est loin d'être impossible, il est même certain. L’assassinat de cette député Jo Cox et le vote d'un maire musulman. Ils auront tout essayé.
Le monde sort enfin de la peur dans laquelle on les a plongé depuis si longtemps. Il va falloir qu'ils s'y fassent, ça marche de moins en moins.
Le monde sort enfin de la peur dans laquelle on les a plongé depuis si longtemps. Il va falloir qu'ils s'y fassent, ça marche de moins en moins.
- Au Pays Bas, le député d’extrême droite néerlandais Geert Wilders a réclamé vendredi un référendum sur une éventuelle sortie des Pays-Basde l’Union européenne (UE). «Les Néerlandais ont le droit à un référendum aussi. Le Parti pour la liberté demande ainsi un référendum sur un “Nexit”, une sortie néerlandaise de l’UE», a-t-il déclaré dans un communiqué. En Italie, alors que le chef du gouvernement Matteo Renzi n’a toujours pas commenté les résultats du vote, Matteo Salvini, le leader du parti autonomiste et anti-immigrés de la Ligue du Nord a été le plus prompt a réagir ce matin en saluant «le courage» des Britanniques : «Maintenant c’est à notre tour».
- La Finlande annonce officiellement qu’elle préfère sortir de l’euro plutôt que de payer les dettes des autres
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Les coups bas n'empêchent plus l'élan du peuple vers la liberté.
Il y avait eu cette élection (truquée?) : Sadiq Khan, premier maire musulman de Londres élu le 5 mai 2016 avec 57 % des voix,espoir des pro-Européens ?
Sadiq Khan dit dans son discours que Londres est la plus grande ville du monde. Faire vibrer la corde sensible pour emmener la foule dans le mur..
"Il est clair que la campagne contre le Brexit, portée aussi bien par David Cameron que par Jeremy Corbyn, et désormais par le nouveau maire de Londres, manquait de souffle. Elle était cantonnée à un débat pragmatique et technique à l’anglaise, à un calcul coût/avantage qui ne parvenait pas à soulever les foules ni à conférer un avantage définitif au camp du oui européen. Or, le débat sur le référendum est très irrationnel et comprend des enjeux affectifs importants pour les électeurs. L’aspect émotif avait jusqu’alors été presque exclusivement capté par la campagne favorable au Brexit, et notamment par l’ancien maire Boris Johnson, qui a su attiser les peurs.
L’enjeu pour le camp du «Bremain» était donc d’éviter d’être une campagne essentiellement technique et soutenue par le pouvoir en place. Cela place en effet le oui à l’Union européenne dans le camp de la raison plutôt que dans le camp du cœur, privilégié par les soutiens au Brexit. Et ce d’autant plus que Jeremy Corbyn est empêtré dans des divisions internes à son parti.
L’élection du maire de Londres peut de ce point de vue donner un nouvel élan à cette campagne. David Cameron a également tenu un discours cette semaine au British Museum appelant à la fois au sens commun britannique – en évoquant les fermiers et les compagnies aériennes – et au cœur, en prenant des accents lyriques pour faire référence aux grandes figures historiques du Royaume-Uni, à Churchill, ou au rôle de l’Union européenne dans la préservation de la paix et de la prospérité sur le continent.
Dans un début de campagne plutôt favorable au Brexit, du fait des défections des membres du cabinet de Cameron, de la prise de position de Boris Johnson et du côté émotionnel de la décision de se séparer ou non de l’Union européenne, les opposants au Brexit ont l’occasion de démontrer que le camp adverse n’a pas le monopole du cœur, en sus de ne pas avoir celui de la raison économique. Or, plus la date du référendum s’approche, plus la raison risque de prendre le pas sur le cœur."
Londres l’une des villes les plus cosmopolites du monde. Près de 37 % de ses 8,7 millions d’habitants sont nés hors du Royaume-Uni (contre 18 % en Ile-de-France).
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Brexit: des Britanniques demandent un nouveau référendum
Au lendemain du vote historique qui a révélé la volonté du Royaume-Uni de quitter l’UE, nombreux sont ceux qui s’insurgent contre ce résultat et exigent de leur donner une seconde chance.
Les Britanniques ont fait hier leur choix: 52% ont voté contre l'UE, une procédure de retrait devra donc être prochainement lancée. Or, ceux qui ne veulent pas accepter ce scénario cherchent toujours à se faire entendre. Aujourd'hui, ils se mobilisent pour exiger la tenue d'un nouveau référendum, comme en fait foi une pétition publiée sur le site du parlement du Royaume-Uni qui a recueilli plus de trois millions de signatures.
Les auteurs de l'initiative appellent le gouvernement à appliquer la règle suivante: si le nombre d'électeurs qui se sont prononcés pour ou contre le Brexit est inférieur à 60% et que le taux de participation ne dépasse pas 75%, alors un nouveau vote doit être organisé.
Pour l'heure, la pétition a recueilli plus de 650.000 signatures, ce qui dépasse six fois le minimum nécessaire.
La pétition n'est d'ailleurs pas unique en son genre. La veille, les opposants au Brexit ont adressé une autre pétition au maire de Londres Sadiq Khan afin qu'il proclame l'indépendance de la capitale britannique. Le nombre de signatures récoltées par le document a déjà dépassé les 100.000.
© Sputnik.
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Les anti-Brexit appellent à créer la République de Londres
"La pétition appelle le maire Sadiq Khan à proclamer Londres indépendant et à l'autoriser à rejoindre l'UE, y compris à adhérer à l'espace Schengen", est-il dit. "Maire Sadiq, voudriez-vous devenir le président Sadiq? Traduisez-le en réalité!"
La plupart des signataires affirment qu'ils se sentent plus Européens que Britanniques.
Big bang au Royaume-Uni ?
Il suffit de regarder une carte des votes pour comprendre à quel point le Royaume Uni est divisé sur le Brexit. Londres, l'Irlande du Nord, et l'Écosse étaient contre, les campagnes anglaises étaient pour. Ainsi, les partisans du « Remain » étaient plus 60 % à Londres, ville cosmopolite par excellence. Les adversaires du Brexit viennent d'y réclamer au nouveau maire Sadiq Kahn un «Lexit» : «Déclarer Londres indépendante du Royaume-Uni et poser sa candidature pour rejoindre l'UE». Leur pétition recueille déjà 60 000 signatures. En Écosse, la Première ministre Nicola Sturgeon a annoncé que son gouvernement cherchait à ouvrir des «discussions immédiates» avec Bruxelles pour «protéger sa place dans l'UE» tout en préparant les bases légales d'un deuxième référendum sur l'indépendance. L'Irlande du nord veut elle aussi rester dans l'UE, et le Sinn-Fein, (la vitrine politique de l'IRA) a annoncé qu'il souhaitait lui aussi un référendum sur la réunification de l'île d'Irlande qui s'était enfin apaisée après 30 ans de guerre de religion. Enfin, il y a le cas du rocher de Gibraltar, territoire britannique, et le Brexit donne prétexte à Madrid de demander sa restitution à l'Espagne...
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Comme en 2005, à l'époque du référendum sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, les médias ont joué à fond leur rôle : assurer la propagande de l'Union européenne. En dépit de tous leurs efforts, de concert avec les politiciens européistes, ils ont échoué à empêcher le Brexit.
Sur BFM TV, la journaliste Roselyne Dubois, dépitée, lâche le morceau ; elle reconnaît que sa fonction est de manipuler l'opinion : « Nous médias comme vous élus n’arrivons pas à passer l’idée que l’Europe apporte quelque chose. Que faut-il changer ? Il y a un vrai mea culpa à avoir ! » L'aveu est fascinant dans sa naïveté même : la journaliste ne trouve rien d'anormal à nous déclarer qu'elle se charge de la communication de l'UE. Cela va de soi pour elle.
Et son incompréhension (pourquoi notre propagande, pourtant si active, n'a-t-elle pas fonctionné ?) révèle l'incompréhension entre deux peuples, de plus en plus distincts sur tout le continent européen, celui d'en haut et celui d'en bas, pour reprendre l'expression de Jean-Pierre Raffarin.
Audrey Pulvar, sur Europe 1, a osé déclarer : "La presse anglaise a une énorme responsabilité dans ce résultat." Il est vrai que le Sun, plus gros tirage d'Angleterre, a pris parti pour le Brexit. En revanche, cela ne la gêne pas le moins du monde que près de 100 % de la presse française se soit prononcée contre le Brexit. (super lavage de cerveau pour la France !) On ne peut, pour le coup, que souscrire à l'ironie de Jean-Yves Le Gallou, présentateur de l'émission de décryptage I-Média sur TV Liberté qui dit "la presse anglaise a une responsabilité majeure dans le résultat". Scandale: elle a donné la parole aux deux camps!: