27/04 - LA TROMPERIE DU HALAL
ET DES VIANDES DE FRANCE.
Soyons TOUS végétariens et adoptons la religion de l'Amour, nous serons frères et les guerres cesseront ! CQFD.
Comment réagiraient les musulmans d’Europe quand ils sauront que 90% de ce qu’ils consomment en guise de viandes dites “halal” est une pure tromperie, une vaste escroquerie dont sont aussi victimes les populations d’autres pays arabes et/ou musulmans ?
De la dynamite dont aucune autorité vétérinaire, de contrôle ou autre, que ce soit aux Pays bas, en Espagne ou en France n’a conscience. Selon certains, ces dernières seraient des complices passifs dont l’alimentation consommée par les musulmans est le dernier de leurs soucis.
Amer et douloureux constat. Des millions de Musulmans sont abusés et trompés jusqu’à l’os par de grands distributeurs (supermarchés...) qui leur vendent des viandes (bovine, ovine, volailles...) et des produits surgelés (steaks hachés, etc.) et par des fournisseurs Néerlandais et espagnols — ( qui soutiennent mordicus, en exhibant de faux certificats (fournis par des sociétés dites de contrôle complices), que les bœufs et moutons sont abattus selon le rite musulman mais qui sont bel et bien tués en usant de pistolets pneumatiques.
Ensuite les carcasses sont estampillées halal. Aucun scrupule, aucune retenue, aucun respect ou considération non seulement pour le consommateur musulman mais aussi pour tous les consommateurs floués, car il faut savoir que la plupart des viandes prétendument et abusivement déclarées “production de France” proviennent des abattoirs d’Espagne et des Pays où le prix d’achat est beaucoup plus bas qu’en France.
Ce n’est pas seulement le profit, le gain et l’enrichissement qui sont à la base de la démarche frauduleuse et de l’escroquerie à large échelle mais aussi la fourniture, indirectement, de l’argent sale à des officines, à des partis politiques extrémistes, qui ont besoin de fric.
Dès que des investigations sérieuses seront effectuées pour découvrir “qui manipule ceux qui brûlent les banlieues”, il ne faudrait pas s’étonner de savoir que l’argent qui est attribué aux pyromanes a pour source les abattoirs.
D’abord des chiffres (fournis par le bureau de contrôle Néerlandais Halal correct) : la consommation mondiale de viande halal ou dite halal dépasse les 150 milliards de dollars, celle du marché européen avoisine les 18 milliards de dollars.
En France, 3 milliards d’euros de consommation pour environ 5 millions de musulmans.
Au Pays-bas où résident presque 1 million de musulmans, le chiffre de la consommation excède le 1,5 milliard d’euros, (la moitié comparativement à la France où résident cinq fois plus de musulmans. Il faut surtout préciser, pour bien saisir l’enjeu, qu’il s’agit surtout de viandes destinées à l’exportation tant vers la France, essentiellement, que vers les pays arabes et/ou musulmans perméables à souhait qui font ainsi ingurgiter à leurs populations des produits non seulement illicites mais aussi dont ne voudraient ni les chiens ni les chats.Une supercherie. ..Une fraude qui n’épargne ni le consommateur ni le petit boucher du quartier d’à côté. ..
Une super-tromperie planifiée, organisée et exécutée au nom de l’Islam. Comment ?
L’astuce est très simple. L’entreprise française qui produit, par exemple, des steaks hachés se fournit en matière première, c’est-à-dire en viande, auprès d’un fournisseur Néerlandais ou Espagnol (le coût d’achat est plus bas qu’en France). Mais comment faire pour certifier au consommateur musulman d’Italie, de France, de Dubaï, ou d’Arabie Saoudite que cette viande est halal (c’est-à-dire que l’animal est sacrifié par un musulman qui prononce le nom d’Allah en orientant la bête en direction de la kaâba, en utilisant un couteau nettoyé et aiguisé pour éviter la souffrance de l’animal, et en veillant aussi que cet animal soit sain, non porteur de maladies). Comment agir pour user et abuser de la confiance du consommateur ? Très simple. S’allier à un bureau de contrôle de viande halal. Et le tour est joué.
Une convention est établie. Ce bureau délivre une carte de sacrificateur à n’importe quel individu qui se prétend musulman, lequel est recruté par le fournisseur (donc il se soumet à ses desiderata). Ensuite, ce même bureau désigne un contrôleur qui devra se déplacer dans les abattoirs du fournisseur (mais qui le fait très rarement sinon jamais) et attribue des certificats de viande halal absolument vierges cachés en très grande quantité chez le fournisseur. Une fois la marchandise prête à l’exportation, le même fournisseur complète le certificat que le pseudo-sacrificateur signe et transmet à l’industriel producteur de produits élaborés qui dispose ainsi de toutes les preuves que la marchandise vendue dans les supermarchés est bel et bien halal.
Souvent, ce sont des bêtes abattues au pistolet pneumatique — donc des bêtes mortes — auxquelles on coupe la tête et ensuite les autres parties de la carcasse. Pratiques contraires aux préceptes de l’Islam et donc illicites.
Mais Brada (Entreprise Néerlandaise fournissant de faux produits halal) et ses complices industriels de la viande et distributeurs trouveront la parade en s’alliant à d’autres complices que sont des pseudo-sociétés de contrôle de la viande halal qui leur délivrent à gogo des certificats de halal moyennant ristourne. Il faut savoir qu’il ne s’agit pas dans ce genre d’“affaires” de quelques centaines d’euros mais de millions d’euros comme enjeu.
De telles pratiques constituent un catalyseur à des réactions incontournables, si les autorités des Pays-Bas, de France, d’Espagne..., ne prennent pas le... bœuf par les cornes. Qui contrôle qui ? Quelle est l’origine de la viande vendue en France ou ailleurs ? Où va l’argent du “halal” ?... Des questions sans réponses qui interpellent les services de contrôle, du fisc...
Le marché halal (tous produits), augmente de 15% par an et atteint les 15 milliards d’euros par les “plus de 20 millions de consommateurs en Europe et 7 millions en France”. “Les consommateurs musulmans représentent entre 10% et 15% de la consommation bovine, ovine et avicole nationales soit à peu près 400 000 tonnes par an. Autre donnée, celle relative à l’exportation : “La viande halal pour l’exportation vers l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient représente chaque année 200 tonnes de viande et 200 000 tonnes de poulet” ..
Avéré ou pas, ce chiffre donne une idée des gains acquis par ceux qui se déclarent certificateurs de viande halal : 20 millions d’euros par an ..
Cette pratique qui s’applique au mouton, au poulet, à la dinde et au bœuf est devenue un marché estimé à 3 milliards d’euros”... Quels que soient les chiffres, le halal est bel et bien une source de gains provenant, essentiellement, de trafics en tout genre, de fraudes et de tromperie.
Ce n’est pas sans intérêt qu’on lui conserve des manifestations. Même si souvent le terme halal n’est pas assimilé à sa juste définition, certains croient que le halal c’est seulement ne pas manger du porc, le même périodique cité estime faussement qu’il s’applique à l’animal “égorgé la tête tournée vers La Mecque”. “
Certificats halal “bidon”
Les pratiques frauduleuses, les tromperies, les escroqueries exécutées par la mafia du faux halal ont lieu dans les abattoirs, les entreprises de production et de distribution.
Cependant, il est nécessaire de préciser que dans l’ensemble de l’Europe : — L’abattage par égorgement, dans les abattoirs et dans tout autre lieu est interdit. Les animaux sont étourdis ou assommés avant la mise à mort par pistolet à tige perforante, par percussion, par électronarcose et par exposition au dioxyde de carbone.
L’égorgement ou l’abattage rituel (halal ou kasher) est soumis à une dérogation. — Les sacrificateurs doivent disposer d’une carte délivrée (après test et après constitution d’un dossier et paiement d’une somme) par une “autorité” religieuse. Pour ce qui concerne la France, trois mosquées (Paris, Evry, Lyon) sont agréées par le ministère de l’Agriculture pour “habiliter des sacrificateurs autorisés à pratiquer l’égorgement rituel”. La Mosquée de Paris a été agréée le 15 décembre 1994, et celles d’Evry et Lyon, le 27 juin 1996, après de multiples pressions.
Dans les autres pays européens, l’habilitation de sacrificateurs est attribuée soit par des associations culturelles, par des centres culturels, soit par des mosquées sans aucune interférence des pouvoirs publics qui lorgnent plutôt du côté des abattoirs avant de les habiliter à pratiquer l’abattage rituel. Il faut savoir que cet abattage rituel n’est autorisé dans les abattoirs que s’ils remplissent certaines conditions notamment en ce qui concerne la contention pour éviter que l’animal se débatte...
Dans chaque pays européen, il existe une liste d’abattoirs pratiquant l’abattage rituel.
Cependant, des abattoirs mus par le gain rapide et facile, n’étant pas qualifiés pour cet abattage, font appel à des pseudo contrôleurs qui leur délivrent de faux certificats halal (contre des sommes importantes) pour effectuer des exportations (comme Charal et Carrefour (France).
Par cette pratique frauduleuse, des tonnes et des tonnes de produits dits élaborés (steaks hachés,...) sont commercialisés en France et dans les pays musulmans... —
Le label “halal” doit être apposé dans l’abattoir, quelques instants après l’égorgement rituel et surtout par un contrôleur neutre. Neutre, c’est-à-dire ne pas être employé par l’abattoir.
Même le sacrificateur n’a pas compétence pour estampiller la carcasse sinon il serait juge et partie puisqu’il est rémunéré par l’abattoir.
De plus, il est bien précisé sur la carte de sacrificateur que celle-ci ne prouve pas que la viande soit halal. Etonnant que cette mention se retrouve sur toutes les cartes établies en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie en Belgique et ailleurs... C’est le seul point sur lequel les habilitateurs (mosquées, associations,...) soient d’accord. Cette précision vaut son pesant d’or sinon les euros récoltés iraient directement dans les poches des sacrificateurs. Ce label halal est exposé à la loi qui interdit la vente d’un produit non conforme à l’étiquette.
C’est-à-dire qu’un commerçant doit prouver au moment du contrôle que la viande halal qu’il vend provient d’une bête abattue rituellement, il produit alors un certificat de viande halal.
Là s’arrête le contrôle car aucune réglementation ne permet de vérifier si ce certificat est avéré. Et c’est là que commence la fraude.
Les abattoirs
Selon la réglementation, l’abattage rituel musulman et juif ne peut être effectué que par des “personnes qualifiées par des organisations religieuses reconnues”.
Cette réglementation confère aux mosquées de Lyon, Paris et Evry, ainsi une habilitation qui leur permet de bénéficier d’un premier apport financier relatif à la délivrance de cartes de sacrificateurs.
Ces trois mosquées n’agissent pas ainsi partout en Europe, au Pays-Bas, en Belgique, en Irlande, en Italie, ou en Allemagne, les cartes sont délivrées soit par des mosquées affiliées à telle chapelle politique, tel pays du Moyen-Orient, telle association culturelle ou organisation islamique, islamiste mondiale.
Des abattoirs sérieux pratiquent réellement l’abattage rituel, en toute transparence. Sans prévenir tout un chacun peut visiter l’abattoir au moment de l’abattage qui a lieu généralement de très bonne heure.
Cependant, nombreux sont les abattoirs qui s’adonnent, depuis des années, au faux halal soit en complicité avec des sacrificateurs soit avec des contrôleurs notamment en matière de volailles.
Systématiquement, ces abattoirs refusent l’accès au site d’abattage au cas où le visiteur n’a pas averti de sa visite. Comment agissent-ils ?
D’abord, ces abattoirs prennent toutes les dispositions pour se couvrir. La première consiste à recourir à des sacrificateurs habilités par une organisation religieuse (association, mosquée,...) et souvent recommandés par elle en contrepartie de rétribution financière (en Belgique, il est créé un réseau animé par des imams marocains qui “importent” des sacrificateurs marocains).
Ces sacrificateurs étant rémunérés par les abattoirs deviennent juge et partie et sont donc obligés d’obéir à leur employeur.
Leur responsabilité est engagée puisque leur signature figure sur le “certificat de viande halal” dont dispose en quantité industrielle le propriétaire de l’abattoir. Des “certificats” portent l’en-tête du “contrôleur”, vierges et prêts à l’emploi. Cette disponibilité met en exergue une autre complicité, celle du contrôleur” qui “certifie” au kilogramme que la viande est halal, c’est-à-dire licite à la consommation par les musulmans.
Si le sacrificateur est employé par l’abattoir, le “contrôleur” reçoit lui des gratifications mises sur le dos du consommateur obligé de payer — indirectement — ce qui est pompeusement qualifié de taxe halal.
Il existe des abattoirs qui font appel à des associations qui respectent leur statut non lucratif puisqu’elles certifient bénévolement le caractère halal. (Ces associations sont composées de religieux, de bouchers, de consommateurs...) Certains ont carrément créé des sociétés dites “de contrôle de viande halal” dont on se demande d’où ils se sont accordés de tels attributs. Ainsi, ils vous indiquent telle ou telle mosquée qui, selon eux, les aurait habilités à être des contrôleurs. En attendant de lire cette habilitation, le moins que l’on puisse dire est qu’ils se sont trouvé une belle couverture.
Là aussi, on parle de gratification pour ne pas dire dessous- de-table. L’absence de réglementation et donc d’impunité ayant encouragé plus d’un, aujourd’hui des “certificats de viande halal” sont vendus à... l’année par des “personnalités religieuses”.
Les producteurs
Ce sont les entreprises productives de produits élaborés (steaks hachés,...) de pâtés, de kachers, de saucissons à base de volailles, de viandes ovine et bovine. Ces producteurs achètent leur matière première, c’est-à-dire les viandes en provenance de tous les pays européens.
Ainsi, une entreprise italienne se ravitaille de France, de Belgique, etc., l’essentiel est qu’elle dispose du fameux certificat halal pour vendre ses produits tant en Europe que, dans les pays musulmans.
Saucisson de volaille et de veau aux olives, mortadelle de volaille, galantine de volaille pistachée, jambon de dinde, mousse de foie de volaille, merguez de volaille, les produits proposés sont aussi variés que de divers composants.
Les distributeurs
Ce sont soit des entreprises telles Auchan, arrefour,... soit les commerçants tels que les bouchers,... Elles sont concernés — directement ou indirectement — par la distribution de la viande ou des produits faux halal selon qu’ils sont impliqués ou abusés...
Le plus souvent, c’est dans ces espaces de distribution que la tromperie est mise à jour.
Mais pas en ce qui concerne le halal. Les inspecteurs de la répression des fraudes, conformément à la réglementation vérifient si le produit portant l’étiquette halal est accompagné d’un document l’attestant.
Là, le contrôle s’arrête et là se poursuit la fraude.