22/05 - UN AUTRE AVION ABATTU.
PAR VETERAN TODAY.
Par Jim W. Dean, Rédacteur en chef, le 20 mai 2016
Ce groupement a des spécialistes en tout genre et est ainsi apte à comprendre le pourquoi de toutes ces manigances.
Il est à nouveau question de Mr Keshe et de sa technologie.
Évitez de prendre l'avion, de plus notre planète s'en trouvera mieux et nous aussi. J’habite près d'un aéroport parisien...
Il y a toujours plusieurs raisons pour choisir un avion plutôt qu'un autre. Ils en profitent pour se débarrasser de personnes gênantes. qui était touché cette fois ?
Évitez de prendre l'avion, de plus notre planète s'en trouvera mieux et nous aussi. J’habite près d'un aéroport parisien...
Il y a toujours plusieurs raisons pour choisir un avion plutôt qu'un autre. Ils en profitent pour se débarrasser de personnes gênantes. qui était touché cette fois ?
Eh bien, cela ne s’invente pas. Est-ce que quelqu’un a décidé de faire coup double sur l’Égypte en abattant un nouvel avion, cette fois au-dessus de la mer où les preuves matérielles sont beaucoup plus difficiles à retrouver.
A partir des analyses passées, nous avons appris que ces incidents ne se produisent jamais au hasard du calendrier, mais sont liés à un évènement en cours ou prochain.
La confusion fait toujours partie du plan, et donc nous avons eu droit au faux rapport que des débris de l’avion avaient été retrouvés au large d’une île Grecque (Karparthos). Et comme lors de la perte du précédent avion Égyptien, nous avons vu les autorités confirmer et puis infirmer certains des premiers rapports. Quand apprendront-ils que les enquêtes sur les accidents d’avion ne sont pas une course, et qu’il faut attendre que les informations soient vérifiées avant de les publier ?
Le lieu où l’avion s’est écrasé, se situe dans des eaux d’une profondeur de près de 3 000 mètres, et oui … c’est la partie la plus profonde de la Méditerranée. Cela pourrait-il être une coïncidence ? Récupérer les boîtes noires s’avérera extrêmement difficile.
Et Gordon Duff, rédacteur :
Notre source nous révèle que la déclaration de Donald Trump, qui dit qu’il savait qui avait abattu l’avion Égyptien, cache une histoire assez intéressante. Et si Donald Trump était financièrement vulnérable, une vie entière d’affaires pas nettes, de faillites et ce, confiant à d’autres la gestion de ses affaires pendant qu’il juge des concours de beauté et participe à des émissions de TV ?
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Sheldon Adelson à droite |
Et si Sheldon Adelson, le caïd des jeux de Las Vegas qui finance les Likoudistes Israéliens, ceux que nous croyons être responsables du 11 septembre, des tueries de Charlie Hebdo, de la présidence illégale de Bush et de tant d’autres choses, était venu au secours de Trump, qui avait convaincu beaucoup de gens qu’il voulait tenir tête à Israël ?
Et si Trump, étant ce qu’il est, un vantard dans l’âme, avait été mis au courant de la façon dont Israël pourrait utiliser un de ses missiles Barak 8, récemment testés en Méditerranée orientale sur l’INS Lahav, et avait décidé de réitérer le coup du MH17 dont certains, ceux qui ont les bonnes sources, croient également qu’il a été organisé par Israël, avec des tirs «air-air» déclenchés par une paire de chasseurs de Kiev guidés vers le MH17 par un AWACS Israélien provenant d’Azerbaïdjan ?
Trump prévient qu’il y aura d’autres avions qui tomberont.
Sa nouvelle source d’information provient bien sûr des copains d’Adelson à Tel Aviv.
Pour plus d’antécédents, revenons en Roumanie, à Constanta, où l’Amérique avait secrètement relocalisé son système radar AEGIS basé à terre, celui qui se trouvait auparavant dans le New Jersey pour protéger le Pentagone, le Capitole et la Maison Blanche de petits avions de ligne déguisés en missiles de croisière comme celui qui s’était écrasé dans le Pentagone le 11 septembre 2001.
La deuxième partie de ce système consistait en un système JLENS intégré dans un aérostat/ballon qui a été récemment saboté. Etant un de ceux qui sont habitués des plateformes LTA (plus léger que l’air) par Adamus, Airship management et ADS, nous suivons ces choses de près.
Il y a beaucoup en arrière-plan là, Obama mettant Israël sous pression en enlevant les deux destroyers AEGIS qui constituaient la base du pseudo-système « Iron Dome » (Dôme d’acier) de défense aérienne, qu’Israël a utilisé pour défier l’Iran de réduire à néant l’Etat Juif depuis un certain moment.
Puis nous arrivons au USS Donald Cook, le navire équipé du système AEGIS qui a été «crevé par Keshe» en Mer Noire, ce qui est peut-être la raison pour laquelle les Etats-Unis ont maintenant publiquement reconnu l’existence du système-radar secret en Roumanie.
Vous voyez, il existe des traités de restriction, qui empêchent les Etats-Unis de maintenir suffisamment de navires de défense antiaérienne AEGIS en Mer Noire en soutien des opérations de combat en Ukraine ou pour menacer les capacités des missiles de la Russie.
AEGIS n’est pas un système «autonome», mais utilise une capacité « d’essaims » pour suivre des cibles. Les Etats-Unis ne peuvent maintenir légalement* deux navires équipés du système AEGIS en Mer Noire, donc ils ont officiellement annoncé le système installé en Roumanie.
*Les traités concernent la restriction de navigation des navires de guerre appartenant à des pays non-riverains de la Mer Noire. La Roumanie étant un riverain de la Mer Noire, la restriction ne s’applique pas.
Remarquez que la capacité AEGIS était pleinement opérationnelle, y compris le système basé à terre à Constanta en Roumanie, lorsque le MH17 a été descendu. Le système AEGIS a tout enregistré dans les moindres détails et pouvait facilement faire la distinction entre des missiles et des avions. Franchement, le système AEGIS aurait pu et dû empêcher entièrement l’incident, dès qu’il a constaté que le MH17 était repéré par les radars, soit des avions en approche ou du système de missile BUK imaginaire.
Peut-être Trump a-t-il raison et que ses nouveaux partenaires Israéliens vont descendre des avions de ligne ici et là ou qu’ils planifient un nouveau 11 septembre. Avec le contrôle qu’ils exercent sur le Congrès et leur capacité à garder toutes les enquêtes sous le manteau ainsi que leur capacité à diffuser un discours fictif dans le public, peu importe son absurdité, nous avons quelques journées intéressantes devant nous.
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La marine israélienne commence à installer des missiles Barak 8 sur les corvettes Sa’ar 4.5
Yaakov Lappin, Tel Aviv – IHS Jane’s Defence Weekly –
Israël va transformer ses corvettes lance-missiles Sa’ar 4.5 afin qu’elles puissent utiliser le système de missiles antiaériens Barak 8 – Source : Wikipedia Commons–
La marine Israélienne va bientôt entamer un programme de transformation de ses corvettes lance-missiles Sa’ar 4.5 pour leur permettre d’être équipées du système de missiles antiaériens Barak 8 fabriqués par Israël Aerospace Industries (IAI), a annoncé une source de la marine Israélienne le 7 février.
Le programme de transformation, destiné à être achevé en l’espace de deux à trois ans, permettra d’équiper tous les navires de classe Sa’ar 4.5 de lance-missiles Barak 8 et d’une nouvelle version du radar STAR Elta EL/M 2248 MF d’Israël Aerospace Industries.
Les transformations des navires Sa’ar 4.5 sont annoncées alors que la marine prévoit d’achever les améliorations des corvettes de classe Sa’ar 5 plus lourdes d’ici un an, leur permettant à toutes d’utiliser le missile Barak 8. Actuellement, le système est déjà installé sur un vaisseau Sa’ar 5, l’INS Lahav, qui a effectué des essais de tir opérationnels en Novembre.
Jim et Gordon à suivre …
Comme toujours, les familles angoissées espèrent un miracle
Le Caire avait d’abord confirmé le rapport Grec sur les débris avant que les Grecs n’annoncent ensuite, que les débris repérés auparavant n’appartenaient finalement pas à un avion. Donc il faut se demander comment Le Caire a pu confirmer quelque chose qui était aussi distant.
Ce matin nous semblons disposer d’une confirmation fiable dans une zone au nord d’Alexandrie, des débris, des coussins de siège flottants, des parties de corps, un rayon de recherche qui s’organise autour d’une nappe de carburant repérée par satellite, et le début de la recherche des boîtes noires. Mais c’est là que le mystère s’épaissit.
On voit jaillir du chapeau, le cheval de course présidentiel Donald Trump qui prend la tête du peloton. Il prétend déjà connaître celui qui a abattu l’avion (mais ne nous le dira pas), prétendant qu’il s’agissait de terroristes, puis il en a plus à révéler.
Il nous annonce qu’il y aura d’autres avions abattus, et va encore plus loin.
Il nous dit que cela va déclencher une récession mondiale parce que tout le monde aura peur de prendre l’avion, une récession comme nous n’en avons encore jamais vue.
Donc, qu’avons-nous là ? Avons-nous seulement Trump, fidèle à son personnage indigne d’un candidat à la présidentielle, qui est à l’affût de tout évènement qui lui permet de bénéficier d’une publicité gratuite ? Mais pourquoi le ferait-il, maintenant qu’il est pratiquement assuré de sa nomination, en étant si agressif sur cette histoire d’avion Égyptien ? Quelles autres motivations pourraient entrer en jeu ?
Sur la liste des choses à vérifier, toujours en tête de liste, figure l’argent … y en a-t-il qui soit récemment arrivé ou qui soit recherché par quelqu’un pour prouver sa valeur à l’avenir ? Tout de suite nous tombons sur Shelly Adelson qui a promis 100 millions de $, et que beaucoup considèrent comme un truand international capable de tout.
Adelson est également un fervent supporter de Netanyahou et du parti Likoud en Israël et a tous les fournisseurs de la sécurité et du renseignement gouvernementaux ou non-gouvernementaux qui font la queue pour pouvoir figurer sur sa liste du personnel en se montrant «utiles». Israël a été lentement pris en étau par des factions de l’UE et de la communauté internationale pour ses déclarations de plus en plus éloquentes sur l’impasse à propos des territoires occupés et des colonies juives, et qui devenaient un tantinet trop arrogantes comme certains pourraient le formuler.
Cela nous amène à un très étrange reportage de Reuters du 18 mai sur un nouveau système offshore de missiles d’interception Iron Dome ayant terminé ses essais avec succès deux semaines auparavant, et conçu pour protéger les plateformes de gaz offshore au large de la côte sud d’Israël et de Gaza, essais au cours desquels plusieurs «missiles balistiques» de courte portée auraient été tirés à partir d’un «navire en mouvement».
La pièce maîtresse d’un «dôme d’acier» n’est pas tant les missiles, mais le système-radar et le logiciel qui le gère.
Mais nous avons remarqué quelques bizarreries à ce propos. Ce type de «système», c’est le terme utilisé, aurait été mieux placé sur la plateforme externe elle-même au lieu d’un navire pour se défendre contre les fusées artisanales tirées à partir de Gaza. Et prétendre que les gazoducs sous-marins pourraient être vulnérables à quelque chose qui a une force explosive d’un mortier est évidemment ridicule.
Est-ce que les Sionistes pensent réellement que nous allons gober le fait qu’ils construisent et font de la rétro-ingénierie de navires équipés d’une imitation de système AEGIS pour protéger des gazoducs sous-marins de roquettes tirées à partir de Gaza qui sont souvent incapables de toucher une ville entière ?
Cher Israël, si quelqu’un voulait couper vos gazoducs sous-marins, il utiliserait des torpilles drones sous-marines. Et s’il n’en dispose pas, il lui suffirait de sous-traiter le travail à quelqu’un qui en a, peut-être même à vous, étant donné l’excellente expérience reconnue en la matière.
Donc ce canular a été publié pour faire diversion par rapport au véritable objectif d’une plateforme de systèmes d’armes extrêmement coûteuse.
Et deuxièmement, le véritable «Iron Dome» dont ils veulent nous faire croire qu’ils parlent est celui qui requiert que deux destroyers Aegis soient capables de trianguler la position cible de missiles en approche. Un seul navire ne peut le faire, alors qu’ils prétendent que c’est tout ce qu’ils ont utilisé. Donc quelqu’un cherche à nous faire marcher à ce sujet.
La preuve se trouve plus au nord en Mer Noire, où le même problème se posait à deux destroyers AEGIS avec leurs puissants radars à longue portée qui étaient nécessaires pour former un véritable bouclier radar à longue portée.
En raison des restrictions du nombre de navires que les États-Unis étaient autorisés à déployer sur place, un seul navire AEGIS était présent habituellement, ce qui ne servait à rien étant donné que le rôle défensif qui leur est assigné en exigeait deux. Nous pensons qu’il s’agissait simplement de montrer le pavillon.
Mais si un autre système avait été installé près de trois ans auparavant en Roumanie, cela ferait la paire, en ne nécessitant qu’un seul navire pour fournir la capacité de défense que devaient procurer les milliards dépensés pour construire les 26 destroyers américains Aegis. Cela ferait de la récente déclaration, de l’entrée en service opérationnel de la base roumaine une simple formalité.
Était-elle vraiment opérationnelle il y a plusieurs années ? Revenons à l’incident de l’USS Donald Cook en Mer Noire, dont l’électronique avait été mise hors service par la nacelle de contremesures électroniques d’un seul bombardier Sukhoï Russe non-armé lors de survols successifs. Cela aurait éliminé un des deux radars nécessaires, rendant le système basé à terre inefficace.
La Russie a montré aux États-Unis qu’elle était au courant du rôle joué par le système opérationnel à terre, et qu’elle pouvait mettre hors service la composante navale si nécessaire. La question qui se posait était de savoir si un système de brouillage Russe pouvait se rapprocher suffisamment pour être efficace avant d’être abattu ? On n’en a pas fait grand cas du côté Américain car les Russes auraient pu révéler publiquement l’existence du système opérationnel en Roumanie.
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USS Donald Cook |
En conclusion nous nous trouvons avec un avion de ligne Egyptien qui s’est écrasé dans les parages d’une zone où un nouveau système opérationnel Israélien «Iron Dome» est installé aux mains d’équipages inexpérimentés. Nous savons qu’il ne fonctionne que s’il y a deux stations radar, alors que les tests prétendent qu’il n’y en avait qu’une.
Mais il n’en faut deux que s’il s’agit de descendre des missiles à haute vitesse en approche. Un avion de ligne suivant un cap prédéterminé serait une cible facile. Et comme dans le cas du MH17 où on a accusé un missile BUK, personne ne l’a vu alors qu’il ressemble à un météore volant en sens inverse dans un bruit d’enfer.
Nous n’avons pas entendu la moindre information sur le fait que les Israéliens avaient développé des radars équivalents à l’Aegis, mais nous aurions bien aimé, parce que durant la dernière chasse aux canards à Gaza, Obama a fait retirer les deux navires américains de là, ce qui est la raison pour laquelle le taux de réussite des tirs de 90% avancé par Israël était du flan. Le logiciel est la clé de la réussite de ce système.
Ce qu’ils ont qualifié de tirs ayant fait mouche n’étaient que les détonations des missiles qui avaient raté leur cible, une mesure de sécurité, mais dont l’explosion ressemblait à un tir au but pour ceux qui étaient au sol. Les tests de missiles ont toujours été annoncés comme étant réussis, car l’inverse était de toute manière considéré comme une atteinte à la sécurité nationale. Il y a un autre pays que je connais qui a prétendu avoir réussi des essais de missiles défensifs par le passé pour continuer à obtenir des crédits.
Les missiles américains Patriot était beaucoup plus inefficaces qu’annoncé lors des premières années comme lors de la Première Guerre du Golfe, ce qui explique les nouvelles versions successives, toutes génératrices de coûts et de «plus de profits» pour le constructeur.
Le radar AEGIS est un système très onéreux. Avons-nous donné notre technologie aux Israéliens, ou l’ont-ils obtenue comme tant d’autres technologies militaires, par l’espionnage ? Israël a des complices aux USA Cela remonte aux années 1980, lorsque 50% des ressources du contre-espionnage du FBI étaient consacrées à empêcher les Israéliens de voler tout ce qu’ils pouvaient fabriquer ou proposer à la vente sur le marché international, ou revendre la technologie aux Soviétiques ou aux Chinois.
Le dernier avion Égyptien s’est écrasé dans le Sinaï lorsque les Israéliens menaient d’importants exercices de combat aérien avec un certain nombre de pays de l’OTAN, et que l’avion était à portée de tir de ces exercices. Cela a été totalement passé sous silence dans les reportages des grands médias.
Qui connaissons-nous, ayant un passé historique pour avoir non seulement commis des attentats terroristes, mais pour en avoir retiré des profits à la bourse, en contrats futures, en sachant quelles matières premières baisseraient après ce type d’attentats ?
Cela s’est produit avec les cours des actions des compagnies aériennes après le 11 septembre, sans aucune poursuite, ni même une arrestation. Et nous le constatons lorsqu’on fait exploser de nombreux oléoducs et gazoducs en une semaine pour interrompre l’approvisionnement.
La liste des suspects ayant la capacité logistique de faire de telles prouesses est courte, et elle ne comprend pas les djihadistes.
Traduction Patrick T rev Isabelle